alienor, auteur sur Grand-Mercredi

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Tour de France : où manger la meilleure Galette des Rois ?

Grand-Mercredi a fait le tour de France des galettes. Attention, après avoir lu cet article, vous aurez sûrement envie de toutes les tester …

#1 La Galette Parisienne 

C’est la galette la plus consommée en France. Une délicate pâte feuilletée, dorée, accompagnée de sa garniture très, très gourmande : la frangipane. Cette galette est une valeur sûre. Gourmande mais loin d’être légère, elle laissera les papilles de vos Petits-Enfants ravies !

#2 La Couronne des Rois 

C’est dans le sud de la France que cette généreuse brioche, aromatisée à la fleur d’oranger, est la plus consommée. Avec ses gros morceaux de sucre ou ses fruits confits qui la décorent, elle est aussi belle que gourmande ! Un véritable plaisir de dégustation pour vous et vos Petits-Enfants !

#3 La Galette des Rois Dunkerquoise 

Véritable fierté pour le Nord de la France, cette galette est un mélange entre la tropézienne et le nid d’abeille. Elle est faite à base de pâte à brioche, garnie d’une crème au beurre aromatisée au rhum. Cette galette des rois est donc réservée aux Grands-Parents ! Attention aux Petits-Enfants qui ont tendance à être trop curieux et à vouloir tout goûter !

#4 La Galette des Rois Franc-Comtoise 

La base de cette galette des rois est faite avec de la pâte à choux aromatisée à la fleur d’oranger ou au rhum pour les plus Grands. On peut rajouter des fruits, de la crème, du sucre mais aussi des pépites de chocolats pour plus de gourmandise !

#5 La Nourolles de l’Epiphanie

Cette galette n’est autre que normande ! Rien de plus simple : une pâte briochée avec du beurre en forme de petites boules, une douzaine pour être exacte. La vraie Nourolles ne serait pas accompagnée de fève. Mais en tant que Grand-Parent qui se respecte, nous sommes obligés d’en mettre une !

#6 La Galette des Rois de Guyane 

Envie de voyager ? D’exotisme ? En Guyane, cette pâtisserie est consommée tous les vendredis durant toute la période du Carnaval ! Cette période débute à l’Épiphanie et se termine le lendemain du Mardi Gras. Une composition fruitée et sucrée, créant une explosion de saveurs. Sa pâte sablée sucrée peut être garnie de crème de coco, de crème pâtissière ou de confiture de goyave, d’ananas ou encore de banane au miel ! Cette galette particulièrement riche et intéressante pourra bluffer votre famille !

Cette première fois avec l’Opéra Comique, ils vont s’en souvenir toute leur vie, promis. 

Parce que les premières fois des Petits-Enfants sont aussi avec leurs Grands-Parents, cette année vous allez leur en mettre plein les yeux ! Découvrez “Mon Premier Festival d’Opéra”, un évènement unique et tout en musique dédié à vos Petits-Enfants. Sortez vite vos agendas et entourez vos disponibilités entre le 6 et 17 avril 2022 car en plus, on vous offre vos places grâce à un super jeu concours. Et oui, rien que ça.

« Mon Premier Festival d’Opéra », c’est quoi ?

C’est un mini festival spécial famille organisé par l’Opéra Comique qui mêle contes hauts en couleurs et fantaisies lyriques joyeuses. Il est idéal pour initier toutes les générations aux émotions liées au chant et à la musique ! 

Et pour faire profiter vos petits mélomanes en herbe de cette programmation magique, on vous offre 4 places pour le spectacle de votre choix grâce à un concours inédit ici ! Elle est pas belle la vie ?

La programmation 2022

Découvrez nos spectacles coup de coeur 100% Petits-Enfants. On parie que même les Grands-Parents vont adorer et vont bien s’amuser !

Les spectacles durent entre 50 minutes et 1h20 (idéal pour les petits dès 6 ans.)

Les 6, 9 et 10 avril 2022 : Robert le cochon et les kidnappeurs 

Robert le Cochon apprend que son ami Mercibocou le Loup a été kidnappé par Trashella, la propriétaire du grand dépotoir. Pour le libérer, il faudra l’audace de Robert le Cochon, la passion de Nouille la Grenouille et la complicité de la Lune.

Un opéra-comique où les personnages prennent vie dans le mystère du grand dépotoir pour transformer vos Petits-Enfants en mordus d’opéra ! 

Je réserve 

Les 16 et 17 avril 2022 : Les Pontikis

Les jeunes membres de la Maîtrise Populaire deviennent des Pontikis, ces souris magiques assoiffées de musique. Ils vous guideront dans une grande aventure à la découverte de la musique baroque, de Bach à Haendel, de Lully à Rameau, en passant par Purcell et Pachelbel. Une belle épopée musicale pour toute la famille !

Je réserve

Les 14 et 17 avril 2022 : L’Enfant et les sortilèges

C’est l ‘histoire d’un enfant grognon dont les jouets, agacés d’être les victimes de ses humeurs, décident de lui jouer un tour… Plongez dans une fantaisie lyrique de Colette et Maurice Ravel et découvrez une création qui tourne le dos à toutes les conventions scéniques

Je réserve

Du 6 avril 2022 au 17 avril 2022, rendez-vous à l’Opéra Comique, 1 place Boieldieu dans le 2e arrondissement. 

Vous souhaitez en profiter toute l’année ?

Bonne nouvelle, c’est possible grâce à l’Opéra Comique qui vous a préparé une programmation adaptée aux familles et aux Petits-Enfants. Découvrez ici la liste des rendez-vous à ne pas manquer tout au long de la saison. Vous pourrez par exemple faire découvrir à vos Petits-Enfants l’adaptation de Carmen, l’héroïne éponyme du plus célèbre des opéra-comiques dans une création qui mêle chant, danse et claquettes.

Et pour profiter d’une sortie à l’opéra en famille, la carte Mainate est votre meilleur amie et va vous changer la vie : découvrez tous ses avantages ici ! Prenez vite vos places, on se retrouve devant la scène ! Une chose est sûre, toute la famille va être ravie de cette nouvelle expérience !

Brrr, ça y est, on l’a senti arriver l’hiver ! Depuis quelques semaines, le froid a pris place et cela ne semble pas vouloir empêcher nos Petits-Enfants de sortir. Doit-on pour autant les laisser jouer dehors par un froid pareil ?

La réponse est oui, surtout en cette période où il faut éviter de rester trop longtemps enfermés sans prendre l’air. Les médecins sont formels, les enfants peuvent et même doivent sortir, et presque par tous les temps, à condition qu’ils soient bien couverts. Il ne faut pas oublier que les plus petits ont un besoin vital de dépenser leur énergie, surtout après ce mois de confinement. Pour que leur besoin de grand air rime avec sécurité, voici les quelques règles à respecter pour un après-midi au frais.

1 – Tenue d’esquimau de rigueur

Bien entendu, pas question de sortie par – 3 degrés sans pulls, manteaux et chaussettes chaudes. On pense aussi à bien couvrir toutes les extrémités de nos Petits-Enfants : têtes, mains, pieds, à part le visage, tout doit être bien camouflé.

2 – Boisson pour mineurs

Ce n’est pas parce que ce n’est pas la canicule que les Petits-Enfants ne peuvent pas se déshydrater ! Pensez bien à leur donner à boire régulièrement (et profitez-en pour prendre quelques gorgées vous-même).

3 – Peau douce

On n’oublie pas d’hydrater les joues de sa progéniture et les siennes, pour éviter les peaux de croco ! On applique aussi des baumes à lèvres pour éviter les lèvres sèches. Bref, on prend soin de son Petit-Enfant dans la neige comme on prend soin de soi-même.

A vous les après-midis au parc par grand froid avant un bon goûter au chaud, les joues encore rosies par le plaisir d’une sortie au grand air !

 

Vous connaissez bien sûr  Simone Veil féministe, Simone Veil politicienne, et les combats qu’elle a menés… Mais connaissez-vous Simone Veil mère et Grand-Mère de famille ? Chez Grand-Mercredi, on aime les petites histoires qui se cachent derrière la grande… Alors on vous parle de cette grande dame comme vous n’en avez pas l’habitude, à travers son rôle de mère et sa place au sein de sa famille. Parce que Simone Veil était sans conteste une Grand-Mère hors du commun !

Pour cela, nous avons eu le plaisir d’interroger Amandine Deslandes, auteure de Simone Veil, mille vies, un destin, paru aux éditions City. Un livre à dévorer cet été, pour les passionnés de biographies, et tous les autres !

 

Grand-Mercredi : Simone Veil construit sa propre famille très jeune. Vous écrivez qu’elle a cet instinct de vie, cette “boulimie de reconstruction”, alors qu’elle a vécu très jeune la déportation. En quoi fonder une famille l’aide-t-elle à se reconstruire, même si les blessures du passé ne s’effaceront jamais ? 

Amandine Deslandes : Elle avait peur du vide, elle avait besoin de remettre du vivant dans sa vie, elle qui savait ce qu’était la mort. Elle disait aussi qu’elle avait besoin d’être occupée, beaucoup. Elle suivait ses cours certes, mais elle avait besoin de plus, et même si ses trois enfants n’ont jamais eu pour but de remplacer sa famille disparue, ils ont comblé ce vide.

 

G.M : En même temps, vous écrivez que l’importance de sa famille est parfois presque un poids. Qu’est-ce que le mot “famille” représente pour elle ?

A.D : Tout d’abord, je suis très heureuse de pouvoir parler de Simone Veil et de sa famille, car on pense souvent à elle en mettant en avant ses combats politiques et féministes, mais on la connaît moins en tant que pilier de sa famille. Pour Simone Veil, la famille était une valeur cardinale. Elle a été élevée dans cette tradition-là. Son père était certes quelqu’un de distant, mais sa mère était un ciment formidable pour sa famille de 4 enfants. Elle a grandi au sein d’une famille soudée. À son tour, en grandissant, puis en créant sa propre famille, elle a entretenu ce rôle de ciment. Avec toutes les responsabilités que cela implique.

 

G.M : Selon vous, quelle mère était Simone Veil ? 

A.D : Je pense qu’elle a eu deux phases dans sa maternité : d’abord celle où elle n’a été que maman, où elle ne travaillait pas, très présente et dévouée au quotidien. Puis il y a eu une époque où elle a été plus lointaine. Aussi, comme il y a un peu d’écart entre son deuxième et son troisième fils, je pense que les deux premiers et le petit dernier n’ont pas eu la même mère. C’est normal, sa vie a évolué entre-temps. Ce qui ne l’a jamais empêchée d’être une mère aimante. Et ses fils le disent, ils savaient qu’ils pouvaient compter sur elle. 

 

G.M : Comment gère-t-elle sa vie de mère, de femme, de politicienne ? 

A.D : C’était compliqué de faire front, elle expérimente ce que toutes les femmes vivent : ce phénomène d’être douée partout, en tant que mère, que femme, dans son travail. Même si c’est vrai qu’elle avait une capacité de travail supérieure à la moyenne, mais surtout une volonté de faire changer les choses, qui la portait. Mais il y avait des moments, elle le reconnaissait, où ses fils étaient un peu livrés à eux même. J’adore cette anecdote : ils voulaient l’accompagner à un salon et elle leur a répondu : “vous savez, les salons c’est le genre d’endroit où on se perd, le mieux, c’est que vous y alliez tous seuls !”. C’est très représentatif de sa façon de voir les choses : elle avait à coeur de leur transmettre le sens des responsabilités très jeunes. Et cela leur a bien servi dans leur carrière, par la suite. 

 

G.M : En quoi le couple qu’elle forme avec Antoine révolutionne le modèle familial des années 50 ? En quoi contraste-t-il avec celui que formaient ses parents ?

A.D : J’adore le couple d’Antoine et Simone Veil ! Pour moi, c’est une histoire d’amour presque parfaite : ils se sont rencontrés très jeunes, ils sont passés par beaucoup de moments difficiles et en même temps, ils sont restés soudés jusqu’à la fin. Ils ont tout traversé ensemble. C’est un modèle formidable pour nous, aujourd’hui, alors que les couples (mariés ou non d’ailleurs) se défont si facilement, sans même se battre, parfois. Pour Antoine, qui a évolué dans un milieu parisien, bourgeois, politisé, ce n’était pas simple de se retrouver dans une position de “mari de”. Il disait lui-même que c’était un “macho qui s’est soigné”. Simone Veil a toujours été très dévouée à son mari, mais aussi très déterminée face à lui lorsqu’elle a exprimé le souhait de vouloir travailler. Elle disait d’ailleurs que ce sujet a été l’une de leurs plus grandes disputes : elle a laissé passer tout le reste, mais elle s’est accrochée à son indépendance. Ce qui ne l’a pas empêchée de se consacrer à sa famille et d’élever ses enfants le moment venu, en mettant sa carrière sur pause puis en la reprenant. Et ce modèle-là, qu’ils ont créé, était assez formidable pour l’époque. Ils ont fait des concessions l’un pour l’autre, mais ne sont jamais restés ensemble par dépit. Pour moi, c’est une belle leçon !

 

G.M : Lorsque son dernier bébé tombe malade, elle peut compter sur l’aide de sa belle-mère. Elle qui n’a plus sa famille, quelles relations entretient-elle avec celle d’Antoine ? 

A.D : Elle a une relation merveilleuse avec sa belle famille. Quand elle rencontre Antoine, elle rencontre aussi sa famille, dans laquelle elle trouve beaucoup de similitudes avec la sienne. Elle s’est tout de suite sentie comme dans sa propre famille, elle a pu partager les mêmes valeurs. La famille de son mari a donc pu être un véritable soutien pour elle.

 

G.M :  Lorsqu’elle commence à travailler pour l’école de la magistrature, elle souhaite en premier lieu être juge pour enfants. Pourquoi cet attachement si particulier aux enfants ? 

A.D : Elle a vu beaucoup de familles déchirées avec la Shoah, elle a vu énormément d’orphelins. Après ça, elle a eu cette volonté particulière de réparer les familles. Elle a notamment travaillé sur la loi de l’adoption. Elle est moins connue, mais tout aussi fondatrice que la loi sur l’Interruption Volontaire de Grossesse. Cette loi qui œuvre pour la construction des familles aurait pu être tout autant la loi Veil. Pour elle, le droit de l’enfant était souverain. En tant que défenseur des droits de l’Homme, elle pensait à juste titre que les enfants ne pouvaient pas se défendre seuls, et qu’elle devait donc porter leur voix. 

 

G.M : Simone Veil élève 3 garçons. Pour elle qui a plutôt grandi dans une maison entourée de filles, qu’est-ce que cela change ?

A.D : C’est vrai que Simone a grandi dans un modèle plutôt matriarcal ! Enfant, Simone Veil avait déjà du caractère, et son frère avait parfois du mal à trouver sa place dans cette famille de sœurs. Alors quand elle se retrouve à élever des garçons, elle a bien sûr découvert aussi une autre façon de fonctionner. En même temps, c’est formidable ! Quoi de mieux, quand on défend le droit des Femmes, que d’élever des garçons ? Elle a eu la chance de pouvoir commencer par changer les choses au sein de sa propre famille. 

 

G.M : En quoi le souvenir des membres de sa famille disparus continue de vivre à travers sa propre famille ?

A.D : Elle n’a pas cultivé le souvenir des membres de sa famille de la même manière. Je pense que sa famille disparue dans les camps de la mort, son père, sa mère, son frère, sont toujours restés avec elle, en elle. Mais elle était incapable de parler de son frère et de son père, c’était trop douloureux, quand en revanche elle parlait de sa mère, de façon très touchante. Le plus terrible a sans doute été la perte de sa sœur Madeleine, qu’elle appelait “Milou”. Quand on est rescapée des camps de la mort aux côtés de sa sœur, la perdre dans un “banal” accident de voiture est presque surréaliste. Simone Veil était une femme pudique, elle ne cachait pas ce qu’elle avait vécu, mais en même temps elle ne souhaitait pas l’étaler. 

 

Pour découvrir Simone Veil sous un nouveau jour, on ne peut que vous conseiller cette biographie passionnante.  Simone Veil, Mille vies, un destin, est disponible aux éditions City.

 

 

Il y a quelques jours, on vous parlait de la chasse au trésor grandeur nature : le geocaching, et vous avez adoré ! Alors bonne nouvelle, vous allez être tout autant emballés par ce nouveau phénomène qui prend de l’ampleur sur tous les lieux de vacances de France (et d’ailleurs) : le défi “Trouve mon Galet” ! À réaliser seul, en famille ou entre amis ! 

Une nouvelle chasse au trésor… 

Déjà bien implantée aux États-Unis, au Canada et en Angleterre, cette nouvelle chasse ajoute maintenant de l’action dans les familles de France en vacances. Le principe est aussi simple que mignon : il suffit de suivre la page #TrouvemonGalet sur Facebook. Là, tout le monde peut participer ! Il faut décorer un galet, le décorer selon ses envies, le cacher… puis partager une photo en précisant des indices sur l’endroit où il a été déposé… Mais vous pouvez aussi juste participer en retrouvant un galet, en le prenant en photo et en la partageant en commentaire du post. Ensuite, il faudra le re-cacher un peu plus loin, en laissant un nouvel indice, pour aiguiller un nouveau joueur… 

Propriano, Antibes, Cabourg, Saint-Malo, Hyères ou Biarritz… Les galets à trouver sont partout, ouvrez l’œil ! Certains galets parcourent aussi des centaines de kilomètres, et visitent différentes plages… Une participante avait déposé le sien dans le Jura, puis a suivi son petit voyage jusqu’à Montmartre, sur la place des Tertres, la célèbre place des peintres ! 

On parie qu’avec ça, vos Petits-Enfants trouveront les balades estivales bien plus intéressantes…

Participative et créative ! 

Au-delà du fait de rechercher les galets un peu partout, le défi Trouve Mon Galet développe aussi chez un grand nombre de joueurs une fibre créative ! Il suffit de jeter un coup d’œil au groupe Facebook pour se rendre compte de l’imaginaire des grands et petits dessinateurs : galets Pokémon, Harry Potter, avec des paysages, des grimaces, des rayures d’animaux… À ce train-là, nos plages deviendront bientôt des galeries à ciel ouvert ! 

Alors sortez les pinceaux, proposez à vos Petits-Enfants de peindre leurs galets selon leurs idées, et allez tous ensemble les cacher ! Mais attention, n’oubliez pas de rester connectés à Facebook pour bien vérifier si vos galets ont été trouvés, ou si ceux qui les cherchent ont besoin d’indices supplémentaires… Alors, quel sera le parcours des galets de vos Petits-Enfants ? 

Une activité qui mêle DIY et exploration… C’est forcément validé par tout Grand-Mercredi !

Bonne séance de dessin, et bonne chasse à tous ! 

Le 6 juillet, le généticien et cancérologue Axel Kahn s’est éteint. Sur France Inter, dans une bouleversante confession, il avait dit à Léa Salamé être prêt à « accueillir la mort comme une vieille amie, avec détermination”, après avoir vécu “l’itinéraire final” de sa vie. À elle seule, cette phrase illustre la façon singulière qu’avait Axel Kahn de voir l’existence. 

Parce qu’il était éclairant, humain, humble dans son combat contre la maladie des autres… Mais aussi parce que ses valeurs familiales étaient profondément ancrées en lui, la rédaction de Grand-Mercredi rend un dernier hommage à cet homme, ce père, ce Grand-Père si inspirant. 

Son rapport à la famille : entre indépendance et transmission 

Axel Kahn vient d’une famille que l’on pourrait qualifier de remarquable. Un père philosophe, un frère chimiste, l’autre journaliste. Il aspire alors à créer son propre chemin, se tournant vers une carrière “par dépit” dans la médecine, terrain inexploité où il pourra tracer sa voie sans influence. Métier qui, finalement, l’animera toute sa vie durant, avec engagement, dans sa lutte inlassable contre le cancer, ou pour comprendre et traiter les anomalies génétiques. 

Tout autant qu’à son travail, il était dévoué aussi à sa famille, de laquelle il était très proche, jusqu’au bout : “la communion entre moi et mes enfants, qui savaient que c’était une transmission, était magnifique. Entre moi et ma compagne, avec qui je vis depuis si longtemps, la manière dont elle me regardait amoureusement, c’était magnifique”.

Ce qui était aussi important à transmettre à ses enfants et Petits-Enfants selon Axel Kahn, était les valeurs d’accomplissement, d’oser faire et créer des choses et un parcours dont ils pourraient être fiers plus tard, “même si le succès n’est pas garanti”. Assurément une belle façon de les encourager et de les stimuler ! Antoine, son Petits-Fils aînés le lui rendait bien : ”j’ai la chance de bénéficier de la sagesse et de l’expérience de mon Grand-Père, d’apprendre, d’échanger sur des sujets passionnants. Auprès de lui, je me sens grandi.” 

 

Paroles et pensées inspirantes

Auteur de nombreux livres, dont le dernier Et le bien dans tout ça aux éditions Stock, Axel Kahn aimait manier les mots. Il l’a fait jusqu’à la fin de sa vie bien remplie, pour parler notamment de ses derniers instants et de la façon dont il les vivait. En Grand-Père connecté, il les partageait également sur Twitter. Nous avons sélectionné pour vous quelques-unes de ses interventions inspirantes, aussi jolies que pleines de sens. À lire et à expliquer à vos Petits-Enfants (du moins, aux plus grands d’entre eux) !

 

  • Imaginer un monde meilleur, c’est affirmer que rien n’est plus important que de manifester sa considération pour l’autre.

 

  • J’appelle dignité la qualité au nom de laquelle une communauté humaine se fixe le devoir de respecter les êtres, y compris ceux qui sont dans l’incapacité de réclamer leurs droits.

 

  • J’ai besoin de l’autre pour être moi-même, et il a besoin de moi pour être lui.

 

  • Jamais les situations critiques ne dispensent de la pensée éthique – à la recherche de la bonne voie guidée par le bien ou l’évitement du mal – jamais elles n’affranchissent quiconque d’y recourir pour décider de ses actions ou réactions. C’est même l’inverse, elles la rendent plus essentielle encore.

 

  • “Ce ne sont plus désormais que les aubes naissantes que je verrai, émerveillé, bleuir. Cela en vaut pourtant toujours la peine”. 

 

  • “La joie de tout instant de beauté est décuplée par l’hypothèse que l’on pourrait n’en plus connaître de pareil. Sensation inouïe, bonheur immense”.

 

  • “Une vie riche et belle connaît une issue qui en fait partie, comme la ponctuation finale d’une belle histoire”.

 

  • “Qu’est ce que le bonheur ? C’est le moment à partir duquel vous vivez ce que vous espériez vivre”.

 

Rien à ajouter. Si ce n’est merci, monsieur. 

À la veille des vacances, vous prévoyez de partir en famille ou entre amis, de juste vous reposer, ou de garder vos Petits-Enfants pendant un certain temps. Quoi qu’il en soit, voici une nouvelle transition à passer avec brio ! Pour vous y aider, voici l’horoscope de Grand-Mercredi pour la semaine à venir, parce que les astres ont beaucoup à vous dire…

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Bélier (21 mars – 20 avril)

Vie de famille : Cette semaine, c’est la tienne, ami Bélier. Uranus t’accompagne pour pouvoir faire le tri et t’affranchir de la pression sociale. C’est le moment de révéler à tous ta véritable passion pour le tir à l’arc ou de parler d’un projet fou avec ton gendre.

Projets : Ne fonce pas tête baissée comme tu sais d’habitude si bien le faire. Il n’est jamais trop tard pour apprendre la patience !

Du côté du cœur : Si nous avions un petit conseil pour toi, Bélier, cette semaine ce serait d’accepter de te remettre en question. Sois à l’écoute de ton partenaire : on te promet des moments de partage et de douceur à l’horizon.

Taureau (21 avril – 20 mai)

Vie de famille : Cette semaine te donne plus que jamais l’envie de vacances. C’est pour bientôt ! En attendant, tu restes toujours aussi disponible pour les tiens, avec plaisir et dévouement. Heureusement qu’ils te le rendent bien !

Projets : Qu’il est difficile pour toi, ami Taureau, de renoncer à certaines habitudes ! Pourtant, cette semaine, tu auras des envies de nouveautés qui te feront sans doute pousser des ailes… Écoute ton cœur et n’aie pas peur du changement.

Côté cœur : Le maître mot de la semaine : Carpe Diem. Va au bout des choses, qu’il s’agisse d’une rencontre ou d’une relation plus durable. Apprends à profiter de l’instant présent.

 

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Gémeaux (22 mai – 21 juin)

Vie de famille : Mercure, reine de la communication, est absente de ton ciel cette semaine. Pas de panique, Vénus, planète de la douceur, te vient en aide pour rester zen, même si ta Petite-Fille décide de faire un caprice.

Projets : Tous les signaux sont au vert cette semaine… C’est le moment de t’affirmer ou de commencer un nouveau projet. Ton énergie débordante sera ton atout majeur.

Du côté du cœur : Cette semaine, il faudra faire la part belle à ton instinct et apprendre à écouter ton partenaire. Mine de rien, ça lui fera le plus grand bien !

 

Cancer (22 juin – 21 juillet)

Vie de famille : Après cette période loin de la famille, l’envie te prend d’organiser des retrouvailles mémorables. Vas-y sans stress et exprime chacune de tes idées bien haut, toute ta tribu connaît tes talents d’organisation et attend ça avec impatience !

Projet : L’été à venir te souffle un vent de… vide ! Tu as besoin de lâcher prise, vraiment, et tu rêves déjà des longues heures d’oisiveté qui ne sont plus si loin.

Côté cœur : De ce côté-là les planètes restent parfaitement alignées, les pendules sont à l’heure et il ne reste qu’à profiter !

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Lion (22 juillet – 20 août)

Vie de famille : Pas question de perdre ton temps. Cette semaine, tu te consacres à ceux qui comptent vraiment, et eux seulement. Nul doute alors que tu dépenseras ton énergie avec parcimonie, pour prendre soin de ceux qui en ont vraiment besoin.

Projets : Le ciel de cette année te demande de regarder les choses en face pour affronter tes peurs et assumer tes envies profondes. N’hésite pas et fonce : ton aura légendaire sera une alliée de taille.

Côté cœur : Chanceux Lion, que les planètes accompagnent tout au long de l’été ! Et tu vas en profiter un maximum avec ta moitié.

Vierge (21 août – 22 septembre)

Vie de famille : Pas question pour toi, ami Vierge, de te laisser marcher sur les pieds cette semaine. Tu sauras très bien signifier aux importuns ton besoin de tranquillité. Seuls tes Petits-Enfants et quelques privilégiés auront droit à ton attention sans limites.

Projets : Fidèle à toi-même, Vierge, tu t’adonneras corps et âme à tes activités. Tu seras productif ! Et cela va continuer tout l’été.

Côté cœur : Avec Jupiter dans ton ciel, tu as décidé de dire toute la vérité, rien que la vérité. Cet été, tu regardes les choses en face, ce qui te permet de te réapproprier certains aspects de ta vie.

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Balance (23 septembre – 22 octobre)

Vie de famille : Cette semaine, tu feras de ta famille ta priorité. Tu sauras t’entourer des bonnes personnes et prodiguer les bons conseils autour de toi. Toute la famille comptera sur toi, et tu sauras être une oreille attentive pour chacun.

Projets:  Quels que soient tes projets, tu puiseras dans tes réserves pour les faire aboutir. Malgré quelques péripéties, rien ne saurait t’arrêter pour conquérir tes envies.

Côté cœur : Douceur, harmonie et partage seront au rendez-vous dès mercredi et jusqu’au week-end. Mars et Mercure mettent du piment dans tes relations et bousculent gentiment tes habitudes.

Scorpion (23 octobre – 22 novembre)

Vie de famille : Tu consacreras ta semaine au bien-être de ta famille. D’humeur un peu nostalgique,  tu auras envie de te plonger dans tes souvenirs d’enfance comme on se plonge dans un bon roman.

Projets : Des envies de liberté animent ton ciel cette semaine Scorpion, mais ta méfiance naturelle te fera hésiter à sauter le pas. Pourtant, l’été qui arrive devrait t’y aider. 

Côté cœur : C’est auprès de tes proches que tu trouveras refuge cette semaine, et cela vaut aussi pour ta vie amoureuse. Elle s’annonce plutôt calme et sereine, sauf vendredi, où Vénus vient légèrement brouiller les ondes.

 

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Sagittaire (23 novembre – 22 décembre)

Vie de famille : Si le début de l’été t’obligera à repousser certaines réunions et certaines rencontres, la famille sera toujours au centre de tout cette semaine. Toi, l’indépendant, tu te laisseras surprendre par le besoin grandissant d’être auprès de tes proches.

Projets : Cette semaine, Sagittaire, tu auras à cœur de soigner ton image et ta réputation. Et ça marche ! Mais gare à tes finances, car tu pourrais te révéler un poil trop dépensier.

Côté cœur : Tu sauras user de ton humour légendaire pour charmer ton partenaire. Cette semaine, l’indomptable que tu es saura cimenter les relations et consolider ses liens.

 

Capricorne (23 décembre – 19 janvier)

Vie de famille : Tu profites de ne plus porter de masque, au sens propre comme au sens figuré. Tu as aussi envie de renouer des liens et, dès demain, tu imagineras des activités à faire avec tes Petits-Enfants, enfin.

Projet : Si les activités ne manquent pas, tu as à cœur de tout garder sous contrôle. Tous les voyants seront au vert cette semaine.

Côté cœur : Pour toi, cette semaine ne rimera pas avec passion ! Tu seras plus concentré sur tes activités et sur ta famille que sur ta vie amoureuse.

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Verseau (20 janvier – 19 février)

Vie de famille : La semaine sera mouvementée. D’une part, tu auras une envie folle de régler les petits maux familiaux et tu seras moteur de la bonne humeur. Mais ce week-end, tu auras besoin de couper un peu pour te ressourcer. Pas de panique : ton entrain revient dès la semaine prochaine pour égayer la vie de tes Petits-Enfants.

Projets : Ta confiance en toi te permettra de mener tes projets de bout en bout. Gare à ton entêtement qui pourrait parfois te jouer des tours !

Côté cœur : Ton ciel annonce une semaine sereine en amour. Tes projets personnels pourront même renforcer ta relation.

Poisson (20 février – 20 mars)

Vie de famille : Ton défi de la semaine ? Ne pas procrastiner et ne laisser personne de côté. N’oublie pas qu’un petit coup de téléphone de ta part peut valoir tout l’or du monde pour ton Petit-Fils le soir de son dernier jour d’école. Tes proches t’en seront reconnaissants.

Projets : Tu as des envies de changement et tu sauras les rendre concrètes, en te ralliant aux bonnes personnes. N’hésite pas à t’affirmer, ami Poisson, car ta voix sera entendue.

Côté cœur : Si ton ciel est mouvement de ce côté-là, il n’est pas pour autant troublé. Un joyeux programme s’annonce, et tu comptes bien ne pas en perdre une miette avec ta moitié. 

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©JupiterImages

LE guide de secours ultime pour occuper ses Petits-Enfants quand vous entendez le fameux “je m’ennuieeeee” et que vous venez de vous poser dans le canap’ avec un polar. À consommer modérément pour une efficacité optimale.

#1 Le rangement sous forme de jeu…

Photo avant et après
Photographiez leur chambre et mettez-les au défi de la rendre encore plus belle. Vos Petits-Enfants découvriront le plaisir d’avoir de l’ordre et surtout cela les occupera un certain temps ! Lorsque c’est fini, prenez une autre photo. Montrez leur les deux photos, laissez-les voir les différences et demandez-leur laquelle ils préfèrent.

La course au rangement
Un chronomètre est un allié qui donne un objectif aux enfants. Déterminez un nombre de minutes et demandez-leur de ranger la salle de jeux ou le salon par exemple, durant ce laps de temps. S’ils réussissent à finir avant, ils gagnent un gros goûter !

#2 Leur faire préparer un goûter gourmand 

Sortez vos cahiers de cuisine spécial recettes de Mamie et laissez les choisir LA recette qui les tente (on vous conseille de rester sur des basiques tels que le gâteau au yaourt ou le gâteau au chocolat). Bien évidemment, restez près d’eux pendant qu’ils cuisinent (vous restez la seule personne qui a le droit de toucher au four / plaques de cuisson), et s’ils sont petits aidez les dans les étapes, à peser les ingrédients etc… Vous verrez à quel point ils seront fiers de déguster avec vous leur propre réalisation au goûter !

#3 En dernier recours, le cache-cache

Proposez à vos enfants de jouer à cache-cache. Cherchez-les réellement, mais prenez votre temps, profitez de ce moment de calme et n’oubliez pas de dire haut et fort à quel point ils sont bien cachés !

“Dis, c’est quoi la laïcité ?” Heuuu… Vous le savez, mais quand il s’agit d’expliquer concrètement  à votre Petit-Enfant ce terme que l’on voit partout, ça se complique. Hop, hop, hop, Grand-Mercredi vous décrypte cette notion fondamentale en 30 secondes, montre en main !

La laïcité, c’est quoi ?

La laïcité c’est la liberté de croire ou de ne pas croire à une religion. En France, chacun est libre de croire ou de ne pas croire, de pratiquer sa religion ou non, à condition de respecter les autres.

La laïcité, ça concerne qui ?

Tout le monde. L’école garantit la laïcité des professeurs et la laïcité des enseignements. Quand ils travaillent, les représentants de l’Etat (le président, les professeurs…) ne doivent pas dire du mal ou du bien des religions, ni montrer leurs croyances.

Les élèves eux sont tenus de ne pas porter de signes religieux visibles à l’école.

En bref

La laïcité c’est la séparation des religions et de l’État. On a tous des différences mais on vit dans la même République et ça nous permet de vivre tous ensemble.

 

Vous n’avez rien oublié ? Halloween approche ! Et vous avez prévu… Comment ça, rien ? Hop, hop, hop, aucune excuse : on est allés chercher dans la cave notre vieux grimoire qui recèle de préparations frissonnantes : on vous en livre quelques unes en exclu hé hé hé…

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Le retour des momies 

Ce soir, vous avez ouvert le battant de votre four, libérant une armée de momies ressuscitées. Vous n’aviez jamais eu peur en cuisine… jusqu’à cette nuit. Happy Halloween !

Pour 20 petites momies, il vous faut

2 pâtes feuilletées ; 10 saucisses types Knackis ; 1 jaune d’oeuf ; moutarde ; suelques olives noires ; un morceau de fromage

  • Coupez votre pâte feuilletée en bandes d’une largeur d’environ 1 cm
  • Enveloppez les saucisses de pâte, et dorez le tout au pinceau avec le jaune d’oeuf mélangé à un peu d’eau.
  • Mettre à cuire 15 min à 200°.
  • A la sortie du four, dessiner les yeux des momies à l’aide de fromage et de petits morceaux d’olives noires.
  • Vous pouvez même rajouter un peu de ketchup si vos Petits-Enfants (les coriaces !) ne sont pas déjà impressionnés

LA soupe qui va vous faire froid dans le dos

À servir dans un vieux chaudron de préférence pour un effet whaou (la plus vieille casserole de votre cuisine fera parfaitement l’affaire !)

300g de fromage fouetté type Madame Loïk Nature ; une dizaine d’olives noires dénoyautées ; 600g de chair de potiron ; 2 carottes ; 1 pomme de terre.

  • Prenez un peu de fromage fouetté et roulez-le en forme de grosses billes entre vos mains.
  • Coupez les extrémités des olives, placez les au centre des billes de fromage et formez les yeux. Mettez au frais 1h ou 2.
  • Épluchez la pomme de terre, coupez-la en dés. Épluchez les carottes et coupez-les en rondelles.
  • Coupez la chair du potiron en petits dés.
  • Faites revenir les légumes dans un peu de matière grasse jusqu’à ce qu’ils dorent. Salez, poivrez.
  • Versez un peu d’eau et laissez cuire à couvert pendant 40 minutes.
  • Lorsque les légumes sont cuits, égouttez-les (conservez l’eau de cuisson) et versez-les dans un blender. Ajoutez petit à petit l’eau de cuisson tout en mixant.
  • Au moment du servir, ajoutez les yeux fromage / olive. Brrrr, on parie que vous allez frissonner autant que vos Petits-Enfants !
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Et il doit être heureux de là où il est. 

L’actrice et réalisatrice, Laura Smet, fille de Nathalie Baye et Johnny Hallyday, a accouché dans la nuit du 7 au 8 octobre de son premier enfant. 

Elle a rendu hommage à son père défunt dans le choix du prénom : Léo, en hommage à Johnny dont c’était le deuxième prénom. Mais ce n’est pas tout. Le deuxième prénom de l’enfant est Jean, un second clin d’œil au rockeur dont le vrai prénom était Jean-Philippe. Le troisième, Didier, est celui de son Grand-Père paternel, le père de Raphaël Lancrey-Javal.

Johnny a donc désormais 4 Petits-Enfants : Léo, et les 3 enfants de David Hallyday : Ilona, Emma et Cameron.

Chaque premier dimanche du mois de mars, les mamies sont à l’honneur. Et qu’est-ce qu’elles sont appréciées les Grand-Mères ! Bien que certaines perçoivent cette journée comme une fête commerciale, d’autres sont fières et y voient l’occasion d’y célébrer le plus bel amour qui puisse exister : celui de leurs Petits-Enfants.

C’est le cas de ces Grand-Mères, qui ont décidé de fêter dignement ce 6 mars.

Mathilde, 62 ans :

“Honnêtement, je ne rate jamais une occasion de faire la fête : noël, les anniversaires, la chandeleur, etc. Toute occasion est bonne pour se réunir avec ses proches, célébrer son amour autour de bons petits plats et partager… Alors cette année, pour la fête des Grand-mères, j’ai convié mes cinq Petits-Enfants à un goûter géant. Je préparerai mon cheesecake spéculoos dont ils raffolent. Puis, en tant que passionnée d’équitation, je les emmènerai caresser les poneys au centre équestre d’à côté. Bien sûr, je n’oublierai pas de leur dire combien je les aime et combien je tiens à eux.”

Laure, 79 ans :

“Je suis impatiente de pouvoir recevoir mes deux adorables Petites-Filles ce week-end. On a décidé qu’on fêterait à la fois les Grand-Mères mais aussi les Petits-Enfants : comme ça tout le monde est content ! Du coup, pour marquer le coup, je leur ai organisé une jolie surprise. Avec la permission de leurs parents, je les emmène à l’animalerie pour qu’elles choisissent leur premier petit lapin. Depuis, le temps qu’elles en rêvent et qu’elles m’enviaient mon magnifique petit “rabbit”. Je m’impatiente déjà de voir leurs réactions.”

Pauline, 77 ans : 

“Pour moi, la fête des Grand-Mères c’est : atelier scrapbooking obligatoire ! Eh oui, le plaisir ultime de mes petits trésors c’est de développer des photos et d’en faire de magnifiques albums de famille. Alors que je veille à ce que les photographies soient alignées, eux se chargent de coller des scotchs et autocollants en tout genre. Je vois déjà la petite Agathe rire aux éclats en se rendant compte qu’elle s’est malencontreusement mise du feutre sur le bout du nez.”

Karine, 68 ans :

“Quelle joie de célébrer la fête des Grand-Mères ! Je m’investis beaucoup à être une bonne mamie, alors je n’ai pas de honte à dire qu’être mise à l’honneur une fois dans l’année, ça fait plaisir. D’ailleurs, j’espère que mes petits vont me rendre visite pour l’occasion. Comme chaque fois, je les couvrirai de bisous et de câlins. Ce que je préfère quand je suis avec eux, c’est lorsque le petit Léonard me pose des questions sur mes plus mystérieux patients lorsque j’étais médecin. Quand je lui répond, tous les petits m’écoutent et me regardent les yeux écarquillés.”

Vous l’aurez compris le rôle de Grand-Mère est un cadeau tombé du ciel et il faut en être fier ! N’ayez pas honte de fêter ce 6 mars car il symbolise votre amour envers vos Petits-Enfants…

Le saviez-vous ? La fête des Grand-Mères est un événement “très français”. Toutefois, sa popularité est croissante et commence à attiser les curiosités des pays voisins !

Et si la charge mentale des Petits-Enfants existait ? Entre leur cours de piano, leur leçon de mathématiques et leur rendez-vous chez le dentiste, les Petits-Enfants peuvent se sentir surmenés et doivent parfois lutter pour ne pas s’endormir en classe.

Un enfant victime de charge mentale, qu’est-ce que c’est ? C’est à peu près la même chose que chez l’adulte. Même si un Petit-Enfant ne va pas réfléchir comme un grand, il va raisonner en des termes comme “Il faut…”, “Je dois…”, “Si jamais…?”. Des pensées qui les accompagnent du réveil au coucher, voire dans leur sommeil, leur procurant alors un sentiment de culpabilité. 

Ainsi, tout devient source de stress, de fatigue et d’oppression. Chez vos plus jeunes Petits-Enfants, cela peut se traduire par des troubles du comportement : de grosses colères, une fâcheuse tendance à dire “non”, à pleurer et à s’isoler. 

Heureusement, les Grands-Parents volent à leur secours !

En effet, c’est par leur amour inconditionnel et leurs petites attentions qu’ils sauvent les Petits-Enfants du stress et de la pression que peut représenter l’autorité parentale ou la dictature d’un emploi du temps trop chargé. Plus encore, cette implication favorise l’adoption de comportements sociaux positifs et un plus grand engagement scolaire.

Chers Grands-Parents, ne sous-estimez pas l’impact positif que vous avez sur vos Petits-Enfants, car vous représentez un véritable enrichissement pour leur vie future. 

 

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