Stéphanie Gicquel est une sportive de haut niveau et une aventurière de l’extrême. Membre de l’équipe de France d’athlétisme, elle pratique la course sur ultra distance et son objectif est dans les prochaines semaines est de dépasser le record de France de course d’ultra fond aux prochains championnats du monde d’athlétisme en mai 2021. Parmi les nombreuses explorations qu’elle a menées, Stéphanie Gicquel est entrée au livre Guinness des records pour avoir traversé l’Antarctique via le pôle Sud sur 2.045 kilomètres en 74 jours par -50 °C, la plus longue expédition à ski sans voile de traction réalisée par une femme en Antarctique. Son livre « On naît tous aventuriers » est paru aux éditions Ramsay.
Article
Le goût(er) des bonnes choses, ça se partage !
Chers amis,
Cette période est si trouble…
Entre deux lessives de masques à fleurs, je cherchais l’autre jour une façon de continuer à exercer notre métier « correctement ». Nous qui avons dû faire une croix sur tant de choses, nos lieux de rencontre fermant les uns après les autres et les rendez-vous culturels s’annulant à la pelle. 😞
Alors, j’ai proposé à mes petits jeunes de Grand-Mercredi d’aller, ensemble, tendre notre micro à des personnalités de tous bords, pour s’enrichir et s’élever un peu. 💪
Des femmes et des hommes qui ont des choses à nous apprendre.
Des entrevues authentiques, libres et spontanées, comme tout ce qui nous manque aujourd’hui.
Je vous laisse écouter la première d’entre elles, juste ICI. ✨
Chers Grands-Parents,
Dans un monde idéal, il existerait dans chaque département français une politique du bien vieillir qui permettrait à chacun d’être heureux là où il vit.
Qui permettrait aux jeunes générations de ne pas trop s’en faire pour leurs aînés.
Qui permettrait à nos arrière-Grands-Parents et Grands-Parents de profiter de ceux qu’ils aiment le plus longtemps et le mieux possible.
Dans cette optique, la Loire-Atlantique ouvre la voie à toutes les personnes âgées du département.
Une politique qui a fait ses preuves sur le terrain et qui confirme à quel point un monde meilleur pour nos familles est encore possible.
Emballé par cette perspective, Grand-Mercredi s’est rendu sur place et vous a fait un petit résumé de son reportage ici. Découvrez également le témoignage d’une jeune Grand-Mère aidante auprès de sa mère.
Chers Grands-Parents,
Ce journal est la plus belle feuille d’automne de l’année. Il est à garder près de vous jusqu’aux vacances de la Toussaint. À feuilleter pour inspirer vos week-ends.
A conserver pour se souvenir que, derrière les jours de pluie, se cachent la plus jolie des saisons.
On a glissé, page 5 , le guide spécial « jour de pluie », page 4 le best of des livres d’automne, et bien sûr quelques blagues pour rire de la vie de famille, à découvrir ici !
Quel lien avez-vous avec vos Grands-Parents ?
SG
Ils sont tous les quatre malheureusement partis mais j’ai eu la chance de bien connaître trois d’entre eux.
Ma Grand-Mère maternelle a été un modèle très fort pour moi. J’ai passé beaucoup de temps avec elle, elle habitait Carcassonne et je garde d’ailleurs un profond attachement pour cette ville où je retourne même pour courir. Pour ma Grand-Mère, la valeur travail était fondamentale, elle disait souvent « les difficultés on les surmonte » et je crois que j’ai hérité de cette persévérance en plus de son côté sportif. Pour moi le talent ne représente que 5% du chemin, le reste c’est du travail, de l’effort. Quand on tombe, on se relève.
J’ai un peu moins connu mes Grands-Parents paternels mais leur histoire, les valeurs de travail et de persévérance qu’ils partageaient aussi m’ont beaucoup nourri.
Qu’est-ce qu’il y a de votre Grand-Mère dans tous les projets que vous avez entrepris ?
SG
C’est quelqu’un qui était toujours dans l’action. Elle s’est battue pour sortir d’un environnement modeste, elle a travaillé dur et s’est beaucoup investie dans des associations. Je l’admire énormément. Ma Grand-Mère est toujours présente dans tout ce que j’entreprends, je pense beaucoup à elle. Par exemple, dans les courses sur ultra distance, je me dis que ma Grand-Mère n’abandonnerait pas donc moi non plus !
Vous dites dans votre livre « l’Antarctique nous rappelle brutalement qu’elle seule décide finalement si elle nous laisse passer », au-delà des conditions extrêmes de ce continent, quel rapport entretenez-vous avec la nature ?
SG
Un lien très fort! j’aime le sport où l’on court car il permet ce corps à corps avec la nature et me rappelle d’où je viens. Je réalise dans ces moments là aussi que je n’ai pas besoin de grand-chose finalement pour me sentir bien et vivre pleinement. Je me rends compte que l’expérience apporte beaucoup plus que la possession. En Antarctique, l’important c’est d’avancer et de subvenir à ses besoins primaires comme le sommeil et la nourriture.
Il existe un contraste très fort entre notre environnement habituel et une nature vierge comme l’Antarctique où il n’existe ni faune ni flore, c’est un territoire immense et inhabité. Quand je rentre de ces régions, je vois le contraste saisissant avec la manière dont l’homme a construit, investi, optimisé l’espace.
Tout ce que l’homme a bâti grâce au collectif est incroyable donc je suis convaincue qu’il aurait l’énergie de créer un système pour garder ce confort créé tout en préservant la Terre. Notre planète est fragile, petite, il faut la choyer et la protéger.
Lorsque vous parlez d’aventure, d’exploration, d’environnement à des enfants ou jeunes adultes, qu’est-ce qui d’après vous les touche le plus? Utilisez-vous un langage particulier ?
SG
Qu’est-ce que je suis heureuse quand je vois des jeunes qui ont envie de se lancer dans un projet, qui ont envie et qui ont confiance en eux!
Leurs yeux brillent quand ils voient les images de l’Antarctique avec des grands espaces blancs à perte de vue dont ils ne sont pas familiers. La force de l’image est exceptionnelle.
Les enfants adorent aussi que je leur montre des équipement d’explorations – du très concret. Par exemple, les gants pour se protéger du froid, le masque pour le visage ou le sac de couchage. Savoir comment en pratique je me protège du froid là bas les intrigue beaucoup!
Les enfants ont souvent des questions très pertinentes, ils réagissent de manière très spontanée et ont envie de créer du lien naturellement. Ils font ce que nous faisons plus et c’est dommage.
Qu’est-ce qui a motivé votre engagement aux côtés de l’association Les Petits Princes qui réalise les rêves d’enfants malades ?
Etudiante, j’étais investie dans plusieurs associations dont une qui réalisait les rêves d’enfants malades. Je suis même partie faire de la voile avec des enfants en rémission de cancer. Cela m’a beaucoup marquée.
Puis je me suis dis: pourquoi ne pas utiliser mes projets pour collecter des fonds pour ce même type de cause? J’ai ensuite rencontré l’association Les Petits Princes et j’adore leur projet parce qu’un rêve permet à l’enfant d’être plus fort mentalement face à la maladie.
L’équipe de l’association est très belle, soudée et c’est tout ça qui nourrit aussi mon engagement à leurs côtés.
D’après vous, quelle est la richesse d’un engagement intergénérationnel Grand-Parent/Petit-Enfant au service d’une même cause ?
C’est merveilleux que les Grands-Parents et les Petits-Enfants fassent quelque chose ensemble pour les AUTRES! Je pense que le fait que ce soit au profit d’un tiers resserre les liens familiaux. Ce doit être très intéressant de vivre cette expérience.
Ensuite en discutant avec des enfants, j’ai le sentiment qu’ils sont proches de notre « base », de notre authenticité – ils sont curieux, ils s’émerveillent, ils questionnent tout. Les enfants d’eux même ont envie d’aider les autres, ils sont avides de lien donc il n’y a plus qu’à les suivre! C’est formidable pour les Grands-Parents de revenir aux sources, à cette spontanéité grâce à leurs Petits-Enfants.
Les Grands-Parents doivent toujours avoir à cœur de préserver leur Petit-Enfant de ce qu’à la société a de négatif, en gardant un lien proche avec elle/lui, une écoute, du temps et l’inciter à se poser des questions, à ne pas renoncer à ses rêves.
Propos recueillis par Ombeline Degermann.
Chers Grands-Parents, où voulez-vous mettre les voiles pour les années à venir, pour votre retraite ?
Embarquez, prenez garde à la fermeture automatique des portes, prochain arrêt, Nantes !
Ce qu’on imagine faire de nos vies de retraité quand on est encore actif ? Boire son café le matin en lisant le journal. Se balader dans des parcs verdoyants. Prendre le temps de se cultiver. Vieillir heureux. Cette vie, c’est celle que Nicole, 68 ans, vit à Nantes, depuis qu’elle y a emménagé.
“Parisienne de base, j’ai commencé à me renseigner sur la ville où je souhaitais vivre à ma retraite, il y a 10 ans environ. Ayant des amis dans la région, j’avais déjà passé plusieurs week-ends dans le coin et j’avais été séduite par la proximité avec la mer et la richesse des activités culturelles. La région Loire-Atlantique a mis en place de nombreuses aides pour bien vieillir : tout est pensé pour faire de notre retraite une période exaltante ! Cerise sur le gâteau, j’habite désormais tout près de mes Petits-Enfants et avec Eux j’ai même l’impression d’avoir rajeuni.”
Chers Grands-Parents,
Parce qu’habiller vos Petits-Enfants avec des vêtements qui leur ressemblent, qui sont écolos, jolis et dans lesquels ils peuvent s’épanouir est ce qu’il y a de plus important, Gap et Grand-Mercredi ont créé une offre spéciale, conçue uniquement pour les Grands-Parents. Nous offrons 10% de réduction supplémentaires dès 2 articles achetés à chaque passage en magasin !
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*Offre soumise à conditions
Cette carte est valable du 23 octobre 2020 au 31 octobre 2021.
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Mes très chers amis,
Dans la foulée des déclarations alarmistes de notre cher ministre de la Santé, j’ai relu cette phrase :
« La vie, ce n’est pas attendre que la tempête passe mais bien apprendre à danser sous la pluie ».
Partant de là, et quitte à se concentrer sur l’essentiel, je me suis dit : « Ma petite, le moment est venu de t’attaquer à un projet d’envergure, un chantier hors norme, une affaire aussi riche que complexe : te connaître toi-même! »
Mon amie Nadine, psychologue et enseignante en psychologie, en a remis une couche avec son fameux test, que certains d’entre vous connaissent sans doute. 😉
Fiable pour la vie, fidèle à notre « moi » profond, c’est un allié immuable. Faites-le !
Et n’oubliez pas : plus la tempête gronde dehors, plus le calme intérieur doit l’emporter sur tout le reste! 👍
Aujourd’hui, c’est la Journée nationale des Grands-Parents et des Petits-Enfants.
Vous le savez, chaque année, nous avons à cœur de placer cette journée sous le signe d’une thématique qui vous lie à vos Petits-Enfants. 🥰
En 2020, un contexte s’est imposé à nous : celui de la vie numérique, devenue une évidence pour les 18 millions de Grands-Parents que vous êtes. Car vivre sa vie de famille à distance de façon épanouie est aujourd’hui possible, dans la joie et la bonne humeur.
Ainsi, nous avons demandé à notre Ministre en charge de l’Inclusion numérique de vous dire quelques mots : ici.
A la faveur de cette Journée – pour aller encore plus loin et comprendre vos attentes – nos équipes lancent même un numéro d’appel gratuit pour tous les Grands-Parents. ☎️
Allô Grand-Mercredi répond à toutes vos questions et vous aiguille vers une vie connectée totalement maîtrisée :
- si vous voulez un cours de boîte mail,
- si vous ignorez comment utiliser Doctolib,
- si vos Petits-Enfants sont tous sur Instagram et pas vous…on attend vos appels au 0805 38 68 38.
Toute la journée, notre équipe répond à vos questions et vous guide.
Appelez-nous : nous sommes là ! 😍
A la suite de cette grande journée sera lancé le premier programme national dédié à la formation numérique de tous les Grands-Parents.
Cette année, pas moins de 18 millions de Grands-Parents pourront enfin se déclarer épanouis & connectés. Une priorité du gouvernement, soutenue par Grand-Mercredi.
Chères toutes,
Comme vous êtes des chic filles et que je croule sous vos lettres, je sais que vous me pardonnerez mon manque de réactivité ! En effet, je ne compte plus les Nicole, Eliane et autres Marielle me demandant comment organiser sa vie avec le virus (eh oui, encore lui !). 🧐
Ma réponse est la même pour toutes : respectons les consignes et mettons les baisers habituellement réservés à nos Petits-Enfants au chaud, dans une « boîte à messages » par exemple.
Comme une cachette dans laquelle glisser tout ce que vous pourrez bientôt faire avec eux et qu’ils découvriront le jour venu. 🥳
Enfilez votre plus belle robe et apprenez à danser avec le virus, à son rythme, exactement comme ça!
Et n’oubliez pas : rien ne vous empêche, comme moi, de chausser vos bottes en last minute pour une balade en forêt ou de réserver une visite du Château de Versailles pour votre tribu. 🎒
Même masqué, faire tout ce que l’on ne faisait plus, c’est déjà continuer … !
