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5 astuces téléphone pour mieux profiter de ses Petits-Enfants !

En cette période délicate liée au Covid-19, la plupart d’entre nous vivent très mal le fait d’être éloignés de leur famille, en particulier de leurs Petits-Enfants, qui grandissent un peu plus chaque jour.

Voici les astuces qui vous permettront de mieux profiter d’eux, même à distance.

1/ En premier lieu : créez un groupe de discussion spécialement conçu pour vos Petits-Enfants

Évidemment, vos Petits-Enfants n’ont pas forcément de téléphone… Surtout s’ils sont très jeunes. Néanmoins, cela ne vous empêche pas de créer un groupe sur l’une des applications de communication à plusieurs (Whatsapp, par exemple), avec le numéro de leurs parents, à destination de leurs petits.

Pour cela créez-vous un petit nom rien qu’à vous : “Les 3 mousquetaires” (si vous êtes trois), “Les inséparables”, “Les joyeuses nouvelles”, ou créez un mot avec vos initiales, par exemple.

Lorsque vos enfants recevront un message sur ce groupe, ils sauront que c’est à destination de vos Petits-Enfants, et cela leur donnera davantage envie de vous écrire.

2. Une émoticône de bonjour !

Rien n’est plus parleur pour vos petits, que ces fameuses petites émoticônes qui les font sourire.
Chaque matin envoyez-leurs, sur la nouvelle discussion que vous avez créé, une émoticône pour leur dire bonjour.
Voici une sélection de smiley pour leur dire bonjour : 😊✌✋👋🤗👱‍♀😀
et aussi
Voici une sélection de smiley pour leur dire qu’ils vous manquent : 🙄💞😢😘💗💁‍♀😇Voici une sélection de smiley pour leur dire que vous les aimez : 😍🤩🙈💕💓😽💝👵🤗

3. Les applications à télécharger

  • Skype : l’application de référence pour les appels de groupe en visioconférence. En plus, elle est disponible gratuitement. Si 50 personnes peuvent discuter en même temps, vous êtes assuré de pouvoir convier tous vos Petits-Enfants 😉
  • Papoti : une application qui permet aux utilisateurs, grands-parents et petits-enfants, de se créer un espace privilégié pour discuter, échanger des photos, jouer, partager des secrets et se lancer des défis ludiques.
  • Whatsapp : l’application de messagerie que tout le monde utilise. Elle vous permettra de réaliser des discussions par messages groupés.
  • Grand-Mercredi Forum : le premier forum des Grands-Parents confinés.

Vous pouvez y partager vos idées, conseils, bons plans et anecdotes. Et évidemment trouvé de nouvelles astuces qui vous viennent tout droit d’autres Grands-Parents.
Pour cela, il vous suffit de vous inscrire, et c’est totalement gratuit, bien entendu.

4. La vidéo du jour

Tous les matins, envoyez-leur une vidéo drôle sur votre conversation partagée. Il y a toute sorte de vidéo qui font rire, sourire et nous change les idées.
Nous avons réalisé une sélection de 6 vidéos drôles ou touchantes, ici.
Il en existe toute une panoplie sur Internet… Autrement, réalisez vous-même cette vidéo. Déguisé ou non, drôle ou sentimentale, filmez-vous en train de leur parler. Envoyez-leur un petit bisou, pour leur rappeler que vous en les oubliez-pas.

5. La question mystérieuse

Réalisez un rituel : Tous les deux jours, autorisez vos Petits-Enfants à vous poser la question de leur choix : comment vous avez rencontré Grand-Père, la plus grosse bêtise que leurs parents ou que vous avez faite, votre plus beau souvenir, etc.
De cette façon, vous partagerez des choses que vous n’avez jamais eu l’occasion de dire. Et surtout, vous établissez un contact régulier, qui leur donnera toujours plus envie d’être le jour suivant. Un excellent moyen pour chacun de faire passer le temps plus rapidement.

Le BEST OF DES ACTIONS SOLIDAIRES du moment !

1/ Chaque jour, une lettre à lire ou à déposer à un senior isolé ici.

2/ La cueillette solidaire : prenez un panier et ramassez fleurs, légumes ou fruits à déposer aux plus fragiles de votre immeuble.

3/ Pour votre commune, lancez-vous dans une cagnotte solidaire ici. Exemple : pour soutenir le boulanger du village, chacun donne 1 €.

4/ Dans votre immeuble, vous pouvez participer ou initier le mouvement des voisins solidaires grâce à eux.
Exemple : une imprimante pour tous ou une seule personne allant à la pharmacie pour tout le monde !

5/ La bibliothèque itinérante : chaque jour faites le tour du village à vélo, en voiture, ou à pied et distribuez les livres des uns et des autres. Tel un passeur d’histoires vous récupérez le livre de Martine et le déposez à Alain puis reprenez ceux de Marie pour les confier à Juliette. Formidable chaîne de livres à se prêter !

6/ La soirée pizza solidaire : inutile de vous re-préciser qu’un Grand-Parent doit maîtriser la recette de la pâte à la pizza aussi bien que le moelleux. Annoncez une soirée pizza solidaire une fois par mois et avec vos Petits-Enfants offrez des pizzas aux sans-abri du coin. Ça marche aussi pour le café le matin à distribuer aux ouvriers qui se lèvent tôt !

7/ La journée du jouet : un mercredi par mois, on choisit un jouet qui nous plaît moins. Au bout de 10 jouets votre petite caisse solidaire pourra être distribuée dans un hôpital pour enfants (allez-y avec vos Petits-Enfants bien sûr).

Elle est pas belle, la vie, quand on se sent utile? 💐

 

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Chez les adultes, la maladie du Coronavirus est source de nombreuses souffrances : anxiété, isolement, déprime, stress… mais pas seulement ! La situation est, tout aussi voire plus difficile, à gérer pour les enfants.

Pour vous, voici répertoriées, les principales souffrances de vos Petits-Enfants.

  • Ils sont les éponges de leurs parents.

L’une des souffrances principales de vos Petits-Enfants vient du fait qu’ils encaissent les inquiétudes de leurs parents.

Les enfants absorbent très facilement les émotions et les peurs de leurs parents… Cela peut leur créer des angoisses sur le long terme. Il faut donc faire très attention à ne pas être trop anxiogène !

  • Ils possèdent un haut niveau d’anxiété.

Au-delà du stress suscité par les inquiétudes des parents, vos Petits-Enfants ont leurs propres inquiétudes.

Pour les soutenir, il faut donc les aider à comprendre et intégrer la situation grâce à des discussions transparentes et ouvertes. Il convient d’employer des mots simples, qui ne dramatisent pas la situation, et qui sont adaptés à une bonne compréhension.

Également, il est fondamental de leur donner l’amour et l’attention dont ils ont besoin, afin de les équiper pour résoudre leurs peurs.

  • Ils ont du mal à exprimer leur ressenti.

La plupart des enfants ne sont pas réellement capables d’expliquer ce qu’ils ressentent vis-à-vis de la situation. Tout d’abord, parce qu’ils ne savent pas réellement ce qu’ils ressentent, mais aussi parce qu’ils n’ont pas les mots ou ne s’autorisent pas à le faire.

Alors, pendant cette période, il est d’autant plus important de les aider à trouver des moyens pour s’exprimer à travers des activités créatives, des dessins ou des peintures, par exemple.

  • Ils ressentent un manque affectif de leur maître/ maîtresse.

Pour les plus petits, la demande affective est forte au quotidien. Alors, ils trouvent en leur enseignant(e) une relation très importante.

Et si, apprendre à partager son maître ou sa maîtresse avec les autres élèves représente déjà une grosse difficulté pour ces derniers, être séparé de lui ou elle est d’autant plus compliqué… D’autant plus que c’est l’enseignant qui donne aux enfants la motivation pour apprendre, pour progresser et pour se socialiser.

  • Ils ressentent le manque inconditionnel de leurs Grands-Parents.

Nous ne cesserons de le répéter, la relation Petits-Enfants/ Grands-Parents est particulièrement précieuse, et diffère de celle qu’ils ont avec leurs parents. Les parents sont parfois restreints à leur rôle “d’éducateur” et se doivent de garder une certaine autorité. Les Grands-Parents à l’inverse, se retrouvent dans une relation plus pacifiste : de transmission, d’échanges et de partage.

Séparé de leurs Grands-Parents, les Petits-Enfants se sentent souvent délaissés et en manque de cette relation de confiance et de partage dont aucun événement ne viendra l’ébranler.

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Les jours séparés de nos Petits-Enfants semblent interminables… Seulement voilà, ce n’est pas parce qu’on ne peut pas sortir ou les inviter chez nous, que l’on va supprimer nos moments avec eux !
Bien au contraire.
Il paraît nécessaire d’entretenir ce lien précieux, leur montrer qu’on ne les oublie pas, tout en leur proposant des activités insolites. Dans cette optique, Grand-Mercredi et Kinder Chocolat vous proposent de découvrir une sélection d’activités originales à faire à distance.

La balade des Petits-Enfants heureux

Et si, à la place d’aller au musée, le musée venait à vous ? Exceptionnellement, de nombreux musées donnent accès gratuitement à des visites virtuelles de leurs collections permanentes et temporaires. Le musée du Louvre à Paris, le Moma à New York ou encore le mythique Musée Grévin, voici l’occasion inédite de partager une petite balade culturelle avec vos Petits-Enfants.

Pour ce faire, il vous suffit d’appeler vos Petits-Enfants et de lancer la visite en même temps sur vos ordinateurs. Cette fois, vous pourrez même vous servir un délicieux verre de lait sans vous faire réprimander par la sécurité, tout en échangeant avec vos petits sur ce que vous voyez !

On enfile des perles !

Quitte à enfiler des perles, autant que ce soit pour un joli collier ou un bracelet. Voici alors, l’occasion de faire un cadeau à votre Petite-Fille ou Petit-Fils (et réciproquement). Optez pour un bracelet coloré pour vos petites et dans des tons plus neutres pour vos petits. La création de bijoux est une activité particulièrement propice au partage et facile à réaliser, même à distance. À 17 heures, lorsque l’école à la maison de vos Petits-Enfants se termine, organisez un rendez-vous en visio-conférence avec eux. Demandez à leurs parents de sortir le matériel dont ils disposent : pâtes, ficelles, ruban, perles, farine et sel pour confectionner eux-même leurs perles…
Après, vous n’aurez plus qu’à attendre de les retrouver pour pouvoir vous offrir mutuellement vos créations.

Un atelier cuisine en famille

arce que dans la famille vous êtes des grands gourmands, organisez avec vos enfants et Petits-Enfants un atelier cuisine à distance. Appelez-vous par visio conférence et réalisez ensemble l’une des délicieuses recettes Kinder Chocolat. Une fois la recette prête, dégustez là tous ensemble. Même à distance, ce goûter ravira les papilles des grands et des petits.

Kinder Chocolat vous donne rendez-vous ici pour découvrir l’ensemble de ses recettes

Découverte du yoga en famille

Le confinement, c’est l’occasion d’innover et de faire ce que l’on n’a pas l’habitude de faire… Alors aujourd’hui, on vous propose de réaliser une séance de yoga avec vos enfants et vos Petits-Enfants.

Pour cela, demandez à vos enfants de vous donner un créneau pour que tout le monde soit disponible au même moment… Saisissez-vous d’une tenue confortable et d’un tapis ou d’un plaid.
Puis, appelez-vous en visioconférence afin de réaliser les mouvements et respirations de base du yoga… Fous rires garantis !

Grand-Mère Castor raconte-moi une histoire

Ce n’est pas parce que vous ne pouvez plus les prendre sur vos genoux pour leur raconter une histoire, que vous ne pouvez plus leur raconter d’histoires du tout.
Ainsi, nous vous invitons à vous enregistrer avec votre téléphone pendant que vous leur conter un récit. Dès lors, il vous suffira d’envoyer l’enregistrement à leurs parents, qui le montreront à leur tour, à vos Petits-Enfants.

Sinon, vous pouvez également leur conter l’histoire par visioconférence. Cela vous permettra de voir les réactions sur leur visage tout au long de l’histoire.

Découvrez le Club Kinder ! 

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Découvrez notre compilation des plus beaux fous rires de bébés !!

 

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Les 10 raisons pour lesquelles le manque des Petits-Enfants est si présent

 

D’ordinaire, beaucoup de Petits-Enfants voient leurs Grands-Parents chaque semaine. Les aïeux viennent les chercher à l’école, les gardent, les câlinent, soignent leurs maux et leur préparent de bons petits plats… Des moments de partage complètement remis en cause par l’actuelle période de confinement ! Et une chose est indéniable : le manque des Petits-Enfants est particulièrement présent en ce moment.

Voici pourquoi…

1 – Il y a trop d’objets chez vous qui nous rappellent leur absence.

Les nombreuses photos encadrées, le beau dessin de votre Petite-Fille accroché sur le frigo, le collier de pâtes qui est délaissé sur un coin de la table de nuit, leurs compotes préférées abandonnées au premier étage du frigidaire… tant de choses qui vous font penser à eux tout au long de la journée !

2 – D’habitude, lorsque vous vous sentez seul(e) ou triste, vos Petits-Enfants sont ceux qui vous redonnent le sourire.

Vous vous situez dans un cercle vicieux !

Vous êtes triste et vous sentez seul(e) loin de tous… Et malheureusement, la seule chose qui d’habitude vous apporte de la chaleur, est justement celle qui vous est interdite.

3 – Vous savez que leurs parents ont besoin de vous pour les garder, et vous ne pouvez les aider.

D’ordinaire, vous êtes leur roue de secours.

Vous êtes, ceux, sur qui ils peuvent toujours compter.

Et si plus que n’importe quand, ils ont besoin de vous pour que vous vous occupiez de leurs enfants, cette fois, vous ne pouvez venir à la rescousse de la famille !

4 – Moins de choses pour occuper vos pensées, résultat : vous pensez plus à eux.

De manière générale vous pensez beaucoup à eux. Mais quotidiennement, vous êtes sollicité par toutes sortes d’événements, d’activités… Vous rendez visite à votre ami(e), vous avez une exposition d’art, vous allez au cinéma, etc. Cette fois, vos journées sont moins remplies et toutes vos pensées vont vers vos Petits-Enfants.

5 – La situation invite à penser à leur avenir

On s’inquiète toujours de savoir, comment nos Petits-Enfants vont grandir… Quelle planète va-t-on leur laisser. Cette fois, en situation de crise sanitaire mondiale, les questions existentielles viennent par gigantesques vagues… Et une chose est certaine : la majorité d’entre elles tourne autour de vos enfants et Petits-Enfants.

6 – Vous n’avez plus d’excuses pour regarder un bon Disney.

On ne va pas se mentir : Blanche-Neige, les Aristochats ou le Livre de la Jungle… sont des chefs-d’oeuvres ! Nous les aimons, et ce, à tout âge. Alors, à l’arrivée des Petits-Enfants, on s’octroie enfin le droit de re-visionner nos dessins animés sans se sentir ridicule.

7 – Vous n’avez plus votre anti-rides naturel

Nous vous l’avons déjà bien assez répété : les Petits-Enfants sont le plus efficace des anti-rides. En effet, à travers leurs comportements de clown, il vous font passer par toutes sortes d’expressions, qui représentent une excellente gymnastique faciale. Votre jeunesse et votre épiderme sont ainsi préservés ! Ainsi, le manque des Petits-Enfants s’observe même sur votre visage !

8 – En les voyant sur Skype ou en les ayant au bout du fil, cela vous rappelle que vous n’avez pas la chaleur de leurs bisous.

Bien entendu, vous gardez le lien grâce aux nombreuses ressources technologiques qui nous sont, plus que jamais, d’une grande aide. Malheureusement, les entendre vous rappelle combien vous êtes triste de ne pas pouvoir les serrer dans les bras…

9 – Les beaux jours arrivent, et c’est justement la période durant laquelle vous les emmenez au parc habituellement.

Le début du printemps, les journées se rallongent, le ciel s’éclaircit et vous n’avez qu’une envie : les voir courir dans votre jardin ou les emmener en promenade !

10 – Vous n’avez plus autant d’affection.

Seul(e) ou en couple, l’affection des Petits-Enfants fait le plus grand bien, et est, ce qu’il y a de plus pure… Nos joues sont désertées et ÇA c’est particulièrement dur à vivre.

 

Déjà 3 semaines, que je suis privée de Manon et de sa petite sœur Margot. 5 et 7 ans, des yeux verts magnifiques et un sourire à faire fondre n’importe qui. Si dès les premiers jours du confinement j’ai ressenti les effets du manque, je dois reconnaitre que plus les jours passent et moins je parviens à prendre sur moi.

Il faut dire que je ne peux compter sur personne, moi qui vis seule dans une maison reculée. Pas de voisins pour m’apporter des produits de premières nécessités. Autour de moi, des champs à perte de vue.

Bien que ma fille fait tout ce qu’elle peut pour me donner des nouvelles et m’envoyer des photos de mes Petites-Filles, cela ne fait qu’augmenter la sensation de manque. Il faut dire que jamais auparavant nous n’avions été séparées toutes les 4 aussi longtemps. Manon et Margot dorment régulièrement à la maison, je vais les chercher à l’école et les emmène prendre le goûter au moins deux fois par semaine. Ces moments précieux rythmaient ma vie et sans elles à mes côtés, je suis moralement affaiblie.

Je réalise que si j’arrive toute l’année à prendre sur moi face à l’isolement, c’est grâce à elles. C’est la perspective de les retrouver chaque semaine qui me permet de continuer à avancer. Alors, depuis le premier jour du confinement, je suis à l’arrêt.

Quand ma fille me téléphone, j’essaye de prendre sur moi. Mais, je sens au bout du fil qu’elle s’inquiète elle aussi. J’ai beau faire du mieux que je puisse, elle se rend bien compte que quelque chose ne va pas.

Comme tout le monde, je compte les jours en espérant que bientôt je pourrais les revoir, les serrer fort dans mes bras. Jamais je n’oublierai ces semaines isolées, des semaines interminables qui n’ont fait que confirmer ce que je pensais depuis bien longtemps : je suis incapable de vivre loin de Manon et Margot.

Nous sommes le 17 mars dernier et comme la plupart d’entre vous, j’assiste médusée à l’annonce officielle du confinement. Moi qui vis seule, dans un petit village reculé de Dordogne, je suis rapidement saisie par l’angoisse. Comment vais-je faire au quotidien pour surmonter cette terrible épreuve ?
Bien que j’aurais pu compter sur mes voisins, j’ai préféré naturellement me tourner vers mes proches.  Mon fils unique passant la majorité de ses journées sur les routes, il restait donc ma belle-fille, Marie.

Je n’ai pas attendu longtemps pour me manifester et lui téléphoner. Mais très vite, au son de sa voix, j’ai compris. J’ai compris qu’elle ne m’aiderait pas et qu’elle ferait le strict minimum. Si la solidarité semble avoir envahi les français, Marie semble bien éloignée de ces préoccupations.

Force est de constater que toutes les deux, nous n’avons jamais été très proches. J’ai naïvement pensé qu’avec ce confinement, elle changerait. Mais le déclic ne s’est pas produit. Elle a bien essayé de me joindre, mais c’était trop tard. Heureusement, j’ai pu compter sur la gentillesse de mes voisins pour m’apporter des produits de premières nécessités.

Aurais-je dû en parler à mon fils ? En temps normal, je l’aurai fait sans hésiter. Mais j’ai préféré l’épargner au vu d’une situation déjà très compliquée. Lui qui est sur la route ne se doute de rien. Il imagine certainement que sa chère épouse prend régulièrement de mes nouvelles. Et pourtant…

Alors, quand viendra la fin du confinement, elle et moi, nous aurons une discussion. Je chercherai à comprendre pourquoi elle est si distante, pourquoi elle ne se préoccupe de rien, hormis peut-être de sa propre personne. En attendant, je reste optimiste en me disant que plus le confinement dure et plus les chances de voir Marie avoir une prise de conscience sont grandes.

L’espoir fait vivre me direz-vous !

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Cela fait 10 ans que je suis divorcé de mon ex-femme.

Nous avons pris cette décision, non pas parce que nous nous aimions plus, mais parce que nos chemins de vie nous emmenaient vers des endroits différents…
Je suis comédien et ma vie était ici, à Paris.
Joséphine rêvait d’ouvrir son restaurant et a quitté la métropole pour le soleil de Provence.
Six ans.
Six ans de solitude.
Six ans de déprime…
Il m’a fallu six longues années, et surtout, 3 Petits-Enfants extraordinaires pour me remettre de cette séparation !
Petit à petit, j’ai repris goût à la vie. J’ai découvert le plaisir d’emmener Blanche, Capucine et Achille au Parc. De sortir au cinéma, au théâtre. De voyager à nouveau…
Plus que jamais, je me suis rendu compte de l’importance d’être là pour ma famille, mes enfants et les gens que j’aime.

Alors, lorsque j’ai appris que nous devions rester confinés pendant des semaines, c’est comme si on me plantait un coup d’épée en plein dans ma blessure.
Revivre ça.
Revivre la solitude.
Revivre la déprime…
Sauf que cette fois, je ne peux plus compter sur le sourire de mes Petits-Enfants pour réchauffer mes journées. Je ne peux plus inviter mes enfants à déjeuner. Je ne peux plus aller au cinéma pour me changer les idées.
Cette fois, je suis définitivement seul et enfermé.
Et je ne me suis jamais senti aussi délaissé…

Alors, à nouveau, je vais prendre mon mal en patience et surtout prendre ce moment de solitude comme une leçon de la vie !
Désormais, je vais réfléchir à comment je peux m’améliorer. À comment je vais changer mes mauvaises habitudes en sortant du confinement… Et surtout, je vais encore plus profiter de faire plaisir à mes proches, car il n’y a rien de plus important dans la vie que les gens qu’on aime !

Je pense que nous devrions tous en faire de même…

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Adaptation.
On a passé pratiquement 1 mois à vous observer. Enfin…surtout à vous écouter 🎙️et à vous lire 📚.
Et on a eu envie de vous raconter comment les Grands-Parents d’aujourd’hui s’adaptent (ou plutôt « essaient »).

Marseille, 8 rue Paradis. 3ème étage.  
Le Grand-Père hyper actif a fini par remonter une société de conseils gratuits pour start-ups en déroute. A évidemment lu « La 25ème heure » pour gagner du temps sur le temps. Il regarde toutes les fables de Fabrice Luchini ici, par solidarité envers ses Petits-Enfants.
Sa femme a relu le premier livre de Delphine de Vigan pour être sûre que c’était bien un chef-d’oeuvre, et s’est mise à écrire des contes pour ses Petits-Enfants.

Saint-Briac, plage de la Garde. Vaste maison.
La maison a été divisée le 19 mars au matin.
Au rez-de-chaussée, les Grands-Parents qui, en plus de faire la cuisine pour toute la famille, distribuent les lettres solidaires dans les Ehpad.
Au-dessus, les parents et Petits-Enfants remercient par la fenêtre. Personne ne s’embrasse, mais on est rassuré d’être ensemble. Chaque soir, tout le monde applaudit à 20h. Ils ont créé une cagnotte solidaire pour aider les restaurants du village.

Combloux, 121 route de la Mairie. 1er étage.
Ont pris chacun 4 kilos en trois semaines.
La Grand-Mère ayant décidé de suivre le compte Instagram de Cyril Lignac, elle refait toutes les recettes à la perfection.
Ses Petits-Enfants sont plus grands, alors elle partage ses astuces cuisine chaque matin dans un groupe Whatsapp qu’elle a appelé  » Je suis Lignac ».

Paris, 25 rue des Dames. 5 étage
S’occupe de sa Petite-Fille pour soulager les parents soignants.
En veut terriblement à la Reine des Neiges d’avoir sorti le 2 et espère avoir le temps de finir d’enregistrer via son dictaphone mobile, les poèmes qu’elle s’est mise à écrire.
A découvert des Quiz de Culture G. et ça lui a changé la vie.

Ces Grands-Parents vous rappellent vos amis ?
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Le 25 décembre 2019, voilà une date que je ne suis pas prête d’oublier. S’il s’agit d’une journée heureuse pour la plupart d’entre vous, pour moi, c’était plutôt l’inverse, et c’est le moins que l’on puisse dire. C’est en réalité la dernière fois que j’ai pu serrer dans mes bras mes Petits-Enfants.

La faute à qui ? Mon gendre ! Il faut dire qu’entre nous deux, les relations n’ont jamais été bonnes. Mais jusqu’ici, nous avions toujours réussi à prendre sur nous pour éviter que la situation ne dérape encore davantage. Cette journée du 25 décembre était pourtant l’occasion de réunir toute la famille, autour d’un déjeuner de fête.
Mais mon gendre en a décidé autrement et après quelques réflexions dont lui seul en a le secret, la conversation a tourné au vinaigre. A peine eut-il avalé son café, qu’ils quittèrent la maison sans un mot, emmenant avec lui mes Petits-Enfants.

Près d’un an plus tard, je n’ai toujours aucune nouvelle. Pas un mot, pas un message, rien !
Plus le temps passe, et plus je sais combien il sera difficile de renouer des liens. Pourtant, j’ai bien un espoir au fond de moi. Que cette deuxième période de confinement puisse le faire réfléchir. Qu’il puisse comprendre que de me priver de mes Petits-Enfants est profondément injuste.

Devrais-je en parler à ma fille ? J’ai bien essayé. Mais, elle me rassure à chaque fois en m’expliquant que la situation finira bien par s’arranger. En attendant, je m’inquiète. J’ai peur de finir mes vieux jours seule, loin de mes Petits-Enfants avec qui j’ai partagé tant de bonheur et de souvenirs précieux.

Pour me rassurer, je me dis qu’un jour, quand mes Petits-Enfants auront grandi, j’aurai peut-être la chance de les revoir et de leur expliquer ce qu’il s’est passé. En attendant, je croise les doigts pour que ce confinement et l’approche des fêtes de Noël agissent comme un déclic chez mon gendre et qu’une fois la situation revenue à la normale, nous pourrons vivre tous ensemble comme n’importe laquelle des familles heureuses.

J’ai la chance d’être Grand-Mère d’une adorable Petite-Fille dont je suis très proche.
Nous habitons à quelques kilomètres l’une de l’autre. C’est ma fille unique qui m’a donné cet incroyable bonheur il y a quatre ans déjà. Et si tout allait bien, je suis aujourd’hui extrêmement inquiète.

Nous sommes le 17 mars et comme beaucoup d’entre vous, je patiente fébrilement devant mon poste de télévision, attendant l’allocution du Président. Quelques minutes plus tard, la sanction tombe ; la France est confinée.

Mes premières pensées ont été pour ma fille à qui j’ai immédiatement téléphoné afin de m’assurer qu’elle ne prenne aucun risque.

Et pourtant, quelques jours plus tard, alors que je suis comme beaucoup sagement confinée à la maison, je ne peux m’empêcher de m’inquiéter pour elles. Il faut dire qu’elles n’ont pas la chance d’avoir un espace vert et que confinement semble pour elles rimer avec balades en plein air.

Je devrai lui en parler, lui faire prendre conscience qu’elle doit coûte que coûte respecter les règles, mais j’ai peur qu’elle ne me comprenne pas. Qu’elle me trouve vieux jeu, elle qui est une très jeune maman.

Alors, j’essaye de leur téléphoner tous les jours afin de m’assurer qu’elles sortent le moins possible.
Comment pourrais-je leur faire comprendre que ce virus ne touche pas seulement les personnes âgées, ou fébriles ? Sans pour autant leur faire peur.

Il faut dire que ma fille est divorcée et qu’elle élève seule ma Petite-Fille. En attendant, j’espère sincèrement qu’elles prendront soin d’elles et je compte les jours avant de pouvoir enfin les revoir.

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Ceci est une ode aux parents d’aujourd’hui.

Dans chaque événement majeur, il y a l’espérance d’une transformation.
Un palier franchi, qui nous permettrait de devenir autre!
Imaginez le palier que les parents d’aujourd’hui sont en train de franchir..

Devenus jongleurs professionnels, les parents doivent, sans vaciller :
– être de bons parents, intelligents, présents, solides
– être de bons maris et femmes, solidaires et aimants
– être de bons instituteurs, sévères mais évidemment empathiques
– être de bons enfants, rassurants et présents pour les Grands-Parents, qui en ont bien besoin.
– être des employés motivés et de confiance.

Alors, pour aider tous les parents dans cette 4ème semaine de confinement, on vous souffle 4 idées géniales:
1/ Une pièce de théâtre à la Comédie Française ici :
2/ Un cours de sport collectif par là
3/ Un yoga pour les enfants par ici
4/ Et 5 soirées à thème pour la semaine par là !

Et n’oubliez pas, les parents sont des héros!

Faites découvrir Grand-Mercredi et ses idées vie de famille à tous les parents par email en cliquant ici ou par Whatsapp en cliquant là

LUNDI, c’est Soirée « PTT »

Ou l’art du « Plateau-Télé Thématique ».
Soigner son plateau-télé, c’est évidemment accorder ce dont on va dîner à ce que l’on va regarder.

Le Bureau des Légendes —– > Une recette de pâtes secrète
Le Dernier Samouraï —- > Un dîner chinois.
Le Grand Restaurant —> Un rôti de veau et sa fricassée de champignons
Les Sous-doués passent le bac —> Un sandwich jambon-beurre.

MARDI, c’est l’Italie

« Ciao bella », ou l’art de se lâcher.
On couche les enfants plus tôt, on met Paolo Conte volume 54, on se sert un rosé glacé ou un verre de Chianti, et on apprend à faire une pizza maison.

MERCREDI, c’est free

Les papas peuvent appeler leurs copains, jouer aux cartes en ligne, ou écrire des poèmes.
Les mamans sont dans un bain moussant, avec un masque ou un gommage, et papotent avec leurs copines.

JEUDI, c’est Soirée Culte

On fait découvrir à ses enfants
Un film culte, une chanson culte et une recette culte.

VENDREDI, c’est Soirée Blanche

On fête le week-end avec une vraie Soirée Blanche.
Nappe blanche,
dress code : blanc
playlist : chaque membre de la famille choisit un titre
dessin animé des enfants : Blanche Neige
BONUS : invitez des potes ou les Grands-Parents

 

D’ordinaire, beaucoup de Petits-Enfants voient leurs Grands-Parents chaque semaine. Les aïeux viennent les chercher à l’école, les gardent, les câlinent, soignent leurs maux et leur préparent de bons petits plats… Des moments de partage complètement remis en cause par l’actuelle période de confinement ! Et une chose est indéniable : le manque des Petits-Enfants est particulièrement présent en ce moment.

Voici pourquoi…

1 – Il y a trop d’objets chez vous qui nous rappellent leur absence.

Les nombreuses photos encadrées, le beau dessin de votre Petite-Fille accroché sur le frigo, le collier de pâtes qui est délaissé sur un coin de la table de nuit, leurs compotes préférées abandonnées au premier étage du frigidaire… tant de choses qui vous font penser à eux tout au long de la journée !

2 – D’habitude, lorsque vous vous sentez seul(e) ou triste, vos Petits-Enfants sont ceux qui vous redonnent le sourire.

Vous vous situez dans un cercle vicieux !

Vous êtes triste et vous sentez seul(e) loin de tous… Et malheureusement, la seule chose qui d’habitude vous apporte de la chaleur, est justement celle qui vous est interdite.

3 – Vous savez que leurs parents ont besoin de vous pour les garder, et vous ne pouvez les aider.

D’ordinaire, vous êtes leur roue de secours.

Vous êtes, ceux, sur qui ils peuvent toujours compter.

Et si plus que n’importe quand, ils ont besoin de vous pour que vous vous occupiez de leurs enfants, cette fois, vous ne pouvez venir à la rescousse de la famille !

4 – Moins de choses pour occuper vos pensées, résultat : vous pensez plus à eux.

De manière générale vous pensez beaucoup à eux. Mais quotidiennement, vous êtes sollicité par toutes sortes d’événements, d’activités… Vous rendez visite à votre ami(e), vous avez une exposition d’art, vous allez au cinéma, etc. Cette fois, vos journées sont moins remplies et toutes vos pensées vont vers vos Petits-Enfants.

5 – La situation invite à penser à leur avenir

On s’inquiète toujours de savoir, comment nos Petits-Enfants vont grandir… Quelle planète va-t-on leur laisser. Cette fois, en situation de crise sanitaire mondiale, les questions existentielles viennent par gigantesques vagues… Et une chose est certaine : la majorité d’entre elles tourne autour de vos enfants et Petits-Enfants.

6 – Vous n’avez plus d’excuses pour regarder un bon Disney.

On ne va pas se mentir : Blanche-Neige, les Aristochats ou le Livre de la Jungle… sont des chefs-d’oeuvres ! Nous les aimons, et ce, à tout âge. Alors, à l’arrivée des Petits-Enfants, on s’octroie enfin le droit de re-visionner nos dessins animés sans se sentir ridicule.

7 – Vous n’avez plus votre anti-rides naturel

Nous vous l’avons déjà bien assez répété : les Petits-Enfants sont le plus efficace des anti-rides. En effet, à travers leurs comportements de clown, il vous font passer par toutes sortes d’expressions, qui représentent une excellente gymnastique faciale. Votre jeunesse et votre épiderme sont ainsi préservés ! Ainsi, le manque des Petits-Enfants s’observe même sur votre visage !

8 – En les voyant sur Skype ou en les ayant au bout du fil, cela vous rappelle que vous n’avez pas la chaleur de leurs bisous.

Bien entendu, vous gardez le lien grâce aux nombreuses ressources technologiques qui nous sont, plus que jamais, d’une grande aide. Malheureusement, les entendre vous rappelle combien vous êtes triste de ne pas pouvoir les serrer dans les bras…

9 – Les beaux jours arrivent, et c’est justement la période durant laquelle vous les emmenez au parc habituellement.

Le début du printemps, les journées se rallongent, le ciel s’éclaircit et vous n’avez qu’une envie : les voir courir dans votre jardin ou les emmener en promenade !

10 – Vous n’avez plus autant d’affection.

Seul(e) ou en couple, l’affection des Petits-Enfants fait le plus grand bien, et est, ce qu’il y a de plus pure… Nos joues sont désertées et ÇA c’est particulièrement dur à vivre.

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