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Les e-books, ces nouveaux livres qui sauvent les parents & Grands-Parents

Il est indéniable qu’en ce moment, il est particulièrement compliqué pour vos enfants d’endosser leur rôle de parent et de tout gérer en même temps ! Travail à distance, divertissement, cuisine, tant d’obligations qui n’en finissent pas…

Alors, pour répondre aux besoins d’occupation de vos Petits-Enfants et parce que les petits adorent qu’on leur raconte de belles histoires… Voici notre sélection de livres audio que vous pouvez partager avec vos enfants !

1/ Les aventures de la famille Motordu

Raconté avec poésie et gaité, les aventures de cette famille se regroupent autour de cinq histoires mêlant absurdité, humour et bienveillance.

Pourquoi ? Pour apporter un sourire sur le visage des enfants et leur permettre de s’évader.

2/ Pierre et le Loup

L’incontournable de toutes les générations. Une histoire exceptionnelle qui mêle la talentueuse musique de Prokofiev à des personnages surprenants. Pierre et le Loup c’est une oeuvre pédagogique qui s’incorpore à un conte musical.

Pourquoi ? Pour apprendre aux enfants à connaître et reconnaître les instruments de musique de l’orchestre. Pour cela, ils doivent être actifs dans leur écoute en associant les instruments aux personnages et animaux.

3/ Piccolo, saxo & compagnie

Un peu dans le même esprit que Pierre et le Loup, cette histoire retrace l’Histoire des instruments de musique. Le récit raconte comment les différentes familles se sont rencontrées jusqu’à devenir un orchestre. Chaque instrument est ainsi incarné par un personnage.

Pourquoi ? Parce que le merveilleux thème musical mettra du baume au coeur à toute la famille, et parce que même les parents apprennent des choses dans cette histoire (si vous voulez savoir quoi, vous savez ce qu’il vous reste à faire : écouter cette histoire en simultané avec vos Petits-Enfants).

4/ Le Petit Prince

Le Petit Prince est un récit qui a séduit toutes les générations du monde entier. Une fabuleuse histoire intemporelle qui prend vie sous le signe de la poésie et du rêve.

Pourquoi ? Est-il vraiment nécessaire de demander pourquoi présenter ce grand classique aux enfants ?

5/ Les malheurs de Sophie

Voici un incontournable de la littérature jeunesse, auquel la belle Sophie Marceau prête sa voix avec subtilité. L’adaptation de Jean-Pierre Kerloc’h et les incroyables illustrations de Christophe Besse mettent en scène un joli château, un grand jardin, des animaux, des domestiques et la maladroite petite Sophie, dont l’espièglerie n’a pas de limites.

Pourquoi ? Parce que cette histoire montre la bêtise sous un nouveau jour et parce qu’avec Mademoiselle Sophie, les enfants ne s’ennuient jamais !

6/ Les aventures de Tom Sawyer

Un récit intemporel qui ne cesse de charmer et fasciner les petits une heure durant. Cette histoire met en action les inséparables Tom et son ami Huck qui mène une vie de bohème et dont les expéditions sont insatiables. Jusqu’au jour où une découverte va changer à jamais leur vie…

Pourquoi ? Parce que ce livre d’aventures tiendra en haleine vos Petits-Enfants.

7/ Harry Potter

La mythique histoire de sorcellerie qui, à chaque seconde, nous fait voyager. Poudlard, le lieu de toutes les découvertes et qui rendra le destin d’Harry Potter, jeune orphelin, transformé à jamais.

Pourquoi ? Parce qu’il existe un grand nombre de tomes qui, chacun, plongera les enfants dans une excitation et un plaisir certain.

8/ Les trois mousquetaires

Le grand retour d’Athos, Porthos, et Aramis qui initient le jeune d’Artagnan à la vie de mousquetaire sous le règne du roi Louis XIII. Ce grand roman d’aventures est une excellente adaptation, magnifiée par la lecture du talentueux Guillaume Gallienne.

Pourquoi ? Pour le ton à la fois tendre et moqueur de Dumas, pour les péripéties hautes en couleur, et parce que ce texte est un classique incontournable du renouveau romantique !

Ces histoires sont à écouter et ré-écouter, sans aucune modération ! En plus, sachez que les livres audio sont une excellente activité pour stimuler l’imagination (et ce, à tout âge). Ainsi, les jeunes s’amusent plus facilement à imaginer le visage qui se cache derrière les voix des personnages, mais aussi des narrateurs. Et comme chaque enfant à des centres d’intérêt qui leur sont propres, sachez qu’il existe une sélection de livres audio variée qui adapte ses contenus à chacun de vos petits protégés, et pour tous les âges…

D’ailleurs avez-vous, vous aussi, des e-books qui vous plaisent ? Si oui, partagez-les nous… L’objectif est de réunir le plus grand nombre de vos témoignages afin d’en faire des suggestions à d’autres Grands-Parents !

NB : Sachez que si vous le souhaitez, sur Amazon, vous pouvez directement faire livrer des livres-audio chez vos Petits-Enfants…

Le Covid-19, le confinement, la pandémie… Tant de termes qui ont changé nos modes de vie du jour au lendemain. Et si cette période n’est pas vécue de la même manière pour tout le monde, quoi qu’il arrive, nous avons tous plus ou moins entendu les mêmes phrases se répéter. Voici le top 10 des phrases devenues cultes chez TOUS les Grands-Parents ! !

  • “Le coronavirus, c’est comme la grippe”

Fièvre, fatigue, courbature, toux… Les symptômes du nouveau virus semblaient bien similaires à ceux de la grippe. Pourtant, aujourd’hui c’est sûr : NON le Coronavirus n’est pas aussi bénin que la grippe ! Tout d’abord, il semble plus mortel, mais surtout, il a des formes graves qui touchent des catégories de patients plus larges, sans compter qu’il n’existe, jusque-là, pas de vaccin.

  • “Bonne nouvelle : tu retournes dans ta quarantaine !”

Une blague qui circule encore et toujours chez les personnes nées avant 1980. Elle a beau être connue, personne ne se lasse de la ressortir !

  • “Ça y est, c’est l’heure de l’apéro !”

En cette période où personne ne sait réellement quel jour ou quelle heure il est, tout moment est une excuse pour prendre l’apéro. La grande mode du moment, c’est d’ailleurs de faire des apéros en simultané visioconférences.

  • “Aujourd’hui j’ai confiné, et toi ?”

Ça y est… l’adjectif confiné est devenu un verbe ! En ce moment, on ne se lasse pas de le conjuguer à toutes les sauces… Je confine, tu confines, il confine, nous confinons ! Une rumeur dit que le Larousse envisagerait même, le fait de l’intégrer au dictionnaire de 2021.

  • “Mon mari est un expert du confinement, on dirait qu’il a fait ça toute sa vie”

Nombreuses sont les femmes qui s’amusent de voir leur mari aussi à l’aise avec le fait de rester enfermé. Certaines racontent, qu’ils seraient “comme des poissons dans l’eau”, loin des contraintes, loin des courses et loin des sorties pour faire plaisir à leur femme…

  • “Je ne suis pas dispo, j’ai un cours de gym”

Alors qu’on est censé ne jamais être aussi libre de pouvoir rendre un service, répondre au téléphone… Nombreux sont ceux qui trouvent de nouvelles excuses : la séance de sport est la plus commune.

  • “T’as un nouveau film à me conseiller ?”

Tout le monde le sait, en ce moment c’est la période où on multiplie le visionnage de films. Parfois, notre rythme est tel que nous sommes en manque d’inspiration…Pour remédier à cela, nous avons d’ailleurs créé une liste des films cultes à avoir vu au moins une fois.

  • “Tu cuisines pas toi ?”

Une des choses positives de ce confinement : la cuisine. Enfin, les gens prennent le temps de se remettre au fourneau et valorisent la cuisine de produits frais. Pour certains, cela représente même un exutoire.

  • “J’ai rangé toute la maison”

“Nettoyer, balayer, astiquer… La maison est toujours propre” à croire que l’on s’entraîne tous à tourner le nouveau clip de La Maldon… Parce qu’en ce moment “confinement” rime avec “rangement” !

  • “Sur l’attestation, j’ai voulu cocher la case “m’éloigner de mon mari” mais je n’ai pas trouvé”

Ça c’est LA blague la plus en vogue du moment. Le confinement a généré des situations nouvelles pour une grande partie des couples avec une promiscuité jamais vue !

-Appel à tous, n’hésitez pas à nous CONFI(N)ER vos histoires de confinement –

Vos enfants vous ont conseillé de vous allonger devant un bon film, mais vous ne savez pas quoi regarder ? :clap_de_tournage::filmer:

Découvrez notre sélection des 40 films cultes, que tous les Grands-Parents doivent avoir vu au moins une fois dans leur vie.

1- La Grande Vadrouille, de Gérard Oury

2- Le Dîner de cons, de Francis VEBER

3- Forrest Gump, de Robert ZEMECHIS

4- E.T L’extraterrestre, de Steven SPIELBERG

5- Le Bon, la Brute et le Truand, de Sergio LEONE

6- Titanic, James CAMERON

7- Love Actually, de Richard CURTIS

8- La ligne verte, de Franck DARABONT

9- Un jour sans fin, de Harrold RAMIS

10- La cité des enfants perdus, de Marc CARO

11- Le Parrain, de Francis FORD COPPOLA

12- Green Book, de Peter FARRELLY

13- La soupe aux choux, de Jean GIRAULT

14- Pretty woman, de Garry MARSHALL

15- La Chèvre, de Francis VEBER

16- Big Fish, de Tim BURTON

17- Gran Torino, de Clint EASTWOOD

18- Pulp Fiction, de Quentin Tarentino

19 – Les Bronzés, de Patrice LECONTE

20 – La boum, de Claude PINOTEAU

21 – La Mélodie du Bonheur, de Robert WISE

22- Tout sur ma mère, de Pedro ALMODOVAR

23- Vol au-dessus d’un nid de coucou, de Milo FORMAN

24- Eternal Sunshine of the Spotless Mind, de Michel GONDRY

25- Un thé au Sahara, Bernardo Bertolucci

26- Les Fugitifs, de Francis VEBER

27- Requiem for a Dream, de Darren ARONOFSKY

28- Le Grand Blond avec une chaussure noire, de Yves ROBERT

29- Psychose, d’Alfred HITCHCOCK

30- Le Lauréat, de Mike NICHOLS

31- Taxi Driver, de Martin SCORSESE

32- Retour vers le futur, de Robert ZEMECHIS

33- Rain man, de Barry LEVINSON

34- Le Grand Bleu, de Luc Besson

35- Les Visiteurs, de Jean-Marie POIRÉ

36- Le Père Noël est une ordure, de Jean-Marie POIRÉ

37- Les Demoiselles de Rochefort, de Jacques DEMY

38- Il était une fois en Amérique, de Sergio LEONE

39- Les Parapluies de Cherbourg, de Jacques DEMY

40- Les Valseuses, de Bertrand BLIER

Maintenant, faites-vous un programme et réalisez un livre d’or des films que vous préférez… Parce que le cinéma, c’est aussi un moyen de voyager dans un environnement, dans une époque, dans une saison (etc.) différente de la nôtre, sans même sortir de chez soi ! :popcorn:

La période de confinement dans laquelle nous sommes est un excellent moyen de voir que rien ne pourra faire obstacle à l’amour des Grands-Parents et de leurs Petits-Enfants. Voici ce que nous prouve ces adorables lettres qui ont fait pleurer plus d’un Grand-Parent…

“Chère Bonne-Maman,

Tu es loin et ça me rend triste…

Mais je continue à penser à toi et tes bisous doux,

J’ai hâte de voir tes crêpes sauter.

Des baisers.” Blanche, 8 ans

 

“Mamina et Papicha,

toujours là même si je vous vois pas,

les sourires de mamie,

les bêtises de papa,

hâte de venir vous faire des bisous.

À bientôt !” Lilly, 7 ans.

 

“Mes chers Grands-Parent,

Je vous écris cette lettre pour vous dire que je ne vous oublie pas.

Bien au contraire, je pense très souvent à vous.

Au moment où je vais pouvoir vous retrouver et manger les délicieuses frites de mamie.

J’espère sincèrement que vous prenez soin de vous.

Que vous passez le temps de manière agréable…

J’ai récemment lu Oscar et la Dame en Rose d’Éric-Emmanuel Schmitt,

le connais-tu mamie ? Je suis sûr que l’histoire te toucherai.

En attendant de vous retrouver, n’oubliez pas que je pense à vous… » Victor, 14 ans.

 

“Bonjour mon petit bon-pap et ma petite bonne ma,

Sachez qu’à la maison tout va bien et qu’on pense bien fort à vous.

Avec Camille et Flore, on se dispute pas trop pour éviter de fatiguer papa et maman. Si vous étiez là, vous seriez fiers de nous.

En tout cas, on a hâte que vous puissiez sortir de votre maison et de vous voir !

À très vite.” Paul, 12 ans.

 

“Câlins et bisous pour le plus gentil des papis,

Bisous papillon.” Charlotte, 6 ans.

 

Et vous, ces lettres vous ont-elles touchées ? En avez-vous également reçu ? N’hésitez pas à nous en partager !

Si on pensait que, depuis les strictes mesures de confinement (mises en oeuvre la semaine dernière), tous les Grands-Parents étaient séparés de leurs Petits-Enfants… Certains Grands-Parents n’ont pas eu d’autres choix que de venir en aide à leurs enfants et ils racontent !

Patrice, 71 ans “Mon fils et ma belle-fille sont tous les deux médecins. Vous imaginez combien, plus que n’importe quand, ils sont essentiels aux hôpitaux en ce moment. Et malheureusement, il est impossible pour eux de se dédoubler. Ils ne peuvent à la fois sauver des vies et garder leurs enfants… Alors ma femme et moi-même, avons été réquisitionnés aux prémices de l’arrivée du virus. Ainsi, nous avons accueilli nos Petits-Enfants dans notre maison en banlieue parisienne.

Je ne vais pas vous mentir nous sommes privilégiés, car nous avons un beau et grand jardin dans lequel les petits ne cessent de gambader. Il nous permet de nous sentir plus libres, à nous aussi. Mais qu’on soit clair, jardin ou pas, nous n’aurions pas réellement eu le choix de faire autrement… Si nous habitions dans un petit appartement de métropole nous n’aurions pas dérogé à la règle. D’ailleurs, je suis certain que beaucoup de cas de figures sont similaires au nôtre, et que tous les Grands-Parents ne sont pas isolés de leurs Petits-Enfants comme on le dit partout…”

Hélène, 54 ans “Je suis Grand-Mère depuis 1 an et demi maintenant. Ma fille et son compagnon se sont lancés dans la création d’une entreprise dédiée à la livraison de nourriture locale. Du coup, en cette période de crise sanitaire, où tous les restaurants sont fermés, il est essentiel pour eux et la survie de leur société qu’ils continuent à travailler ! Au début, et comme tout le monde, ils faisaient du télétravail. Mais depuis que les effectifs ont diminué, ils ont dû supprimer presque la totalité des livreurs. Pour cette raison, ils ont dû prendre les choses en main et remplacer, eux-mêmes, les maillons manquants de la chaîne.

Un jour, ils m’ont appelé au secours, car ils ne savaient plus comment faire pour sauver leur business tout en gardant la petite… Mais vous savez, au-delà de perdre tout ce qu’ils ont créé depuis plusieurs années, leur inquiétude repose principalement sur le fait de prendre le risque de ne pas pouvoir subvenir financièrement aux besoins de leur adorable fille. Alors, risque ou pas, j’ai pris mes affaires et décidé d’emménager chez eux jusqu’à nouvel ordre. De cette façon, je garde la petite toute la journée, et le soir nous profitons ensemble, et lorsqu’ils le peuvent, d’un repas en famille.”

Pierrick, 68 ans “Ma fille est une jeune maman célibataire d’un fils de 3 ans. Étant infirmière au CHU de Lyon, et comme tout membre du bras médical, elle a été réquisitionnée à plein temps pour répondre aux importants besoins en personnel. Au bout de 2 jours intenses de travail, et deux jours chez la voisine pour mon Petit-Fils, ma femme et moi avons pensé qu’il était impossible que nous les laissions dans une telle situation…

Alors, nous sommes immédiatement aller leur porter secours. Désormais, et comme beaucoup, nous prenons des risques pour venir en aide de la manière dont nous le pouvons. Et sachez, qu’en aucun cas, nous ne regrettons ce choix. Chaque jour, nous nous régalons de voir notre petit Adam faire des cabrioles. Et nous ne nous lassons jamais de ses doux câlins… Sans oublier que, plus que n’importe quand, nous sommes particulièrement fiers de notre fille et du travail qu’elle accomplit chaque jour.

…En espérant que les gens restent réellement confinés chez eux les prochaines semaines, et que la situation s’améliore au plus vite ! ”

De nombreux Grands-Parents seront privés de la joie de la visite à la maternité pour découvrir leur Petit-Enfant, et devront même, pour beaucoup, attendre de longues semaines avant de découvrir leur Petit-Enfant. Ils racontent.

Sophie, 72 ans : “Ma fille attend son premier enfant et devrait accoucher d’ici peu. Ce n’est pas mon premier Petit-Enfant, mais c’est tout de même une étape pour elle, et j’aurais adoré pouvoir rencontrer mon Petit-Fils à la maternité, dès son premier jour. Je suis vraiment dévastée de savoir que je ne vais pas pouvoir le serrer dans mes bras avant des semaines…

Yves et Claire, 55 et 54 ans : “Notre fils vient d’avoir son premier enfant, une petite fille, Charlotte ! C’est notre premier Petit-Enfant, et nous avions tout préparé pour elle. Nous sommes évidemment extrêmement déçus de ne pas pouvoir la voir, ni aider notre fils et notre belle-fille, mais nous sommes déjà très soulagés que la petite soit en pleine forme, ainsi que sa mère, car sa grossesse n’a pas été facile. Nous prenons notre mal en patience, et en attendant, nous passons notre temps sur Skype avec nos trois amours. »

Bruno et Valérie, 67 et 63 ans : “Notre dixième Petit-Enfant est né il y a une semaine … Et nous n’avons pas encore pu lui souhaiter la bienvenue ! Vivement la fin de ce confinement, on n’en peut plus ! Heureusement que l’on peut le voir en photo, mais sans rire, on trépigne d’impatience. Plus les jours passent et plus le temps est long.

Inès, à 33 ans, vient d’avoir son premier bébé : “Accoucher seule, sans mon mari, c’était déjà très compliqué moralement. Maintenant que nous sommes tous les trois, évidemment que nous sommes ravis, mais mon mari comme moi, nous n’avons qu’une hâte : présenter notre magnifique bébé au monde entier. Et moi, j’ai surtout très envie de le présenter à ses Grands-Parents, qui viennent de le devenir. En attendant, je bombarde mon fils de photos et les envoie à toute la famille, qui en redemande.”

Et vous, quelle situation familiale exceptionnelle vivez-vous pendant le confinement ? Racontez-nous !

Confiné mais utile.L’autre jour, en relisant cette phrase :  » Il n’y a rien de plus motivant que de se sentir utile », on a pensé à la meilleure façon d’être utile en ce moment.
Utile pour les autres, utile pour vos enfants & vos Petits-Enfants.
Une autre façon de se lever (de son canapé) en ayant un cap.

Alors, on a listé 3 choses qui pourraient vraiment être utiles …..

1. Devenir les mentors de vos enfants.
Fouillez dans vos carnets d’adresses (1er, 2ème ou 3ème cercle). Il y a forcément quelqu’un capable de résoudre le problème professionnel auquel vos enfants sont confrontés. Un enjeu de communication, de comptabilité d’urgence, de fermeture d’usine ou encore d’empaquetage de colis à distance depuis la Pologne.
Téléphonez et mettez-les en relation.

Soufflez cette idée à un Grand-Parent bienveillant auprès de ses enfants ICI !

2. Être les professeurs de vos Petits-Enfants
Soufflez-leur le tuyau de l’école dispensée à la télévision ici !
ou proposez vos services en tant que professeur chaque matin à distance.
Qui, mieux que vous, maîtrise la géographie de l’Asie ?

Partagez cette idée à un Grand-Parent qui rêve de jouer au professeur ICI !

3. Devenir le meilleur voisin
Téléphoner ou glisser un mot sous la porte, c’est déjà se soucier de celui qui partage votre palier ou votre rue.
Mais si, en plus, vous lui déposez une part de tarte au chocolat avec un post-it « bonjour chez vous » à l’heure du goûter, vous pourriez bien vous faire quelques amis …

Glissez cette idée à un ami qui sera bientôt le roi du quartier ICI

« Nous avons longuement hésité entre tragédie ou ironie du sort », confie Sophie Gaillet, fondatrice de Grand-Mercredi.

Depuis quatre ans Grand-Mercredi clame haut et fort à tous les grands-parents ô combien leur rôle est sacré pour nos jeunes enfants, pour les valeurs de transmission, pour les économies des parents.

Quatre années que Grand-Mercredi vante leur dévouement, leur disponibilité, leur présence incontournable et les définit auprès de tous comme les piliers de l’entraide familiale.

En l’espace de quelques jours, notre discours à leur attention a étrangement évolué : « Restez chez vous et surtout ne vous approchez pas de vos petits-enfants! ».

 

Puis, le 16 mars au matin, toujours sonnée mais définitivement mobilisée, comme portée par une énergie nouvelle, Sophie Gaillet s’est levée et a sonné la révolte.

« Dans un contexte aussi anxiogène, et alors que chacun doit faire face à des contraintes organisationnelles, nous ne pouvions pas demander à nos équipes de gérer de la décroissance », explique cette jeune entrepreneuse.

« Au contraire : impliquons-les et mobilisons-les dans un projet nouveau, qui donne du sens », ajoute-t-elle.

C’est forte de ces convictions profondes, et avec une parfaite cohérence entre ses ambitions et celles de son équipe, que la direction de Grand-Mercredi a présenté le 18 mars une feuille de route innovante et engageante afin de continuer à avancer et de faire ce qu’elle sait faire de mieux : parler aux millions de Grands-Parents qui l’écoutent et essayer de répondre du mieux qu’elle peut à leurs attentes.

« Certes, nous devons rester chez nous. Mais nous ne pouvons pas rester sans rien faire ».

Accompagner tous les Grands-Parents, se tenir à leurs côtés et rester à leur écoute pendant le confinement : telle est la mission de Grand-Mercredi.

Les “jeunes” Grands-Parents qui s’occupent de leurs Petits-Enfants (+20%)
Les Grands-Parents confinés chez eux, loin de leurs Petits-Enfants, qu’il faut occuper, divertir et rassurer.
Les Grands-Parents fragiles, isolés, parfois même en détresse, auxquels il convient de venir en aide et d’apporter notre soutien le plus total.

Chez Grand-Mercredi, les paroles étant en règle générale suivies par des actes (on essaie!), nous avons créé une nouvelle société : Grand-Mercredi à la Maison.

En l’espace d’une semaine, nous venons de :

  • Lancer un nouveau site internet pour animer la vie de famille à distance.
  • Imaginer de courts programmes de formation au dessin, au numérique, au code de la route, etc… rien que pour les Grands-Parents.
  • Créer une libre antenne de témoignages de tous les Grands-Parents partout en France.

  • Organiser une dictée-confinée géante à laquelle un nombre incalculable de Grands-Parents a participé. Nous avons déjà reçu plus de 52 000 copies. Petite pensée pour les correcteurs…
  • Livrer dans plus de 340 établissements des lettres “BONJOUR CHEZ VOUS” pour les personnes isolées, qui doivent conserver la notion du temps, un peu de mobilité et surtout être stimulées intellectuellement.
    Et, comme le répètent nos chers hommes politiques à longueur de journée : « Ce n’est que le début! ».

Un nouvel élan est lancé par les 30 salariés de Grand-Mercredi :

  • Un nouveau mantra a vu le jour: « Tous chez soi, tous ensemble, tous utiles ».
  • Un nouveau mécanisme d’entraide entre nos salariés a été mis en place : ceux ayant des enfants se font aider par ceux qui n’en ont pas.
  • Une nouvelle culture d’entreprise a vu le jour : tous ceux ayant des talents cachés, c’est le moment de les révéler. Champion d’échecs, chef cuisinier, polyglotte, conteur d’histoires, mettez-vous à nu et faites profiter tous ceux qui en ont envie de vos talents.

« Pour tout ça : merci, vous êtes des soldats! », conclut-elle.

Pour tout renseignement, contactez
Amandine Monopoli
amandine.monopoli@grand-mercredi.com

Depuis le 17 mars, pour endiguer l’épidémie du Covid-19, les frontières extérieures de l’espace Schengen sont officiellement fermées pendant au minimum 20 jours et les contrôles aux frontières se sont considérablement intensifiés. Mais quand est-il alors de tous ces Petits-Enfants qui étudient ou travail à l’étranger ? Éléments de réponse.

Pauline, 23 ans : “Au début, j’ai appris par des amies qu’il y avait un premier cas de coronavirus en Italie. Certaines villes se sont mises en quarantaine et dans la foulée, nous avons appris sur le site de l’école qu’elle allait fermer pour précautions sanitaires. L’État conseillait aux gens de ne pas bouger, et sur le coup je n’ai pas paniqué. Je me suis contenté d’informer mes parents et de rassurer mes Grands-Parents… Rapidement, cela a été la panique dans ma résidence universitaire, en particulier chez les Français. Beaucoup ont fait le choix de rentrer chez eux. Moi j’ai pensé que je pouvais rester, jusqu’aux jours qui ont suivi et l’annonce des premiers morts… Là je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose. J’avais trop peur qu’ils ne ferment ma résidence universitaire, et je ne voulais pas me retrouver avec nulle part où aller. Alors j’ai pris un billet et je suis rentrée à Paris. Évidemment, j’ai dû prendre des dispositions de confinement pendant les 14 jours qui ont suivi…”

Quentin, 21 ans, a atterri dans la semaine à Orly. « J’ai appelé mes parents de Mexico et il a fallu faire un choix très vite. Ce qui était sûr, c’est que la situation allait empirer et que la panique commençait à se faire de plus en plus sentir, alors j’ai choisi de rentrer immédiatement au cas où. Et puis dans une telle situation, c’est beaucoup plus agréable et rassurant pour tout le monde d’être chez soi. J’ai beaucoup de chance, car j’ai eu l’un des derniers avions pour Paris. Aujourd’hui, je suis prudent. Je passe le temps en écrivant et en regardant des films, et chaque jour, je prends le temps d’appeler mes Grands-Parents pour m’assurer qu’ils se portent bien.”

Coralie, 23 ans a choisi d’être raisonnable “Actuellement en année sabbatique en Asie, j’avais réservé un billet d’avion pour rentrer en France. Mais après avoir eu une annulation de mon vol, j’ai décidé de rester au Cambodge et d’être sage. Les vols étant souvent couplés d’un grand nombre d’escales, j’ai voulu éviter les risques de contaminer inutilement des gens, et prendre le risque d’être bloquée. Aujourd’hui, je suis jeune et en bonne santé, j’ai assez d’économies pour tenir quelques mois supplémentaires et je ne pense pas être prioritaire sur d’autres, donc je reste en attendant que la situation se calme. Le plus dur c’est pour mes proches : mes parents et mes Grands-Parents sont très inquiets de m’avoir loin d’eux…”

Sophie, 25 ans est toujours dans l’attente. “Depuis que j’ai enfin réussi à rejoindre Édimbourg, où il est supposé avoir des vols, je suis bloquée dans la capitale britannique. Je me suis présentée confiante à l’aéroport, prête à revoir ma famille à Marseille, mais mon vol a été annulé. Celui que j’ai réservé ensuite a, lui aussi, été annulé. Je suis censée en avoir un nouveau demain, mais je ne sais même pas s’il va être maintenu. Ce qui est terrible, c’est que plus le temps passe, plus mes chances de rejoindre ma famille s’éloignent, et ce au même rythme que l’argent de mon porte-monnaie s’envole… Je suis dans un vrai cercle vicieux !”

Une chose est sûre, pour les Grands-Parents qui ont des Petits-Enfants étudiants en Erasmus, des Petites-Filles expatriées ou des Petits-Fils “globe-trotteurs”, le confinement se voit être encore plus angoissant. Si le président a bel et bien annoncé que l’ensemble des rapatriements se feraient sans encombre, les démarches sont bien complexes et diffèrent selon les pays concernés. Vivement les jours meilleurs !

Inédit : un couple de Grands-Parents a vu pour la première fois leur Petit-Fils par la fenêtre…

Une de ces jolies histoires, qui continuent de nous mettre du baume au cœur, même pendant cette longue période de confinement. Retour sur cette rencontre…

Cette semaine, un certain Ollie a pointé le bout de son nez pour la première fois à Dublin. Une naissance peu banale en cette période où chacun doit s’adapter à des mesures de restrictions et de confinement, jamais vues jusque-là. Hannah Levins et Denis Cummins, les parents de ce nouveau-né, ont alors dû s’adapter à ces conditions des plus spéciales, puisqu’à leur plus grande tristesse, ils n’ont pas pu présenter officiellement leur bout de chou à leurs proches. Une situation dans laquelle bien des familles se retrouvent.

Alors, les parents ont trouvé une astuce surprenante pour pouvoir présenter leur bébé à ses Grands-Parents. En effet, la Grand-Mère et le Grand-Père se sont rendus jusqu’au pas de la porte de leur fille et de leur beau-fils… Et ont ainsi eu l’immense joie de découvrir le petit concerné par la fenêtre ! Une première rencontre pas comme les autres c’est certain, mais au moins, ils auront une drôle d’histoire à raconter plus tard au petit Ollie.

Un magnifique moment, qui a été immortalisé par une photographie touchante prise par la maman. Dans une entrevue accordée au journal Metro, elle raconte d’ailleurs : “On pourrait croire qu’il s’agit d’un cliché assez triste, compte tenu des circonstances, mais c’était un instant magique et positif pour nous. Ç’aurait été plus dur de ne pas les voir du tout.”.

J’ai une chance inouïe d’avoir Julie dans ma vie. Elle a 26 ans et c’est mon unique Petite-Fille.
Toutes les deux nous avons toujours été très proches partageant d’innombrables moments de complicité et de tendresse. Des rires et des souvenirs, nous en avons partagé des milliers.

Pourtant aujourd’hui, j’ai peur. Julie est infirmière dans un centre hospitalier. Tous les jours, elle est au contact de personnes souffrantes, tous les jours elle prend des risques, elle affronte la mort, sans jamais penser à elle, pour nous venir en aide.

J’ai peur et je m’en veux. C’est moi jadis qui l’ai encouragée à faire ce merveilleux métier. Je me souviens de ces longues après-midis où je l’aidais à réviser, où je la soutenais dans ses moments de doutes. Je suis fière d’elle, fière de ma Petite-Fille qui affronte quotidiennement ce virus.

Chaque jour, je prie pour que rien ne lui arrive. Chaque matin, je lui téléphone pour prendre de ses nouvelles, je tente à ma façon de la rassurer, je masque mes émotions tant que je peux. Mais au fond de moi, je suis terrifiée. Et à chaque fois que je raccroche, je ne peux m’empêcher d’imaginer le pire.

En attendant, et comme me le répète à longueur de journée mon époux, il faut tenir et rester optimiste. Alors, je me suis lancée un défi ! Organiser nos prochaines vacances. Cela peut paraitre bien dérisoire face à la crise à laquelle nous sommes tous confrontés et pourtant croyez-moi, se projeter dans des moments plus agréables, c’est un formidable moyen de penser à autre chose.

Ces vacances auront peut-être lieu cet été, ou en septembre, ou qui sait à Noël prochain, mais ce qui est certain, c’est que je mettrais tout en œuvre pour faire une incroyable surprise à Julie : l’emmener à New-York, c’est son rêve depuis qu’elle est enfant…

Si vous n’avez pas vu vos Petits-Enfants depuis plus d’un mois, confinement oblige, cela fait des mois, pour ma part, que je suis privée de mes Petites-Filles, Emma et Chloé.

Nous sommes en Septembre dernier, et comme chaque année, j’organise un repas pour réunir toute la famille. Autour de la table, mes gendres et belles filles, mes enfants et bien entendu mes deux Petites-Filles. Le déjeuner se déroule dans une bonne ambiance, et je suis alors bien loin d’imaginer que c’est la dernière fois que tous, nous serons réunis.

Au moment du café, une banale discussion tourne au vinaigre, mon gendre s’emporte, mon époux prend ma défense, et en quelques secondes, mon gendre s’en va. Ma fille et mes Petites-Filles lui emboîtent le pas et passent la porte à leur tour.

Des mois se sont passés sans que nous communiquions. Bien que je ne sois pas fâchée avec ma fille, force est de constater qu’elle n’a pas pris ma défense et n’a rien fait non plus pour arranger les choses.

Mon gendre, drapé dans sa dignité, refuse toujours que je parle à mes Petits-Enfants.

Il y a quelques semaines, et alors que le confinement s’apprêtait à rentrer en vigueur, j’ai bêtement pensé que je pourrais les revoir ou a minima leur parler une dernière fois. J’ai bien tenté de les joindre, mais les dizaines de SMS envoyés sont restés sans réponse.

Si les autorités nous rabâchent à longueur de journée qu’il faut prendre sur soi, aider les autres et faire preuve de solidarité, je reconnais tristement que ces messages ne sont pas parvenus jusqu’aux oreilles de mon gendre.

Ce confinement, c’est aussi l’occasion de réfléchir et dès que je pourrais à nouveau sortir de chez moi, je compte me rendre chez ma fille et avoir une discussion, les yeux dans les yeux, avec mon gendre.

D’ici-là, je compte les jours qui me séparent encore et malgré tout de mes deux Petites-Filles.

Notre professeur, un garçon courageux ayant passé la semaine à vous corriger, félicite toutes celles et ceux qui n’ont fait aucune faute.

Il encourage les autres à rouvrir leur Bescherelle avant que les Petits-Enfants ne soient de retour.

LES GRANDS GAGNANTS

– Soizic Ker

– Alain Zimmermann

– Anna Laporte

– Catherine Vaumousse

– Sarah Eltayeb

– Brigitte Heizmann

– Françoise Roperz

– Joëlle Pitz

– Sophie Rodriguez

– Chantal Drapeau

– Claudine ballin

– Ghyslaine Zimmermann

– Chantal Decoux

– Chantal Prevot

– Frédéric Schulz-Robellaz

– Catherine Buc

– Marie-Christine RIVEL

– Anne-Lise Moutenot, et son fils qui a une écriture remarquable pour son âge !

– Bernadette Cabuil

– Cathy Millet

– Annick Corsani

– Maryvonne Grossmann

– Annick Roussel-Raveneau

– Farina Cédric

– Renée Dumesnil

– Josyane Bangratz-Bloch

– Marc Montarnal

– Myrna Giovanella

– chopin.g@orange.fr (seulement Gérard, pas Anne-Claire)

– Martine Dequenne

– Françoise Saussard

– Veronique Degermann

– Marie-Dominique GUIDET

– Monique Plantier

– Claire Borie

– Françoise Derolez

– Corinne Petit-Thibault

– V. Pauchard

– Catherine Vermue

– Jac Mac

– Chantal Carton

– Martine Hucher

– Ghislaine Cordonnier

– Danielle Carsel

– Marie-Claude Provost

– Francette Mader

 

Les fautes courantes des autres copies :

– vous dîtes > vous dites

– Elle vous demandent, au début > Elles vous demandent (cf. les grandes personnes, un peu plus haut dans le texte)

– Combien a-t’il > combien a-t-il ? ( faute qui me désespère!)

– Elles vous laisseront tranquilles > tranquille (à la fin) enfin !

– Une maison en brique rose > briques roses au pluriel, voyons !

– C’est comme çà > « comme ça » sans accent, donc !

Le texte intégral est à retrouver ici !

Béatrice, habitante du Cours Julien à Marseille, a quitté sa résidence principale la semaine dernière, juste avant l’officialisation du confinement généralisé… Depuis, elle a rejoint son fils dans sa maison de campagne et élève un pigeon voyageur pour amuser son Petit-Fils. Elle raconte.

On déguerpit”. Voici la première réaction de l’artiste marseillaise, le 16 mars dernier. “Je suis partie du 6ème arrondissement de Marseille, sans perdre une minute. Je me suis rapidement doutée que la situation allait se durcir. Alors il m’a paru évident que je devais rejoindre mon fils.” Pour cette raison, Béatrice a pris ses deux chats sous le bras, une boîte de crayons, des bouquins et sa flûte traversière (elle est une grande passionnée de musique), puis elle a mis le cap direction le gîte de campagne familial !

Une journée peu banale, nous raconte-t-elle : “je me rappelle que le climat était assez spécial et particulièrement étouffant ce jour-là. Les gens conduisaient avec grande nervosité à la périphérie de Marseille. Lorsque je me suis arrêté pour grignoter mon petit sandwich, les aires d’autoroutes étaient habitées par la peur. Je me rappellerai longtemps de cette journée !

Dans sa famille, tout le monde a dû s’adapter à la situation… “Mon autre fils est descendu de Paris avec son fils et sa compagne. On a préféré se réunir tous les cinq, plutôt que de rester seul de nos côtés. Ici, on se sent bien on a un grand jardin et chacun peut faire ce qu’il veut faire sans jugement. D’ailleurs, en ce moment on fait un truc un peu fou : on a acheté deux pigeons (vu qu’ils s’achètent par paire), qu’on élève pour être des pigeons voyageurs. Qui sait ? Si le confinement perdure, peut-être pourrons-nous en avoir l’utilité…”, s’amuse-t-elle !

En vérité, Béatrice a vu un reportage sur l’élevage des pigeons peu de temps avant le confinement. Et lorsqu’elle a su qu’on pouvait s’en faire expédier facilement, elle n’a pas hésité. “Cela amusera probablement son Petit-Fils”, a-t-elle pensé. D’autant plus qu’elle ajoute : “aujourd’hui, l’utilisation du pigeon voyageur se perd, alors que dans certains pays comme l’Angleterre cet animal est encore utilisé, pour des résultats de prise de sang, par exemple… Vous savez c’est un animal exceptionnel le pigeon.

Ainsi, dès les premiers jours de confinement, toute la famille s’est attelée à construire une jolie maison en bois avant que les pigeons n’arrivent. Ce pigeonnier est d’autant plus important qu’il est fondamental de les protéger des deux gros matous…

La cabane a donc été construite parfaitement dans les temps, puisque les pigeons ont été livrés le jour même de sa confection. Depuis, Béatrice et sa famille ont présenté leur nouvelle maison aux deux concernés. Dès lors, chaque jour, ils le consacrent au bien-être des nouveaux membres de la famille : changement de l’eau, nourriture, nettoyage, etc.

Une chose est sûre… il y a un petit garçon quelque part qui se réjouit d’avoir une Grand-Mère aussi originale et chouette !

Une histoire qui nous prouve bien que tout le monde ne vit pas le confinement de la même façon…

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