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Confinement : l’impact de la solitude

Visites interdites ou restreintes, sorties limitées… Les personnes de plus de 70 ans, particulièrement fragiles vis-à-vis du Covid-19, font l’objet d’une vigilance renforcée. Un contexte qui laisse place à un fort sentiment de solitude. Il s’impose comme une peine et s’ajoute à l’inquiétude…

Le vide, la peur, la solitude… Désormais, il ne s’agit plus de lutter contre ces sentiments, mais de les accueillir et d’en profiter pour devenir meilleur ! En effet, mieux vaut les apprivoiser, et faire grandir notre courage. Alors, profitons tous de cette période compliquée pour apprendre à avoir confiance en nous et à affronter nos craintes, sans les subir…

On oublie souvent que le stress, induit par la peur, parvient dans certains cas à alerter d’un potentiel danger, ou pour apporter l’énergie dont on a besoin afin de franchir un obstacle. Ainsi, il paraît davantage utile, non pas d’ignorer nos peurs, mais d’avancer avec elles en évitant qu’elles nous paralysent.

Il en va de même pour la solitude… Si elle est présentée comme une punition, une situation subie, une épreuve aux yeux de la majorité, savoir se contenter de sa propre compagnie est pourtant bénéfique. Sans oublier qu’elle contribue au développement de la créativité, assure le psychothérapeute Hervé Magnin. Plus encore – et certains l’ignorent – : la solitude est une école de vie où l’on peut apprendre sur soi-même, apprendre à vivre avec soi et surtout par soi-même.

Vous l’aurez compris, en cette période de Coronavirus, nous vous invitons à vous retrouver, à être présent pour vous, à retrouver votre espace intérieur… Créer du temps pour vous, penser à la femme que vous êtes, la Grand-Mère que vous représentez. Même si le retour vers soi dans la solitude est un voyage imposé par les circonstances de la vie, il faut absolument l’accueillir non comme un drame, mais comme une possibilité d’être soi et de vivre autrement !

Bien sûr, il n’est pas évident de positiver sa solitude… Pour cette raison, nous vous encourageons fortement à stimuler votre créativité, car cela vous permettra de mieux gérer ces moments. D’ailleurs, nous avons dressé une petite liste d’activités manuelles à faire chez soi, qui vous permettront justement de vous réconcilier avec cette solitude !

Cette semaine, Grand-Mercredi a eu envie de répondre aux interrogations des Grands-Parents qui sont actuellement privés de leurs Petits-Enfants. Parce que lorsqu’on est loin d’eux, on s’organise pour garder le contact. Voici quelques tuyaux modernes et « connectés » à maîtriser le plus vite possible pour appréhender cette dure période de Coronavirus.

“On garde le contact” : cette phrase est désormais possible en quasi-instantanéité, même à distance lorsque l’on est confiné chez soi pendant une durée indéterminée. Parce que les nouvelles technologies peuvent bel et bien répondre à ce besoin de rétablir et entretenir un lien familial pour les personnes âgées isolées !

1/ Skype bonjour !

Il vous faut un smartphone, une tablette ou un ordinateur. Ensuite, il vous suffit de télécharger l’application et de vous créer un compte. Si vous n’arrivez pas à le faire seul, des services clients sont mis à votre disposition. Vous pouvez évidemment appeler vos enfants ou vos Petits-Enfants qui vous expliqueront le fonctionnement. Rien de mieux pour organiser des appels vidéo avec votre famille. Vous pouvez même faire des appels groupés avec tous vos Petits-Enfants, cela vous assure un beau moment de rire. Vous pouvez également organiser des appels Skype plus rigolos :

-> Jouez à des jeux en ligne sur Skype : apprenez les échecs à vos Petits-Enfants, ou jouez à la bataille navale par exemple. Enseigner renforce les liens et crée de la complicité. « Touché, coulé ! »

-> La recette cuisine partagée sur Skype : envoyez-lui au préalable une liste avec les ingrédients nécessaires. Puis, suivez la recette ensemble, étape par étape et donnez-lui les « bons conseils de Grand-Mère ». Quand vous avez fini, dégustez ce que vous avez préparé en même temps et donnez vos avis respectifs sur votre création culinaire.

-> La devinette sur Skype : pensez à un objet, et demandez-lui de le deviner en vous posant des questions par lesquelles on ne peut répondre que par “oui” ou par “non”.

2/ La montagne de e-cards

Envoyez des cartes postales virtuelles à vos Petits-Enfants sur le téléphone de leurs parents. Tout est permis : soyez créatif pour vous faire plaisir et leur faire plaisir. Valable de 3 à 99 ans ! Les applications Youpix et Fizzer sont téléchargeables sur téléphone et vous permettront d’adresser cette attention originale. Si vous souhaitez quelque chose de plus simple, faites la carte manuellement et envoyez leur par photo !

3/ Whatsapp la solution facile

Disponible sur portable ou sur ordinateur, cette application permet d’envoyer des messages, des photos, des vidéos. Un intérêt non négligeable pour les familles : la possibilité de créer des groupes, incluant chaque membre de la famille, pour partager avec tous une petite anecdote, la photo inédite de la dernière bêtise… Pour télécharger WhatsApp, rendez-vous sur ce lien depuis votre téléphone. Une fois l’application installée, vérifiez que les amis auxquels vous souhaitez envoyer un message ont installé WhatsApp sur leur téléphone eux aussi.

4/ Story Enjoy – l’histoire du soir à distance

Avec Story Enjoy, vous pouvez enregistrer l’histoire du soir à distance et la faire parvenir aux parents qui n’auront plus qu’à appuyer sur « play ». Vos Petits-Enfants, quant à eux, suivront votre voix en feuilletant les pages.

5/ Cultivetoi.fr – le Quiz intergénérationnel

Grâce à cultivetoi.fr, instaurez, avec vos Petits-Enfants, des quiz à 4 mains. Vous les appelez, chacun de son côté se connecte sur la plateforme et, ensemble, vous pouvez jouer à deviner la couleur du cheval blanc d’Henri IV ou le nom d’une capitale qui commence par un Z. De 8 à 99 ans !

Les mesures prises par le gouvernement pour tenir les Français à l’écart les uns des autres ont des conséquences sur le moral des troupes, et créent notamment des inquiétudes chez tous ceux qui se trouvent éloignés de leurs aînés, qui en plus doivent se tenir isolés. Témoignages.

Aude, 72 ans
“Mon père a 91 ans. Il est plutôt en forme, mais je ne veux surtout pas lui faire courir de risques. Cela fait déjà deux semaines que j’ai pris la décision de ne plus lui rendre visite mais c’est très dur, tant pour lui que pour nous. Il vit seul, avec une assistante de vie qui vient chez lui quotidiennement. Au moins, il garde un petit lien social. Mais jusqu’à quand son assistante va pouvoir continuer à s’occuper de lui ? Je suis assez inquiète pour la suite des événements, surtout qu’on ne sait pas quand les choses vont revenir à la normale !”

Marion, 63 ans
“Mes parents ont respectivement 83 et 88 ans et je ne suis pas du tout rassurée de les savoir seuls. Même s’ils sont encore indépendants, c’est plus de les imaginer dans leur appartement à errer sans pouvoir sortir, ni recevoir de visite. J’espère que ça ne durera pas trop longtemps tout ça ! Surtout qu’ils ne maîtrisent pas très bien les différents outils pour communiquer, donc on ne peut que les avoir au téléphone… Ce qui n’est quand même pas très pratique !”

Stéphane, 59 ans
“Je suis très inquiet pour ma mère. Elle vit seule dans un petit appartement, et je ne suis pas du tout serein à l’idée de la laisser là-bas plusieurs semaines d’affilée. Et si il lui arrivait quelque chose ? J’ai longuement réfléchi à l’accueillir chez moi, et je m’apprêtais à le faire, quand ils ont renforcé les mesures d’isolation. Maintenant, c’est trop tard et je ne sais pas comment l’aider au mieux. Je l’appelle dès que je peux, mais j’ai peur que ce ne soit pas suffisant.”

Sophie, 69 ans
“D’ordinaire, je rends visite à ma mère tous les deux jours : je fais ses courses, l’aide pour la cuisine et pour le ménage, pour faire ses comptes… Bref, je suis véritablement essentielle pour sa vie. C’est pourquoi, malgré les injonctions à limiter les visites, j’ai décidé de m’installer avec elle pour les semaines à venir. Il était impensable que je la laisse seule pendant deux semaines, je ne suis même pas sûre qu’elle aurait survécu ! Nous avons donc créé notre petit confort, toutes les deux dans son appartement. Quel soulagement d’être ensemble !”

Les Grands-Parents éloignés de leurs Petits-Enfants ont deux options : désespérer de les retrouver, ou bien prendre leur mal en patience et décider de profiter de cette période pour faire les choses qu’ils n’ont jamais le temps de faire. Parmi celles-ci : écrire une ligne par jour à ses Petits-Enfants.

Chez Grand-Mercredi, nous avons un rêve depuis très longtemps, un rêve qui va peut-être enfin devenir réalité : que tous les Grands-Parents écrivent, chaque jour, une ligne à leurs Petits-Enfants.

Pourquoi ?

Parce que l’écriture est un formidable moyen de transmission !

Chaque jour, écrivez une ligne pour vos Petits-Enfants, pour leur raconter :

  • vos souvenirs : d’enfance, de jeunesse, de votre vie de famille … Votre vie quoi !
  • vos sentiments : combien vous les aimez, combien ils vous manquent, ce que ça fait de les tenir dans vos bras…
  • vos astuces et conseils pour la vie : des recettes, des petits mantras, une anecdote qui vous revient et qui vous a donné une bonne leçon de vie…
    les citations ou les poèmes qui vous animent
  • des recommandations de livres qui ont changé votre vie.

Au bout du compte (40 jours pour notre défi !), vous aurez un joli petit recueil de pensées et autres conseils de vie, et peut-être même des petites mémoires personnelles, que vous pourrez transmettre à vos Petits-Enfants.

Choisissez un joli carnet où écrire toutes vos pensées, pour que l’intérieur concorde avec l’extérieur ! Et offrez-leur le jour où vous pourrez à nouveau les serrer dans vos bras.

Jeune maman, Ania est également institutrice en maternelle et primaire. Elle évoque pour Grand-Mercredi les avantages de l’apprentissage en famille et rassure les Grands-Parents sur ce qui les attend pour les semaines à venir.

Quel regard portez-vous sur l’école à la maison en général ?
Je lui trouve mille vertus et en suis une fervente partisane. Cela permet d’aller au rythme de chaque enfant, en fonction de ses besoins et de ses envies, sans la pression du groupe. Dans le cadre familial, l’acquisition de certaines notions peut se faire au travers de diverses applications. Par exemple, en préparant une recette avec sa Grand-Mère, l’enfant mesure les quantités et révise son calcul ; chez les plus petits, la fabrication de pâte à modeler maison permet quant à elle de développer la motricité fine. Les enfants restent moteurs de leurs propres apprentissages et, surtout, progressent beaucoup plus vite.

Parents et Grands-Parents ont-ils la même approche, dès lors qu’il s’agit de faire travailler les enfants / Petits-Enfants hors de l’école ?
Ce qui est certain, c’est qu’ils leur font profiter des mêmes richesses, de leurs mêmes savoirs, chacun à leur niveau. En revanche, la pression est beaucoup moins importante en compagnie des Grands-Parents. L’ambiance est plus cool, plus détendue, pour la simple et bonne raison que le stress de la réussite n’existe pas. Là où une mère paniquera à l’idée que son enfant ait des difficultés en lecture et soit en retard sur le programme, une Grand-Mère félicitera son Petit-Fils car il est – de toute façon – le plus beau et le plus intelligent… ! Et que, ce qu’il sait, c’est déjà bien.

Mais est-on vraiment à sa place, en tant que Grand-Parent, lorsque l’on devient responsable de ces apprentissages ?
L’apprentissage à la maison, de toute façon, doit se faire à travers le jeu. Dès lors, chacun est à sa place, que l’on soit parent ou Grand-Parent ; et chacun peut le faire. Jusqu’en CM2, au lieu de faire apprendre des leçons de façon purement académique, il est parfaitement possible de mettre en place des petits ateliers ludiques.

Par exemple ?
Actuellement, j’apprends à mon fils de 2 ans et demi à tracer et à modeler des ronds. Auparavant, je me suis amusée avec lui à chercher tous les jouets qui, dans sa chambre, présentaient une forme ronde.

Quels conseils donneriez-vous aux Grands-Parents sur les réflexes éducatifs à adopter avec leurs Petits-Enfants durant cette période particulière ?
Peu importe l’âge, il faut y aller étape par étape, sans en attendre trop. Il est essentiel que l’enfant ait acquis la « petite compétence » avant d’acquérir la grande. Et ne surtout pas faire de forcing.

Les Grands-Parents ont toujours le souci de bien faire, souvent tenus par les exigences des parents. Comment composer avec cela ?
Aux Grands-Parents qui viennent chercher leurs enfants à la sortie des classes pour les emmener en vacances, et qui me demandent une liste de devoirs à faire pendant les congés, je réponds toujours : « Ils apprendront bien plus avec vous et en multipliant les expériences qu’en se plongeant dans leurs manuels et cahiers d’exercices ! ». Il faut se détendre par rapport aux programmes. En outre, de nos jours, avec internet et une imprimante, on peut tout faire !

Depuis quelques semaines, il est déconseillé aux Français de rendre visite aux personnes âgées de plus de 70 ans. Comment expliquer à nos Petits-Enfants, sans les angoisser, le virus et l’injonction à ne pas voir leurs Grands-Parents ?

Cette injonction du gouvernement à ne pas rendre visite aux Grands-Parents a éloigné de nombreuses familles, et nécessairement suscité des questions chez nos Petits-Enfants. Voici nos conseils pour leur expliquer, tout en douceur et sans panique.

1 – Faites-les parler

Avant de commencer à en parler vous-mêmes, faites parler vos Petits-Enfants. Ont-ils des questions ? Des inquiétudes ? Amenez-les à parler d’abord de l’épidémie, de ce qu’ils en ont compris et de leurs peurs, s’ils en ont.

2 – Simplicité et honnêteté

Les enfants sont de véritables éponges à émotions, ce qui explique sans doute qu’il est impossible de leur mentir : ils le sauraient. Il est donc primordial de leur dire la vérité, avec simplicité, et sans passer par quatre chemins. L’honnêteté prime dans ce contexte, mais veillez à choisir un vocabulaire adapté à l’âge de vos Petits-Enfants.

3 – Rassurez-les

Cette conversation a pour but de rassurer vos Petits-Enfants et non de les paniquer. Employez-vous donc à les rassurer : non, ils ne vont pas mourir du coronavirus. En revanche, et soyez honnête là-dessus, expliquez-leur que certaines personnes sont plus fragiles face au virus, dont leurs Grands-Parents, et que c’est donc pour ça qu’ils doivent éviter de les voir pendant cette période.

4 – Attention au piège

Il faut éviter à tout prix de tomber dans le piège fréquent des conversations que l’on peut avoir avec nos Petits-Enfants : chercher à se rassurer soi-même au moment de la conversation avec l’enfant. Si nous sommes nous-mêmes inquiets, parlons à un autre adulte avant d’entamer la conversation avec son Petit-Enfant.

5 – Proposez des solutions

Ce n’est pas parce que vous en pouvez plus vous voir en ce moment que vous ne pouvez plus communiquer. Essayez de mettre en place des rendez-vous téléphoniques, des défis à distance ou encore un système de courrier, pour garder le lien malgré l’éloignement !

Dans tous les cas, vous pouvez nous confier les difficultés que vous rencontrez pendant cette période par mail à l’adresse courrier@grand-mercredi.com. Nous serons ravis de vous donner des idées et de vous soutenir pendant l’éloignement.

D’ordinaire, en cas de grèves des enseignants, d’immobilisations liées aux problèmes de transports ou de maladies, le recours aux Grands-Parents est LA solution favorisée par la plupart des parents ! Mais le discours d’Emmanuel Macron de ce jeudi 12 mars a été clair : les personnes qui ont plus de 70 ans doivent au maximum limiter les contacts avec les autres.

Une dure réalité pour la plupart de ces Grands-Parents qui ne s’étaient pas préparés au manque…

C’est violent, très violent… Du jour au lendemain, j’ai appris que je devais rester isolée de ma famille ! Alors bien sûr, je ne remets pas en cause la décision d’isolement… J’ai conscience que c’est pour mon bien et surtout pour le bien de la communauté. Mais je dois admettre que ce n’est vraiment pas évident à encaisser. Et puis, personnellement, j’ai la chance que mes Petits-Enfants et mes enfants m’appellent tous les deux jours pour prendre de mes nouvelles et pour me dire qu’ils pensent à moi… Mais je n’arrête pas de penser à tous ces Grands-Parents qui n’ont pas le même accompagnement, et qui, en plus d’être inquiets pour leur santé, se sentent délaissés.Christiane, 59 ans.

J’ai l’impression qu’on m’a retirée une partie de moi et je pèse mes mots. C’est vrai, aujourd’hui, j’avoue que mon seul bonheur, c’est de voir mes Petits-Enfants. Alors le fait qu’on me retire ma bouffée d’oxygène, c’est très dur à vivre ! En plus, habituellement je vois mes petits toutes les semaines. Je vais les chercher le mardi soir chez leurs parents et on passe tout le mercredi ensemble. On se raconte des histoires, on se promène, on joue à leurs jeux préférés et surtout on se câline… Si vous saviez comme je suis triste de ne plus les voir pour les prochaines semaines !Véronique, 72 ans.

Je dois avouer que je ne m’y étais pas préparée… Au début, on annonçait un virus aussi commun que la grippe et du jour au lendemain, on entreprend des mesures draconiennes : il y a de quoi être perdu ! Mais bon, les enfants étant des vecteurs de contamination, ma fille et moi avons décidé qu’il était fondamental de respecter les règles d’isolement sanitaire. Jusqu’à nouvel ordre, nous aurons seulement des contacts par Skype…Caroline, 63 ans.

Je suis très triste d’être séparée et de devoir renoncer aux prochaines vacances scolaires avec mes Petits-Enfants. Mais avec mon mari, nous avons 73 ans et 77 ans, nous sommes des personnes à risque alors nous devons être raisonnables et veiller à nous protéger, et ça les enfants l’ont bien compris ! Pour cela, nous nous séparons pendant une durée indéterminée, mais j’ai la conviction que nos retrouvailles n’en seront que meilleures. C’est une mauvaise période à passer. Elle est arrivée trop vite, mais nous la surmonterons ! Je souhaite beaucoup de courage à tous les Grands-Parents, et surtout que nous restions sages et solidaires.Olivia, 65 ans.

Vous jouez un rôle essentiel dans vos familles et nous le savons. Votre avis et vos attentes nous intéressent ! Répondez à notre grande enquête ici !

Vous cherchez le lieu idéal pour un séjour avec vos Petits-Enfants ? Un lieu qui s’occupe autant d’eux que de vous ? Un lieu qui valorise le plaisir et le bien-être de tous ? Bienvenue dans ce qui pourrait être l’établissement préféré de vos Petits-Enfants : l’Hôtel Boutet !

Chers Grands-Parents, il n’est pas nouveau que vous jouiez un rôle essentiel auprès de vos Petits-Enfants. À condition de les voir régulièrement et passer des moments privilégiés avec eux. Pour cela, nous vous proposons une escapade plaisir dans un très élégant hôtel parisien.

Au menu, un séjour mythique dans l’authentique quartier de la Bastille, où vous pourrez vous laisser séduire par une sortie familiale à l’opéra ou une balade jusqu’au magnifique quartier du marais. Si vos Petits-Enfants sont des fans de chocolat, c’est aussi l’endroit parfait pour eux : l’hôtel est abrité par une ancienne fabrique de chocolat ! Vous n’êtes donc pas à l’abri de croiser Willy Wonka au détour d’un couloir …  Sans oublier la possibilité de grimper sur l’une des huit terrasses végétalisées, pour prendre un peu de hauteur et admirer la vue imprenable sur les toits de Paris.

Au-delà de ce cadre exceptionnel, l’Hôtel Boutet propose des services uniques pensés spécialement pour vos Petits Enfants.

Tout d’abord, un accueil personnalisé en chambre avec des peignoirs et chaussons adaptés à leur taille. Pas besoin de vous le préciser, il est certain que vos petits n’oublieront pas de vous faire un défilé à leur arrivée. À côté de cela, ils auront accès à de délicieuses gourmandises (bonbonnière, gâteau fait maison, etc.), de quoi réaliser leurs rêves les plus fous ! Évidemment, au cas où les Grands-Parents auraient une demande spéciale, le personnel de l’établissement peut adapter son offre aux demandes “sur-mesure”.

Puis, un SPA prend soin de toute votre famille avec possibilité d’utiliser deux cabines, une piscine ouverte de 7 h à 22 h, un sauna, un hammam et un accès au fitness. Ici, les produits mis à disposition sont eux aussi conçus pour les enfants (produits de la marque TOOFRUIT et Maman va être Jalouse).

Afin de toujours plus répondre à vos besoins, un lobby est mis à la disposition des clients de l’hôtel avec une multitude de jeux de société dédiés à tout âge (Cluedo, cartes, La bonne paye, etc.). Plus encore, pendants les vacances scolaires, un espace de coloriage est installé au niveau de l’escalier. Finalement, au cas où vous souhaiteriez passer un petit moment rien que pour vous, un service de baby-sitting est disponible.

Vous l’aurez compris, au-delà du caractère unique de l’établissement, l’Hôtel Boutet est le lieu parfait pour passer un moment de rêve avec vos Petits-Enfants ! Une chose est sûre si vous venez, vous vous en rappellerez toute votre vie. Encore une fois, l’occasion parfaite de créer des souvenirs uniques.

Vous en voulez plus ? L’hôtel propose d’organiser des anniversaires, avec un goûter Boutet spécialement prévu pour l’occasion : chocolat chaud et pâtisserie pour la somme de 15 €.

Informations pratiques : 

Hôtel Paris Bastille Boutet
22 24 Rue Faidherbe, 75011 Paris

Métro : Faidherbe – Chaligny (ligne 8) ou Reuilly-Diderot (ligne 1)

Ravir la famille avec une pièce rythmée par le refrain “oublie tous tes soucis, ici tout est permis”, voici la promesse de l’adaptation du célèbre roman de Carlo Collodi, au théâtre.

Un franc succès pour cette pièce mythique et moderne, qui nous plonge dans la magie d’un véritable hymne à l’enfance et à l’insouciance. Apprécié des plus petits et des plus grands, Pinocchio est un spectacle musical à la fois drôle, cocasse et attendrissant.

Visuellement, rien à redire : la restitution sur scène d’un cirque ou encore de l’atelier de Gepeto, sont le fruit d’un travail subtil et les costumes suscitent l’émerveillement des Petits-Enfants.

Au programme : poésie, émotions, rires, acrobaties et chansons dans un même rendez-vous !

Vous avez raté cette saison au Théâtre de Paris ? Bonne nouvelle ! Fort de son succès, la pièce se jouera en prolongations au Théâtre des variétés du 8 février au 21 mars 2020.

Et pour découvrir le spectacle en vidéo … c’est par ici !

Informations pratique : 

  • Accessible dès 5 ans
  • Adresse : 7 boulevard Montmartre 75002 Paris
  • Téléphone : 01.42.33.09.92

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