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NON

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Ma résolution de la rentrée : apprendre à dire « non » à mes enfants !

Je suis une maman comblée. J’ai la chance d’avoir 3 enfants et 6 Petits-Enfants. Nous habitons tous à Marseille et sommes très proches les uns des autres. Nous formons un clan tel que j’en rêvais lorsque j’étais plus jeune.

Mais avec 3 enfants et 6 Petits-Enfants, je n’ai guère de temps pour moi !  Entre les rendez-vous médicaux des uns et des autres, les activités sportives du mercredi et les déplacements professionnels de mes enfants, je suis sur tous les fronts.

Celui qui en pâtit le plus ? Mon mari. Il trouve que mon emploi du temps de ministre est ridicule à mon âge. Il trouve dommage que je ne prenne jamais de temps pour moi, pour lui.
Alors, cet été, il m’a fait promettre une chose : apprendre à dire « non ». Apprendre à dire « non » à mes enfants ou à mes Petits-Enfants.

Comme beaucoup de Grand-Mères, je n’ose rien refuser. J’essaye toujours d’être disponible, comme si – inconsciemment – je me disais que refuser le moindre service allait me priver de mes Petits-Enfants à vie.
C’est stupide de ma part et mes enfants sont parfaitement capables de le comprendre.

Pourtant, depuis quelques semaines, j’ai appris à dire « non ». Et, croyez-moi, je me sens beaucoup mieux.
Le week-end dernier, j’ai même refusé d’organiser le goûter d’anniversaire de l’un de mes Petits-Fils à la maison… à la grande surprise de ses parents !

Quand je dis que je me sens beaucoup mieux, c’est que j’ai l’impression de revivre. Je me sens plus femme que maman ou Grand-Mère. Et c’est tellement agréable ! Je peux enfin me consacrer à mon mari, cuisiner pour nous deux et non plus pour 9 personnes à la fois !

Je sais combien j’ai de la chance d’être aussi bien entourée, mais mes enfants doivent comprendre que je ne peux pas tout faire pour tous le monde. C’est impossible. Je me demande même si, cet été, je n’ai pas frôlé le burn out. Je n’aurais pas été la première Grand-Mère à en être victime, nous qui sommes sur-sollicitées.

Apprendre à dire « non », je valide. Mais avec parcimonie. Pas question pour autant de dire « non » à tout bout-de-champ ; uniquement quand c’est approprié et qu’on en éprouve le besoin, sans culpabiliser.

Résultat : la semaine prochaine, j’ai invité tout le monde, enfant et Petits-Enfants, pour un déjeuner dominical à la maison. Une invitation de mon plein gré, que personne ne m’a imposée ! Et je suis certaine que ce déjeuner sera une grande réussite. En attendant, j’ai hâte que nous nous retrouvions à nouveau tous ensemble réunis.

J’ai la chance d’être Grand-Mère de 2 Petits-Enfants, Jules et Louis. Mais, à l’occasion de nos dernières vacances, je me suis aperçue combien ma fille était sévère avec ses enfants ! Trop sévère.

Si on a coutume de dire, de nos jours, que les jeunes sont mal élevés et que l’éducation d’une manière générale n’est plus ce qu’elle était, chez nous…c’est l’inverse.

Ma fille ne laisse rien passer. Résultat : j’ai eu cet été le sentiment étrange que mes Jules et Louis étaient en train de passer à côté de leurs plus belles années. Ces années d’insouciance, des premières bêtises… toutes ces choses qu’on fait en étant enfant !

Avec une cette éducation quasiment militaire, croyez-moi, ça filait droit à la maison. Les chambres étaient rangées, les lit faits au carré, et pas un seul jouet traînant dans l’escalier. Je ne vais pas me plaindre, mais tout de même… Ne dit-on pas, justement, « excusez le désordre, mais enfants se créent des souvenirs ».

J’ai bien essayé d’en parler avec ma fille, mais ce fut peine perdue. Très vite, elle m’a rétorqué que j’étais une Grand-Mère laxiste et que mes Petits-Enfants me menaient par le bout du nez. Honnêtement, cela ne m’a fait aucune peine. Je me laisse volontiers faire avec Jules et Louis, car ils ne dépassent jamais les limites.

Dans le fond, j’ai bien une inquiétude : je crains qu’à l’avenir, cette éducation militaire ne porte pas ses fruits. Je me dis qu’un jour ils auront envie de rire aux éclats, de mettre les coudes sur la table, de ne plus ranger leur chambre. J’ai peur qu’ils explosent en vol, et qu’ils aient envie justement de ne plus suivre ces règles.  Je redoute leurs années d’adolescence…

Mais bon…En attendant, je me tais. Ce n’est pas mon rôle ; ce n’est pas le rôle des Grands-Parents. Notre rôle, il me semble, est de suivre à la lettre les règles qu’ont mises en place les parents. Alors, si ma fille est extrêmement stricte, je dois tout faire pour que mes Petits-Enfants continuent d’obéir. Quand bien même ce ne serait pas ma volonté.

Le plus étrange, dans tout ça, c’est que je n’ai pas élevé ma fille de cette façon. Chez nous, c’était la maison du bonheur, il n’y avait quasiment aucune règle à suivre pour les enfants. Quant à moi, je n’ai jamais été une maman autoritaire. Peut-être que si je l’avais été ma fille aurait été moins autoritaire avec ses enfants ? Je ne sais pas…

Cette année, j’ai eu la chance de partir en vacances avec ma fille, mon gendre et ma Petite-Fille, Julie, 8 ans. Des vacances exceptionnelles, sur les plages de l’Atlantique, dans le Sud-Ouest.
Ah ça, pour en avoir profité, j’en ai profité ! Il faut dire qu’il s’agissait de nos dernières vacances tous ensemble avant un long moment.

Mon gendre est muté à la rentrée et tout ce petit monde s’envolera prochainement pour… la Chine !
Quand ma fille chérie, avec laquelle j’ai toujours entretenu une relation fusionnelle, m’a fait part de cette nouvelle, j’étais effondrée. J’ai pensé à elle, à Julie. J’ai mis des jours à m’en remettre. Au tout départ, j’ai – il faut bien le reconnaître – eu une réaction assez égoïste. Je leur en ai voulu.

Je l’ai vécu comme un abandon.

Puis, quelque temps après, je me suis rendue compte de la chance qu’ils avaient de découvrir un pays aussi incroyable que la Chine.
D’ailleurs, c’est une opportunité professionnelle qui ne se refuse pas. Ils gagneront en qualité de vie, c’est certain.

Il n’empêche : cet été a bel et bien été synonyme de nos dernières vacances. Nous nous sommes efforcés d’en profiter encore plus que d’habitude. Photos, souvenirs, rigolades et découvertes de nouvelles activités… Des vacances que nous avons vécues à 100 à l’heure.

Elles furent à la fois exceptionnelles et teintées de tristesse.
Plus nous nous approchions de la fin, plus j’angoissais. Je ne pouvais pas m’empêcher de regarder ma Petite-Fille Julie et de me dire que, bientôt, nous serions séparées.

Vous vous dîtes sans doute que je pourrais faire le voyage jusqu’en Chine… Mais les 10 heures d’avion et les 8 000 kilomètres qui nous séparent ne facilitent pas les choses. Sans parler du prix des billets !

Ma fille, et surtout mon gendre, m’ont promis qu’ils essaieraient de rentrer l’année prochaine quelques jours au moment des vacances d’été. Pourtant, je sais que cela sera très compliqué, tout simplement parce que la France et la Chine ne partagent pas le même calendrier scolaire… En gros, Julie risque fort d’être à l’école.

En attendant, et comme beaucoup de familles séparées, nous profiterons des nouvelles technologies pour rester en contact. Skype sera notre meilleur ami à tous, et surtout à moi, qui souhaite voir grandir ma Petite-Fille…

8 semaines plus tard…

Ils me manquent toujours autant mais il est arrivé quelque chose d’incroyable à ma Petite-Fille Julie… Rien que pour ça, je me dis que ce départ en Chine était une bonne chose !

Elle a gagné un championnat arrivant à battre les plus grands joueurs de la région ! Je vous laisse découvrir ici ce sport qu’elle pratiquait déjà à l’époque en France mais savoir qu’elle est devenue la plus jeune championne française de tout les temps, dans l’un des sports préférés des Chinois…
J’en ai les larmes aux yeux. Il y a même eu des articles dans des journaux locaux !

A 8 000 kilomètres d’elle, de ma fille et mon gendre. Je suis la Grand-Mère la plus fière du monde !
Et ces cadeaux de Noël, c’est ici que je vais les acheter ! Au moins je suis certaine de lui faire plaisir !

Décathlon_julie

J’ai la chance d’être Grand-Mère et, comme beaucoup d’autres, j’ai une lubie depuis que mes Petits-Enfants sont entrés dans ma vie : les gâter à volonté au moment du goûter !
Petits plats, produits locaux et bio… Tout y passe : je ne leur refuse rien !

Chacune en conviendra  : rien n’est plus beau ou plus sincère que le sourire d’un enfant devant une assiette bien garnie qu’il s’apprête à engloutir !

Pourtant, avec 5 Petits-Enfants, je n’ai pas eu le choix : j’ai dû me réinventer pour que l’heure du goûter se transforme en un instant magique et inoubliable, autant pour eux que pour moi !

Pour faire de ce quatre-heures un moment unique, quasi-féérique, la recette était simple : il me fallait trouver un lieu, une idée de menu, et une activité (ludique ou amusante).

Pour ce lieu magique, j’ai opté pour un petit parc qui gagne à être connu. Depuis j’en ai même découvert d’autres, tout aussi attractifs.
Pelouse verte, roses en fleurs… Et que dire des manèges ! Ce parc, c’était le lieu que je cherchais depuis toujours; et je ne le connaissais pas. Je l’ai découvert par hasard au détour d’une rue. Heureuse trouvaille : il allait devenir le terrain de jeu idéal de ce goûter !

Puis, vint le moment du menu…Crêpes, chocolat et autres bonbons gélifiés ? Très peu pour moi ! En cuisine, je fais simple mais gourmand. Les épater tout en préservant leur santé me paraissait compliqué…à tort ! Il m’a suffi de trouver ces goûters, qui allaient être pour beaucoup dans la réussite de ce moment avec mes Petits-Enfants. Et, la bonne nouvelle, c’est que ça ne coûte pas plus cher qu’un croissant à la boulangerie ! Vérifiez par vous-même !

Et l’activité, alors ? Chez nous, tout se mérite.
Avec l’aide du gardien des lieux, nous avons caché dans ce petit parc leur goûter pour une chasse aux trésors mémorable !
Je les vois encore me dire « Mamie, je chauffe ? » « Non, chérie…C’est froid… ». On aurait pu y jouer pendant des heures…!

Un conseil : pensez à bien cacher ces goûters, mais pas trop non plus… L’idée étant bien sûr que vos Petits-Enfants puissent les trouver et goûter !

10 minutes de chasse aux trésors et tout ce petit monde avait trouvé son bonheur.

Et si vous pensez ne pas avoir la chance de dénicher près de chez vous des lieux magiques, détrompez-vous !
Cliquez ici : vous serez surprise !

Grand-Mercredi s’est chargé de vous trouver ces endroits, incontournables et encore peu fréquentés !

Me Caroline Elkouby-Salomon est avocate au barreau de Paris, spécialisée dans les droits de la famille.
Comme chaque année, elle vient de participer aux Etats généraux du droit de la famille et du patrimoine. En 5 points essentiels, elle répond aux questions de Grand-Mercredi sur le sujet épineux du droit des grands-parents envers leurs petits-enfants.

En cas de séparation des parents, comment éviter que les relations avec eux s’enveniment ?
Le conflit existant entre les parents ne doit pas venir interférer avec la relation grands-parents/petits-enfants. C’est malheureusement parfois le cas. Il m’est ainsi arrivé de recevoir à mon cabinet une grand-mère qui ne voyait plus son petit-fils depuis 2 mois. Il y avait une rupture de communication entre son fils et elle, lequel ne voulait pas lui avouer qu’il rencontrait des difficultés dans son couple. Il a fallu apaiser les choses en envoyant des lettres recommandées.L’inquiétude est légitime, en cas de séparation, mais le mieux est de rester à sa place de grands-parents et, surtout, de maintenir le dialogue avec ses petits-enfants sans prendre parti.

 

Les grands-parents ont des droits, mais quels sont-ils exactement ? Ils en ont, oui, et ceux-ci sont plus importants que ce que j’imaginais moi-même. La jurisprudence indique en effet qu’un enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. Et bien qu’ils ne soient pas détenteurs de l’autorité parentale, ils peuvent prétendre à un droit de visite.Il faut pour cela saisir le juge aux affaires familiales, et ce dès que l’on observe les premiers signes de tension. En effet, la procédure est plus longue et fastidieuse que pour un droit de visite et d’hébergement « classique » entre parents, soit environ 1 an au lieu de 3 mois.


Quelle est la décision la plus fréquemment rendue ?
Si le climat relationnel n’est pas trop pollué, les grands-parents peuvent espérer obtenir un droit de visite et d’hébergement correspondant à 1 mercredi après-midi sur deux et une petite partie des vacances scolaires de Noël et de juillet/août. Le juge évite en revanche d’empiéter sur le week-end, un temps que les parents aiment consacrer à leurs enfants.

Les parents – ou l’un des deux parents – peut-il contester la décision rendue ?

Il peut effectivement faire appel, comme pour n’importe quelle décision de justice. Mais il devra alors prouver que la relation que l’enfant entretien avec son ou ses grand(s)-parent(s) est contraire à son intérêt. Et de cela, il faut apporter la preuve. De la même façon, les grands-parents doivent apporter à l’audience des éléments précis démontrant qu’ils sont empêchés de voir leur(s) petit(s)-enfant(s), comme par exemple des traces de leurs demandes mais aussi des refus qui leur ont été opposés.
Or, apporter les preuves d’une absence de relation n’est pas ce qu’il y a de plus simple. De la même façon, le juge peut considérer que l’environnement relationnel est trop sous tension pour que l’enfant vive de façon sereine tout séjour ou moment passé avec ses grands-parents; dans le cas où il considérerait que l’enfant bénéficie d’une ambiance plus sereine chez ses parents, le droit de visite peut être refusé aux grands-parents.

 

Qu’est-ce que le droit de correspondance ? Un droit acquis notamment par les grands-parents, leur permettant de communiquer avec leurs petits-enfants par téléphone, par courrier, par Skype, et même par mail. Il peut tout à fait venir compléter un droit de visite accordé aux grands-parents et prendre la forme d’un appel téléphonique hebdomadaire (à l’initiative de l’adulte, un enfant ne pouvant y être contraint). Avant d’en arriver là, toutefois, le juge tentera une médiation familiale, qui reste encore dans certains cas le meilleur moyen de préserver la sérénité des rapports.

Mes chères amies,

J’ai une bonne nouvelle pour vous. Afin de donner à nos Petits-Enfants un peu de coeur à l’ouvrage en cette veille de rentrée, j’ai développé une véritable « méthode de Grand-Mère ». Vous dire que je me suis creusé la capeline des heures durant serait exagérer. Mais ma méthode est toute simple et utilisable par toutes : je leur offre à chacun LE livre que j’ai lu, à leur âge, lors de chaque rentrée en classe (…ou tout comme, ma mémoire n’étant – comme moi ! – plus toute jeune !).

Bien évidemment, il faut m’imaginer en train de surfer sur le web en vue de remettre la souris sur le bon titre desdits ouvrages. Mais rien n’est impossible grâce à Internet ! Invention si géniale qu’elle me permet en quelques clics de « diffuser » à mes Petits-Enfants un peu de ce que fut mon époque, tout en leur offrant ce que leurs Parents appellent « un cadeau intelligent » (comme si j’étais la Reine des babioles !) et symbolique. Ce qui, vous en conviendrez, n’est pas rien quand on s’apprête à franchir une nouvelle étape dans sa vie scolaire ou étudiante.

Ainsi, à celles et ceux de ma tribu qui rentrent ENFIN en maternelle, et qui n’ont de cesse de me demander « C’est comment, l’école ? », j’offre Youpi à l’école. Ce petit chien qui nous accompagnait autant que Tchoupi le fait de nos jours.

Pour les « grands » de CP, impatients (ou pas!) d’apprendre à lire autre chose que les panneaux de signalisation et les pubs d’abribus, je glisse dans leur valise au retour des vacances un livre que nous avons toutes dévoré : les célèbres Rémi et Colette.

Pour mes Petits-Enfants qui étrennent leur cartable en classe de CE1 ou CE2, je mise sur une valeur sûre qui vous rappellera forcément autant de souvenirs qu’à Paul et moi : Lisons de belles histoires. A commander chez son libraire ou sur Internet.

Enfin, pour les CM1 et CM2, c’est avec les aventures de l’infaillible Club des 5 ou encore Les Quatre filles du Docteur March que je fais mon petit effet !

J’ai bien cru que les choses allaient se gâtaient pour mes Petits-Enfants ados qui – on le sait – ont une nette tendance à l’éternelle insatisfaction. J’ai pourtant déniché la perle rare, en leur commandant carrément le livre correspondant à mon année d’entrée au collège : 1960, le livre de ma jeunesse  (Une collection qui marche pour toutes les années, à vous de trouver l’année où vous rentriez au collège)).

Quant au lycée, je fourbis déjà mes armes pour mon Petit-fils Boris, qui y entrera l’an prochain : d’office, ce sera Madame Bovary. Rien de tel que Flaubert et l’histoire de la vie pour succomber aux charmes des années Lycée !

J’en suis encore loin mais, si parmi vous, certaines affichent leur fierté de voir leur Petite-fille ou Petit-fils entrer en fac de médecine, sachez que ma méthode fonctionne aussi très bien. Je suis sûre et certaine que les étudiants de l’époque ne passaient pas la porte d’un amphi sans avoir sur eux LE bouquin indispensable à ce grand saut dans l’inconnu. Procurez-le vous sur Internet : ils seront sidérés d’avoir dans leur bibliothèque, tel un talisman, le « manuel star » d’il y a 40 ans.

Naturellement, j’assortis ce petit geste symbolique d’un coup de fil à chacun d’eux. Juste pour leur dire que leur Grand-Mère est aussi passée par là (l’odeur des cahiers neufs, de la blouse repassée, du doudou dans le sac et de la boule au ventre à l’idée de ne pas être avec « la bonne maîtresse »). Et je raccroche en leur jurant qu’eux et moi sommes unis contre vents et marrées, pour franchir les portes de l’école comme de l’université.

Je peux le dire : cette petite invention est ma grande fierté du moment. Ma manière bien à moi de m’asseoir avec eux sur les bancs de l’école.

 

Aujourd’hui célébrons l’incroyable auteur et interprète Barry White.
Pour célébrer ce talent immense et planétaire, Grand-Mercredi vous propose de revenir sur 3 chansons phares et incontournables !
A transmettre à vos Petits-Enfants.

You’re the First, the Last, My Everything, Barry White, 1974
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ici

My first, the last, my everything
And the answer to all my dreams
You’re my sun, my moon, my guiding star
My kind of wonderful, that’s what you are

I know there’s only, only one like you
There’s no way they could have made two
You’re all I’m living for, your love I’ll keep forevermore
First, you’re the last, my everything

And with you I’ve found so many things
A love so new, only you could bring
Can’t you see it’s you? You make me feel this way (Can’t you see it’s you?)
You’re like a first morning dew on a brand new day

I see so many ways that I
Can love you ’til the day I die
You’re my reality, yet I’m lost in a dream
You’re the first, the last, my everything

I know there’s only, only one like you
There’s no way they could have made two
Girl, you’re my reality, but I’m lost in a dream
You’re the first, you’re the last, my everything
You and me babe is you

Let the music play, Barry White, 1975
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ici

One ticket, please
Lord have mercy, everybody’s there
Hey, what’s goin’ on man, yeah
She’s at home, yeah, she’s at home
Yeah, she’s at home

Let the music play
I just want to dance the night away
Here, right here, right here is where I’m gonna stay
All night long, ooh, ooh, ooh, ooh, ooh, wee

Let the music play on
Just until I feel this misery is gone
Movin’, kickin’, groovin’, keep the music strong
On and on and on and on and on and on and on
And on and on and on and on and on and on and on

I’m out here dancin’ and still, huh
I can’t erase the things I feel
The tender love we used to share
See, it’s like it’s no longer there
I’ve got to hide what’s killin’ me inside

Let the music play
I just want to dance the night away
Here, right here, right here is where I’m gonna stay
All night long, ooh, ooh, ooh, ooh

Let the music play on
Just until I feel this misery is go

Staying Power, Barry White, 1999
Pour visionner le clip vidéo, cliquez ici 

I’m not going nowhere
I’m staying’baby I’m staying
You know why’
I’ve got staying power
Baby, I’ve made plans
In a fancy restaurant where we can dance
Put on my favorite dress
You know the one
That oozes sexiness
Tonight when we make love
I’m going to work your body with my tongue
Oh baby, my missions clear
there’s more than love that keeps you here

I’ve got staying power
Just when you think it’s over
I’ll come right back again
I’ve got staying power
Just when you think it’s over
I’ll come right back again
I’ve got staying power
Just when you think it’s over

Slow down, don’t heat so fast
Anticipation makes a good thing last
Tease me with your emotions
Soon we’ll share nature’s body lotion
Are you ready to free
Girl you know you got just what I need
Oh baby, my missions clear
It’s more than love that keeps you here

I’ve got staying power
Just when you think it’s over
I’ll come right back again
I’ve got staying power
Just when you think it’s over
I’ll come right back again
I’ve got staying power
Just when you think it’s over

No, no baby I’m not going anywhere
No no no I’m not going anywhere
I’ll be here
Ill be here
For years and years

Tonight when we make love
I’m going to work your body with my tongue
Oh baby my missions clear
there’s more than love that keeps you here

I’ve got staying power
Just when you think its over
I’ll come right back again
I’ve got staying power
Just when you think it’s over
I’ll come right back again
I’ve got staying power
Just when you think it’s over

Aujourd’hui, François Cluzet célèbre son anniversaire. Un acteur doué, attachant qui est à l’origine de nombreux succès au cinéma.
L’occasion de revenir sur 4 films incontournables… A transmettre à vos Petits-Enfants !

Intouchables, François Cluzet, 2011
Tout les oppose et il était peu probable qu’ils se rencontrent un jour, et pourtant. Philippe, un riche aristocrate devenu tétraplégique après un accident de parapente va engager Driss, un jeune homme d’origine sénégalaise tout droit sorti de prison, comme auxiliaire de vie à domicile. Pourquoi lui ? Tout simplement parce qu’il ne regarde pas Philippe avec le même regard de pitié que les autres candidats.

Les Petits Mouchoirs, François Cluzet, 2010 (A partir de 12 ans)
Max, riche propriétaire d’un hôtel-restaurant, et sa femme Véro invitent chaque année leurs amis dans leur maison au Cap Ferret pour célébrer l’anniversaire d’Antoine et le début des vacances. Mais cette année, avant qu’ils ne partent de Paris, Ludo est victime d’un grave accident de la route et se trouve entre la vie et la mort. Malgré cet événement, le groupe d’amis décide de partir en vacances. Leurs relations, leurs convictions et leur sens de la culpabilité vont être rudement mis à l’épreuve.

Ne le dis à personne, François Cluzet, 2006 ( A partir de 12-14 ans)
Sa femme Margot a été sauvagement assassinée par un `serial killer’. Totalement détruit, Alex ressasse jour après jour le souvenir bouleversant de son amour perdu. Huit ans ont passé. Alex reçoit un e-mail anonyme. Il clique et aperçoit le visage d’une femme au milieu d’une foule, filmé en temps réel. Celui de Margot.

En solitaire, François Cluzet, 2013
Quand le navigateur Yann Kermadec doit remplacer au pied levé son ami Franck blessé au départ du Vendée Globe, tour du monde à la voile en solitaire, il tient enfin son rêve. Il attaque la compétition avec une farouche volonté de gagner. En pleine course, après une escale technique, Yann découvre qu‘il n’est plus seul à bord. Un jeune homme s’est caché dans la cale, espérant au bout du voyage trouver refuge dans un nouveau pays.

Certes l’école est un lieu génial. Mais c’est aussi un lieu qui peut, parfois, s’avérer angoissant pour bon nombre d’enfants.
De nouveaux camarades, de nombreuses contraintes… Et d’autres paramètres qui en font un endroit souvent délicat à appréhender pour les plus petits. 
Mais rassurez-vous : si vos Petits-Enfants ont des difficultés à apprécier l’école, il existe heureusement des conseils et des astuces pour les convaincre qu’aller à l’école est une chance.
 

Des amis pour la vie. En effet, l’école est l’endroit idéal pour faire des rencontres. Vos Petits-Enfants se feront des amis avec qui ils partageront des souvenirs pour la vie. Nous nous souvenons tous de nos premiers amis et ce n’est pas pour rien.

 

La chance d’apprendre. L’école permet d’acquérir des connaissances dans tous les domaines : mathématiques, français, histoire-géographie, langues étrangères, arts plastiques, musique… Expliquez à vos Petits-Enfants que toutes ces connaissances représentent une réelle richesse !

Des souvenirs pour toujours
. La cantine, la récréation, les sorties scolaires… Autant de moments marquants qui resteront à jamais de bons souvenirs. Si l’école rime avec apprentissage, c’est aussi un lieu où, bien souvent, les enfants s’amusent !

Indispensable pour pouvoir exercer, un jour, le métier de leurs rêves
. Vos Petits-Enfants ont peut-être déjà en tête un métier qu’ils rêveraient d’exercer (pompier, danseuse ou vétérinaire, peu importe !). L’essentiel est de leur expliquer que l’école est un passage obligatoire pour atteindre leur objectif.

Aller à l’école est une chance.
Apprendre est une chance et de nombreux enfants dans le monde n’en bénéficient malheureusement pas. Racontez-leur combien ces enfants rêveraient justement de pouvoir se rendre tous les matins, comme eux, à l’école !
N’oubliez pas qu’en tant que Grand-Mère, vous avez un rôle majeur à jouer dans la réussite et dans l’épanouissement de vos Petits-Enfants.

Vous aussi, allez les chercher à l’école. Il n’y a pas que les parents qui peuvent aller chercher leurs enfants à l’école. Une belle occasion de rendre service à ses enfants et de faire plaisir à ses Petits-Enfants.

De la rencontre parents/professeurs à la kermesse de fin d’année, rien ne vous est interdit, bien au contraire. Imaginez la surprise pour vos Petits-Enfants et leur fierté de vous avoir à leurs côtés dans ces moments si particuliers ! Vous pourriez même tenir un stand et l’animer une partie de la journée ! Beaucoup de Grands-Parents le font.

Échangez avec leur maîtresse… Présentez-vous à leur maîtresse, parlez avec elle … : c’est le meilleur moyen de s’impliquer dans la vie scolaire de vos Petits-Enfants. Elle vous apprendra forcément quelque chose que vous ignorez tant les enfants sont différents dans un cadre scolaire.

Non, les devoirs ne sont pas réservés aux parents… Vos Petits-Enfants vous rendent visite le week-end ? Profitez-en pour les aider à faire leurs devoirs.

Vous leur rendez service en partageant avec eux votre expérience et, évidemment, vos enfants seront ravis ! Profitez du fait qu’ils soient encore dans des petites classes pour vous impliquer avant, peut-être, qu’ils ne rentrent en prépa ou en fac de médecine… !

A chaque âge un acquis scolaire… Dans la lignée des devoirs de vos Petits-Enfants, tachez de vérifier leurs connaissances. Lecture, écriture ou tables de multiplication, peu importe l’âge de vos Petits-Enfants, il y a forcément un acquis à vérifier.

Le Conseil de Grand-Mercredi : Privilégiez les activités ludiques pour les aider à apprendre et confiez-leur que, vous aussi, vous ré-apprenez grâce à eux.

Etre présent dans la vie scolaire de ses Petits-Enfants c’est aussi le rôle des Grands-Parents. Savoir s’impliquer dans ces étapes-charnières, les épauler et les aider le cas échéant, c’est bien là aussi le devoir des Grands-Parents… Vos Petits-Enfants et vos enfants ne vous en seront que plus reconnaissants.

La vie est pleine de bonnes, mais aussi de mauvaises surprises. Personne n’est à l’abri d’un événement tragique, de la disparition d’un être.
Et dans ces situations, les plus fragiles sont les enfants. Il faut donc faire preuve d’habilité lorsqu’on leur explique les choses. Ainsi, Grand-Mercredi vous propose 5 moyens de parler à vos Petits-Enfants d’un être, qui n’est plus !
 

Prenez le soin d’employer les bons mots. Ne leur parlez pas de « disparition » mais utilisez plutôt des termes imagés qui auront une connotation plus positive. Ils sont jeunes et leurs âmes sont sensibles, il faut donc dédramatiser la situation pour ne pas les brusquer. Par exemple, privilégiez les expressions « il/elle monté(e) au ciel » ou « il/elle a rejoint les anges ». 

Essayez tant bien que mal de garder votre sang froid. Cet événement est tragique, il est donc tout à fait normal que vous soyez bouleversée. Mais face à vos Petits-Enfants essayez de contenir vos émotions , car si votre tristesse est trop apparente, vous les inquiéterez.


Entretenez le souvenir.
Racontez-leur des choses marquantes sur cette personne qui n’est plus. Cela permet de faciliter le travail de deuil. Les anecdotes que vous raconterez devront évidemment être joyeuses afin de l’associer à des choses positives. 

Gardez-le dans vos vies de manière symbolique. Utilisez des objets pratiques pour symboliser la vie de cet être. Par exemple vous pouvez allumer une bougie à chacun de ses anniversaires.

Ne pas rendre le sujet tabou. Dans la vie il y a des naissances, mais aussi des disparitions, c’est ainsi. Il ne faut donc pas associer cela à un tabou ! Au contraire, si vos Petits-Enfants vous en parlent, soyez à l’écoute et répondez à leurs questions. Il ne faut pas qu’ils se sentent gênés de vous en parler.

Bonne nouvelle : il existe bien une liste – une liste non exhaustive – regroupant les choses incontournables qu’il convient de faire dès que l’on devient Grand-Mère ! Des choses que vous connaissez déjà…et d’autres que vous allez découvrir !

1- Désormais, le jouet a droit à sa journée officielle : une fois par an, vous réunissez vos Petits-Enfants devant leur coffre à jouets favori.
Objectif : trier, ranger, choisir un jouet et le donner… A qui ? A un enfant moins gâté !

2- Se former aux Premiers Secours : connaître les gestes qui sauvent et les transmettre, c’est aussi cela être une Grand-Mère impliquée dans la vie de ses Petits-Enfants.

3- Écrire une histoire avec ses Petits-Enfants qui vivent loin : vous écrivez le début et leur envoyez votre prose. A eux d’inventer la suite !

4- Créer un carnet de coloriages de vos Petits-Enfants. Un moment d’accalmie dans leur journée ou une après-midi pluvieuse et ce petit carnet devient le compagnon idéal. En outre, vous serez la première à vous extasier en le feuilletant.

5- Savoir dire « non ». Une Grand-Mère qui dit « non » est aussi une Grand-Mère qui se préoccupe de ses Petits-Enfants ! Alors n’hésitez pas mais n’en abusez pas NON plus.

6- Et savoir dire « oui » aussi. Trouver l’équilibre, il est probablement là le fameux secret des Grand-Mères.

7- Prendre des cours de cuisine pour leur faire des gâteaux incroyables. Pour apprendre les bases ou pour vous perfectionner… Il y a forcément un atelier qui dispense des cours de cuisine près de chez vous ! Sautez-le pas et inscrivez-vous !

8- Dénicher des activités formidables ! Un parc secret au bout d’une ruelle ou le dernier parcours d’accrobranche à la mode… : lorsqu’il s’agit de leur trouver des activités originales, vous êtes une vraie tête chercheuse !

9- Sécuriser sa maison. Qu’ils soient grands ou encore en bas âge, vos Petits-Enfants méritent de grandir dans un univers sain et sécurisé. Cache-prises et protections en tout genre sont de mise ! Et dites-vous bien qu’une maison n’est jamais assez sécurisée !

10- Créez-leur des souvenirs. Un parc d’attractions, une visite des châteaux de la Loire, un musée ou un zoo : ces escapades sont votre marque de fabrique et, grâce à vous, vos Petits-Enfants auront des souvenirs pour la vie !

1. Ils sont avec vous ? C’est le moment ou jamais de les bluffer avec un programme à rallonge.
2. Déguisez les plus petits, maquillez les plus grands, équipez les ados de choses qu’ils n’ont jamais eues.
3. Préparez pour chacun 3 photos d’eux petits. Souvenirs pour la vie garantis !
4. Organisez un « repas presque parfait » composé de tous les plats préférés de vos Petits-Enfants. Quitte à ce que cela ressemble à un banquet…

5. Ressortez le film de votre mariage, préparez des popcorn et installez tout le monde sur le canapé. Mais non, mais non : vous n’avez pas changé !

Petits-Enfants

 

6. Préparez une playlist de vos chansons préférées pour que votre week-end ressemble à une fête. Et si vous en avez le courage, organisez un concert avec vos Petits-Enfants : un instrument chacun.

7. Organisez une séance-photos en famille. Dress code : t-shirt blanc et jean. Pensez à nous l’envoyer !

8. Ayez une pensée pour tous les papas du monde ! Ils sont aussi méritants que les Grands-Parents.

9. Imaginez un quizz sur votre famille.
Question 1 : Quel est le plat préféré de votre Grand-Père ?
Question 2 : Quel parfum de glace choisit toujours cousin Paul ?
Question 3 : Comment s’appelle la série favorite de votre Grand-Mère ?

10. Réveillez-vous 1 heure avant tout le monde afin de préparer un petit-déjeuner digne d’un matin de Noël.
On n’en fait jamais trop pour ses Petits-Enfants.

Un souvenir incroyable : Une aventure en montgolfière ou a chien de traineau pour profiter des paysages du Parc de La Vanoise

Picto grands-parents

Pour les Grands-Parents : Piscine, sauna, hammam, massage et soins pour se détendre après une journée en montagne

Picto Petits-enfants

Pour les Petits-Enfants : Le mini Sivo Club, l’espace réservé à la petite tribu pour faire le plein d’activités

L’offre que nous vous conseillons : Une des Suites Deluxe avec vue imprenable sur la forêt et les pistes

picto-info

Infos pratiques : 

Hôtel La Sivolière

Rue des Chenus, 73 120 COURCHEVEL

La lecture est très importante pour les enfants, elle permet de développer chez eux leur imagination et leur vocabulaire, ce pour quoi le rôle de Grand-Parent est essentiel! Retrouvez nos 5 conseils pour faire aimer la lecture à vos Petits-Enfants.

  • N’obligez jamais un enfant à lire, s’il n’a pas envie, aidez le en lisant le livre à haute voix même s’il sait lire tout seul, il n’y a pas d’âge limite pour ça!
  • Instaurez des moments lecture : par exemple avant l’heure du coucher, créez des petits moments spécialement dédiés à la lecture, cela deviendra leur rituel quotidien !
  • Laissez-leur choisir leurs livres, ils prendront celui qui leur convient.
  • Variez les supports de lecture, bandes dessinées ou encore documentaires.
  • Aidez-le à oser ouvrir un roman et lisez le premier chapitre avec lui !

 

Les grands et les plus petits apprécieront… Le musée programme des activités ludiques et amusantes adaptées à tout âge autour de l’histoire naturelle et de l’anthropologie.

S’y rendre avec vos Petits-Enfants 86 Quai Perrache, 69002 Lyon
Tramway T1 Musée des Confluences, Bus C7, C10, 15, 63 Musée des Confluences

Picto Petits-enfantsPour vos Petits-Enfants à partir de l’âge de :  4 ans

Autres informations utiles :

Horaires :
Mardi, mercredi et vendredi : de 11h à 19h
Jeudi : de 11h à 22h
Samedi, dimanche et jours fériés : de 10h à 19h

 Tarifs :
Adulte tarif plein : 9€
Adulte à partir de 17h : 6€
Jeunes de 18 à 25 ans : 5€

picto-infoNuméro de téléphone : 04 28 38 12 12
Pour plus d’informations

Jusqu’à aujourd’hui, je n’ai jamais vraiment osé vous en parler. Certes, vous êtes nombreuses à avoir déjà franchi le cap ou sur le point de le faire. Moi, je me suis longtemps demandé si tout ce petit manège pouvait me rapprocher de mes Petits-Enfants.
En ce 22 août, pourtant, c’est officiel : je suis une autre femme. Une Grand-Mère sur Instagram. Pour le meilleur…et pour le pire.

Pour tout vous dire, mes oreilles se dressaient depuis belle lurette chaque fois que j’entendais mes filles ou mes gendres évoquer par le menu « les vacances de rêve » de leurs amis les Duschmoll sur la côte atlantique, la « sublimissime piscine » des parents d’un tel sur l’île de Ré, le « mariage  d’Arnaud et Bénedicte avec une météo bretonne » ou encore les dernières photos de vacances de Sophie Marceau.

Pourquoi me priverais-je de tous ces petits échos illustrés postés par les gens que j’aime ? Je m’y suis donc mise, en créant mon compte. Oh, rassurez-vous, je ne commente pas encore ce que je vois défiler! Pour l’instant, je guette…, j’observe …, je me pâme…, j’adore !
Une chose est sûre: je ne manque plus rien! Ni les photos de mes Petits-Enfants, ni celles des meilleurs moments que mes amies partagent avec leur propre tribu, où qu’elles soient. Un peu plus et – si j’osais! – je pourrais donner mon avis sur le papier peint anglais choisi par Sybille pour sa chambre d’amis, ou faire signe « virtuellement » à une ancienne copine de promo réapparue comme par miracle sur une photo avec son chat …le tout grâce à Instagram ! Inutile de vous dire que j’ai enfin le sentiment d’être dans le coup …ou en tout cas d’être un peu moins préhistorique qu’avant !

Si vous saviez le temps que je passe à suivre les comptes de mes enfants et Petits-Enfants, à m’intéresser à ce qu’ils aiment, à sourire devant celui de Grand-Mercredi, qui me ressemble tant.

Dans mon top 5 figurent aussi les comptes de bibliophiles addictifs : librairie.tirelire (tapez exactement ce nom là dans la barre de recherche de votre application et vous tomberez sur leur compte), la fine équipe de L’École des loisirs bien sûr, mais aussi l’excellent Foodbites, les seuls à avoir imaginé des assiettes capables de faire aimer les légumes à nos Petits-Enfants ! Je ne vous parle même pas des idées de voyages et de petits séjours idylliques que je pioche notamment sur le fil du Lonely Planet.

Le must restant bien sûr d’être la première au courant – ou presque ! – dès que l’un de mes enfants accomplit un exploit, ce qui fait instantanément de moi une groupie.

En résumé, Instagram et moi ne faisons plus qu’un et j’y figure sous mon vrai nom ce que je vous conseille de faire également, pour que que vos anciens camarades vous retrouvent plus facilement.

PS : Instagram : mode d’emploi

 

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