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J’ai perdu de vue mes Petits-Enfants ! Jusqu’au jour où…

Je suis Grand-Mère mais c’est bien simple : je ne me souviens pas de la dernière occasion  que j’ai eue de voir mes Petites-Filles.

Nous ne sommes pas fâchées pour autant, mais je n’ai pas la chance de pouvoir en profiter. D’ailleurs, je ne profite pas non plus davantage de ma fille. Je précise que nous vivons à 500 kilomètres l’une de l’autre : moi dans le Sud, elle dans le Nord.

Mes Petites-Filles ne sont présentes dans ma vie qu’au travers des photos que j’ai dans mon ordinateur ou sur le réfrigérateur. Alors, dans ce tableau peu glorieux, je reconnais qu’il leur arrive de me téléphoner ; pas régulièrement, certes, mais de temps en temps.

Quand j’entends mon téléphone sonner et que je vois s’afficher la photo de l’une de mes Petites-Filles, j’en ai les larmes aux yeux. Parce qu’elles me manquent. J’ai l’impression de passer à côté de leur jeunesse, à côté de ma vie de Grand-Mère.

Essilor

Et puis, un jour, je me suis dit que le seul obstacle qui nous séparait était la distance.
Alors pourquoi ne pas me rapprocher d’elles ? Pourquoi ne pas redémarrer une nouvelle vie, moi qui n’ai finalement aucune contrainte là ou je vis. Je n’ai ni maison sur les bras, aucun emploi, et encore moins de mari (je suis séparée depuis plus de 10 ans).

Bien sûr, j’ai des amies auxquelles je tiens, des commerçants incroyables que je connais depuis 15 ans et j’adore mon village. Je m’y sens bien.
Mais aucun de ces éléments ne fait le poids face à la possibilité qui s’offre à moi de voir tous les jours mes Petites-Filles.

Alors, un matin, il n’y a pas si longtemps, j’ai téléphoné à ma fille et pris mon courage à deux mains. Sans donner l’impression de m’imposer dans leur vie , ma décision était prise : je voulais emménager à côté d’elles.

Leur réaction ? Ma fille était aux anges. Nous n’avons rien dit à mes Petites-Filles : ce sera leur surprise à la rentrée. En attendant, je cherche un logement, et passe mes journées à imaginer à quoi ressemblera ma nouvelle vie de Grand-Mère.

Pleine de bonheur, j’imagine, et d’innombrables joies…

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Avoir ses petits-enfants en vacances c’est une vraie responsabilité, Grand-Mercredi a préparé pour vous un petit mémo avant départ :

1. De l’énergie, de l’énergie ! Il va vous en falloir alors n’hésitez pas à bien vous reposer avant leur arrivée

2. Une pharmacie  » en cas de bobos » car on ne sait jamais ce qu’il peut arriver

3. Des numéros de téléphone d’urgence toujours en évidence (Péditatre du village, pharmacie de garde et Pompiers)

4. Un téléphone évidemment en état de marche avec un niveau de batterie systématiquement au dessus de 30%

5. et un contrôle de tous les endroits dangereux de votre maison : les petits comme les grands peuvent se faire mal.

Et enfin un petit Kit réservé aux Grands-Parents responsables à se procurer absolument ici :

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Vous allez certainement me juger, mais surprise cette année, je ne partirai pas en vacances avec mes enfants et mes Petits-Enfants. Depuis toujours, nous avons l’habitude de nous retrouver à la maison la première quinzaine d’Août. Mais cette année, contre toute attentes, j’ai dit non.

Non aux déjeuners à rallonge, non aux réveils matinaux, non aux drames et caprices des uns et des autres.

J’adore enfin j’adorais ces deux semaines de vacances mais je ne me sens pas coupable non plus d’avoir annuler.

En effet, toute l’année je suis corvéable à merci. Quand je dépose l’un de mes Petits-Enfants à l’école, j’en emmène un autre au cours de judo et quand l’un d’entre eux est malade, a votre avis qui le garde ? C’est moi.

Alors je suis épuisée. Epuisée parce que toute l’année je n’arrête pas.
Il est donc vital pour moi de me reposer cette année et je n’ai pas d’autres choix que d’annuler ces vacances.

Lorsque j’ai annoncé ma décision à mes enfants, ils ne l’ont pas compris. Ils n’ont pas compris que c’était pour mon bien, pour me préserver.
Ils l’ont pris comme une mauvaise surprise c’est certain.

Alors aujourd’hui je n’ai qu’une seule crainte, c’est qu’ils ne viennent plus jamais passer des vacances chez moi dans leur maison.

Je suis certaine que vous connaissez cette crainte lorsqu’on est Grand-Mère est qu’on dit Non, juste une seule fois. La crainte de ne plus voir ses enfants et ses Petits-Enfants.

Pourtant ça n’arrivera pas c’est ce que je me dis. Mais quand je vois la réaction de mes enfants lorsque je leur ai parlé des vacances… le doute subsiste.

En attendant, j’assume pleinement ma décision. Je compte me reposer, profiter de mon mari, de mon jardin et de longues après-midi reposantes. Bien entendu, la maison risque de ma paraître vide. C’est bien pour ça que j’ai invité un couple d’amis (SANS ENFANTS) à venir quelques jours…

Et ça je ne l’ai pas encore dit à mes enfants !

Nous sommes le Dimanche 17 Juin. C’est la fête des Pères et cette année j’avais décidé de marquer le coup. J’avais invité ma fille, mon gendre et leurs 3 enfants à déjeuner ! Une grande première. Et bien mal m’en a pris, ce fut un échec.

Pourtant j’avais mis les petits plats dans les grands comme on dit, dressée une jolie table dans la salle à manger, acheté des fleurs et évidemment j’avais un cadeau pour Philippe mon gendre.

Ce que je n’avais pas anticipé c’est qu’il serait de si mauvaise humeur. A 13h30, au bon milieu du repas, ils sont tous repartis. Quel effroyable déjeuner quand j’y repense.

Il n’y a pas eu de crise pour expliquer ce désastre mais de fil en aiguille, la pression est montée, le tout combiner avec des Petits-Enfants bien agités, vous obtenez un déjeuner raté.

Pourtant, je dois dire que si je n’ai jamais entretenu des relations incroyables avec mon gendre, nous n’avons jamais eu de mauvais rapports non plus. Disons que jusqu’ici les relations étaient cordiales.

Mais là, je crois pouvoir dire que nous sommes fâchés en tous les cas moi je le suis et n’en déplaise à ma fille. Je n’ai jamais supporté le manque d’éducation et ce n’est pas à mon âge que je vais commencer à l’accepter. Croyez-moi je ne suis pas prête de l’oublier ce Dimanche.

Dès le lendemain, ma fille me harcelé au téléphone pour s’excuser. Je lui répondais qu’elle n’y était pour rien. Mon genre ne m’a pas passé le moindre coup de téléphone.

Et si moi je suis peut-être prête à lui pardonner son attitude, croyez-moi, mon mari ne l’est pas.
Lui qui est pourtant assez sanguin, il est resté bouche bé. N’a rien dit. Ne l’a pas poursuivi dans l’entrée pour lui dire ce qu’il pensait de son attitude. Il est resté paralysé devant le comportement de son gendre.

Dans le fond, je suis triste. Car les seules personnes qui vont souffrir de ce comportement c’est ma fille et mes Petits-Enfants. Je crois pouvoir dire que je ne suis pas prête de les revoir.

Un jour peut-être mon gendre parviendra à se contrôler, peut-être qu’il apprendra aussi à s’excuser.
En attendant, je plains toutes les mamans qui comme moi entretiennent des relations houleuses avec leur belle-fille ou avec leur gendre !

Dans ma famille, il y a une tradition que j’ai imposée à tous mes Petits-Enfants et croyez-moi, ils ne sont pas prêt de déroger à la règle.
Cette règle est simple : toutes les révisions pour un examen se passe à la maison. Brevet ou Baccalauréat, c’est chez Mamie qu’on révise !

Il faut dire que je suis professeur, enfin je l’étais, je suis aujourd’hui retraitée. Alors pas question de les laisser réviser dans leur coin et cette année j’ai eu la chance de pouvoir aider mes deux Petits-Enfants qui passaient le bac en même temps !

Ce fut des moments inoubliables. D’abord, parce qu’ils sont plutôt de bons élèves mais surtout parce qu’ils ont tous les deux un profil scientifique alors que moi leur Grand-Mère, j’étais professeur de Lettres.

Et le hasard fait parfois bien les choses car les seules lacunes qu’ils avaient tous les deux c’étaient bien entendu en philosophie.

On en a eu des discussions sur les thèmes du bonheur ou de l’amour, sur l’œuvre de Platon ou de Spinoza. Des discussions interminables je dois dire mais tellement enrichissantes ! Des révisions qui je l’espère porteront leurs fruits !

Et puis est venu le jour de l’épreuve.
Je crois pouvoir dire que j’étais plus stressée qu’eux. C’est bien simple je n’ai pas fermé l’œil de la nuit et quand enfin je réussissais à dormir je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le pire ! Pourvu qu’ils n’aient pas une panne de réveil, pourvu qu’ils ne fassent pas de hors-sujet. Une nuit que je ne suis pas prête d’oublier croyez-moi.

Dès l’épreuve terminée, ils m’ont téléphoné pour me rassurer. Nous avons pu ensuite discuter des sujets qu’ils avaient choisi. Chacun avait pris un thème différent. Pour Alexandre, « La culture nous rend-elle plus humains ? », Et pour Jean, « Peut-on renoncer à la liberté ? ». Vaste sujet !

Même si je suis habitué depuis le temps que ces révisions se passent à la maison, vient désormais un moment que je redoute particulièrement. La très longue attente des résultats. Ce n’est pas pour tout de suite… Même je suis certaine qu’ils seront bacheliers, cela ne m’empêche pas de prier très fort pour qu’ils obtiennent une mention ! Ce serait le plus beau cadeau qu’il pourrait faire à leur Grand-Mère.

Rendez-vous le 6 Juillet pour les résultats !

C’est le cœur lourd que j’écris ces quelques lignes. Et pour cause, ma fille aînée vient de m’apprendre une triste nouvelle qui me fend le cœur. Cette année, pour la première fois, mes 3 Petits-Enfants, ses enfants, ne partiront pas en vacances.

Entre son travail, celui à mi-temps de son mari, des vacances étaient pour eux cette année inenvisageables.
Alors j’ai pris les devants et j’ai décidé d’emmener mes trois Petits-Enfants deux jours dans un célèbre parc d’attraction à côté de Paris.

« Cet été, mes Petits-Enfants ne partiront pas en vacances » c’est du passé !

Quand j’ai annoncé cette décision à ma fille, elle a fondu en larme.
Il faut dire que je n’étais jamais parti seuls avec eux. Mais compte tenu de la situation, je n’avais pas le choix et imaginer mes Petits-Enfants dans leur maison pendant tout l’été c’était simplement hors de question.

Je suis très excitée par ces vacances mais aussi très angoissée. C’est dans ma nature. Il faut dire que mes Petits-Enfants, niveau âge, c’est un peu le grand huit. Ils ont entre 5 et 15 ans pour le plus âgé.

Et même si tous les 4 nous nous entendons très bien, force est de reconnaître que je dois me préparer à tous les cas de figures : les caprices des plus petits, et les crises du plus grand, en pleine adolescence.

Pour ça, j’ai pu compter sur mon genre, un papa en or. C’est lui qui a tout organisé pour que ce voyage se passe bien. Il a imprimé l’itinéraire, réservé une place de parking, il s’est renseigné sur les hôtels, les restaurants. Il a tout anticipé pour que je me sente moins anxieuse.

Mais cela ne m’a pas empêché d’envisager le pire, c’est comme ça c’est dans ma nature encore une fois. J’ai donc demandé à mon mari de déposer la voiture chez le garagiste pour qu’il fasse une révision totale ! Pire encore, j’ai deux trousses de secours pleines à craquer pour parer à tous les bobos ! Et depuis quelques jours, je me forme même aux gestes des premiers secours.

N’en déplaise à ma fille qui trouve que j’en fait trop, on est jamais trop prudente lorsqu’il s’agit de la santé et surtout de celle de ses Petits-Enfants.

Le plus difficile dans tous ça, c’est l’attente. Nous ne partons que dans un mois, et je suis très impatiente de passer ces instants privilégiés avec mes Petits-Enfants. J’ai surtout hâte de voir leur réaction car bien entendu c’est une surprise !

Samedi 16 Juin, il est presque midi à ma montre et il règne une excitation hors-norme dans mon petit salon.
Déguisement bleu blanc rouge, drapeau de la France et maillot de football sur les épaules, mon fils et ses enfants ne tiennent plus en place.

Il faut dire que dans quelques minutes sera donné le coup d’envoi du premier match de l’équipe de France.

En soit, le foot et moi ce n’est pas une grande histoire d’amour. Mais pour mon fils et mes trois Petits-Enfants c’est l’inverse. C’est leur passion et pour rien au monde ils n’auraient manqué ce premier match.

Cette Coupe du Monde j’y ai vu une formidable occasion. Celle de pouvoir rassembler ma famille et de regarder les matchs tous ensemble réunis à la maison. Non pas tous les matchs (heureusement) mais ceux de l’Equipe de France.

Pour profiter de mes Petits-Enfants, j’ai alors pris mon rôle très au sérieux.
Il faut dire que je ne connaissais strictement rien au football, la seule chose que je savais, c’est que nous avions gagné la coupe du monde, ça oui quand même je m’en souvenais.

Alors qu’aujourd’hui je pourrais vous expliquer sans problème, la règle du hors-jeu, vous dire qui sont les meilleurs joueurs de notre équipe voir même dans quels clubs ils évoluent toute l’année.
Mon secret pour devenir incollable en football ? Mes Petits-Enfants, assurément des professeurs en or.

Pour que je sois au niveau, ils m’ont tout expliqué avec une patience à toute épreuve.

Comme me le disais Jean, l’ainé de mes Petits-Enfants, « maintenant que tu t’y connais enfin en football, il serait grand temps que tu apprennes à jouer ». Oui Oui, ils sont convaincus que je vais apprendre à jouer ! Regarder les matchs avec eux OUI mais de-là à me transformer en joueur de football là non jamais ! Il en va de ma santé.

En somme, cette coupe du monde c’est un formidable moyen de partager un moment en famille et de profiter de mes Petits-Enfants et de leur bonne humeur tant que l’Equipe de France continue de gagner bien entendu.

Il y a quelque temps, la maison s’est brusquement vidée ! Mais ça c’était avant l’apparition de mon Petits-Fils, Jean.
Enfin, et bon débarras. Un réel soulagement pour nous les parents de 6 enfants. Un soulagement certes et une sensation assez étrange je dois bien le reconnaître.

Nous n’avions jamais vécu dans une maison aussi silencieuse. Jamais la maison n’avait été aussi propre et bien rangée. Non jamais, mais ça n’a pas duré. Mon premier Petit-fils, jeune étudiant se présente un matin à la porte. Il a l’air perturbé. Il m’explique que s’il veut intégrer l’école de ses rêves, il ne pourra pas se loger en ville et sur son futur campus ? il est plein bien entendu.

Le lendemain, il emménageait à la maison.
Nous étions très heureux de pouvoir l’accueillir pendant une année entière, assez fiers aussi de pouvoir lui rendre ce service. Et puis c’est pour la bonne cause : lui qui rêvait depuis tout gamin de devenir ingénieur nous n’allions pas le priver de cette chance.

La semaine nous le voyons très peu. Celle qui profite le plus de lui c’est la bibliothèque de son école. Il y passe le plus clair de son temps. Le matin, nous avons tout de même un rituel. Un moment que, pour rien au monde, je ne manquerai. Le Petit-Déjeuner en tête-tête.

C’est d’ailleurs à ce moment de la journée que je réalise combien je suis une Grand-Mère privilégiée.

Lorsque nos enfants ont appris que Jean, notre Petit-Fils, venait vivre chez nous, ils ont été surpris.
Mais ses parents vivant à 500 kilomètres de là, ils n’y avaient pas d’autres solutions.

Alors, maintenant que nos enfants sont grands et n’habitent plus avec nous, avec mon mari nous avons décidés de mettre en place la chose suivante : nous accueilleront à bras ouvert tous nos Petits-Enfants qui le souhaitent à une seule condition : qu’ils continuent leurs études le plus longtemps possible.

J’ai tellement regretté vous savez de ne pas avoir fait de longues études, même si à mon époque cela était bien différent mais tout de même ma vie aurait été plus agréable. Alors je les pousse à étudier et réaliser de grandes choses.

Et puis, j’ai la chance d’avoir des Petits-Enfants très bien élevés, aimants et serviable ! Comme ce jour où Jean nous avait invité à diner et cette autre fois où il avait passé des heures en cuisine pour nous remercier de l’avoir supporté pendant sa période d’examen !

Oui. Si c’était à refaire.

Je le referai !

Ma fille m’a fait le plus beau des cadeaux. Elle m’a offert une merveilleuse Petite-Fille, prénommée Valentine. Toutes les trois nous vivons une relation fusionnelle. Et puis un jour ma fille m’a annoncé une grande nouvelle, une nouvelle qui m’a émue aux larmes.

Nous sommes un Samedi matin, et comme tous les week-end Valentine et elles me font l’honneur de venir partager le Petit-Déjeuner. Des leur arrivé, je ressens quelque chose d’étrange. Ma fille est d’ailleurs très agitée elle qui est pourtant si calme.

Je remarque immédiatement la présence d’un cadeau dans sa main. Ce n’est pas mon anniversaire, la fêtes des mères est passée, celle des Grand-Mères également. J’ouvre finalement mon cadeau et je tombe littéralement des nues.

C’est un livre mais pas n’importe lequel, c’est un livre que ma fille à écrit. Il est signé de son nom. Elle a donc réussi à trouver un éditeur. Je ne comprends pas immédiatement la situation et puis, en me ressaisissant, je réalise que je suis l’héroïne de son livre. Quel incroyable honneur tout de même.
Ce livre est titré « Ma mère une Grand-Mère en or »

Je ne découvre pas que ma fille écrit. Je le savais depuis toujours et elle écrit bien, bien mieux que moi c’est certain. Ce que je découvre c’est qu’elle a réussi à trouver un éditeur et ça c’est génial.
Surtout qu’il ne s’agit pas de son métier à la base, elle est comptable.

Comme vous pouvez vous en douter, je l’ai littéralement dévoré.
Il raconte les relations d’une mère avec sa fille, d’une Grand-Mère avec sa Petite-Fille.

C’est incroyable de pouvoir lire un livre qui parle de vous ou de vos enfants. Et quand en plus c’est votre fille qui l’a écrit…

Ce que je trouve génial dans l’histoire de ma fille c’est que pour la petite Valentine, ces quelques pages sont des souvenirs pour la vie. Je n’ose m’imaginer sa réaction le jour où elle sera en âge de lire ce livre et de le comprendre. Elle ne pourra qu’être fière de sa mère et autant que moi, je suis fière de ma fille.

Je sais qu’elle écrit et travaille sur un autre projet littéraire. Peut-être le tome 2 de nos aventures ? J’en rêve secrètement…

Alors quand je lis à droite ou à gauche des articles qui parlent du burn-out des parents, je me dis qu’il existe aussi chez nous, les Grands-Parents.

Avec mon quotidien, c’est bien simple, un jour j’ai failli exploser et tout plaquer.
Entre mes enfants qui ont besoin de moi pour accompagner ou garder leurs enfants, entre mon mari qu’il faut bien nourrir et mon dieu qu’il est gourmand et exigeant et mon travail…

Je ne suis même pas fatiguée mais littéralement épuisée. Je ne sais plus où donner de la tête.
Oui j’en suis la preuve vivante. Il n’y a pas que les parents qui peuvent être touchés par le burn-out.

En même temps, en voyant le programme de mes journées je ne vois pas comment je pourrais éviter ce burn-out.
Le lundi soir et chaque semaine, j’ai mes deux Petits-Enfants à dormir, les deux plus grand.
Ils sont ados et croyez-moi ils sont loin d’être calmes !

Le lendemain rebelote et cette fois-ci, mes deux plus petits enfants viennent me rendre visite.
A leurs âges il n’est pas rare qu’ils se réveillent en pleine nuit, et moi aussi.
Pas simple de se rendormir, résultat, ils terminent bien souvent dans mon lit.

La semaine continue et le jeudi soir, mes 3 enfants sont réunis à la maison pour notre dîner hebdomadaire, un bon moment en famille en somme.
Sauf qu’il faut bien les nourrir et à peine suis-je rentré du travail, qu’il faut déjà se mettre en cuisine.

Alors oui, personne ne m’oblige à mettre chaque semaine les petits plats dans les grands, mais c’est aussi mon plaisir à moi.
Le plaisir d’une mère qui adore gâter ses enfants !

Croyez-moi quand vient la fin de la semaine et que mes enfants ont encore besoin de moi pour se rendre chez le dentiste ou aller chercher un tel à la sortie de son activité préférée… je ne sais plus où donner de la tête.

Je suis très heureuse et je mesure chaque jours la chance que j’ai d’être aussi bien entourée. Parfois, je voudrais bien aussi avoir des moments à moi, des moments pour souffler, des instants pour profiter de ma vie de femme.

Bêtement je n’ose pas dire non et j’accepte sans doute trop facilement les nombreuses sollicitations de mes enfants. Le point d’amélioration se situe clairement là. Que j’apprenne à dire Non sans me sentir coupable !

Le Grand-Père le plus chanceux, c’est lui ! Voici l’histoire incroyable mais vraie de James. Ce récit va illuminer votre journée, nous n’en doutons pas !

Une première journée tout à fait spéciale pour cette histoire hors normes

James, un Anglais de 62 ans, n’est pas près d’oublier cette journée du samedi 5 juin. Elle marque en effet pour lui le commencement d’une nouvelle vie, en quelque sorte.

# Une incroyable journée qui avait commencé de façon on ne peut plus banale

Il est 17 heures et comme tous les jours, assis dans le rocking chair en rotin de son salon, James profite d’une tasse de thé et d’un moment solitaire pour faire ses mots croisés. Pour rien au monde il ne dérogerait à ce petit moment à lui. Il en a besoin quotidiennement pour se ressourcer.
Ce samedi 5 juin, ce moment d’accalmie est rapidement interrompu par Debby sa fille unique de 25 ans. Elle fait irruption dans la pièce. James est surpris de sa venue soudaine : sa fille ne s’était en effet, pas annoncée au préalable ! Il devine à son visage qu’elle a nouvelle à annoncer. Une de ses grandes nouvelles qui n’ont pas lieu souvent dans une vie.

# La promesse d’être Grand-Père pour la première fois : quel choc heureux !

Debby, qui n’est pas du genre à tourner autour du pot, se lance, sans ménager son père. Elle est enceinte. Il va devenir Grand-Père pour la première fois. Des larmes, et de longues accolades suivirent ce moment inoubliable. Malgré le divorce de ses parents il y a un peu plus de 10 ans, Debby et son père sont restés très proches.

Si notre histoire s’arrêtait là, elle n’aurait rien de particulièrement extraordinaire. Lisez-donc la suite…

Lundi 7 juin : deuxième journée incroyable pour James

Ce lundi 7 Juin, seulement deux jours après l’incroyable annonce que lui a faite sa fille, James est à nouveau béni des dieux. Margareth, sa seconde épouse, a elle aussi une incroyable nouvelle à lui annoncer.
Elle a 40 ans et attend leur premier enfant. Elle qui désespérait de pouvoir porter le fruit de leur amour n’en revient pas. Et James non plus. Ils s’écroulent tous les deux en larmes. De joie.

Et notre histoire peu commune ne s’arrête pas là…

9 mois plus tard : conclusion de cette histoire incroyable mais vraie vécue par James

9 mois plus tard, dans le hall de l’hôpital de Westminster, un homme fait les 100 pas. Cet homme si agité, c’est James. Il faut dire qu’au service maternité, chambres 46 et 49, les deux femmes de sa vie sont en plein travail. A cet instant, James est tendu. Lui, l’éternel pessimiste, sait qu’il pourrait tout perdre en un rien de temps. Ou bien tout gagner. Il ne sait que penser, en vérité, tant les émotions se bousculent dans sa tête. Il se demande aussi s’il va devenir Grand-Père en premier, ou bien, père pour la seconde fois. Quelle situation déroutante et singulière !

# « It’s a boy ! » : James est père une seconde fois

Les minutes défilent, et l’agitation qui règne autour de lui ne soulage en rien son anxiété. Mais la délivrance est proche. 14h53 : « It’s a boy ! ». Le petit Mike pointe le bout de son nez pour le plus grand bonheur de James et… de sa femme Margareth.

# « It’s a girl ! » : le même jour, James devient Grand-Père. Quelle histoire fantastique !

Deux heures plus tard, alors que le petit Mike profite d’une première sieste, blotti dans les bras de sa mère Margareth, et sous le regard attendri de son père, une infirmière vient prévenir James de la deuxième grande nouvelle du jour. Il est Grand-Père d’une petite Lily.
Père et Grand-Père le même jour ! Les 9 mois de grossesse de sa femme et de sa fille n’ont pas été de trop pour se préparer à cela !

Cette incroyable histoire fut aussi une grande première pour l’hôpital et son personnel. Eux non plus n’avaient jamais connue une telle situation.

Depuis, James a réappris à devenir père, et a également appris à devenir Grand-Père.

Longtemps, je me suis dit que voyager au bout du monde avec mes Petits-Enfants n’avait rien de raisonnable. Voire tout d’irréel. Mais ça, c’était avant de découvrir l’agence de voyages parfaite. Celle qui, en toute fluidité, vous ficelle le circuit idéal ou le séjour sur-mesure dont rêve chaque Grand-Mère…dans la limite du temps et de l’énergie disponibles (1 semaine = la durée parfaite).

Le secret de cette agence repose sur un ingrédient magique : la présence, partout sur la planète, de 1,000 experts locaux avec lesquels orchestrer en direct les vacances que l’on souhaite. Grâce à eux, plus rien n’est un casse-tête : ni la chambre à 5 lits simples, ni la balade à dos d’âne dans la pampa, encore moins la séance plongée à Cuba. Un fantasme qui a un prix ? Même pas ! Evaneos s’adapte à TOUS les budgets, et garantit aux maniaques que nous sommes la présence sur place du même correspondant avec lequel on a échangé. Joignable tout au long du séjour, il a toujours la solution.

Et parce que Grand-Mercredi sait que nous sommes des globe-trotteuses dans l’âme, ils sélectionneront chaque mois pour nous une ou plusieurs destinations. Il ne vous restera donc plus qu’à choisir la formule qui convient le mieux à toute votre tribu ! Ce mois-ci, direction…l’Italie ! Pour ma part, j’ai un faible pour les Cinq Terres, destination bénie des familles…et des porte-monnaie (700€ pour 7 jours !). Granny a dit : faites vos valises ! C’est parti…. !


Je me revois encore en train de réfléchir à voix haute : « Il est où, déjà, le fermier le plus proche ? ». Lasse des canards du petit lac, Chloé ne me demandait qu’une chose : les animaux. Les vrais. Pas les pigeons, pas le chat de la gardienne, ni le hamster de sa grande cousine. Encore moins l’ours au pelage synthétique reproduit dans son imagier lu et relu 100 fois. Et là, soudain, éclair de génie d’une Granny rodée à l’exercice : LA carte. Celle sur laquelle on repère en un clin d’œil les agneaux juste nés, les chèvres pas farouches, les lapins aussi fans de luzerne que de mains potelées et malhabiles.
Comme il n’est pas impossible, que très bientôt vos enfants vous confient leur progéniture avec zéro idées d’activité en stock et une formule que j’entends d’ici « Emmène les faire plein de choses ! », mes petits jeunes ont pris les devants en imaginant des cartes toutes simples à avoir sur son portable ou imprimer pour repérer les meilleures adresses de la ville.

Bonus pour les reines de l’orientation que vous êtes : Grand-Mercredi et moi-même vous offrons également les cartes des manèges, celle des glaciers les plus irrésistibles de la capitale et – l’espoir fait vivre – des activités idéales pour les jours de pluie. Ouf ! ça va mieux, tout à coup !


Dans notre famille, il y a une tradition que j’ai imposée à tous mes Petits-Enfants au moment du Bac et croyez-moi, ils ne sont pas prêt de déroger à la règle. Cette règle est simple : toutes les révisions se passent à la maison, chez Mamie  !

Il faut dire que je suis professeur, enfin je l’étais, je suis aujourd’hui retraitée. Alors, pas question de les laisser réviser dans leur coin ! Cette année j’ai eu la chance de pouvoir aider mes deux Petits-Enfants qui passent le Bac en même temps.

Ce fut des moments inoubliables. D’abord, parce qu’ils sont plutôt de bons élèves, mais surtout parce qu’ils ont tous les deux un profil scientifique alors que moi leur Grand-Mère, j’étais professeur de Lettres.

Et le hasard fait parfois bien les choses, car ils ont surtout des lacunes en philosophie ! J’ai donc pu les aider à travailler. On en a eu des discussions sur les thèmes du bonheur ou de l’amour, sur l’œuvre de Platon ou de Spinoza. Des discussions interminables je dois dire, mais tellement enrichissantes !

Et puis aujourd’hui est le jour de l’épreuve tant redoutée.
Je crois pouvoir dire que je suis plus stressée qu’eux. C’est bien simple je n’ai pas fermé l’œil de la nuit et quand enfin j’ai réussi à dormir je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le pire ! Pourvu qu’ils n’aient pas une panne de réveil, pourvu qu’ils ne fassent pas de hors-sujet. Une nuit que je ne suis pas près d’oublier, croyez-moi.

Cette année les conditions n’ont pas été simples avec la pandémie, les cours à la maison, la fermeture des classes … Et puis, l’année dernière ils n’ont pas pu passer les épreuves de français. Pourtant, c’est un excellent entraînement selon moi. J’espère donc que les sujets les inspireront !

Même si je suis habituée depuis le temps que je fais réviser mes Petits-Enfants, vient désormais un moment que je redoute particulièrement. La très longue attente des résultats. Ce n’est pas pour tout de suite… Même je suis certaine qu’ils seront bacheliers, cela ne m’empêche pas de prier très fort pour qu’ils obtiennent une mention ! Ce serait le plus beau cadeau qu’il pourrait faire à leur Grand-Mère.

Rendez-vous le 6 juillet pour les résultats !

Nous sommes le 12 Juin et moi qui suis une heureuse Grand-Mère je ne me doutais pas une seconde que ce cadeau allait changer ma vie.

En effet, pour mes 72 ans, mes enfants et mes Petits-Enfants m’ont fait un cadeau commun génial. Un téléphone portable. J’étais sceptique au début, il faut dire que la technologie et moi c’est une longue histoire et certainement pas d’amour. Je n’ai jamais été très connectée jusqu’ici.

C’est incroyable ce que je pouvais avoir tort moi qui ai toujours refusé d’avoir un téléphone portable ! Car depuis qu’il est à mes côtés, ma vie a changé. J’ai l’impression d’être redevenue Grand-Mère.

Je suis passée du stade de non-connectée au stade de hyper connectée. Il faut dire que c’est un vrai bonheur de pouvoir passer des heures à discuter avec mes Petits-Enfants, leur donner des conseils ou simplement les entendre me raconter leur journée à l’école.

En réalité, j’ai l’impression d’avoir redécouvert mes Petits-Enfants et moi d’avoir ajouté une nouvelle casquette à ma vie de Grand-Mère. Je me sens impliquée comme jamais dans la vie de mes Petits-Enfants mais surtout dans leur quotidien. C’est comme si j’étais avec eux tout le temps.

Vous auriez vu ma tête lorsque j’ai ouvert le cadeau. Je me suis dit quelle jolie attention mais encore un cadeau high-tech et encore un cadeau que je ne pourrais jamais utiliser !

J’étais complètement à côté de la plaque. Finalement, je ne remercierai jamais assez mes enfants et Petits-Enfants de m’avoir offert cet incroyable téléphone car il est différent, différent du vôtre et de tous les autres téléphones qui existent.

C’est un téléphone simplifié.
Il n’y a rien de superflu, quelques touches et c’est tout !
C’est comme, si c’était une Grand-Mère qui l’avait conçu pour que les autres Grand-Mères puissent enfin avoir leurs téléphones !

Mais parmi toutes ces bonnes nouvelles, il y a bel et bien un bémol.
Mon mari n’arrête pas de me téléphoner ! Sans cesse !
Et si rien ne me fait plus plaisir que d’entendre mes Petits-Enfants au bout du fil, en revanche, mon mari… qui me rappelle pour la douzième fois de ne pas oublier sa baguette… !

Chez Grand-Mercredi on a mené l’enquête et ce cadeau révolutionnaire… est à découvrir ici.

Grand-Mercredi pense vraiment à tout ! Découvrez la sélection de jouets indispensables pour que tous vos petits-enfants puissent s’amuser chez vous cet été.

1. Kit de pêche à la ligne en bois (à partir de 2 ans)
La pêche à la ligne, le jeu classique et intemporel qui occupera vos petits-enfants pendant plusieurs heures…
pêche à la ligne Janod

 

Pêche à la ligne canards

 

Jeu de pêche à la ligne

 

2. Draisienne en bois (à partir de 2 ans)
La draisienne apprendra à vos petits-enfants à garder l’équilibre, parfait pour commencer à apprendre les bases du vélo.
Draisienne Janod

 

3. Jeu de quilles champion en bois (à partir de 3 ans)
Un jeu de quilles sur le thème du football idéal pour les petits garçons !
Jeu de quilles

 

4. Mini baby-foot champion en bois (à partir de 3 ans)
Avec ou sans vous,  ce jeu est indémodable et marche de génération en génération. Grand-Mercredi vous conseille de nommer un arbitre !
baby foot janod

 

Qui sinon vous pour leur offrir leur premier diabolo ? Evidemment on compte sur vous pour réviser avant !

 

À avoir dans toutes les maisons de vacances et à sortir sur la place du village en même temps que le jeu de pétanque du grand-père.

 

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