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tous en marche

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Tous en marche !

Que vous soyez Grand-Mère ou Grand-Père, vous me pardonnerez avant tout ce titre un peu facile. Mais cette semaine, je vous donne mes tuyaux pour se mettre « en marche ».
Comprendre : puisqu’ON nous dit et nous répète d’avancer, moi, j’ai décidé de mettre le turbo. Une bonne fois pour toutes, j’arrête de compter sur les autres, (mon gendre, au hasard), j’arrête de renoncer et j’apprends à tout faire moi-même :

– Pour ne plus enrager face à votre ordinateur ou dompter votre smartphone, il existe à Paris et en région parisienne de jeunes, talentueux et patients spécialistes prêts à se déplacer chez vous pour, en vrac, débloquer Skype, vous aider à transférer vos photos ou faire un peu de ménage dans vos fichiers. Rapide, pratique et efficace. Pour prendre rendez-vous, c’est ICI. Mon contact s’appelle Vincent, il est charmant et vous pouvez l’appeler de ma part !
Et si vous vivez en province ou que vous « buggez » sur votre lieu de vacances, appelez donc au secours ces autres pros de l’assistance informatique, qui couvrent toute la France ICI.

Pour savoir enfin tout dessiner (du dragon à la nature morte),  il ne suffit pas de s’équiper comme un pro et d’attendre que vienne l’inspiration. Pour bien faire, Paul et moi avons fait appel à un site qui recense partout en France des professeurs, artistes-peintres, dessinateurs et élèves des Beaux-arts prêts à venir chez vous pour guider dans vos premiers pas créatifs. Et comme ils donnent aussi des cours collectifs, rien ne vous empêche de convier vos Petits-Enfants à une séance artistique en famille ! Notre professeur à nous s’appelle Alice mais si vous voulez trouver le votre ou celui de vos Petits-Enfants c’est ICI.

Pour transporter un meuble ou autre charge lourde, il arrive que votre gendre préféré prétexte une sciatique imaginaire. Je ne parle même pas de votre mari !  Depuis que j’ai découvert ce service, tout devient possible et le joli petit secrétaire que j’avais repéré chez un brocanteur le week-end dernier m’a été livré où je voulais, quand je voulais. Grâce à CE SITE, simplissime d’utilisation et adapté aussi aux petits budgets. Vous pouvez les appeler à ce numéro :09 70 73 10 44 Ils sont professionnels et fiables et viennent où vous voulez pour livrer !

Pour tout réparer à la maison, par moment, je me dis que nous aurions dû avec Paul passer un diplôme en BTP.
N’étant ni manuels (surtout Paul), ni équipés, nous avons pris l’habitude de sonner chez ces pros de la bricole et de la rénovation. Toutes les infos sont là.

Je vous avais prévenus : quand je dis « En Marche », je ne plaisante pas !

Inscription à la lettre de Granny

Depuis que Grand-Mercredi existe, inutile de vous dire que le mur des lamentations a vu passer pas mal de mamans et de papas aussi désespérés qu’un biberon sans tétine. A force de les écouter – et de les aider – je me suis fait un petit carnet d’adresses spécial « urgences vitales », que je partage ici avec vous.
On ne sait jamais…ça peut toujours servir !

– Symptôme : « J’en peux plus ! Mon bébé ne dort pas ! ». Solution : la Fée Dodo. Aude, de son vrai nom, a une voix et des mots magiques. En douceur, main dans la main avec les parents, elle réussit à mettre le doigt sur ces infimes petites choses qui font que votre petit-fils/petite-fille chéri(e) transforme les nuits de ses parents en cauchemars. Et hop ! Après une consultation, le calme revient dans la maisonnée. Le rêve. Enfin. Appelez-la de ma part ICI.

– Symptôme : « Il/elle n’arrête pas de faire des caprices: c’est la guerre ! ». Solution: une équipe de choc. Clémence et Aurélie sont deux psychologues cliniciennes spécialisées dans le coaching parental, qui n’hésitent pas à se déplacer chez les parents pour dénouer les crises les plus insolubles. Leur ennemi: le conflit. Leur objectif: l’épanouissement de toute la tribu. La fille de mon amie Nicole, au bord du burn out maternel avec ses jumeaux montés sur ressorts, a testé : depuis, elle revit ! L’équipe de choc répond ICI.

– Symptôme : « Le pédiatre/l’ophtalmo/le dermato/le dentiste ne répond jamais au téléphone ! ». Solution: la prise de rendez-vous sur internet. Il existe un site réservé aux praticiens (généralistes ou spécialistes) ayant adhéré à ce secrétariat d’un nouveau genre qui permet aux parents de booker leur rendez-vous directement du bureau, et de vérifier en un coup d’oeil les disponibilités de leur doc préféré ! Rapide et surtout discret. Rendez-vous ICI.

– Symptôme : « Mon ado se rebelle ! ». Solution : des conseils imparables. Qu’il s’agisse d’apaiser les tensions ou de renouer le contact avec un enfant en pleine crise, on trouve sur ce site toutes les clés pour savoir comment réagir. Et même des infos malines sur ce que cette génération aime…et déteste !

J’espère avoir tenu ma promesse avec cette newsletter 100% généreuse et truffée de vrais bons conseils.
A consommer sans modération par toute la famille…

Inscription à la lettre de Granny

Vous qui êtes toujours prêt à faire des dizaines de kilomètres pour aller chercher vos Petits-Enfants, les déposer à leur activité préférée. Vous qui ne comptez pas les aller-retour en voiture…

Et vous qui faites preuve d’une patience sans limite. Et que dire de votre bienveillance à leurs égards ? Résultat, vous êtes bien souvent leurs confidents, ceux vers qui ils se tournent lorsqu’ils sont tracassés.

Pendant des heures, vous êtes capable de cuisiner, de jouer avec eux, ou simplement de leur lire des histoires.Avec le temps, vous avez même appris à leur dire non, toujours un crève-cœur, mais vous le faites malgré tout, c’est pour leur bien.

Vous êtes aimant et attentif. Vous n’avez qu’un seul rêve, que vos Petits-Enfants réussissent leur vie, qu’ils soient heureux, aimant et aimés. Alors pour toutes ces qualités uniques qui vous caractérisent, Grand-Mercredi s’est dit que vous méritiez bien un journal. Un journal rien qu’à vous. Réservé aux Grands-Parents. C’est votre journal, celui que vous lirez et que vous garderez.

Et comme chez Grand-Mercredi on fait toujours les choses en GRAND, ce journal vous sera livré chez vous à domicile. Il suffit de s’inscrire ici en quelques clics seulement.

C’est totalement GRATUIT un point c’est tout. Gratuit mais pourquoi ? Parce que c’est notre cadeau, notre manière de récompenser tous les Grands-Parents qui se dévouent corps et âme pour leurs Petits-Enfants.

Non, ne nous remerciez pas. Enfin si, si vous vouliez nous remercier, soyez les plus nombreux possibles à vous inscrire, en cliquant ici.

A l’occasion de son anniversaire, célébrons ensemble l’immense carrière de Michel Polnareff, un artiste au talent indescriptible. Revenons sur ses principaux succès, des succès qu’il convient de transmettre à ses Petits-Enfants.

Nouveauté du moment et incontournable : Découvrez sans plus attendre le journal de Grand-Mercredi Réservé aux Grands-Parents et GRATUITEMENT livré chez vous !! Pas encore inscrit ? Cliquer sur ce lien 📷

Lettre à France, Michel Polnareff
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Il était une fois
Toi et moi
N’oublie jamais ça
Toi et moi

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi tout bas
Tu es à six heures de moi
Je suis à des années de toi
C’est ça être là-bas
La différence
C’est ce silence parfois au fond de moi

Tu vis toujours au bord de l’eau
Quelquefois dans les journaux
Je te vois sur des photos et moi loin de toi
Je vis dans une boîte à musique
Électrique et fantastique
Je vis en Chimérique
La différence
C’est ce silence parfois au fond de moi

Tu n’es pas toujours la plus belle
Et je te reste infidèle
Mais qui peut dire l’avenir de nos souvenirs
Oui, j’ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
L’amour c’est fait de ça

Il était une fois
Toi et moi
N’oublie jamais ça
Toi et moi

Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi là-bas
Oui j’ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
Je pense à toi tout bas.

GoodBye Marylou, Michel Polnareff
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Quand l´écran s´allume, je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu´on se dit avec les doigts
Et j´envoie dans la nuit
Un message pour celle qui
Me répondra OK pour un rendez-vous

Message électrique quand elle m´électronique
Je reçois sur mon écran tout son roman
On s´approche en multi
Et je l´attire en duo
Après OK, elle me code Marylou

Goodbye Marylou, goodbye Marylou
Goodbye Marylou, goodbye

Quand j´ai caressé son nom sur mon écran
Je me tape Marylou sur mon clavier
Quand elle se déshabille
Je lui mets avec les doigts
Message reçu OK, code Marylou

Goodbye Marylou, goodbye Marylou
Goodbye Marylou, goodbye Marylou
Marylou goodbye, Marylou goodbye

Quand la nuit se lève et couche avec le jour
La lumière vient du clavier de Marylou
Je m´envoie son pseudo
Mais c´est elle qui me reçoit
Jusqu´au petit jour, on se dit tout de nous

Quand l´écran s´allume, je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu´on se dit avec les doigts
Et j´envoie dans la nuit
Un message pour celle qui
M´a répondu OK pour un rendez-vous

Goodbye Marylou, goodbye Marylou
Goodbye Marylou, goodbye…

La poupée qui fait non, Michel Polnareff
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C’est une poupée qui fait non…non…non…non…
Toute la journée elle fait non…non..non…non…

Elle est… elle est tellement jolie
Que j’en rêve la nuit

C’est une poupée qui fait non…non…non…non…
Toute la journée, elle fait non…non…non..non…

Personne ne lui a jamais appris
Qu’on pouvait dire oui.
Non…non…non…non…
Non…non…non…non…

Sans même écouter, elle fait non…non…non…non…
Sans même regarder, elle fait non…non…non…non…

Pourtant je donnerais ma vie
Pourqu’elle dise oui

Mais c’est une poupée qui fait non…non…non…non…
Toute la journée elle fait non…non…non…non…
Personne ne lui a jamais appris
Que l’on peut dire oui…
Non…non…non…non…
Non…non…non…non…

Célébrons ensemble l’immense acteur qu’était Omar Sharif, un talent hors-norme qui a marqué toute une génération. En cette journée hommage, l’occasion de revenir sur ses principaux succès, des films qu’il convient de transmettre à ses Petits-Enfants.

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Le docteur Jivago, Omar Sharif, 1965
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Le docteur Jivago est enrôlé de force dans l’armée au début de la révolution d’Octobre. Commence un long exode qui le sépare de la femme qu’il aime. Ce médecin russe idéaliste sera ballotté dans les remous de l’Histoire, entre une vie conformiste auprès de son épouse et une passion aventureuse avec sa maîtresse.

Lawrence d’Arabie, Omar Sharif, 1963
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En 1916, le jeune officier britannique T. E. Lawrence est chargé d’enquêter sur les révoltes arabes contre l’occupant turc. Celui qu’on appellera plus tard « Lawrence d’Arabie » se range alors du côté des insurgés et, dans les dunes éternelles du désert, organise une guérilla. Personnage brillant mais controversé, il va mener des batailles aux côtés de ses alliés et changer la face d’un empire.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Omar Sharif, 2003
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A Paris, dans les années soixante, Momo, un garçon de treize ans, se retrouve livré à lui-même. Il a un seul ami, Monsieur Ibrahim, l’épicier arabe et philosophe de la rue Bleue. Celui-ci va lui faire découvrir la vie, les femmes, l’amour et quelques grands principes.

76 ans et autant d’années de succès. Harrison Ford est probablement l’un des plus grands acteurs de Cinéma au monde. En cette journée d’anniversaire, célébrons ensemble son immense carrière en revenant sur des films mythiques à transmettre d’urgence à vos Petits-Enfants.

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Apocalypse Now, 1978, Harrison Ford,
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Cloîtré dans une chambre d’hôtel de Saïgon, le jeune capitaine Willard, mal rasé et imbibé d’alcool, est sorti de sa prostration par une convocation de l’état-major américain. Le général Corman lui confie une mission qui doit rester secrète : éliminer le colonel Kurtz, un militaire aux méthodes quelque peu expéditives et qui sévit au-delà de la frontière cambodgienne.

Indiana Jones et la Dernière Croisade, 1989
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L’archéologue aventurier Indiana Jones se retrouve aux prises avec un maléfique milliardaire. Aux côtés de la cupide Elsa et de son père, il part à la recherche du Graal.

Air Force One, 1997, Harrison Ford,
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Apres avoir semé le trouble au Kazakhstan, le général Alexander Radek est capture par un commando russo-americain et jeté en prison. Trois semaines après, le président américain John Marshall reçoit un accueil triomphal a Moscou et lance une solennelle déclaration de guerre au terrorisme. Alors qu’il rentre a Washington a bord de l’Air Force One en compagnie de sa femme, de sa fille et de son cabinet, des terroristes investissent l’appareil et séquestrent les passagers.

6 Jours, 7 nuits, 1998, Harrison Ford,
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A l’origine, cela devait être des vacances de rêves pour Robin Monroe, rédactrice-adjointe d’un grand magazine de mode new-yorkais et le richissime et romantique Frank Martin.
Contrainte de rentrer immédiatement à New-York pour son travail, Robin est ramenée en coucou par le pilote baroudeur et bougon Quinn Harris mais leur avion s’écrase sur une île déserte. Elle découvre alors l’aventure de sa vie et au final l’amour.

Garou fête aujourd’hui ses 47 ans, un chanteur à la voix si envoûtante… Une belle occasion de revenir sur ses principaux succès, des chansons à écouter sans modération avec vos Petits-Enfants.

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Seul, Garou, 2000
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Tant de fois j’ai tenté 
D’aller toucher les étoiles
Que souvent en tombant
Je m’y suis fait mal

Tant de fois j’ai pensé
Avoir franchi les limites
Mais toujours une femme
M’a remis en orbite

Tant de fois j’ai grimpé
Jusqu’au plus haut des cimes
Que je m’suis retrouvé
Seul au fond de l’abîme
Seul au fond de l’abîme

Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit

Celui qui n’a jamais été seul 
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais

Tant d’amis sont partis
Du jour au lendemain
Que je sais aujourd’hui
Qu’on peut mourir demain

On a beau tout avoir
L’argent, l’amour, la gloire
Il y a toujours un soir
Où l’on se retrouve seul
Seul au point de départ

Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit

Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais

Tant de fois j’ai été
Jusqu’au bout de mes rêves
Que je continuerai
Jusqu’à ce que j’en crève
Que je continuerai
Que je continuerai

Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit

Peut-il seulement aimer
Jamais, jamais
Je continuerai
Je continuerai
Peut-il jamais aimer 


Sous le vent, Garou et Céline Dion, 2000,
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Garou: 
Et si tu crois que j’ai eu peur 
C’est faux 
Je donne des vacances à  mon cœur 
Un peu de repos 

Et si tu crois que j’ai eu tort 
Attends 
Respire un peu le souffle d’or 
Qui me pousse en avant 
Et… 

Céline & Garou: 
Fais comme si j’avais pris la mer 
J’ai sorti la grand’voile 
Et j’ai glissé sous le vent 
Fais comme si je quittais la terre 
J’ai trouvé mon étoile 
Je l’ai suivie un instant 
Sous le vent 
Céline: 
Et si tu crois que c’est fini 
Jamais 
C’est juste une pause, un répit 
Après les dangers 

Et si tu crois que je t’oublie 
Écoute 
Ouvre ton corps aux vents de la nuit 
Ferme les yeux 
Et… 

Céline & Garou: 
Fais comme si j’avais pris la mer 
J’ai sorti la grand’voile 
Et j’ai glissé sous le vent 
Fais comme si je quittais la terre 
J’ai trouvé mon étoile 
Je l’ai suivie un instant 
Sous le vent 

Garou: 
Et si tu crois que c’est fini 
Jamais 
C’est juste une pause, un répit 
Après les dangers 

Céline & Garou: 
Fais comme si j’avais pris la mer, 
J’ai sorti la grand’voile, 
Et j’ai glissé sous le vent 
Fais comme si je quittais la terre, 
J’ai trouvé mon étoile, 
Je l’ai suivie un instant, 
Sous le vent. 

Fais comme si j’avais pris la mer, 
J’ai sorti la grand’voile, 
Et j’ai glissé sous le vent 
Fais comme si je quittais la terre, 
J’ai trouvé mon étoile, 
Je l’ai suivie un instant, sous le vent. 

Sous le vent… sous le vent…

Je suis le même, Garou, 2006
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Je suis le même que t’as connu 
celui-là même qui t’a émue 
je suis le même que t’as voulu 
qui malgré lui t’aura déçue 
je suis le même que t’as aimé 

rien de meilleur mais rien de pire 
et le même cœur quoi que tu puisses en dire 
plein de tendresse de maladresse 
je suis le même pour toi 

je suis le même que t’as connu 
qui aujourd’hui avoue se sentir perdu 
je suis le même que t’as voulu 
l’urgence appelle comme un pauvre gars perdu 

je suis le même que t’as aimé 
qui te jure qui n’as pas changé 
je suis le même que t’as aimé 
je suis le même que t’as connu 
c’est bien celui en qui t’as cru 
je suis le même que t’as voulu 
tu es pour lui le seul salut 
je suis le même que t’as aimé 

rien de meilleur mais rien de pire 
et le même cœur quoi que tu puisses en dire 
plein de tendresse de maladresse 
je suis le même pour toi 

je suis le même que t’as connu 
qui aujourd’hui avoue se sentir perdu 
je suis le même que t’as voulu 
l’urgence appelle comme un pauvre gars perdu 

je suis le même que t’as aimé 
qui te jure qu’il n’a pas changé 
je suis le même que t’as aimé 
je suis le même que t’as connu 

qui aujourd’hui avoue se sentir perdu 
je suis le même que t’as voulu 
qui avait mis et dépose son arme a nu 
je suis le même qui te jure qu’il n’a pas changé 

je suis le même que t’as 
je suis le même que t’as 
je suis le mime que t’as aimé

Bernard Giraudeau, aurait célébré aujourd’hui son anniversaire.
Une belle occasion de revenir sur 4 films qui ont marqué toute une génération. Un acteur à l’immense talent qui manque terriblement au cinéma français.
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Papy fait de la résistance, Bernard Giraudeau, 1983
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En 1943, les Bourdelle se voient eux aussi envahis par les Allemands, et se retrouvent logés à la cave. Le fils, Guy Hubert, dissimulé derrière les traits d’un coiffeur, est en fait Super-Résistant, sorte de Zorro du moment, et qui complote contre les nazis.

L’année des méduses, Bernard Giraudeau, 1984
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En 1984, c’est dans le film L’année des méduses que Bernard Giraudeau est de nouveau au cinéma. Dans le film de Christopher Frank il tient le rôle principal de Romain Kalides aux côtés de Valérie Kapriski.

Les spécialistes, Bernard Giraudeau, 1985
Pour visionner un extrait du film : cliquez ici 
En 1985, Bernard Giraudeau fait chavirer le cœur des filles dans le film de Patrice Leconte Les spécialistes. Il partage l’affiche avec un autre charmeur : Gérard Lanvin.

Ridicule, Bernard Giraudeau, 1996
Pour visionner un extrait du film : clique ici
En 1996, Bernard Giraudeau joue de nouveau dans un film de Patrice Leconte, avec Jean Rochefort, Charles Berling et Fanny Ardent. L’histoire replonge les personnages au 18ème siècle et à la crainte obsédante du ridicule.
des questions sur eux-mêmes.

On a tous connu ce sentiment de tristesse, voyant ses Petits-Enfants grandir et tellement vite. Il n’y pas de préavis, ils passent de l’état de bébés à enfant si vite, un changement qui s’accompagne souvent de mélancolie pour les parents et les Grands-Parents.

Et pourtant, de nombreux points positifs sont à retenir. Vous adorez la décoration de votre maison, et vous allez la redécouvrir.
Dites adieu aux protections qui défigurent votre table basse depuis tant d’années, et que dire des sécurités sur les placards de la cuisine.
Ils grandissent ? Bonne nouvelle ! Vous n’aurez plus jamais besoin de fermer à triple tour la porte d’entrée de votre maison.

Vous adorez les jeux de cartes ou les jeux de sociétés ? Vous allez enfin pouvoir jouer avec eux !
Monopoly, ou trivial poursuite… dites adieu aux jeux pour bébés et bonjour aux jeux pour enfants ! Des grands moments de partage vous attendent !
En grandissant, vos Petits-Enfants s’affirment davantage. L’un sera peut-être très doué pour le sport et l’autre pour les arts plastiques.

L’un plus ouvert et l’autre plus sensible, ou les deux. En grandissant, leurs caractères et leurs personnalités s’affirment jour après jour et vous vous prendrez déjà à leur imaginer un avenir heureux et doré. Des Petits-Enfants plus grands c’est aussi le signe d’une grande aide à la maison. Votre Petite-Fille adore cuisiner… Vous ne serez pas contre une petite aide derrière les fourneaux, et un moment de partage unique en perspective.

Idem, si votre Petite-Fille ou votre Petit-Fils adorent le sport… Quoi de plus génial qu’une balade à vélo, ou qu’une randonnée en famille… Autant d’activité difficile à faire lorsque les Petits-Enfants sont encore trop petits.

Alors oui, rien n’est plus mignon qu’un bébé qui apprend à parler ou qui découvre le monde qui l’entoure. Mais en grandissant, des surprises géniales vous attendent, des souvenirs et des moments tout aussi inoubliables.

Après tout c’est le cycle de la vie.

Je suis la Grand-Mère la plus heureuse du monde. J’ai trois adorables Petits-Enfants, ils ont tous entre 4 et 8 ans. Je les aime à la folie et j’ai surtout la chance de les voir très régulièrement puisque leurs parents habitent dans le même village que moi ! Quel bonheur d’être Grand-Mère lorsqu’on est aussi bien entourée.

Alors, je ne compterai pas le nombre de photos que je prends de mes Petits-Enfants… Des milliers certainement. Et moi qui suit plutôt du genre à adorer les réseaux sociaux, j’ai souvent la tentation de les publier sur le Net.

Mais je me retiens et je m’abstiens.
En fait, mes enfants ne me l’ont jamais interdit. Il faut dire que eux ne s’en privent pas. Et depuis que leurs enfants sont tout petits, des photos postées sur Internet, il en existe des centaines. Mais moi, je résiste à la tentation.

En réalité, je trouve que l’on doit laisser le choix aux enfants, souhaitent t’ils être exposés ou non ? Car je détesterai personnellement que quelqu’un publie une photo de moi sans mon accord, après tout c’est mon visage !

J’ai souvent alerté mes enfants à ce sujet mais rien n’y fait. Et les photos de mes Petits-Enfants continuent d’affluer sur le web. Je ne suis pas non plus psychorigide. Alors j’ai trouvé une méthode bien à moi pour partager mon bonheur avec mes Petits-Enfants sur la toile. Je les prends en photo mais de dos ! Ainsi, personne ne voit leur visage mais tout le monde distingue d’adorables frimousses !

Je me dis que c’est une très bonne alternative. Ils ne sont pas exposés directement et ils ne m’en voudront pas.
D’un autre côté, je ne garde pas pour moi tous ces instants merveilleux et je les partage en espérant inonder de bonheur mon entourage.
Je ne crois pas être une Grand-Mère rabat joie en insistant pour éviter à tous prix que l’on ne voit leurs visages. N’est-ce pas leur choix ? Et pour le moment ils sont trop petits pour comprendre ce que cela impliquerait.

Et puis, j’aime bien aussi l’idée de garder des photos de mes Petits-Enfants rien que pour moi ! Enfin, peut-être qu’un jour mes Petits-Enfants seront ravis de les partager et de les publier à leur tour, en attendant je les garde précieusement !

 

Ça y est, Maman, je suis enceinte. C’est par ces mots simples et si beaux que ma fille m’a annoncé la bonne nouvelle, non sans risque.
La voix tremblotante et hésitante. Très émue elle l’était, moi aussi, moi qui allait devenir Grand-Mère pour la première fois. Une grossesse que je redoutais tellement, et j’avais raison. 9 mois qui allaient s’avérer tortueux pour ma fille chérie.

Elle était ce qu’on pourrait appeler une grossesse à risque. Comme moi jadis quand je l’ai mis au monde. Une maladie héréditaire qui touche toutes les filles de notre famille, depuis aussi longtemps que je puisse me souvenir.

Une maladie héréditaire qui ne m’a pas empêché à l’époque de la mettre au monde mais ce fut si compliqué.
Alors j’arrivais à relativiser en me disant que la médecine avait fait tellement de progrès depuis mon propre accouchement que le sien ne pouvait que mieux se passer.

Pourtant, je le savais, ma fille ignorait que ce serait si dur. Durant ces 9 mois elle serait plus encadrée et plus contrôlée que n’importe laquelle des femmes enceinte de ce pays. Et le jour J c’est une clinique spécialisée dans les accouchements à risques qui l’attendrait.

Il n’empêche je serai là pour l’épauler comprenant mieux que personne ce qu’elle pourrait traverser.

Des moments de doutes importants et surtout, elle sera rongée par cette question : ais-je bien fait de mettre au monde cet enfant, moi qui sait depuis toujours que je cours un risque et que je lui en fais courir un par la même occasion.

Quelques mois s’écoulèrent, ma fille faisait face, entre excitation et doutes. Elle était parfaitement entourée, médicalement, et affectueusement par ses proches, son mari et sa famille.

Des hauts et des bas que j’avais moi-même vécu. Alors quand ces 9 mois se sont écoulés… Je peux vous assurer que ce fut la plus belle journée de ma vie. Je devenais Grand-Mère pour la première fois et j’avais l’impression qu’elle avait déjà mis au monde un enfant (une petite fille) qui avait quelque chose de spécial. Il avait traversé la première étape de sa vie, sa propre naissance, haut la main. Cet enfant était déjà génial. Et sa maman dans tout ça ? Elle se porte à merveille. La grossesse à risque, elle en rit et elle pense déjà au second !

Il a quelques années, ma fille unique s’envole pour l’Angleterre, direction Londres elle qui rêvait de parler Anglais.
Elle s’y rend pour terminer ses études et puis là tout s’enchaîne idéalement. Diplôme en main, elle décroche un stage, puis un second, et enfin un premier emploi.

Un tableau idyllique auquel il convient d’ajouter un autre bonheur, sa rencontre avec James, celui qui deviendrait l’homme de sa vie, et un gendre merveilleux.

Les années ont passé, deux adorables enfants ont vu le jour et ma fille eu envie de se rapprocher de nous et de revivre dans le Sud de la France, sa région natale.

Nous étions tellement heureux de pouvoir profiter d’eux au quotidien. Et tellement fiers de notre gendre qui acceptait de refaire sa vie ici à côté de chez ses beaux-parents.

Quand ils sont revenus, tout ce petit monde s’est rapidement acclimaté à la région. Les petites avaient trouvé une école où étaient dispensés des cours en anglais… parce qu’elles sont bilingues.

Mais le plus difficile c’est que ni moi ni mon mari nous ne parlions un mot d’anglais. Et nos Petits-Enfants parlaient mieux l’anglais que le français. Alors nous n’avons pas eu le choix. Nous nous sommes mis à apprendre la langue de Shakespeare.
Pas simple à nos âges de se replonger dans un dictionnaire mais nous avions une telle envie.

Heureusement nous avions l’aide d’un couple d’amis qui nous familiarisait dans notre apprentissage de la langue. Idem pour notre fille et notre gendre. Mais ce que nous ne soupçonnions pas un instant c’est que nos meilleurs professeurs allaient être nos Petits-Enfants.

Ce sont eux qui nous ont enseignés les rudiments de cette langue, en jouant, en discutant ou à table.
C’est grâce à eux si aujourd’hui nous sommes enfin capables de regarder des films en Anglais et sans les sous-titres ! Il faut dire que nous partions de très loin mon mari et moi.

Je me souviendrai toujours des premiers jours, où ma Petite-Fille me réclamait sans cesse ‘water water’ et je ne comprenais même pas ce qu’elle voulait ! C’était si dur quand j’y repense…

Alors maintenant que nous avons progressé en Anglais, nous nous sommes fixés comme objectif de faire progresser les filles en français et notre gendre aussi à qui cela ne ferait pas de mal non plus. Car James et le français c’est pas encore ça ! Mais nous ne cessons de lui dire que si nous, nous sommes parvenus à parler Anglais, il y arrivera !

Nous sommes les heureux Grands-Parents de trois adorables Petites-Filles, et un Petit-Fils ne devrait plus tarder à pointer le bout de son nom. Chanceux nous le sommes vraiment, nos enfants sont d’une telle générosité  avec nous, et il n’y a pas une semaine, un week-end où nous ne profitons pas de nos Petits-Enfants.

Balades en plein air, piscines, musées nous ne reculons devant rien et aucune activité ne nous résiste. Récemment, nous avons même été faire de l’accrobranche, c’est vous dire.

Alors un jour avec mon mari nous nous sommes mis à écrire… Nous écrivions sur ces journées incroyables, nos souvenirs, les moments de rires et de partages… Au départ, nous l’avons fait sans la moindre ambition. C’était un moyen de se rassurer, en somme la certitude de faire de ces moments, des souvenirs pour la vie.

Puis, le temps a passé et nous avons mis en commun nos récits… Nous nous sommes retrouvés avec des centaines de pages entre les mains, et autant de souvenirs mémorables.

C’est ainsi que mon mari et moi avons eu cette idée assez ambitieuse il faut bien le reconnaître. Et si nous faisions de tous ces récits, un livre, un livre que nous pourrions transmettre à nos Petits-Enfants le moment venu. Un livre qui pourrait même se transmettre de génération en génération.

Alors, nous en avons discuté avec nos enfants qui étaient déjà très surpris, et touchés je crois pouvoir le dire… Et puis nous nous sommes lancés corps et âme dans l’écriture de ce livre.

Nous avons décidé d’organiser ce livre en trois parties. La première partie était dédiée aux souvenirs de leur Grand-Père, la seconde à mes souvenirs. Et enfin, une ultime partie que nous avons rédigée ensemble. C’était formidable comme expérience.

Le plus difficile n’aura pas concerné l’écriture, lorsque on est lancé, finalement les pages se remplissent presque toutes seules. Non le plus difficile, c’est bien entendu de trouver un titre à ce livre.

Au départ, nous avons opté pour Les souvenirs de nos Petits-Enfants, mais d’un commun accord, nous l’avons changé pour un titre plus symbolique. Ce livre (quasiment achevé aujourd’hui) nous l’avons appelé Les incroyables aventures de nos Petits-Enfants.

Nous allons bientôt le faire imprimer, et le relier avec une jolie couverture, ainsi nous l’offrirons à nos enfants et Petit-Enfants. Mon mari quant à lui est déjà en train d’écrire un deuxième tome… Car ces incroyables aventures ne sont jamais terminées et c’est bien la chance des Grands-Parents !

Combien de fois ai-je pu lire des témoignages de Grand-Mères qui ne s’entendaient pas ? Des dizaines ! En revanche, je n’ai pas beaucoup lu d’articles racontant l’amitié susceptible d’unir deux Grand-Mères. Chez nous, pourtant, c’est le cas.

Je suis la maman de Léa, 35 ans et trois enfants, mariée avec Adrien, un gendre génial.
C’est bien avant leur union que j’ai commencé à bien m’entendre avec la belle-mère de Léa. Une sacrée battante, je l’admets, surtout au vu de tous les événements ayant jalonné sa vie sans que jamais elle ne vacille.

Très vite, nous sommes devenues proches, puis amies. Nous avons la chance d’habiter à 50 kilomètres l’une de l’autre et nous nous voyons très souvent, même sans nos enfants et 3 Petits-Enfants. En somme, nous n’avons pas besoin d’eux pour nous voir.

Mais, au fond, je suis certaine que ma fille ne vit pas très bien cette relation.
On pourrait penser qu’elle serait enchantée de savoir que sa mère et sa belle-mère s’entendent à merveille. Eh bien non ! En effet, elle n’ose plus se plaindre ni la critiquer devant moi, de crainte que je la défende par amitié. Et vice-versa. Combien de fois Léa m’a-t-elle raconté qu’Adrien ne pouvait plus rien dire à sa mère sans qu’elle prenne ma défense ? C’est drôle, sans le vouloir, nous avons retourné la situation et pris le pouvoir… Nous ne sommes plus leurs exutoires respectifs.

Je ne m’inquiète pas plus que cela : ils ont chacun trouvé une solution plus « classique » pour déverser leurs problèmes. Ils se tournent vers nos maris respectifs.
Léa vers le mien pour se plaindre de son beau-père ; quant à Adrien, il n’hésite pas non plus à se tourner vers son propre père.

J’avoue que c’est bien joué de leur part car si nous, les deux Grand-Mères, nous entendons bien, je ne peux pas dire qu’il en soit de même avec les deux Grands-Pères. Ils ne se détestent pas non plus mais les relations sont cordiales, sans plus.

Ils n’ont tellement rien en commun ! L’un est sportif (mon mari), l’autre plutôt livre et charentaises.
L’un aime le vin rouge et l’autre la bière fraîche (mon mari encore !). Heureusement, ils se retrouvent tous les deux sur un sujet : leurs Petits-Enfants. Et chacun apporte sa pierre à l’édifice : mon mari tient absolument à en faire des sportifs émérites, et l’autre Grand-Père se penche plutôt sur leur culture littéraire ! Ça promet !

En attendant, je propose qu’on cesse de mettre les deux Grand-Mères dos à dos. Je suis la preuve vivante que c’est un cliché qui n’a plus lieu d’être dans notre société actuelle, moderne et progressiste.

Trente-cinq ans de mariage et toujours le même rituel. Chaque année à la même époque nous partons mon mari et moi en vacances quinze jours au camping ! Nous adorons ça et pour rien au monde nous changerions nos habitudes. Pour rien au monde…sauf peut-être pour nos Petits-Enfants ! Cette année, c’est d’ailleurs ce qu’il va se passer.

Nos enfants nous les confient en juillet. Adieu le farniente au camping et bonjour les réveils matinaux avec nos trois petits monstres !

Alors, bien sûr, ne vous méprenez pas : je suis ravie de les accueillir. Ravie parce que partager des moments avec ses Petits-Enfants est une chance. Ravie aussi parce que je sais combien j’ai de la chance de les avoir pendant les vacances, contrairement à trop de Grands-Parents privés de leurs Petits-Enfants.
Mais tout de même, ça été un « mini-choc » lorsque nous avons dû décaler nos vacances.

J’aurais pu dire « non » à mes enfants mais nous sommes toutes pareilles : on se dit qu’en disant « non » une fois, on n’aura peut-être plus jamais l’occasion de voir aussi souvent ses Petits-Enfants. J’ai sûrement tort, d’ailleurs, mais je n’arrive pas à leur refuser quoique ce soit.

On pourrait croire qu’il suffit pour bien faire de décaler ses vacances ; mais même pas ! Dans notre cas, tout l’intérêt du camping est que nous nous retrouvons chaque année entre campeurs et amis très proches, voire entre meilleurs amis.

Pour finir, je me suis faite à cette idée et me réjouis en pensant aux 15 jours que nous allons passer avec nos Petits-Enfants cet été. En revanche, il y en a un qui l’est moins…c’est mon mari !
Il n’a de cesse de me culpabiliser en me disant que j’aurais parfaitement pu refuser.
Le plus étrange, c’est qu’il ne comprend pas que mon plaisir réside justement dans l’envie de faire plaisir à nos enfants et de leur faciliter la vie tant que je peux le faire.

Et puis, après tout, le camping ne va disparaître, et nos amis non plus (ils sont encore jeunes !).
Nous les retrouverons l’année prochaine…

Je sais bien que mon mari retrouvera le sourire dès que nos Petits-Enfants auront franchi les portes de la maison !

Vous voulez rencontrer l’équipe de Grand-Mercredi ? Ca tombe bien, nous serons présents au Salon des Séniors à Paris du 18 au 21 mai prochain !

Nous vous y attendons de pied ferme Porte de Versailles.

Grand-Mercredi pense vraiment à tout ! Découvrez la sélection de jouets indispensables pour que tous vos petits-enfants puissent s’amuser ensemble dehors.

1. Un jeu de croquet ravissant (à partir de 3 ans)
Joli et intemporel, il apprendra à vos petits-enfants aussi bien l’agilité que la persévérance.

 

Donnez-leur un petit lopin de terre, et montrez-leur les basiques. Vous en ferez des jeunes pousses à coup sûr !

 

Ma première corde à sauter c’est un peu comme ma première boîte à bijoux. C’est forcément ma grand-mère qui me l’offre !

 

4. Un jeu de quilles pour tous les âges (à partir de 5 ans)
Avec ou sans vous,  ce jeu est indémodable et marche de génération en génération. Grand-Mercredi vous conseille de nommer un arbitre !

 

Qui sinon vous pour leur offrir leur premier diabolo ? Evidemment on compte sur vous pour réviser avant !

 

A avoir dans toutes les maisons de vacances et à sortir sur la place du village en même temps que le jeu de pétanque du grand-père.

 

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