Invité il y a quelques jours au micro de la radio RFM, David Hallyday s’est joyeusement confié sur sa vie de famille… et sur son nouveau rôle : celui de Grand-Père. Car oui, à 56 ans, le chanteur et fils du Taulier est déjà l’heureux Grand-Parent d’un Petit-Fils.

Les Hallyday, une famille aimante

« Fils de », « Père de »… et désormais « Grand-Père de ». David Hallyday a récemment ajouté une corde à son arc. Il est l’heureux papa d’Ilona, bientôt 28 ans, et Emma Smet, 25 ans, toutes les deux nées de sa relation avec son ex-femme Estelle Lefébure. Mais aussi d’un fils prénommé Cameron (le sosie de son grand-père), né en 2004, fruit de son amour avec Alexandra Pastor. Durant l’été 2022, l’artiste est aussi devenu Grand-Père ; celui d’Harrison, le premier enfant de sa fille aînée, Ilona. Au micro de RFM, il a annoncé avec joie que le petit garçon était pour lui « la chose la plus merveilleuse au monde ».

Un Grand-Père comblé d’amour

David Hallyday ne s’est pas arrêté là et c’est une avalanche d’amour qu’il a adressé à sa fille et à son Petit-Fils. Peu de temps après sa mère Sylvie Vartan, qui a déjà fait l’éloge du nouveau né, il révèle avec beaucoup de tendresse : « Ilona est jeune. C’est mon bébé. Donc ça m’a fait bizarre qu’elle soit maman. Mais moi, c’est comme si j’avais un quatrième enfant, en fait. Je suis fou de ce gosse. Il est génial. C’est formidable ». Voilà un Grand-Père heureux qui semble prendre son rôle très à cœur. Parce que même si les Grands-Parents sont parfois un peu pudiques, ils arrivent souvent à briser leurs coquilles face à la beauté de leurs Petits-Enfants.

Le choix du prénom d’un enfant peut parfois créer des tensions au sein d’une famille. C’est ce qui est arrivé à une jeune maman, dont les beaux-parents refusent d’utiliser le prénom de leur petit-fils.

Un prénom qu’il juge « prétentieux »

La jeune maman a raconté son histoire sur le site MagicMaman. Elle explique avoir choisi un prénom qui était important pour elle et son mari, car il faisait référence à un membre de leur famille décédé. Mais les beaux-parents ont tout de suite exprimé leur désapprobation, affirmant que ce prénom était « trop prétentieux » et qu’il ne sonnait pas bien. Ses beaux-parents ne cessent de l’appeler par un autre prénom, créant ainsi une certaine confusion. Naturellement des tensions s’installent au sein de la famille.

Une situation qui ne peut plus durer !

Pour résoudre ce conflit, la jeune maman a décidé d’avoir une conversation franche avec ses beaux-parents pour leur expliquer pourquoi ce prénom est important pour elle et son mari. Elle espère ainsi les convaincre d’utiliser le prénom choisi pour leur petit-fils et de mettre fin à cette situation délicate. Il est important que chacun respecte le choix des parents et les raisons qui les ont poussées à choisir un prénom en particulier. Des discussions ouvertes et respectueuses peuvent permettre de résoudre les conflits et de préserver l’harmonie au sein de la famille.

Le Prince Charles III, connu pour sa discrétion, se dévoile dans des photos inédites prises avec ses Petits-Enfants. Le site Cosmopolitan a publié ces photos exclusives, qui dévoilent une tout autre image du Prince le montrant en train de jouer avec ses Petits-Enfants George et Charlotte , enfants du prince William et Kate Middleton.

Un Grands-Père comblé

Ces photos montrent une facette plus personnelle et affectueuse du prince, qui est souvent présenté comme étant très discret et réservé. On y voit Charles III jouant avec ses Petits-Enfants dans un cadre champêtre, leur montrant des fleurs et des insectes, ou encore sur une balançoire.

Sa pudeur trahit par l’amour pour ses Petits-Enfants

Le prince Charles III semble être très attaché à ses Petits-Enfants. Il est rare de voir le prince s’exposer publiquement, mais ces photos montrent un moment d’intimité et de complicité avec sa famille. Et viennent offrir un autre aperçu de l’homme derrière le prince, souvent discret et réservé.

La surexposition aux écrans chez les tout-petits est devenue un enjeu majeur de santé publique en France. Selon un article de France 3 régions Nouvelle-Aquitaine, près de 50% des enfants de moins de 3 ans passent en moyenne 1 heure par jour devant un écran, alors que la recommandation est de ne pas les exposer avant l’âge de 3 ans. Cette surexposition aux écrans a des effets néfastes sur la santé des enfants, notamment sur leur sommeil, leur attention, leur langage, leur communication et leur socialisation.

Un sujet qui préoccupe

Les professionnels de santé et les éducateurs tirent la sonnette d’alarme sur cette problématique et mettent en avant l’importance de sensibiliser les parents et les professionnels de la petite enfance à l’impact négatif de la surexposition aux écrans chez les tout-petits. Des initiatives sont donc mises en place pour limiter cette exposition.

Des actions de prévention sont menées dans les crèches et les établissements scolaires pour informer les parents et leur donner des outils pour limiter l’utilisation des écrans. Ces actions visent à encourager les parents à passer plus de temps avec leurs enfants, à jouer avec eux, à leur lire des histoires et à les amener à l’extérieur pour des activités physiques.

Alors les écrans toxiques ou pas toxiques ?

Il est important de souligner que l’utilisation des écrans n’est pas totalement mauvaise. En effet, les écrans peuvent être utilisés de manière constructive pour l’apprentissage et l’éveil des enfants, mais en quantité raisonnable et sous la supervision des parents.

La surexposition aux écrans chez les tout-petits est un problème de santé publique qui doit être pris au sérieux. Les parents et les professionnels de la petite enfance doivent être sensibilisés à cette problématique afin de limiter l’utilisation des écrans et encourager les interactions sociales, les activités physiques et l’éveil des enfants de manière positive et équilibrée.

En pleine promotion de son film La vie pour de vrai, Dany Boon se confie intimement dans les colonnes du Parisien sur son enfance et les liens familiaux conflictuels auxquels il a fait face.

Une enfance marquée par le rejet de ses Grands-Parents

Fier de ses origines kabyle et française, Dany Boon en paye pourtant le prix fort du côté de sa famille maternelle. Il se livre et raconte « Les carrières artistiques démarrent toujours d’une faille. Moi, ma faille, c’était le rejet de ma famille maternelle vis-à-vis de ma mère qui avait épousé un Kabyle. ». Appuyant sur le caractère raciste de ses Grands-Parents !

Après le rejet, la réussite !

Malgré ce fardeau, il réussit à trouver sa voie et devient l’artiste accompli qu’il est aujourd’hui, une manière pour lui de rebondir. Bien que les liens familiaux soient quelque peu complexes, il ne reste pas fermé à l’idée de renouer avec toute sa tribu et espère que sa famille finira par accepter sa réussite et être fière de lui.

Pour soulager les jeunes parents, le Japon propose désormais aux Grands-Parents, qui sont encore sur le marché du travail, de prendre des jours de congés spéciaux dans le but de s’occuper de leurs Petits-Enfants.

Grands-Parents à la rescousse !

Quand les parents sont débordés, sur qui peut-on compter ? Les Grands-Parents bien évidemment. Et ça, le Japon l’a bien compris. La préfecture de Miyagi, située au nord du pays, a mis en place un congé grand-parental. Le but ? Que les Grands-Pères et les Grand-Mères, qui ne sont pas encore à la retraite (au Japon, plus de 50 % des personnes âgées entre 65 et 69 ans sont toujours actifs sur le marché de l’emploi), puissent prendre quelques jours de congés pour s’occuper de leurs Petits-Enfants… et venir ainsi soulager leurs enfants devenus jeunes parents.

Si le congé parental existe bel et bien là-bas, il est surtout adopté par les femmes. Le travail et la culture de la performance sont tellement forts au Japon que les hommes refusent, dans la majorité des cas, de s’arrêter quelque temps pour s’occuper de leurs enfants. Seuls 12 % des papas nippons en bénéficient actuellement.

Mais pourquoi un tel besoin des Grands-Parents ?

On assiste depuis plusieurs années à une crise démographique sans précédent au Pays du Soleil Levant. Comme dans de nombreux autres pays d’Asie (Taïwan, Corée du Sud, Chine, etc.), le Japon voit sa population vieillir et diminuer à vitesse grand V. On a recensé moins de 390 000 bébés nés au Japon entre janvier et juillet 2022. C’est le nombre le plus bas depuis plus de 130 ans. En comparaison, le pays asiatique de 125 millions d’habitants comptabilise maintenant le même nombre de bébés, nés sur une année, que la France… et ce alors que notre pays est peuplé par « seulement » 67 millions d’habitants.

Ce problème démographique inquiète grandement le gouvernement japonais qui cherche alors des solutions pour rééquilibrer son modèle économique. Car moins d’enfants signifie un effondrement inquiétant de la population, mais aussi moins de jeunes travailleurs et de consommateurs.
Décidement, ils ne portent ni capes, ni collants, mais les Grands-Parents sont de vrais super-héros !

Très affectée par la mort de son père Serge Gainsbourg, Charlotte Gainsbourg avoue avoir préféré laisser ses trois enfants découvrir qui était leur Grand-Père par leurs propres moyens…

Charlotte Gainsbourg dans l’incapacité de transmettre à ses enfants des souvenirs de leur Grand-Père ?

Elle est actuellement à l’affiche du nouveau long-métrage de Dany Boon, La vie pour de vrai. Et à cette occasion, Charlotte Gainsbourg a multiplié les interviews promotionnelles aux côtés de ses compagnons de jeu, Dany Boon et Kad Merad. Dans un entretien qu’elle accorde au média Version Femina, l’artiste a notamment été questionnée sur le rapport entre ses trois enfants et son père disparu, Serge Gainsbourg.

Comment Ben, Alice et Joe (enfants qu’elle a eus avec Yvan Attal) ont-ils grandi sans leur Grand-Père ? Charlotte Gainsbourg révèle que le deuil de son père a été long et compliqué à faire : « Quand j’ai eu Ben (son fils aîné, NDLR), j’étais encore dans une douleur très vive et Yvan avait peur que je ne lui transmette ce côté morbide, alors on évitait le sujet. De toute façon, je n’arrivais pas à parler de mon père, à l’écouter. ». Impossible pour l’artiste de parler de son défunt paternel à son fils, pourtant né en 1997. Six ans après le décès de Serge Gainsbourg (le 2 mars 1991), la douleur était encore trop vive.

Les Petits-Enfants ont fait la connaissance de leur Grand-Père avec sa musique

Ne pouvant compter sur leur maman pour découvrir un peu plus leur Grand-Père, Ben, Alice et Joe se sont réfugiés dans l’art de Serge Gainsbourg, à savoir la musique. C’est par cette porte d’entrée que tous les trois ont pu faire connaissance avec leur Grand-Père maternel. « Ben comme Alice se sont construit leur propre histoire avec leur grand-père ». La porte d’entrée de Ben a été « Aux enfants de la chance « . Pour Alice, c’était « Bonnie and Clyde » et le côté Bardot. Et pour ma dernière, Joe, la « Décadence », qu’elle chantait à 4 ans, quand elle n’avait pas du tout l’âge, et c’était drôle » raconte Charlotte Gainsbourg à la journaliste du média féminin.

Soyons aussi certains que l’ouverture au public, en septembre prochain, de la Maison Gainsbourg (domicile de Serge situé dans le VIIe arrondissement de Paris) leur permettra de découvrir leur Grand-Père d’une autre et belle façon. Il n’est jamais simple de raconter aux plus jeunes comment étaient leurs Grands-Parents disparus, mais n’oubliez pas que le partage des souvenirs contribue aussi à ne jamais les oublier.

Émissions de radio et de télévision, romans… Christine Bravo est une touche-à-tout. Mais que se cache-t-il derrière son image publique ? Bien qu’elle soit animatrice, chroniqueuse et écrivaine, elle garde son petit jardin secret, et ne dévoile que très peu d’informations concernant sa vie privée. Mais quand il s’agit de ses Petits-Enfants, elle se livre toujours avec discrétion, mais aussi avec beaucoup d’amour.

L’adorable surnom que ses Petits-Enfants lui donnent !

Saviez-vous que Christine Bravo était Grand-Mère ? Probablement pas. Car elle n’étale pas sa vie privée. L’animatrice des émissions Frou-Frou ou encore Sous les jupons de l’Histoire évoque à demi-mot sa famille dans le portrait que Libération lui a consacré il y a quelques jours. Mère de deux enfants, prénommés Mathieu et Clara, elle est aussi la Grand-Mère de trois Petits-Enfants : Enora, Felipe et Paolo. Dans le quotidien national français, elle révèle d’ailleurs que ces trois derniers ont la totale interdiction de l’appeler Mamie ou pire pour elle, Mémé. Mais alors, comment les Petits-Enfants de Christine Bravo la surnomment-elle ? C’est elle-même qui donnera la réponse ; tous les trois la nomment Kikou. Vous avez dit original ?

Une Grand-Mère qui a de l’amour à revendre !

Sur ses réseaux sociaux, Christine Bravo partage quelques rares moments de ses instants de vie de famille. Elle a pu, par le passé, présenter sur son compte Instagram sa Petite-Fille Enora, ainsi que son Petit-Fils Felipe. Mais en janvier dernier, c’est dans l’émission télévisée de Jordan de Luxe (diffusée sur C8) qu’elle a évoqué son plus jeune Petit-Enfant, Paolo, et de sa différence. “J’en parle parce qu’il est autiste Asperger (…) Je n’ai pas honte, je n’ai absolument pas honte ! Il est beau, il a des yeux bleus sublimes, il s’exprime très bien mais il a des comportements parfois un peu inappropriés. Parce que ce sont des enfants dont on n’a pas le mode d’emploi.” révélait-elle sur le plateau de l’émission. On ne peut qu’applaudir Christine Bravo pour ce témoignage fort et puissant. Elle est décidément une Grand-Mère extraordinaire.