Nathalie Robineau et son frère Cédric n’ont plus de contact avec leur mère depuis plus de 10 ans. Les coordonnées qu’ils avaient ne se trouvent plus être les bons, ils rencontrent aujourd’hui beaucoup de peine à la retrouver.

Depuis qu’ils sont devenus parents, ils réalisent à quel point la vie de famille est importante à leurs yeux et regrettent que leurs enfants respectifs n’aient jamais pu rencontrer leur Grand-Mère.

Une histoire familiale difficile.

Placés en foyer puis en famille d’accueil dès leur plus jeune âge, Nathalie et Cédric n’ont pas grandi auprès de leur maman. Mais la famille s’était tout de même retrouvée, notamment autour d’événements importants.

“J’ai assisté à son remariage. C’est la dernière fois que je l’ai vue en vrai. ” confie Nathalie au journal le Sud Ouest.

Malheureusement en 2012 un conflit éclate au sein de la famille, c’est à ce moment que la fratrie décide de couper définitivement les ponts avec leur mère.

Un pas en avant.

Au lendemain de Noël, Nathalie et Cédric ont tous deux pris conscience du manque qu’il ressentait, et plus particulièrement pour leurs enfants respectifs qui n’ont jamais eu l’occasion de construire une jolie relation avec leur Grand-Mère.

“ Nous n’avons qu’une maman. Il est temps de tourner la page.” explique-t-elle avant d’ajouter : “ Nous voulons juste avoir un contact et qu’il puisse lui présenter son fils. Ma propre fille, qui a 15 ans, veut également revoir sa Grand-Mère.”

Malgré les efforts que déploient Nathalie et son frère, il n’est malheureusement pas certain qu’il retrouve leur maman Liliane, ou même que cette dernière souhaite renouer le contact.

On espère tout de même que cette famille se retrouvera et avancera sur un même chemin pour que ces deux Petits-Enfants puissent enfin passer du temps avec leur Grand-Mère.

L’actrice et chanteuse de 75 ans est l’heureuse Grand-Mère de 5 Petits-Enfants : Ben, Alice, Joe, Marlow et Roman.

Le bonheur absolu !

Bien plus à l’aise dans son rôle de Grand-Mère aimante que dans celui de maman, Jane Birkin rattrape le temps perdu en consacrant une grande partie de son temps à ses Petits-Enfants !

“Je me sens bien avec des enfants petits (…) je n’ai aucun complexe, je m’amuse, je suis légère. On s’habille avec des feuilles, on dit qu’un rocher est une baleine, et quand je vois un enfant endormi à mes côtés, je ne lui en veux pas de ne pas me tenir compagnie la nuit” avait-elle confié au magazine Psychologie.

Si ses Petits-Enfants lui apportent beaucoup de joie, ils lui confèrent aussi un très grand sentiment de fierté. Lors d’une entrevue avec Paris Match elle avait notamment évoqué les carrières naissantes de deux de ses Petits-Enfants : “Alice a 17 ans, et Ben tourne son premier film, c’est un vrai jeune homme”.

Une distance pesante.

Même si le bonheur semble se propager dans la vie de Jane Birkin, un point vient entraver ce beau tableau. Sa fille, Charlotte Gainsbourg, est partie s’installer à New-York il y a 6 ans avec son mari et ses enfants.

Une distance que Jane Birkin regrette profondément et qui l’a empêchée pendant de longues années de voir ses Petits-Enfants grandir. En effet, pendant cette période l’ancienne muse de Serge Gainsbourg a souvent été malade et ne pouvait donc pas prendre le risque de les rejoindre de l’autre côté de l’Atlantique.

Aujourd’hui Charlotte fait souvent le déplacement jusqu’à Paris et emmène toujours avec elle sa petite dernière, Joe. Un rendez-vous que Jane ne manquerait pour rien au monde !

Pour cette femme qui ne s’est jamais sentie très à l’aise dans son rôle de mère, on imagine combien cela doit être important pour elle de se rattraper en tant que Grand-Mère… Un rôle qui lui va comme un gant !

L’idole de vos Petits-Enfants que vous connaissez et appréciez aussi certainement vient de sortir son nouvel album “Nonante-Cinq”. À l’occasion de cette sortie, les équipes de l’émission Quotidien sont allées à la rencontre de sa Grand-Mère, une personne extrêmement touchante qui a ému Angèle et l’ensemble des téléspectateurs. Découvrez sa réaction !

À 83 ans, l’acteur et chanteur n’est toujours pas décidé à prendre sa retraite. Pourtant, au sein même de sa famille il y en a un qui est prêt à prendre la relève et ce n’est autre que son Petit-Fils Symon !

En effet, le jeune homme de 26 ans s’est lui aussi lancé dans une carrière artistique comme il le confiait en 2019 à Toute la Culture : “Je faisais des études de droit, ça n’a pas marché (…) le seul truc que je faisais depuis tout ce temps, c’était la guitare et le chant”.

Symon Macias a notamment fait la première partie de plusieurs concerts de Kendji Girac, ce qui lui a permis de chanter au Zénith de Nantes ou encore celui de Lille. De quoi rendre très fier son Grand-Père !

Grand-Père et Petit-Fils ont d’ailleurs eu la chance de se retrouver ensemble sur scène en 2016 lors d’un concert de solidarité de l’appel national pour la Tsédaka. On imagine combien ce moment a dû être émouvant pour Enrico Macias de chanter en compagnie de son Petit-Fils.

Noël c’est dans 11 jours (eh oui déjà !) et beaucoup de Grands-Parents sont inquiets à l’idée de ne pas pouvoir le passer avec leurs Petits-Enfants !

Rémi Salomon, pédiatre à l’hôpital Necker-Enfants malades de Paris a donné au Parisien tous ces conseils pour passer des fêtes de fin d’année en sécurité (ou tout du moins le plus en sécurité possible) !

La troisième dose.

Selon le pédiatre, la troisième dose de vaccin pour les personnes de plus de 65 ans est nécessaire pour passer les fêtes de fin d’année en famille.

“Si les Grands-Parents ne sont pas vaccinés avec le rappel, il vaut mieux ne pas se réunir à table« , explique-t-il.

Les gestes barrières : une nécessité !

La vaccination complète ne suffit pas, il faudra aussi respecter les gestes barrières afin de freiner les risques de contamination.

Rémi Salomon insiste notamment sur trois mesures :

• Le port du masque en intérieur (difficile de s’imaginer masqués sur son canapé avec ses Petits-Enfants).
• Un nombre de personnes limité autour de votre table (on espère que vous n’avez pas une famille nombreuse…).
• Enfin, une aération de vos pièces régulière (celle-ci c’est probablement la plus simple… enfin s’il ne fait pas -10 degrés le soir de Noël).

Cette année encore, Noël se célébrera de façon un peu particulière, mais ça ne devrait pas empêcher les yeux de vos Petits-Enfants de briller à la vue des cadeaux qui arriveront sous le sapin !

Contrairement à beaucoup de femmes, Allie n’a pas eu besoin de courir les magasins pour trouver LA robe de mariée. Non non, c’est en fouillant chez ses Grands-Parents qu’elle est tombée dessus par hasard.

Une robe intemporelle !

“C’était le style dont je rêvais. Elle avait de longues manches, un immense voile et une grande robe de bal. Je trouvais que c’était vraiment très élégant et j’ai eu cette idée : quand je me marierai un jour, je porterai ça” confie la jeune femme au Mercury Press.

Pour sa Grand-Mère ce fut un moment riche en émotion. On imagine combien cela doit être bouleversant de voir sa Petite-Fille se marier dans la robe que l’on portait soi-même 60 ans auparavant.

“Elle ne pouvait pas détacher ses yeux de la robe et de moi. Elle pleurait mais elle était tout simplement très heureuse”, se souvient la jeune mariée.

En plus d’être unies par les liens du sang, cette Grand-Mère et sa Petite-Fille sont à présent reliées à tout jamais par cette robe qui les a accompagnées lors d’un des plus beaux jours de leur vie.

Garder ses Petits-Enfants, oui, mais à quel prix ? De plus en plus de Grands-Parents remettent en question leur rôle au sein de la famille. Si avant ils dédiaient leur vie à leurs Petits-Enfants, certains aspirent aujourd’hui à d’autres occupations.

Des Grands-Parents actifs !

Vieillir d’accord, mais on vieillit PO-SI-TIF ! Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout simplement que le vieillissement n’est plus synonyme d’ennui mais au contraire d’opportunités, d’activités ou encore de voyages.

« Avant, à la faculté de psychologie, on avait des cours centrés sur la sénescence. Aujourd’hui, sur la valorisation positive du vieillissement.” explique la professeur de psychologie du développement Isabelle Roskam au journal L’Avenir.

Plus les Grands-Parents sont occupés par ces nouvelles activités, moins ils ont de temps pour garder leurs Petits-Enfants.

Le burn-out Grand-Parental !

Même si dans cet article on vous explique pourquoi passer du temps avec vos Petits-Enfants rallonge votre espérance de vie, de nouveaux travaux nous montrent que le surmenage chez les Grands-Parents peut avoir des conséquences très graves.

Eh oui, les Grands-Parents d’aujourd’hui sont énormément sollicités par les parents. Ils sont un soutien pour la garde des enfants, parfois un soutien financier et même social lorsqu’ils doivent faire le relai entre les Petits-Enfants et leurs parents.

Une forte pression pour les Grands-Parents qui se traduit parfois par un burn-out Grand-Parental.

On vous racontait par exemple ici que Sophie Davant avait déjà prévenu ses enfants sur son rôle de Grand-Mère, pour elle pas question de devenir une baby-sitter à plein temps !

Chez Grand-Mercredi, pas de jugement. On adore les Grands-Parents qui ne peuvent pas passer plus de deux jours loin de leurs Petits-Enfants tout autant que les passionnés de voyages et d’activités en tout genre !

Le plus important c’est de trouver l’équilibre qui vous rendra heureux vous et toute votre famille !

Comme tous les Petits-Enfants, les princes George et Louis et la princesse Charlotte attendent impatiemment la venue du Père Noël ! Mais pour les arrière-Petits-Enfants de la Reine d’Angleterre c’est un protocole bien précis qui les attend.

Si l’envie vous prend avec vos Petits-Enfants de jouer au Noël royal voici quelques idées :

Première étape : la carte de vœux !

C’est une tradition que les membres de la famille royale perpétuent de génération en génération. Comme l’a rapporté Hello Magazine, cette année le duc et la duchesse de Cambridge accompagnés de leurs trois enfants vont clôturer 2021 en réalisant une jolie carte de vœux.

Pour une carte de vœux vraiment rigolote on recommande le dress code suivant : les pulls de Noël les plus moches. Fous rires 100 % garantis !

Deuxième étape : la décoration du sapin !

Comme chaque année, la Reine donne rendez-vous à ses Petits-Enfants et arrière-Petits-Enfants dans sa résidence principale à Sandringham pour la décoration du sapin. Chacun s’en donne à cœur joie pour le rendre le plus beau et le plus scintillant possible !

Au final, un sapin décoré par vos Petits-Enfants c’est le plus beau sapin que vous pourriez avoir, non ?

Troisième étape : le repas de Noël !

Si vous aviez pour habitude de partager vos Apéricubes avec vos Petits-Enfants, n’y comptez plus ! Pour le repas de Noël les membres de la famille royale se séparent : d’un côté les adultes et de l’autre les enfants.

Vous pouvez aussi oublier votre bûche glacée adorée ! Pour le dessert, on mange un gâteau aux fruits avec un glaçage royal et de la pâte d’amande.

Quatrième étape : l’échange des cadeaux !

Installés sur une grande table en plein milieu du salon, les cadeaux ne sont déballés que le soir de Noël, à l’heure du thé plus précisément (eh oui il fallait s’en douter).

Et pour les cadeaux on oublie ceux qui coûtent un bras… Les membres de la famille royale préfèrent s’offrir de petits cadeaux rigolos avec lesquels ils pourront s’amuser toute la soirée.

Alors, convaincu par ce programme de Noël 100 % royal ? Puisqu’on vous connaît bien on parie que vous adorez l’idée de la carte de vœux mais beaucoup moins celle de manger loin de vos Petits-Enfants !

Entre restrictions et confinements, beaucoup de Grands-Parents ont été privés de leurs Petits-Enfants ces derniers mois ! Alors pour eux, pas question de passer les fêtes de fin d’année loin de leurs familles.

Les professionnels de santé en accord avec les Grands-Parents !

La pédiatre microbiologiste et infectiologue Caroline Quach-Thanh du CHU Sainte-Justine au Canada est bien consciente du lien qui unit les Petits-Enfants à leurs Grands-Parents et le besoin qu’ils ont de se voir.

“On ne peut pas demander à des Grands-Parents de vivre un deuxième Noël sans leurs Petits-Enfants” a-t-elle déclaré au quotidien québécois La Presse.

D’après cette dernière, si toutes les familles respectent quelques recommandations alors le risque d’attraper la COVID pendant les fêtes sera “quand même assez faible”.

Elle recommande par exemple que tous les adultes soient vaccinés, que les Petits-Enfants soient testés avant les retrouvailles familiales ou encore que les pièces soient aérées plusieurs fois au cours de la soirée.

Les hôpitaux déjà saturés !

Malheureusement, même en mettant en place toutes ces recommandations le personnel hospitalier s’inquiète d’une recrudescence possible des hospitalisations après les fêtes de Noël.

Dans l’Oise le plan blanc a d’ores et déjà été déclenché dans tous les hôpitaux du département. Il permet de faire face aux situations sanitaires exceptionnelles, notamment en déprogrammant certaines opérations ou en rappelant des employés sur leurs jours de congé.

Avec toutes ces recommandations difficile de savoir ce qu’il faut faire. Ce qui est sûr par contre, c’est que les Grands-Parents ont terriblement envie de passer les fêtes avec leurs Petits-Enfants !

Et vous Noël cette année c’est avec ou sans vos Petits-Enfants ?

Un peu plus de trois mois après sa mort, Jean-Paul Belmondo reste présent dans les esprits, surtout ceux de sa famille.

Invitée sur le plateau de l’émission C à vous sur France 5, sa belle-fille Luana Belmondo s’est confiée avec beaucoup d’émotions sur les quelques jours qui ont suivi la disparition de l’acteur.

Une famille à l’italienne !

L’épouse de l’unique fils de Jean-Paul Belmondo est originaire de Rome en Italie. Elle explique avoir retrouvé cet esprit familial italien au sein du clan Belmondo, notamment pendant cette dure épreuve où enfants et Petits-Enfants se sont soutenus mutuellement.

“On a passé pratiquement les premiers dix jours tous ensemble tout le temps, on prenait tous les repas ensemble parce que c’est une famille qui m’a toujours ressemblé, à l’italienne. C’est une famille aimante, une famille très unie. On parle souvent de clan, mais on est une vraie famille. On a besoin d’être entre nous” raconte-t-elle.

Plus soudés que jamais, les membres de la famille Belmondo continuent de faire vivre la mémoire de notre Bébel national !

Écrit par Andrée Chedid en 1977, Grandes oreilles, tout oreilles va devenir un conte musical poétique et fabuleux grâce à ses Petits-Enfants !

Un conte dans l’air du temps !

Même s’il a été écrit il y a plus de 40 ans, Grandes oreilles, tout oreilles à toute sa place dans nos bibliothèques. Alors que des milliers de jeunes enfants font face au harcèlement chaque jour, ce conte sur la différence et l’acceptation de soi résonne avec force dans notre société actuelle et aidera peut-être de nombreux Petits-Enfants !

Une histoire de famille !

Lors d’une interview pour France Télévisions, Matthieu Chedid expliquait que la répartition des rôles s’était faite de façon très spontanée et naturelle. Chaque membre de la famille a trouvé sa place facilement et a apporté une grande dose de son savoir-faire.

On retrouve donc Matthieu à la chanson, sa sœur Emilie aux illustrations et Louis leur papa à la narration pour faire revivre le conte d’Andrée Chedid, disparue 10 ans plus tôt.

Il ne fait aucun doute qu’Andrée Chedid serait très fière de voir ses Petits-Enfants continuer à faire vivre ses œuvres encore aujourd’hui !

Espionne, résistante française, militante antiraciste auprès de Martin Luther King, chanteuse, meneuse de revue, et mère d’une famille de 12 enfants, les qualificatifs ne manquent pas pour qualifier Joséphine Baker qui a fait son entrée au Panthéon ce mardi 30 novembre 2021.

Tous les enfants de la “tribu arc-en-ciel” étaient présents pour ce moment fort en émotion et surtout historique, Joséphine Baker étant la première femme noire à être panthéonisée.

Certains de ses enfants sont revenus sur de touchants souvenirs de famille, un aspect de la vie de Joséphine Baker beaucoup moins connu.

“Le dimanche soir, elle préparait une grande marmite de spaghettis à la bolognaise pour toute la famille” raconte par exemple Brian Bouillon-Baker au journal Sud-Ouest.

Marianne, une de ses filles confie au Parisien : “Elle était tellement particulière, ma mère. C’était une femme joyeuse, rieuse, fantasque. Très instinctive aussi. Elle rentrait, enlevait ses chaussures et disait : ‘Allez, tout le monde pieds nus !’ Et on dansait”.

46 ans après sa mort, Joséphine Baker serait heureuse de savoir que la famille qu’elle s’est construite est restée très unie.

“Ma mère a réussi quelque chose d’extraordinaire : prendre des enfants venus de nulle part et de partout en même temps, et en faire une fratrie.(…) Aujourd’hui, avec les enfants, les Petits-Enfants, on est assez nombreux. On a appris à s’aimer les uns les autres sans compter.” raconte Marianne Bouillon-Baker.

En voilà une jolie famille où les liens du cœur sont plus forts que tout le reste !