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Sylvie Vartan, une Grand-Mère très fière de ses Petites-Filles.

La célèbre chanteuse française ne tarit pas d’éloges sur ces deux Petites-Filles, Ilona et Emma Smet, les filles de son fils David Hallyday et Estelle Lefébure.

Lors d’une interview inédite accordée au magazine Nous Deux et parue ce mardi 05 octobre, Sylvie Vartan s’est confiée sur les carrières de ses Petites-Filles : « Mes enfants et Petits-Enfants réussissent bien (…) C’est très émouvant de voir les enfants qui veulent être artistes« .

Ilona Smet, sur les traces de son Grand-Père.

Sylvie Vartan est très émue lorsqu’elle parle de sa Petite-Fille, Ilona, et pour une raison bien particulière.

Ilona a hérité du talent artistique de ses aïeux : la peinture. « Elle peint divinement. Je la pousse dans cette direction parce qu’elle a vraiment un talent extraordinaire » confie la chanteuse.

Un don qui vient apparemment de très loin dans la famille de Sylvie Vartan, “Mon père était peintre. Il était très bon, mon grand-père aussi. C’est la seule à avoir hérité de cette qualité, de ce don qui vient de loin« .

Un souvenir qui fait remonter beaucoup d’émotions chez Sylvie Vartan, « Ça m’émeut beaucoup, parce que mon père n’a pas pu exercer ses talents de peintre et de sculpteur, et il était excellent« .

Emma Smet, star du petit écran.

D’abord invitée dans le feuilleton à succès Demain nous appartient, la Petite-Fille de Sylvie Vartan décroche un rôle principal lors la saison 3, événement qui ne manque pas de rendre fière sa Grand-Mère.

« Je suis très fière qu’elle réussisse ainsi, elle est toute jeune, elle a la vie devant elle, avec plein de possibilités. » confie-t-elle au magazine.

Malheureusement, à cause de sa vie très rock’n’roll et chargée de rendez-vous, elle n’a pas beaucoup l’occasion de regarder le feuilleton de sa Petite-Fille, comme elle l’explique au magazine, « J’ai déjà vu la série d’Emma, mais je ne le regarde pas au quotidien, parce que je ne suis jamais chez moi à la bonne heure« .

Malgré les vies bien remplies de chacun, Sylvie Vartan est une Grand-Mère comblée de bonheur, qui fait tout son possible pour suivre les réussites de ses Petits-Enfants.

Comme toutes les Grand-Mères, elle est fan de ces Petites-Filles et elle n’a pas peur de le crier sur tous les toits !

Suite à la mort de sa fille, emportée par un cancer en juin 2010, Marie Bacot (son nom de plume) se lance dans un long combat afin de récupérer la garde de son Petit-Fils.
Une bataille qu’elle raconte dans son livre : “Jamais vous n’aurez la garde de votre petit-fils”.

Un départ interdit

Tout commence à l’occasion d’un droit de visite, pendant lequel le père profite de ce moment privilégié pour emmener son fils en Guadeloupe, là où il réside, et ne plus jamais revenir.

Suite à cet événement bouleversant, Marie Bacot entre dans une lutte juridique pour honorer la dernière volonté de sa fille : que son fils soit élevé par ses Grands-Parents maternels.

Nous avons vécu avec ma fille chez nous dans les Landes les trois dernières années de sa vie, ainsi qu’avec notre petit-fils qui était âgé de 7 ans.” déclare Marie dans son livre.

On imagine quelle terrible épreuve cela a été pour ce couple de Grands-Parents. Malgré tout, ils n’ont pas baissé les bras et après 14 passages éprouvants devant le juge, ils ont fini par obtenir gain de cause et récupérer la garde de leur Petit-Fils.

“Si nous ne nous étions pas battus, en effet, rien n’aurait bougé…”

Après s’être longuement battue, Marie Bacot décide de raconter son histoire dans un livre afin de donner de l’espoir à tous ces Grands-Parents qui ne peuvent malheureusement plus voir leurs Petits-Enfants.

Si vous souhaitez découvrir plus en détail l’histoire de cette Grand-Mère déterminée, son livre “Jamais vous n’aurez la garde de votre Petit-Fils” est disponible depuis la fin de l’été dans les librairies près de chez vous.

Depuis sa naissance en juin 2021, Lilibet n’a encore jamais rencontré sa célèbre arrière-Grand-Mère, la Reine Elizabeth II.

En effet, suite aux tensions avec la famille royale, le Prince Harry et Meghan Markle ont fait le choix de vivre aux États-Unis. Leur fille Lilibet n’a donc jamais rencontré sa famille paternelle.

Une visite tant attendue

Le souhait de Sa Majesté, d’enfin voir en chair et en os son arrière-Petite-Fille, pourrait prochainement devenir réalité.

En effet, son Petit-Fils, le Prince Harry ainsi que son épouse Meghan Markle, ont accepté l’invitation aux Legacy Awards, une cérémonie en hommage à la Princesse Diana, qui se déroulera en décembre prochain.

L’occasion parfaite pour l’ensemble de la famille royale de découvrir enfin la jolie Lilibet et de revoir son grand frère Archie, eux qui n’ont pu rencontrer Lilibet qu’au travers d’une photo par le biais de l’application Whatsapp.

La rumeur court…

Grâce à la cérémonie des Legacy Awards, le Prince Harry et Meghan Markle, accompagnés de leurs deux enfants, devraient faire leur retour en Angleterre pendant la période des fêtes de fin d’année.

Beaucoup s’interrogent alors sur de possibles vacances sur le sol Anglais pour les époux, et espèrent ainsi voir la famille royale réunie pour célébrer Noël.

Une nouvelle qui, on en est sûrs, ravira la Reine Elizabeth II et toute sa famille.

Ma belle-mère, la mère de mon compagnon, insiste pour que nos enfants l’appellent maman. Ma première réaction, comme vous vous en doutez, a été de m’énerver, je dois avouer que j’étais même hors de moi.

Mon compagnon a été très insistant pour que j’essaie de comprendre ce qui pouvait se cacher derrière cette demande. Alors j’ai décidé d’engager la conversation avec ma belle-mère afin de comprendre pourquoi elle voulait que ses Petits-Enfants l’appellent “maman”.

J’ai appris lors de cette discussion que ma belle-mère rêvait d’élever une famille nombreuse, mais que malheureusement sa santé ne lui a pas permis de vivre plusieurs grossesses. C’est pour cela que mon compagnon est fils unique.

J’ai donc compris que ma belle-mère tentait de réaliser son rêve à travers ses Petits-Enfants.

Je ne peux qu’imaginer ce qu’elle ressent, mais malheureusement, je pense que je dois mettre un terme à cette histoire, je ne veux pas que mes enfants soient désorientés par tout cela.

Je pense que ce n’est pas sain pour mes enfants d’appeler leur Grand-Mère “maman” mais je ne sais pas comment aborder le sujet avec ma belle-mère tellement cela lui tient à cœur.

J’ai peur que cela la blesse au point qu’elle ne veuille plus nous voir, et ce n’est pas du tout ce que je souhaite, je pense que c’est très important pour mes enfants qu’ils aient une bonne relation avec leur Grand-Mère.

J’espère trouver le courage et surtout les bons mots dans les jours à venir pour enfin avoir cette discussion importante avec ma belle-mère.

Je suis la Grand-Mère de cinq merveilleux Petits-Enfants : Marie, Clément, Pauline, Diane et Vincent le petit dernier.

Dès leur naissance, j’ai eu la chance d’avoir une très belle relation avec chacun d’entre eux, beaucoup d’amour et de complicité. Étant veuve depuis de nombreuses années, vous n’imaginez pas le bonheur qu’ils me procuraient.

Malheureusement après le décès soudain, il y a deux ans, de Clément, l’un d’entre eux, j’ai perdu contact avec ma famille et surtout avec mes quatre autres Petits-Enfants.

Tous sont partis vivre très loin, j’imagine qu’ils avaient besoin de temps et d’espace pour faire le deuil de leur frère. Bien évidemment je le comprends, nous vivons tous le deuil à notre façon, moi-même, il m’a fallu beaucoup de temps.

Au début, je leur envoyais des sms régulièrement pour prendre de leurs nouvelles, savoir ce qu’il se passait dans leurs vies. Mais mes messages n’avaient jamais de réponse, alors au fil du temps, j’ai cessé de leur en envoyer.

Maintenant je leur écris chacun une lettre pour leur anniversaire, mais pour tout vous dire je ne sais même pas si mes lettres sont lues ou même si elles arrivent à bonne destination.

Tout ce que je souhaite, c’est qu’ils soient en bonne santé et heureux, qu’ils aient surmonté le décès de leur frère et qu’ils vivent dorénavant une belle vie chacun à leur façon.

Malgré tout, je ne perds pas espoir, je suis sûre qu’un jour nous serons tous réunis autour d’une table et d’un bon repas.

Monique, 75 ans.

Alors que la pandémie de Covid-19 a bousculé les habitudes de chacun, certains en viennent à faire des demandes plutôt insolites à leur entourage, c’est le cas de cette future Grand-Mère.

Une demande des plus déroutantes.

La future maman explique sur le réseau social américain Reddit que sa famille, et plus particulièrement sa mère, regrette de ne pas pouvoir s’impliquer plus dans sa grossesse et son accouchement à cause de la pandémie.

La future Grand-Mère n’ayant pas dit son dernier mot, fait une requête plutôt insolite à sa fille : diffuser en direct, ou par visioconférence, son accouchement pour qu’elle puisse tout de même y assister.

Cependant, cette dernière ne semble pas ravie à l’idée de partager ce moment très intime.

“Cela me semble très personnel, et je n’aime pas l’idée de les savoir me regarder pousser, potentiellement entendre s’il y a des complications, voir mon bébé être mis sur ma poitrine, etc » confie-t-elle.

Quelle place pour la Grand-Mère ?

Les internautes n’ont pas tardé à exprimer leur étonnement et même leur colère pour certains face à cette demande.

En effet, beaucoup ont répondu à la future maman sur le réseau social pour lui apporter leur soutien. « Cela me semble être la pire des idées. Votre mari pourra prendre des photos une fois que le bébé sera né, nettoyé et tranquillement installé dans vos bras. Vous n’avez pas à accepter sa requête pour la divertir.” déclare un utilisateur de Reddit.

On imagine qu’au-delà de cette requête un peu trop envahissante, cette future Grand-Mère souhaite simplement ne manquer aucun moment important dans la vie de sa fille et de son futur Petit-Enfant.

Il y a plus d’un an, lors d’une conférence organisée par l’UNESCO, Brigitte Macron regrettait le manque d’actions de la part des réseaux sociaux et de leurs dirigeants dans le combat contre le cyberharcèlement, qui touche beaucoup d’enfants en France.

Entendue par le fondateur du réseau social Instagram Adam Mosseri, Brigitte Macron a été invitée en ce début de semaine à une réunion dédiée au cyberharcèlement.

Première Dame et Grand-Mère

Avant d’être Première Dame, Brigitte Macron est avant tout la Grand-Mère de sept Petits-Enfants qu’elle adore par-dessus tout.

Comme beaucoup de Grands-Parents, elle s’inquiète pour eux, et aimerait les protéger du mieux possible. Ces derniers ne semblent cependant pas lui rendre la tâche facile. En effet, elle s’inquiète du fait qu’ils ne diraient pas toujours la vérité sur ce qu’il se passe sur internet et les réseaux sociaux.

“Mes Petits-Enfants sont plus forts que leurs parents sur les réseaux, et ils ne disent pas toujours la vérité sur ce qu’il s’y passe, car c’est leur monde.” a-t-elle déclaré.

Une réunion d’actualité

Engagée dans la lutte contre le harcèlement scolaire, la Première Dame a profité de ce rendez-vous autour du cyberharcèlement pour s’exprimer sur le phénomène appelé #Anti2010, cette vague de harcèlement qui s’est déversée depuis la rentrée scolaire dans les collèges, visant les enfants nés en 2010 et inquiétant bon nombre de Grands-Parents.

« Je ne vous apprends rien, on a une actualité brûlante avec le #Anti2010, aux 40 millions de vues » a-t-elle déclaré, ajoutant aussi qu’il s’agit d’un « nouveau tournant dans le bizutage » des enfants.

Grand-Mère inquiète et engagée, Brigitte Macron est bien décidée à porter le sujet du cyberharcèlement et du harcèlement scolaire vers les plus hautes autorités pour que les Petits-Enfants de tous puissent être protégés.

Disparu en avril dernier, seulement deux mois avant son centième anniversaire, le Prince Philip, époux de la Reine Elizabeth II et Grand-Père des Princes William et Harry, demeure présent dans la mémoire de tous.

Diffusé ce mercredi 22 septembre par la BBC, le documentaire “Prince Philip : The Royal Family remembers” relate de nombreux moments de vie de la famille royale. Ses Petits-Enfants y racontent avec tendresse les souvenirs qu’ils gardent de leur Grand-Père, le Prince Philip.

Le farceur de la Couronne

Éternel blagueur, Sa Majesté Philip d’Édimbourg cultivait un sens de l’humour et de la repartie qui lui attirait parfois les foudres de son épouse la Reine, mais qui amusait tout particulièrement ses enfants et Petits-Enfants.

Son Petit-Fils, le Prince William raconte avec beaucoup d’émotion une blague que le Prince Philip adorait faire : “Philip demandait à ses Petits-Enfants de tenir un tube de moutarde avant de retirer l’étiquette. Il écrasait nos mains ensemble, pour envoyer la moutarde sur le plafond.”

Il ajoute : « Il avait l’habitude de se faire gronder par ma Grand-Mère, parce qu’il couvrait presque tous les endroits où nous mangions, avec de la moutarde ».

« Assurez-vous de revenir en vie »

Le Prince Harry est lui aussi revenu sur sa relation avec son Grand-Père, et notamment sur le soutien dont il a fait preuve lors de son service en Afghanistan.

Lorsque le Prince Philip a appris pour le déploiement de son Petit-Fils en Afghanistan, il l’a immédiatement convoqué dans son bureau afin de lui donner une seule et unique consigne : celle de “revenir en vie”.

Le Prince Harry explique également qu’à son retour, il n’y a pas eu de grandes discussions approfondies avec son Grand-Père. Celui-ci a simplement été présent pour lui, l’a écouté d’une oreille attentive, et souligne qu’il lui a apporté de précieux conseils.

Cela ne fait aucun doute, le Prince Philip était aimé par ses proches et surtout par ses Petits-Enfants, qu’il a fait rire aux éclats grâce à ses nombreuses farces.

Ce mardi 21 septembre était marqué par la Journée Mondiale de la maladie d’Alzheimer. À cette occasion, Laury Thilleman et Iris Mittenaere, toutes deux touchées personnellement par la maladie se sont confiées avec beaucoup d’émotion.

« Tout devient sujet à danger quand une personne vit seule. »

L’ancienne Miss France, Laury Thilleman, s’est confiée lors d’une interview pour France Télévisions sur le quotidien difficile de sa Grand-Mère atteinte de la maladie d’Alzheimer, mais aussi de ses proches.

Bouleversée par cette maladie qu’elle qualifie de “tsunami”, Laury Thilleman, aujourd’hui porte-parole de la Fondation pour la Recherche Médicale, raconte avec beaucoup d’émotion les moments marquants auxquels elle a dû faire face dans ce combat :

« Moi, ce qui m’a le plus marqué, c’est le moment où elle a dû se séparer de sa voiture. Ça, c’était important parce qu’elle oubliait comment passer la première, elle oubliait où elle avait garé la voiture (…) Et ensuite, le passage de son appartement où elle pensait bien vivre seule, mais elle oubliait qu’elle avait mangé, elle sortait de chez elle en pleine nuit. Et le placement, ça a été le plus important, mais ce qui prend le plus de temps aussi ».

Malgré les moments difficiles, certaines journées échappent à la maladie, comme cette journée de l’été dernier. « Je la sentais hyper vive, elle avait cette espièglerie enfantine » confie t-elle.

Laury Thilleman se souvient avoir été bouleversée ce jour-là par un « Je t’aime » de sa Grand-Mère.

“ C’est une maladie difficile à vivre pour les proches.”

Iris Mittenaere, ancienne Miss France elle aussi, a pris la parole un peu plus tôt dans le mois sur les réseaux sociaux afin d’attirer l’attention de sa communauté sur la maladie d’Alzheimer.

Active aux côtés d’associations comme la Fondation Recherche Alzheimer, elle s’est exprimée sur son compte Instagram en partageant un tendre cliché main dans la main avec sa Grand-Mère, appelant les personnes qui la suivent à faire un geste pour soutenir la recherche.

Chroniqueuse sur Chérie FM, elle avait, en septembre 2020, raconté une anecdote des plus touchante sur son Grand-Père lorsqu’ils ont appris pour la maladie :

“Quand mon grand-père l’a appris, il a acheté un cahier et il a écrit toute leur histoire d’amour (…) et a fait compléter ma grand-mère avec ce dont elle se rappelait et son ressenti à chaque page du cahier. Depuis, tous les jours, il lui lit leur histoire d’amour ».

Toutes deux bouleversées par ce que vivent leurs Grand-Mères, ces deux anciennes Miss France utilisent leur notoriété afin de mettre en lumière cette maladie qui touche 900 000 personnes en France.

Ancien gagnant de TopChef et aujourd’hui chef reconnu, Jean Imbert rendait un hommage touchant à sa Grand-Mère, ce samedi 18 septembre lors de l’émission 50’ Inside de Nikos Aliagas.

Un Petit-Fils bouleversé

Très attristé par la disparition de sa Grand-Mère en janvier 2021, Jean Imbert déclarait alors sur ses réseaux Mamie, quelle tristesse aujourd’hui, mais aussi quelle joie d’avoir vécu près de toi.”

Invité de l’émission 50’ Inside ce 18 septembre, le chef français est revenu sur ses beaux souvenirs d’enfance avec sa Grand-Mère Nicole. Il raconte avec beaucoup d’émotions que c’est elle qui lui a transmis sa passion pour la cuisine mais surtout “ce virus d’être heureux à table”.

Plusieurs mois après le décès de sa Grand-Mère, Jean Imbert est toujours très ému lorsqu’il parle d’elle : C’est dur de revoir ces images en vrai… je n’avais jamais revu de vidéos en fait.”

Une passion commune

Partageant tous les deux une passion débordante pour la cuisine, Jean Imbert et sa Grand-Mère entretenaient une relation complice.

Ils ont ensemble concrétisé deux très beaux projets : le premier, un livre de recettes intitulé “Merci mamie pour les recettes” et le second, l’ouverture du restaurant parisien Mamie.

Malgré la tristesse envahissante, Jean Imbert est reconnaissant du temps passé avec sa Grand-Mère et heureux d’avoir pu réaliser avec elle ces beaux projets dont il parle depuis l’enfance : « Moi, je lui avais dit quand j’étais petit : “Un jour, on fera un restaurant ensemble.” Et je ne sais pas pourquoi on l’a fait et après qu’on l’ait fait elle est partie… ».

Un dernier geste

« Elle m’a écrit une lettre que j’ai gardée, qui est dans mon bureau, où elle me dit : “Je t’enverrai un jour les étoiles du ciel pour tes restaurants” », de jolis mots plein de sens pour cette Grand-Mère et son Petit-Fils.

Jean Imbert continuera d’honorer la mémoire de sa Grand-Mère dans sa cuisine, cela ne fait aucun doute.

Depuis la rentrée scolaire, une nouvelle insulte a vu le jour sur les réseaux sociaux, prenant en grippe tous les élèves nés en 2010, autrement dit ceux faisant leur entrée au collège en classe de 6ème cette année.

Cette vague de harcèlement s’est propagée sur le réseau social tendance en ce moment : Tiktok, à travers le hashtag #Anti2010 qui a comptabilisé plus de 40 millions de vues avant d’être supprimé dudit réseau social.

À l’origine du mal : le jeu vidéo Fortnite et la chanson Pop-it mania.

En effet, les enfants nés en 2010 et donc âgés de 11 ans cette année commencent à jouer au jeu vidéo Fortnite, un jeu jusque-là réservé aux plus grands. Ces derniers n’appréciant pas la façon de jouer de leurs cadets, ont formé des groupes appelés “Brigades Anti-2010” afin de les humilier et d’en faire la cible d’un harcèlement dévastateur.

Au-delà du jeu vidéo, ces “brigades” ont par exemple appelé à photographier les tenues “les plus moches” de ces élèves pris pour cibles, afin de les poster sur les réseaux sociaux, allant même jusqu’à les menacer et incitant à une “lutte contre les 2010”.

D’autre part, la chanson Pop-it mania de Pink Lily, faisant référence au jeu à la mode ces dernières semaines : le pop-it, aurait elle aussi causé l’énervement des plus grands. Jugé comme un jeu d’enfants et non d’adolescents par les “Brigades Anti 2010”, tous ceux qui ont eu le malheur d’y jouer ou d’en parler étaient, eux aussi, pris pour cible.

La réponse du Ministre de l’Éducation Nationale.

​Le phénomène a pris une telle ampleur que l’association des parents d’élèves FCPE a alerté Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation Nationale, ce jeudi 16 septembre.

Ce dernier a très vite pris la parole et demandé aux établissements scolaires une grande vigilance face aux cas de harcèlement, lançant de son côté un nouveau hashtag #Bienvenueaux2010, appelant ainsi à la bienveillance des plus grands vers les plus jeunes, tout en rappelant une valeur chère à la France, celle de la fraternité.

Face à cette vague de harcèlement dans les cours de récréation et sur les réseaux sociaux, vous pouvez vous aussi jouer un rôle auprès de vos Petits-Enfants : prêtez-leur une oreille attentive lorsqu’ils vous parlent de l’école, ou offrez-leur une conversation rassurante lorsqu’ils semblent préoccupés.

Je suis l’heureuse Grand-Mère de deux petites princesses de 8 et 10 ans et j’avais l’habitude, avant mon accident, de les garder tous les mercredis après l’école jusqu’à ce que leur mère rentre du travail.

Nous avions notre petit rituel avec mes Petites-Filles : on commençait par aller se balader quelques heures en forêt, puis on s’arrêtait prendre un goûter façon pique-nique pour enfin rentrer à la maison. Ce qui arrangeait bien leur mère, puisque quand venait l’heure de rentrer chez elles le soir elles n’avaient plus assez d’énergie pour faire des bêtises.

Mais depuis mon accident, je n’ai plus la même énergie, je suis très vite fatiguée et je ne peux plus me permettre de faire toutes ces activités avec mes Petites-Filles.

Cela me peine déjà beaucoup, mais ce qui me peine encore plus c’est que depuis ma fille refuse de me confier mes deux Petites-Filles, car d’après elle “ça ne sert plus à rien”.

C’est vrai que je ne peux plus faire d’activités physiques, mais nous pourrions tout de même faire des activités manuelles, malheureusement ma fille ne semble pas l’entendre de cette oreille.

Les mots de ma fille m’ont bouleversés, j’ai pleuré pendant plusieurs jours, mais ce qui me peine le plus finalement c’est que je ne vois plus mes Petites-Filles, ni le mercredi, ni le week-end, pas même pendant les vacances scolaires.

Cette situation dure depuis plusieurs mois et ma fille ne semble pas avoir conscience de la tristesse que je vis, je garde espoir pourtant qu’elle décide de me les confier à nouveau.

Yvonne, 58 ans.

On ne saurait que trop le répéter : le jeu est primordial pour l’apprentissage et le développement de vos Petits-Enfants, il les stimule et les éveille. Plus encore, il peut aussi leur permettre d’approfondir des notions vues en classe. Ania Bonhomme, institutrice en classe primaire, nous raconte dans cet article pourquoi il est important d’apprendre en s’amusant, et nous parle du rôle fondamental des Grands-Parents dans cette démarche.

Apprendre en s’amusant : un concept qui permet de lever les blocages !

Les jeux éducatifs ont ce petit signe particulier : ils permettent l’apprentissage de compétences ou de connaissances ainsi que le développement de plusieurs aptitudes, tout en s’amusant. Développement des sens, de la motricité, de l’imagination, de la créativité, du vocabulaire, de la logique ou encore de la mémoire… En dressant la liste – non exhaustive – de tout ce qu’ils permettent de développer, on se rend rapidement compte qu’ils sont tout simplement indispensables. Selon Ania Bonhomme, ces apprentissages sont rendus possibles par le fait que “les jeux ont la vertu de déverrouiller certains blocages qui sont difficiles pour les enfants en temps normal, comme la lecture ou les mathématiques par exemple. Lorsqu’on le fait passer par le jeu, l’enfant est plus à l’aise que dans le cadre d’une évaluation officielle ou bien que dans le cadre formel de l’école”. En enrayant le sentiment d’échec, on progresse donc plus vite ! Plus encore, “ils permettent de renforcer la confiance en soi, d’apprendre des règles du jeu et ainsi les règles de vivre ensemble”.

Pour l’institutrice, ceci est “valable pour tous les âges”. Ania recommande par exemple particulièrement « l’imagier boulier alphabet » de la marque Oxybul pour les petits, ou encore le « puzzle ABC magnétique » qui les aideront à améliorer leur motricité, et leur permettront de mettre un premier pas dans le monde de l’écriture. Une base importante pour elle puisque cela permet de les mettre en confiance : “Un enfant qui arrive à bien écrire, c’est un enfant qui arrive à bien apprendre aussi.”

Pour les plus grands, la « carte du monde magnétique » permet de développer la connaissance et l’ouverture sur le monde, et le jeu « Calculo » d’apprendre à jongler avec les chiffres. Au total, Oxybul propose plus de 300 jeux et livres éducatifs pour apprendre en s’amusant. Il y en a forcément un pour stimuler votre Petit-Enfant en fonction de ses besoins et de son âge !

Apprendre en famille : l’occasion de partager des moments de complicité.

Si les nombreuses vertus du jeu éducatif ne sont plus à démontrer, il est parfois difficile pour les parents, qui se retrouvent souvent happés par un quotidien bien chargé, de l’appliquer à la maison. Bonne nouvelle, pour Ania Bonhomme, les Grands-Parents ont aussi un rôle à jouer pour prolonger les découvertes faites par leurs Petits-Enfants en classe favoriser l’apprentissage scolaire ! Selon elle, leur atout majeur est le temps : “Comme les grands-parents disposent de plus de temps, ils sont plus posés dans le jeu, et donc moins dans l’application stricte des règles et peuvent offrir un apprentissage plus complet.”

Ces moments sont pour vous, Grands-Parents, la promesse de partager des moments ludiques et agréables, de faire ensemble de belles découvertes, et de se créer des souvenirs inoubliables.

En froid depuis plusieurs années avec son père, Meghan Markle coupe tout contact avec lui lorsqu’il décide de ne pas assister à son mariage en 2018 avec le Prince Harry. Puis début 2021, le couple décide de quitter la famille royale et de s’installer au Canada pour enfin choisir la Californie comme résidence, privant ainsi leurs enfants Archie et Lilibet de la présence de leurs Grands-Parents.

Thomas Markle, un Grand-Père désemparé

Alors qu’il n’a jamais rencontré ses Petits-Enfants Archie et Lilibet, Thomas Markle, le père de Meghan Markle parle d’eux avec beaucoup de tendresse lors de l’émission australienne Sunrise.

“Lili est bien sûr à l’âge où vous la tenez simplement dans vos bras et Archie, et bien, je serais probablement un super camarade” a-t-il déclaré.

Ce Grand-Père, probablement très attristé de n’avoir jamais vu ses Petits-Enfants, avait d’abord menacé de faire appel à la justice californienne afin d’obtenir un droit de visite. Mais désireux d’agir en Grand-Père protecteur, il s’est rétracté, déclarant ne pas vouloir que ses Petits-Enfants deviennent “des pions” dans cette histoire familiale tragique.

Vers une fin paisible pour les Markle ?

Il semble dorénavant vouloir que tout cela se fasse dans un environnement serein pour le bien-être de ses Petits-Enfants. Il souhaite améliorer sa relation avec sa fille Meghan Markle et son beau-fils le Prince Harry, avant de rencontrer ses Petits-Enfants.

Thomas Markle déclare : « Ils ne devraient pas être utilisés, ce ne sont que des bébés. Alors non, j’attendrai. » De tendres mots qui tendent vers une possible réconciliation.

Un deuxième Grand-Père mis sur la touche ?

Si les tensions du côté de la famille de la duchesse de Sussex ne semblent pas s’atténuer, du côté du Prince Harry ces dernières semblent plus vives que jamais.

La petite Lilibet Diana Mountbatten-Windsor, fille du Prince Harry et de Meghan Markle, née en Californie, n’a jamais rencontré son Grand-Père le Prince Charles. Une situation qui le peine profondément.

Nick Cullen, un expert de la famille royale, a confirmé à US Weekly que le Prince Charles était “incroyablement triste de tout ce qui s’est passé” et qu’il souhaitait “vraiment rencontrer sa petite-fille”.

Alors que tout les oppose, le Prince Charles et Thomas Markle partagent un triste point commun : ce sont deux Grands-Pères privés de leurs Petits-Enfants.

Lorsque tout cela nous est tombé dessus, ma fille m’a expliqué qu’elle préférait cesser les visites qu’elle me rendait habituellement avec mon Petit-Fils pour me protéger de ce virus dont on ne savait rien. Évidemment, bien que cela m’ait beaucoup attristé, j’ai sur le moment compris sa décision et j’étais moi-même plutôt d’accord avec elle.

Mais depuis ces longs mois rien n’a changé, malgré les avancées, les nouvelles informations que nous avons sur cette maladie et les précautions que nous pouvons prendre, elle refuse de venir me rendre visite avec mon Petit-Fils.

Je ne comprends pas sa décision, elle me dit que c’est pour continuer de me protéger et qu’elle n’a pas forcément le temps (alors que nous ne vivons qu’à quelques kilomètres). Mais avec le temps, je finis par trouver cette décision exagérée. Nous pourrions au moins passer un moment ensemble tout en gardant nos distances.

Je dois avouer que cette situation est de plus en plus difficile à vivre. Cela fait quand même plus d’un an que je n’ai pas vu mon Petit-Fils.

Ces visites représentent tellement pour moi. Depuis que je suis veuf je me suis beaucoup rapproché de mon Petit-Fils, il m’apporte énormément de bonheur et m’aide à aller de l’avant.

J’ai essayé d’expliquer à ma fille à quel point cela me rend triste de ne plus le voir mais en vain, elle continue de tenir le même discours. Je me sens seul et désemparé face à cette situation, même si j’ai encore l’espoir que cela s’arrange dans les mois à venir.

Michel, 65 ans.

Nathalie Browning, une jeune américaine de 24 ans, a parcouru plus de 1 300 kilomètres vêtue de sa robe de mariée pour rejoindre son Grand-Père qui ne pouvait pas se déplacer et partager avec lui sa fameuse “première danse”.

Seulement deux semaines avant le grand jour de son mariage, la jeune femme apprend que son Grand-Père de 94 ans a subi une attaque cérébrale.

À l’inquiétude de le savoir en mauvaise santé, s’ajoute aussi rapidement pour la future mariée un sentiment de déception. En effet, cela faisait plusieurs mois que son Grand-Père attendait ce moment privilégié avec sa Petite-Fille. Partager cette première danse serait un souvenir gravé à jamais dans leurs mémoires.

Mais la vie en a décidé autrement, et cet incident ne lui a pas permis de voyager. Déterminée à le voir, Nathalie a tout de même décidé de le surprendre, en traversant le pays en avion, vêtue de sa robe de mariée.

Elle a filmé son arrivée et la réaction de son Grand-Père, qui était très ému. Son idée farfelue lui a finalement permis de faire de ce jour un jour très spécial, à sa manière. Cette merveilleuse surprise restera un très beau souvenir chargé d’émotions pour chacun d’eux.

Jeudi 9 septembre, la France a rendu hommage à Jean-Paul Belmondo dans la cour de l’hôtel des Invalides à Paris. Son Petits-Fils Victor, 27 ans, a prononcé un discours bouleversant.

« Le Soleil ne s’éteint pas. Il brille. Il irradie partout, tout le temps. » C’est avec ces mots que Victor, le Petit-Fils de Jean-Paul Belmondo, a rendu un dernier hommage à son Grand-Père, décédé le 6 septembre à l’âge de 88 ans.

Toute la famille de l’acteur était présente pour cette cérémonie solennelle et émouvante, en présence du Président de la République et de célébrités proches de Jean-Paul Belmondo.

Le cercueil du « Magnifique », porté par une dizaine de membres de la Garde républicaine, a été déposé au milieu de la cour d’honneur, recouvert d’un drapeau tricolore.

Sur l’estrade, les Petits-Enfants de « Bebel », âgés de 22 à 33 ans, étaient tous présents. Ils étaient accompagnés de Stella, la dernière fille de Jean-Paul Belmondo et de la danseuse Natty Tardive. Mais c’est Victor qui a pris la parole devant l’assemblée, au nom des six Petits-Enfants de l’acteur.

Non, « le Soleil ne s’éteint pas ». « Quand le soleil se couche quelque part, il se lève ailleurs. Notre Grand-Père nous irradie. Il nous irradiera toujours de son sourire, sa bonté, et son extrême bienveillance. Il est un soleil éternel », déclare Victor, la voix empreinte d’une émotion contenue.

« Merci papy de nous avoir donné tant de joies, merci d’avoir tant partagé ta positivité, tu nous laisses remplis de ce bonheur immense. On pense à toi on t’aime et amuse-toi bien avec tes copains qui t’ont tant manqué ».

Le président de la République Emmanuel Macron a également salué « le père exemplaire », « hors-norme », le Grand-Père et le « héros aux mille visages ».

Les obsèques de Jean-Paul Belmondo ont eu lieu ce vendredi 10 septembre à l’église Saint-Germain-des-Prés.

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