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5 astuces pour créer des moments de partage avec vos Petits-Enfants !

C’est (bientôt) les vacances et vous héritez de vos Petits-Enfants pour une après-midi ou plusieurs jours ?
Grand-Mercredi a pensé à vous (oui on compatit !) et vous a préparé un programme sur-mesure pour créer des souvenirs inoubliables que vous et vos Petits-Enfants n’êtes pas prêts d’oublier.

#1 Vos Petits-Enfants sont aventuriers ? Profitez des vacances de la Toussaint pour les emmener dans d’incroyables aventures dont ils seront les héros… Et si vous organisiez une gigantesque chasse au trésor ? Parsemez votre maison ou votre jardin d’indices pour suivre la piste d’un trésor caché. Et pour récompenser le grand vainqueur, découvrez dans le coffre au trésor la voiture à rétrofriction qui récompensera vos aventuriers en herbe.

#2 Vos Petits-Enfants ont l’esprit imaginatif ? Découvrez comment un simple cache-cache peut se transformer en une résistance héroïque face à une attaque de dinosaures. Le dernier à être trouvé remporte son set de construction 100% dinosaures.

#3 Vos Petits-Enfants ont l’esprit de compétition ? Transformez une banale balade à vélo en une étape passionnante du Tour de France… Et pour récompenser le vainqueur, Grand-Mercredi a déniché pour lui le trophée ultime.

#4 Vos Petits-Enfants sont courageux et rêvent d’exploits ? ! Transformez un loup perché en un sauvetage de pompiers périlleux face au feu. Le gagnant remportera son camion de pompiers pour partir en mission au son du pin-pon-pin-pon…

#5 Vos Petits-Enfants ne reculent jamais devant une difficulté ? Cette idée de sortie est faite pour les plus courageux d’entre-eux ! Emmenez les dans un parcours accrobranche et récompensez celui qui aura atteint l’arrivée du parcours en premier avec ce jouet qui ne pourra que lui plaire.

Vous avez plus que jamais envie de gâter vos Petits-Enfants ?
Rendez-vous ici pour savoir quel Meccano est fait pour eux.

Vous avez plus que jamais envie de gâter vos Petits-Enfants…

par
ICI

 

 

Malgré les annonces du Président, chez Grand-Mercredi, on a envie d’être optimistes ! Profitez des vacances de la Toussaint pour faire visiter à vos Petits-Enfants un des joyaux de la ville lumière : le musée du quai Branly – Jacques Chirac ! La bonne nouvelle : sans les hordes de touristes du monde entier, Paris est à VOUS !
Donc debout, masqués, équipés, direction le musée !

En plus devinez quoi ? Une programmation exceptionnelle d’ateliers et de visites contées a été créée pour tous les petits explorateurs ! On ne sait pas qui sera le plus heureux entre vous et vos Petits-Enfants !

• Pour les 0-3 ans (accompagnés de vous chers Grands-Parents)
• Le petit visiteur suit les traces de Petit Ours dans son voyage à travers les continents.
• L’avis de Grand-Mercredi : on adore que les plus petits puissent être accompagnés par un conteur dans leur première découverte du musée en histoires et en chansons. Et ça ne compte pas pour du beurre : les poussettes sont les bienvenues et des tables à langer sont mises à disposition !

Je découvre

• Pour les 6-12 ans
• Dans le cadre de cette exposition, grâce aux mythes et contes racontés, vos Petits-Enfants, devenus des petits explorateurs, embarquent pour le Mexique à la découverte de la civilisation olmèque et du monde méconnu des cultures précolombiennes.
• L’avis de Grand-Mercredi : pour rendre cette plongée dans l’univers olmèque encore plus unique, la veille de votre venue au musée, présentez 2-3 anecdotes sur cette civilisation à vos Petits-Enfants. Vous pouvez vous aider du site internet du musée et zou !

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• A partir de 6 ans
• Vos Petits-Enfants fan d’histoire et d’archéologie seront aux anges ! Autour d’un chantier de fouilles, ils pourront relever les traces des civilisations précolombiennes.
• L’avis de Grand-Mercredi : en leur permettant de devenir un petit archéologue le temps d’un atelier, soyez sûrs que votre mission de transmission culturelle sera relevée haut la main !

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• A partir de 12 ans
• Au sein de l’exposition “A toi appartient le regard et (…) la liaison infinie entre les choses”, 8 groupes de participants plongent dans les images de 26 artistes du monde entier. Munis d’une tablette numérique, les élèves répartis en groupe débattent de leurs ressentis et composent leurs créations photographiques.
• L’avis de Grand-Mercredi : on aime beaucoup cette dimension immersive de l’atelier dans l’exposition et le débat intergénérationnel sur les images que ça suscite – souvenir inoubliable en vue !

Je découvre

Tout au long du parcours, les visiteurs sont invités à respecter les gestes barrières et les mesures sanitaires en vigueur.

Horaires :
Lundi, mardi, mercredi, dimanche :
11h – 19h
Jeudi, vendredi, samedi :
11h – 21h

Accès :
37 Quai Branly, 75007 Paris

1) Le “Promoteur” est Grand-Mercredi (81108305400023) dont le siège social est situé à l’adresse suivante : 8 rue de l’Hôtel de Ville, 92200, Neuilly-Sur-Seine.

2) Le concours est ouvert aux résidents de France âgés de 18 ans et plus, excepté les employés de Grand-Mercredi et leurs proches ainsi que toutes personnes en relation avec l’organisation ou le jugement du concours.

3) Ce concours ne demande pas de frais d’entrée ou d’obligation d’achat.

4) En participant à ce concours, le participant accepte l’ensemble de ces termes et conditions.

5) L’accès au concours ainsi que la participation se font via ce post.

6) Le concours est limité à une seule participation par personne.
Si une personne participe plusieurs fois, elle peut faire l’objet d’une disqualification.

7) La date de fin de participation est fixée au Vendredi 20 Novembre 2020.
Après cette date, les participations au concours ne seront pas comptabilisées.

8) Aucune responsabilité ne sera acceptée en ce qui concerne des participations non-reçues pour quelque raison que ce soit.

9) La règle pour participer au concours est la suivante :
Commenter sous la publication datée du 11/11 et trouver la bonne réponse : « C ».

10) Le promoteur se réserve le droit d’annuler ou modifier le concours ainsi que ses termes et conditions sans préavis en cas de catastrophe naturelle, guerre civile ou militaire, acte de Dieu ou tout non-respect des lois et règles en vigueur. Le promoteur se réserve également le droit d’annuler le concours en cas de circonstances ou problèmes majeurs hors de son contrôle. Les participants seront informés des changements éventuels dans le concours par le promoteur.

11) Le promoteur n’est pas responsable de la qualité et description du lot proposé au gagnant par une tierce partie impliquée dans le concours.

12) Le gain est le suivant :

– Lots de produits Meccano

Soit 3 gagnants au total.

13) Les gagnants seront définis comme suit :

Au hasard par un logiciel, à partir de la liste des participants/gagnants et vérifié par le Promoteur.
Le gagnant sera notifié par email et/ou Facebook et/ou courrier dans un délai de 28 jours après la date de fin du concours. Si le gagnant ne peut pas être contacté ou ne réclame pas son lot dans un délai de 14 jours après l’annonce, le promoteur se réserve le droit de retirer le lot du gagnant pour l’attribuer à un gagnant de substitution.

14) Le promoteur informera le gagnant de la date et du lieu où le lot peut être collecté / livré.

15) La décision du promoteur sur tous les aspects du concours est finale et aucune discussion ne sera entamée.

16) Le concours ainsi que ses termes et conditions sont régis par les lois françaises. Tout litige devra être sujet à une procédure judiciaire auprès des tribunaux établis en France.

17) Le gagnant accepte que sa participation, son nom et son image soient utilisés publiquement sur les supports du promoteur. Toutes les données personnelles du gagnant ainsi que celles des autres participants ne seront utilisées qu’en accord avec la législation de protection des données en vigueur en France et ne seront en aucun cas transmises à une tierce partie sans consentement préalable.

18) Le promoteur s’engage à envoyer les lots dans un délai de 4 semaines aux gagnants après l’acceptation de ces derniers.

19) Le nom du gagnant sera disponible, dans un délai de 28 jours après la date de fin du concours, par email à l’adresse suivante : courrier@grand-mercredi.com

20) Ce concours n’est pas sponsorisé, soutenu, administré ou associé avec Facebook, Twitter et tous autres réseaux sociaux. Les informations sont uniquement transmises au promoteur et seront utilisées sous la Politique de Confidentialité disponible sur le site internet du Promoteur ou sur demande.

J’ai la chance d’être Grand-Mère de 2 Petits-Enfants, Jules et Louis. Mais, à l’occasion de nos dernières vacances, je me suis aperçue combien ma fille était sévère avec ses enfants ! Trop sévère.

Si on a coutume de dire, de nos jours, que les jeunes sont mal élevés et que l’éducation d’une manière générale n’est plus ce qu’elle était, chez nous…c’est l’inverse.

Ma fille ne laisse rien passer. Résultat : j’ai eu cet été le sentiment étrange que mes Jules et Louis étaient en train de passer à côté de leurs plus belles années. Ces années d’insouciance, des premières bêtises… toutes ces choses qu’on fait en étant enfant !

Avec une cette éducation quasiment militaire, croyez-moi, ça filait droit à la maison. Les chambres étaient rangées, les lit faits au carré, et pas un seul jouet traînant dans l’escalier. Je ne vais pas me plaindre, mais tout de même… Ne dit-on pas, justement, « excusez le désordre, mais enfants se créent des souvenirs ».

J’ai bien essayé d’en parler avec ma fille, mais ce fut peine perdue. Très vite, elle m’a rétorqué que j’étais une Grand-Mère laxiste et que mes Petits-Enfants me menaient par le bout du nez. Honnêtement, cela ne m’a fait aucune peine. Je me laisse volontiers faire avec Jules et Louis, car ils ne dépassent jamais les limites.

Dans le fond, j’ai bien une inquiétude : je crains qu’à l’avenir, cette éducation militaire ne porte pas ses fruits. Je me dis qu’un jour ils auront envie de rire aux éclats, de mettre les coudes sur la table, de ne plus ranger leur chambre. J’ai peur qu’ils explosent en vol, et qu’ils aient envie justement de ne plus suivre ces règles. Je redoute leurs années d’adolescence…

Mais bon…En attendant, je me tais. Ce n’est pas mon rôle ; ce n’est pas le rôle des Grands-Parents. Notre rôle, il me semble, est de suivre à la lettre les règles qu’ont mises en place les parents. Alors, si ma fille est extrêmement stricte, je dois tout faire pour que mes Petits-Enfants continuent d’obéir. Quand bien même ce ne serait pas ma volonté.

Le plus étrange, dans tout ça, c’est que je n’ai pas élevé ma fille de cette façon. Chez nous, c’était la maison du bonheur, il n’y avait quasiment aucune règle à suivre pour les enfants. Quant à moi, je n’ai jamais été une maman autoritaire. Peut-être que si je l’avais été ma fille aurait été moins autoritaire avec ses enfants ? Je ne sais pas…

Je suis Grand-Mère de 2 Petites-Filles, Manon et Clémence, âgées de 4 et 6 ans.
Je pourrais vous raconter les merveilleux moments que toutes les trois nous passons ensemble, ou vous en dire plus sur le bonheur d’être Grand-Mère.

Mais il n’en est rien. Manon et Clémence, cela fait trois ans que je ne les ai pas serrées dans mes bras.
C’est évidemment une profonde tristesse, elles qui me manquent tellement.

Des nouvelles de mon fils, leur papa, je n’en n’ai plus non plus.
Nous sommes fâchés et comme dans beaucoup de famille, le point de départ… une dispute sur fond de problèmes d’argent.
Je ne m’étalerai pas davantage sur ce point.

En revanche, sur le manque de mes Petites-Filles oui.
Je ne cesse d’imaginer à quoi elles pourraient ressembler, si elles sont devenues grandes et jolies (elles qui étaient à croquer petites) et si inévitablement, elles pensent encore à moi.

Le plus complexe c’est que mon époux lui a définitivement tourner la page.
Je ne sais pas si c’est vrai au fond de lui mais c’est l’impression qu’il donne. Il ne veut plus parler à son fils, il ne veut plus non plus que j’en parle.

Mais moi personnellement, je refuse de passer à côté de mon rôle de Grand-Mère.
Après tout, peut-être qu’un jour lorsqu’elles seront plus grandes, j’aurais la chance de les voir.

J’ai récemment eu la chance de devenir Grand-Mère pour la première fois. Un cadeau de ma belle-fille, Agathe.

Elle et moi, nous nous entendions bien. Des relations placées sous le signe du respect mutuel dans lesquelles, chacune, nous avions trouvé notre rôle, au côté de mon fils unique, son époux.

Et puis, lorsqu’elle a appris l’heureuse nouvelle – oui, Agathe était enceinte ! -, j’ai très vite remarqué du changement chez elle.
Moins respectueuse, elle adoptait en permanence un petit ton hautin, presque un peu supérieur.

Au cours de ces premiers mois, je n’ai rien dit, mettant ces changements sur le compte de sa grossesse. Et puis j’étais si heureuse de devenir Grand-Mère que je ne m’en souciais guère.
J’avais tort de penser que cela allait s’arranger car, depuis qu’elle est devenue maman, elle est aussi devenue odieuse. Et les choses ont considérablement empiré.

Ma Petite-Fille n’est encore qu’un nourrisson mais, en l’espace de quelques mois seulement, j’ai déjà compris combien il serait compliqué de vivre pleinement mon rôle de Grand-Mère.
Je serai sans cesse épiée par Agathe, attentive à mes moindres fait et gestes.

Devrais-je faire part de mes états d’âme à mon fils ? Non, je crois qu’il est trop tôt pour lui en parler.
Il n’est qu’un jeune homme que la paternité rend fou de bonheur. Aveuglé par sa petite fille, il ne comprendrait pas.

Devrais-je en parler directement avec Agathe ? Ce n’est pas une solution idoine, elle qui n’attend qu’une chose : que je vienne lui parler pour lui donner l’occasion de me reprocher encore des dizaines de choses. Je pense que, si demain cette discussion devait avoir lieu, elle tournerait au vinaigre, et que nous nous fâcherions pour longtemps.

Pour l’instant, je me contente de pouvoir continuer à profiter d’eux, bien que cette relation avec Agathe se dégrade de jour en jour…

C’était il y a deux ans environ, ma petite Louise, 17 mois, prononça enfin son premier mot.
Je n’étais pas là mais ma fille m’a téléphonée, en trombe : « Maman, ça y est, elle parle ! »
J’étais tellement heureuse, excitée à la fois, c’est ma petite-fille unique.

Mais j’étais loin de m’imaginer ce que j’allais ressentir, quelques temps plus tard, l’entendant m’appeler Mamie pour la première fois.

Nous sommes toutes les trois dans le salon, des jouets étalés sur le sol, Louise se réveille à peine de sa sieste. Et sans que personne ne s’y attende, sans le moindre signe avant-coureur, elle dit « Mamie ».
Ce qui était drôle c’est qu’elle l’a dit sans me regarder.

Je ne suis pas du genre ultra-sensible, je ne suis pas un roc non plus, mais j’ai sangloté.
J’étais tellement heureuse que ma fille assiste à ce moment.

Je me suis immédiatement dit, « ça y est ! Ma Petite-Fille sait qui je suis ». Je suis quelqu’un qui compte pour elle.

Moi qui avait mis tellement de temps à choisir mon nom de Grand-Mère, hésitant entre Mamou ou Granny j’avais finalement opté pour du classique. Et bien je ne m’étais pas trompée car dès qu’elle l’a prononcée je me suis dit : ‘J’adore mon nom de Grand-Mère !’

Le soir venu, je l’ai évidemment raconté à mon mari qui m’a tout de suite dit : « Mais tu es bien sûre qu’elle te l’as dit ? » Je ne lui en voulais pas de faire preuve de scepticisme, moi qui le bassinais depuis des jours avec ce moment que j’attendais tant.
Mais dans le fond, j’avais comme témoin ma fille et puis finalement, elle a dit Mamie avant Papi, alors…

« Ma petite chérie ne cesse jamais de m’appeler Mamie car avec Maman, c’est le plus beau des mots que j’ai entendu ! » Avec le jour de sa naissance, c’est assurément le plus grand moment de ma vie de Grand-Mère et depuis, à chaque fois qu’elle m’appelle Mamie, je me souviens de ce jour et j’aime encore davantage sa petite voix si envoutante !

Marie et Léa, ce sont mes deux adorables Petites-Filles. 3 et 5 ans, de grands yeux bleus, des bouilles à faire craquer n’importe qui. En devenant Grand-Mère j’ai touché du doigt le bonheur, un sentiment de plénitude incroyable et indescriptible. Mais dans ce tableau qui peut paraître idyllique, il y a bien une tache. Cette ombre au tableau, c’est ma fille qui en est à l’origine.

Au moment de vous écrire, cela fait déjà plusieurs mois que je n’ai pas vu Marie et Léa.
Je suis privée de mes Petites-Filles. Comme d’autres Grands-Parents, je n’ai pas la chance de profiter de mes Petits-Enfants.

Nous devions nous retrouver cet été, mais au dernier moment ma fille a annulé notre séjour sans la moindre explication. Je me suis retrouvée toute seule cet été. Cela m’a anéantie.

Quelques semaines ont passé depuis cet incident. Décidée à ne pas me laisser abattre, j’ai repris contact avec ma fille dans l’espoir d’organiser quelques jours de vacances à la Toussaint. Elle a tout de suite accepté. J’étais aux anges ! Impatiente, je compte les jours qui me séparent de nos retrouvailles.

Sauf que depuis 10 jours, je n’ai aucune nouvelle.
Je tache malgré tout de rester positive. Mais je sais tout au fond de moi qu’elle va encore annuler nos vacances. J’ignore comment nous nous sommes retrouvés dans cette situation. C’est ça sans doute le plus dur. Dans les conflits familiaux, il y a bien souvent une dispute qui en est à l’origine ou un drame. En tous les cas, il y a toujours une cause.

En ce qui nous concerne, il n’y a rien de tout ça. Nous nous sommes simplement éloignées l’une de l’autre avec le temps. Nous partagions pourtant une belle relation mère/fille ponctuée de beaux moments. Des souvenirs qui me manquent terriblement.

A quelques semaines des vacances de la Toussaint, j’espère simplement que j’aurai le plaisir de voir Léa et Marie et de pouvoir les serrer dans mes bras. Pourvu que ma fille m’entende…

Et depuis… je ne suis plus la même Grand-Mère.

J’ai eu 56 ans le week-end dernier, et je suis l’heureuse Grand-Mère de trois Petits-Enfants. C’est ma fille unique Jeanne, qui m’a donné ce bonheur… Deux petites filles et un petit garçon, tous les 3 âgés de moins de 10 ans. Jeanne et moi habitons dans le même village en Bretagne.

Jusqu’ici tout allait pour le mieux et je profitais à merveille de mon rôle de Grand-Mère. Il faut dire que ma fille et son mari travaillaient beaucoup et étaient souvent en déplacement à sillonner la région.

Alors pendant toutes ces années, j’ai pu profiter de mes trois Petits-Enfants et très régulièrement je les avais à la maison pour dormir ou pour passer la journée avec moi. J’étais aux anges.
C’était le bonheur mais dans le fond je reconnais que les « 3 petits monstres » me prenaient tout mon temps libre et que j’étais de plus en plus fatiguée. Les nuits étaient courtes et les week-ends très longs pour moi, une femme qui approche de la soixantaine.

Ainsi, un matin d’hiver, ma fille Jeanne m’appelle au dernier moment (comme souvent) m’apprenant qu’elle est en chemin pour me déposer les enfants. Quelle chance me diriez-vous ? Et bien, comme ce n’était pas prévu, j’avais déjà un programme bien défini pour ce Samedi : rendez-vous médicaux, courses à l’hypermarché et petit tour chez mon coiffeur.
Alors, j’ai (bêtement) dit à Jeanne que je ne pouvais pas, exceptionnellement, les garder.
Sur le moment, elle n’a rien dit de particulier, je pense qu’elle était un peu étonnée, mais elle n’a rien dit. Elle s’est débrouillée avec son mari et le week-end est passé.

Depuis c’est bien simple, plus jamais ma fille ne m’a appelé pour me les déposer à l’improviste. Et c’est bien ce que je regrette profondément. Car il n’y a aucun bonheur plus intense que de voir ses Petits-Enfants, de manière spontanée.

Avec Jeanne, on en a jamais parlé directement toutes les deux, on est assez pudique dans la famille.
Mais je sens bien que cet épisode l’a marqué.

D’un autre côté, n’ai-je pas le droit d’avoir une vie en dehors de ma vie de Grand-Mère ?
Je pose la question car je n’ai pas la réponse.

Le seul conseil que je donnerai aux Grand-Mères qui m’entourent c’est de ne jamais refuser, même une seule petite fois, de garder ses Petits-Enfants ou de rendre service à ses enfants… Cela ne vous rendra pas service.

Enfin, même si je continue à voir mes Petits-Enfants, et assez souvent, les choses ne seront plus jamais comme avant.
C’est l’impression que j’ai et je crois bien que je m’en veux terriblement…

Ce n’est pas faute d’avoir essayé, mais jamais je n’ai réussi à avoir des enfants.

Alors, un beau jour, avec mon mari, nous nous sommes décidés et nous nous sommes lancés dans ce labyrinthe que représente l’adoption. Des centaines de papiers à remplir, des dizaines de rendez-vous et d’entrevues en tout genre pour qu’après quelques années interminables nous finissions enfin par toucher au but.

Nous allions devenir parents pour la première fois.

Une merveilleuse petite-fille âgée de 3 ans.
Son arrivée dans notre vie ? Un bonheur littéralement inexplicable. Aucun mot n’est assez fort pour décrire ce qu’on a ressenti le jour où nous étions à l’aéroport prêts à l’accueillir dans nos vies.

Nous étions tellement pressés de la voir pour la première fois, que nous avions quasiment une demi-journée d’avance, je me souviens d’avoir attendu des heures à l’aéroport. C’était interminable.

Elle nous a apporté tant d’amour, tant de chance.

26 ans après, je crois pouvoir dire que nous avons bien fait les choses. J’en suis certaine même !
Car notre petite Charlotte est devenue maman en donnant naissance à son premier enfant, un petit garçon, adorable évidemment ! Mon premier Petit-Enfant, qui a généré une émotion très forte chez nous.

Nous les parents d’une petite fille abandonnée puis adoptée au bout du monde nous avions réussi à faire que perdure le cycle de la vie.
Et elle devenait mère à son tour.

Le jour où elle nous apprit qu’elle était enceinte, le jour où son fils est venu au monde nous étions tellement émus, presque paralysés. Moi l’ultra-sensible, mais mon mari n’était pas mieux. Nous avons pleuré et mis de longues journées à nous en remettre. Trop d’émotions !

Mais nous n’étions pas les seuls dans cet état. Lorsque nous avons envoyé des photos de notre fille et son fils à l’association par le biais de laquelle elle avait été adoptée … J’ose à peine imaginer leurs réactions. Il faut dire que nous étions parmi les premiers à adopter un enfant via cette association qui était très jeune à l’époque et nous sommes donc leurs premiers grands-parents.

Quel privilège ! J’espère que Charlotte aura de nombreux enfants et que nous serons les Grands-Parents les plus heureux du monde !

Presque deux ans. Une éternité que je ne les ai plus vus, moi la Grand-Mère de trois merveilleux Petits-Enfants. La dernière fois que j’ai pu les serrer dans mes bras c’était à Noël, et c’était en 2018. Ma belle-fille m’avait gentiment invité à passer le réveillon dans sa famille pour que je puisse profiter de mon fils Pierre, et de ses trois adorables enfants.

J’ignorais évidemment que c’était la dernière fois que je les voyais, la dernière fois que je les entendais m’appeler Mamou avant un long, un très long moment. Mamou, c’est mon petit nom de Grand-Mère, c’est Pierre qui l’avait choisi après des heures de réflexion.
Mais à quoi bon au final, nous qui allions être séparés pendant si longtemps.

Tout a commencé en Janvier 2019, quelques jours après le réveillon de Noël mon fils vient m’annoncer qu’ils déménagent.
Nous habitions depuis toujours dans le même quartier, à Lille. Puis là soudainement c’est le choc. Je comprends que la distance affectera obligatoirement nos relations.

Qu’aurais-je pu faire ou dire ? Tenter de les retenir ? Non. J’ai pris sur moi et j’ai réagi comme n’importe laquelle des mamans, j’ai félicité mon fils pour cette promotion en lui souhaitant bonne chance dans sa nouvelle vie.

Vous vous dites sûrement que j’exagère et que la distance qui nous sépara n’est pas si grande ?
1 000 km ! … Et pour moi qui ne conduit presque jamais et encore moins sur l’autoroute c’est immense.

Après son départ, j’ai commencé à réaliser combien mes Petits-Enfants me manquaient, combien je les aimais.
Les journées étaient longues, les mercredis après-midi où j’avais l’habitude de les garder à la maison étaient assurément la journée la plus triste de la semaine.

J’avais surtout développé une fâcheuse manie : je regardais sans cesse les photos de mes Petits-Enfants dans mon téléphone, je feuilletais les albums et restais prostrée des heures devant les adorables dessins qu’ils m’avaient fait pendant toutes ces années.

Là-encore je crois savoir ce que vous vous imaginez ? Est-ce que j’allais moi aussi déménager pour les retrouver ?
Et bien j’y ai pensé figurez-vous. Mais j’ai surtout pensé à eux en priorité. Eux qui avaient l’air si heureux de découvrir une nouvelle vie, un cadre de vie entouré par la mer et la chaleur des Marseillais. Je me suis dit qu’il n’avait pas besoin de moi finalement et que c’était moi qui égoïstement avait plus besoin d’eux.

Cette année 2019 a été une année triste pour la Grand-Mère que je suis, où que je sois finalement.
D’autant qu’à Noël, mon fils a passé le réveillon chez sa belle-mère. Quelques 400 km de chez moi… Là encore, impossible pour moi de les retrouver et pourtant ils me manquaient terriblement, douze mois après leur départ.

La vie continue malgré tout et nous nous retrouverons au printemps 2020. Je suis décidée à parler à Pierre. Je lui téléphone pour lui dire que je veux absolument les voir pendant les vacances d’été et que c’est une obligation. Je me souviendrai toute ma vie de ce coup de téléphone, c’est la première fois où j’ai osé lui dire ce que je ressentais au fond de moi et combien j’étais malheureuse sans eux, depuis que ma petite tribu avait explosée.

Mon fils tombe des nues. Il n’avait aucunement conscience que j’étais à ce point affectée, moi qui avais tenu à le préserver. Il s’effondre, comme s’il avait pris conscience qu’être une mère et une Grand-Mère était un état, et que lorsqu’on ne l’est plus, on n’est plus rien… tout s’écroule autour de soi.

Je reprends peu à peu des forces et cette conversation me met du baume au cœur, persuadée que je vais pouvoir les retrouver très vite. Je commence à me préparer à leur venue même trois mois avant, eux qui ne viendront pas avant le 15 août. Ce n’est pas grave, ça m’occupe. J’économise pour pouvoir les gâter. J’avais d’ailleurs calculé qu’il restait 90 jours avant leur venue et que si je mettais 1€ de côté par enfant et par jour jusqu’à leur venue j’aurai presque 300€. De quoi les couvrir de cadeaux.

Nous sommes le 16 Juillet, je m’en souviens puisque dans ma tête nous avions passé symboliquement la barre du « J-30 ».
Je me sentais de mieux en mieux. L’excitation était intense.
Un coup de téléphone, c’est Pierre au bout du fils. Une voix sombre. J’ai tout de suite compris ce qui se passait. Ils n’allaient pas pouvoir venir. Je reste bouche bée. Je préfère m’assoir. Il me parle de son travail et m’explique qu’il a dû repousser ses vacances.
Je le sens peiné. Je le sens bizarre. Vous savez quand on sait que son fils ne va pas bien mais que vous savez aussi qu’il ne vous dira rien….

L’été se passe malgré tout. Je n’avais pas pour autant arrêté de remplir ma petite cagnotte, comme si inconsciemment je pensais que j’allais les voir, un matin, passer le portail.
Un indice me disait tout de même que je n’étais pas folle et que j’avais raison de continuer à y croire : ils ne m’envoyaient plus aucune carte postale. La dernière remontait à début Juillet. Étrange….
La Poste est parfois négligente sur mon courrier mais un mois de retard… Non.

Nous sommes le lundi 14 septembre 2019, c’est ma belle-fille au bout du fil. Premier fait étrange, bien que nos relations soient excellentes, nous nous téléphonons rarement.
Quelques instants plus tard, je trouve mes trois Petits-Enfants derrière le portail de mon pavillon. Un choc énorme. J’étais comme paralysée. Je vacillais littéralement et à ce moment précis, mes jambes ne me portaient plus. J’ai dû m’assoir.
Tellement choquée finalement, que je n’ai même pas pensé à leur ouvrir le portail. Je les entends encore hurler, « Mais Mamou ouvre-nous ! »

Deux heures plus tard. Nous sommes tous les 6 dans le salon, à ce moment-là je ne savais pas combien de temps ils allaient rester mais j’avais trouvé la voiture très chargée pour quelques jours de vacances. Mon fils m’annonce que sa mission est terminée et qu’ils reviennent s’installer dans la région.
La délivrance, s’en est suivie de larmes de joie. Pudiquement, je ne raconterai pas en détails ce moment si intense, qui nous appartient.

3 semaines plus tard.
En plus des mercredis après-midi, mes Petits-Enfants dorment à la maison tous les trois une fois par semaine. La tribu est recomposée et croyez-moi on fait des tas de bêtises ! Et vous devinerez jamais ? La cagnotte atteint désormais 1000€.
J’ai quelque peu intensifié mes économies c’est vrai, mais c’est pour les inviter tout un week-end dans un célèbre parc d’attraction !

Bon il est vrai que Pierre a depuis déménagé aux États-Unis. Non évidemment je plaisante, ils sont toujours là à côté de la maison et ils sont même encore plus proches qu’à l’époque.

Voilà c’est mon histoire. Celle d’une mère et d’une Grand-Mère comblée qui a failli tout perdre.
Celle j’imagine de nombreuses familles brisées par la distance. On a souvent coutume de penser que rien n’est jamais définitif, et mon dieu que c’est vrai !

A mon fils Pierre et mes trois Petits-Enfants que j’aime tant.

1) Le “Promoteur” est Grand-Mercredi (81108305400023) dont le siège social est situé à l’adresse suivante : 8 rue de l’Hôtel de Ville, 92200, Neuilly-Sur-Seine.

2) Le concours est ouvert aux résidents de France âgés de 18 ans et plus, excepté les employés de Grand-Mercredi et leurs proches ainsi que toutes personnes en relation avec l’organisation ou le jugement du concours.

3) Ce concours ne demande pas de frais d’entrée ou d’obligation d’achat.

4) En participant à ce concours, le participant accepte l’ensemble de ces termes et conditions.

5) L’accès au concours ainsi que la participation se font via cette adresse.

6) Le concours est limité à une seule participation par personne.
Si une personne participe plusieurs fois, elle peut faire l’objet d’une disqualification.

7) La date de fin de participation est fixée au Jeudi 3 Décembre 2020.
Après cette date, les participations au concours ne seront pas comptabilisées.

8) Aucune responsabilité ne sera acceptée en ce qui concerne des participations non-reçues pour quelque raison que ce soit.

9) La règle pour participer au concours est la suivante :
Réaliser l’un des 3 Do It Yourself présent sur cette page
Etre désigné vainqueur par le jury constitué par Grand-Mercredi.

10) Le promoteur se réserve le droit d’annuler ou modifier le concours ainsi que ses termes et conditions sans préavis en cas de catastrophe naturelle, guerre civile ou militaire, acte de Dieu ou tout non-respect des lois et règles en vigueur. Le promoteur se réserve également le droit d’annuler le concours en cas de circonstances ou problèmes majeurs hors de son contrôle. Les participants seront informés des changements éventuels dans le concours par le promoteur.

11) Le promoteur n’est pas responsable de la qualité et description du lot proposé au gagnant par une tierce partie impliquée dans le concours.

12) Le lot est le suivant :

  • 1 lot, LeFrancBourgeois (valeur marchande : 50€ )
    – Gouache aux doigts lavable – 5 couleurs
    – Peinture acrylique – 12 couleurs
    – Pastille de Gouache – 12 couleurs
    – Spoty Applicateur de Gouache – 5 couleurs
    – Gouache Redimix – 3 couleurs

Soit 1 gagnant au total.

13) Les gagnants seront définis comme suit :

Au hasard par un logiciel, à partir de la liste des participants/gagnants et vérifié par le Promoteur.
Le gagnant sera notifié par email et/ou Facebook et/ou courrier dans un délai de 28 jours après la date de fin du concours. Si le gagnant ne peut pas être contacté ou ne réclame pas son lot dans un délai de 14 jours après l’annonce, le promoteur se réserve le droit de retirer le lot du gagnant pour l’attribuer à un gagnant de substitution.

14) Le promoteur informera le gagnant de la date et du lieu où le lot peut être collecté / livré.

15) La décision du promoteur sur tous les aspects du concours est finale et aucune discussion ne sera entamée.

16) Le concours ainsi que ses termes et conditions sont régis par les lois françaises. Tout litige devra être sujet à une procédure judiciaire auprès des tribunaux établis en France.

17) Le gagnant accepte que sa participation, son nom et son image soient utilisés publiquement sur les supports du promoteur. Toutes les données personnelles du gagnant ainsi que celles des autres participants ne seront utilisées qu’en accord avec la législation de protection des données en vigueur en France et ne seront en aucun cas transmises à une tierce partie sans consentement préalable.

18) Le promoteur s’engage à envoyer les lots dans un délai de 4 semaines aux gagnants.

19) Le nom du gagnant sera disponible, dans un délai de 28 jours après la date de fin du concours, par email à l’adresse suivante : courrier@grand-mercredi.com

20) Ce concours n’est pas sponsorisé, soutenu, administré ou associé avec Facebook, Twitter et tous autres réseaux sociaux. Les informations sont uniquement transmises au promoteur et seront utilisées sous la Politique de Confidentialité disponible sur le site internet du Promoteur ou sur demande.

Tour d’horizon des tendances mode qui se déclinent façon écolo pour des Petits-Enfants bien dans leurs baskets.

Cette année, plus que jamais, nous avons pris conscience de l’importance de réfléchir aux vêtements que l’on porte et que l’on achète. Parce que nous sommes plus engagés que jamais, nous allons choisir, pour nos Petits-Enfants, des vêtements qui respectent la planète, et dans lesquels ils se sentiront bien.

Ils sont plein de vie

Sur les bancs de l’école, on veut que nos Petits-Enfants puissent s’épanouir et être eux-mêmes. Résultat, on leur offre des vêtements confortable, de qualité et au style impeccable avec des couleurs gaies. Avec ces tenues, ils auront toute la liberté de s’épanouir en égayant leur entourage.

Ils pensent à leur avenir

Un Petit-Enfant d’aujourd’hui, c’est un Petit-Enfant écolo et éthique. Et sa garde-robe peut l’être tout autant que sa Grand-Mère. Alors, on fonce chez les marques qui s’engagent autant pour la planète que pour l’humanité, et on habille nos petits anges en chevalier de l’écologie (entendre : dans des vêtements qui n’abîment pas la planète). On a de la chance : c’est tendance.

Ils bougent

Loin de nous l’idée de vouloir engoncer nos Petits-Enfants dans des vêtements étriqués et surtout dans lesquels ils ne pourraient pas bouger. Fort heureusement pour nous, la mode, cette année, est au jean, au velours côtelés et aux sweatshirts confortables. Aucune raison de s’en priver, donc. Autre classique, toujours à la mode : la doudoune sans manche, très légère, dont les enfants raffolent pour être libres de leurs mouvements.

Ils sont colorés

Forts de leurs jolies peaux dorées par l’été, ils pourront arborer fièrement les couleurs de l’automne, qui, ô joie, restent les grands classiques de la saison : ocre, kaki, orange, marron, violet ou rose poudré seront partout (autant sur nos Petits-Enfants, que sur nous, que sur les jolies feuilles mortes).

Surtout, ils sont ce qu’ils sont

L’automne, c’est aussi et surtout le moment de les encourager à s’affirmer et à avoir confiance en eux. Pas question donc de leur dicter à la lettre ce qu’ils doivent porter. Il convient de trouver un compromis, entre la robe de la Reine des Neiges et la robe à smocks. Pour cela, organisez une séance de shopping, en tête à tête avec votre Petit-Enfant. Vous prendrez le temps de comprendre ses goûts, et vous les siens. Rien de tel pour s’affirmer.

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Vous êtes privés de vos Petits-Enfants quelques semaines ? 
Pour cette Grand-Mère, c’est toute l’année ! Elle témoigne.

 

En ce moment, j’entends régulièrement parler de tous ces Grands-Parents malheureux, dû à l’actuelle situation de confinement, qui les a privés de voir leurs chers Petits-Enfants…

Il y a ceux qui sont contrariés de ne plus pouvoir aller les chercher le mardi soir chez leurs parents et ceux qui s’attristent de ne plus pouvoir leur préparer leur goûter préféré. Dans tous les cas, la satisfaction de les voir au travers d’un écran ou de les avoir au bout du fil, n’est pas suffisante…

Mais vous savez quoi ? Moi, j’envie fortement toutes ces Grand-Mères et tous ces Grands-Pères ! 

Parce que, eux au moins, ils ont la chance de pouvoir s’occuper de leurs Petits-Enfants tout le reste de l’année… Alors qu’en ce qui me concerne, je ne peux les voir qu’une ou deux fois par an tout au plus : le jour de Noël et le jour de l’anniversaire de mon fils…(quand nous avons la chance d’être invité).

Une situation qui me fend le coeur…

D’ailleurs, au quotidien, mes copines me montrent tout le temps, les adorables photos des prouesses de leurs Petites-Filles, les jolis sourires de leurs  Petits-Fils. Elles me racontent ce qu’ils ont fait chaque semaine, pendant que mon mari et moi-même attendons désespérément l’appel des nôtres.

Avant l’arrivée de ma belle-fille, j’ai toujours été très proche de mon fils. Nous avions une relation particulièrement fusionnelle même… Peut-être un peu trop, ce qui a sans doute dû déranger sa femme. Dès notre rencontre, j’ai vu qu’elle construisait une forme de jalousie à mon égard… Mon fils me faisait confiance, il me demandait mon avis, des conseils : ce qui lui déplaisait fortement !

Un jour, j’ai dit à mon Grégoire qu’il fallait que nous coupions le cordon pour le bien de son couple. Petit à petit nos appels s’espaçaient au même rythme que nos rencontres… Et même si la distance devenait un peu trop grande à mon goût, je suis restée éloignée. Jusqu’au jour où ma belle-fille a mis au monde cette adorable tête d’ange !

Ma joie fut telle, que je n’aurais les mots pour la décrire. Ce jour arrivait enfin : j’étais Grand-Mère ! Hélas, si j’avais su que je ne pourrais jamais vraiment endosser ce rôle… pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé !

D’abord, mon fils a déménagé à l’opposé de là où nous sommes, ce qui n’est probablement pas un hasard. Puis, lorsque je les appelle, ils décrochent peu ou me disent qu’ils sont très occupés et trouvent une excuse pour raccrocher. Ou encore, lorsque mon mari les invitent à passer des vacances ensemble, ils ont déjà autre chose de prévu… Nous avons tout essayé, même la correspondance épistolaire.

La femme de mon fils lui a probablement, une fois de plus, retourner la tête. Ce qui est bien triste parce que moi je ne demande qu’à ce que nous nous entendions bien. D’ailleurs, j’ai fait beaucoup d’efforts pour l’intégrer le plus possible à la famille.

Depuis, deux autres Petits-Fils ont également pointés le bout de leur nez. Mon mari et moi ne pouvons les voir que très occasionnellement !

Alors, je n’ai qu’une chose à dire aux Grands-Parents concernés par le confinement : profitez de cette distance pour réaliser combien vous êtes chanceux le reste de l’année d’avoir d’aussi merveilleux Petits-Enfants.

Tout a commencé par une banale dispute au cours d’un déjeuner familial. Une discussion à priori anodine qui a (très) mal tournée.
En quelques secondes, ma vie de Grand-Mère a basculé. Stéphane s’est levé de table, a attrapé ma fille par le bras, et depuis je n’ai toujours pas revu mes Petits-Enfants.

Sur le moment, j’ai réussi à relativiser. Mon époux et moi même pensions à tord, qu’il s’agissait d’une banale dispute familiale et qu’avec le temps les choses allaient s’arranger. Nous étions loin de nous douter que nous allions nous retrouver dans une telle situation.

Ma fille et moi en avons longuement discuté. Nous ne sommes pas fâchées toutes les deux, mais force est de constater qu’elle n’a pas réussi à arranger les choses.
Il faut dire que Stéphane est plutôt du genre à avoir un sacré caractère, alors je n’ai pas tout de suite osé lui forcer la main.

Quelques mois se sont écoulés, et je suis toujours aussi triste. Avec mon époux, nous avons longuement réfléchi et nous nous sommes décidés à faire bouger les choses.
Il faut dire que ni lui, ni moi, sommes capables de rester plus longtemps dans cette situation.

Nous avons écris à Stéphane pour lui dire que nous étions décidé, s’il le fallait, à faire valoir nos droits devant la justice. Car oui, nous avons des droits en tant que Grands-Parents. Stéphane, sans surprise, nous a ignoré et il n’a jamais répondu…

Nous attendons encore un signe de sa part, mais nous sommes résignés devant cette situation totalement injuste. En espérant que le temps arrange les choses, bien que dans le fond, nous savons que nous resterons, comme d’autres, des Grands-Parents privés de leurs Petits-Enfants.

Quand j’ai appris que mon fils allait être papa et que j’allais devenir Grand-Mère, j’étais aux anges.
J’ignorais encore quelle s’appellerait Sarah.

J’attendais impatiemment sa venue, et j’étais très impliquée dans les préparatifs qui précédaient sa naissance.
C’est moi qui ai acheté ses vêtements, son berceau, sa literie… Je ne laissais rien au hasard !

Et je ne laissais à personne d’autre le soin de s’en occuper.
Toutes mes virées shopping étaient destinées à ma future Petite-Fille : je n’allais que dans les magasins de puériculture !

Ça me rappelait la période de ma grossesse ; à l’époque, j’étais tellement excitée de devenir maman. Un souvenir inoubliable.

Le simple fait de savoir que j’allais devenir Grand-Mère était en soi un bonheur. Mais, en plus, mon fils m’a annoncé que j’aurai le privilège de choisir le prénom de ma Petite-Fille. Ce jour-là, ce fut une explosion de joie.

Je n’ai pas pu retenir mes larmes, il y avait trop de bonnes nouvelles d’un coup.
Le plus incroyable, c’est que j’espérais secrètement choisir le prénom de ma Petite-Fille. C’est comme si mon fils avait lu dans mes pensées. J’avais même un prénom en tête : Sarah !

C’est le prénom que je voulais donner à ma fille, mais je n’en ai pas eu. Du coup, je l’ai gardé en tête au cas où j’aurais une Petite-Fille. C’est aujourd’hui chose faite, et je suis comblée !
Je ne remercierai jamais assez mon fils et ma belle-fille de m’avoir fait ce magnifique cadeau.

Choisir le prénom d’un enfant n’a rien de banal, et j’ai vraiment eu l’impression de me voir confier une grande responsabilité.
Je n’ai absolument pas hésité : ma Petite-Fille s’appellerait Sarah, c’était sûr et certain.

Mais j’avais tout de même une petite appréhension : est-ce que ce prénom allait plaire à mon fils et ma belle-fille ?
Car il faut évidemment leur bénédiction ; c’est leur enfant avant tout.

Leur réaction fut au-delà de mes espérances : ils étaient enchantés !
La petite Sarah a aujourd’hui un an. Je l’aime de tout mon cœur, moi, sa Grand-Mère comblée.

Alors que nous étions confinés, Brigitte a appris qu’elle allait devenir Grand-Mère. Elle nous raconte comment cette nouvelle a bouleversé sa vie.

Nous sommes le 16 mars dernier, alors que nous apprenions que nous allions tous être confinés, c’est une autre nouvelle qui allait bouleverser ma journée.

Je savais que je n’allais pas pouvoir voir ma fille pendant plusieurs semaines ; des centaines de kilomètres nous séparaient ! Alors, nous avions organisé un rendez-vous téléphonique quotidien. Mais, ce 16 mars 2020, Marie, ma fille unique, me paraissait toute chamboulée, et pas uniquement par les annonces gouvernementales. Et pour cause, elle s’apprêtait à m’annoncer que j’allais devenir Grand-Mère pour la toute première fois.

Sans dévoiler ce moment qui nous appartient, sachez que je me suis simplement effondrée. Je ne tenais littéralement plus sur mes jambes et pour cause. Cela faisait des mois que Marie menait un long combat et avait tout essayé pour donner la vie.

Depuis cette date, nous avons pu nous serrer dans nos bras et fêter dignement l’arrivée prochaine de ma Petite-Fille. Car oui, Marie attendait une fille. A l’heure où tous, nous vivions des moments difficiles, il fallait bien reconnaître que cette grossesse était un cadeau du ciel. Un cadeau dont je compte bien profiter.

J’ai compté les jours avant l’arrivée de cet ange, et cherché mon petit nom de Grand-Mère inlassablement. Devenir Grand-Mère, c’était le but que je m’étais fixé quand, il y a 35 ans, je suis tombée enceinte. C’est le cycle de la vie, devenir Grand-Mère aujourd’hui est ma plus grande fierté. Rassurez-vous je ne suis pas la seule à être aussi impatiente, mon époux pour qui naturellement devenir Grand-Père était aussi un rêve, trépigne lui-aussi d’impatience. Je sais combien l’arrivée de cette Petite-Fille bouleversera nos vies.

« Tu vas devenir Grand-Mère » : suis-je la seule chez qui ces mots raisonnent quotidiennement ? J’imagine que non, mais quelle joie !

 

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