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Des retrouvailles incroyables avec mes Petits-Enfants à l’étranger !

Sur le moment, mon mari et moi nous ne les avons pas pris au sérieux, n’imaginant pas une seconde que quelques mois plus tard ils seraient à quelques 6 500 km de chez nous, bien installés en Martinique !

Quand vos enfants ont une telle opportunité et un projet de vie comme celui-ci, vous ne pouvez qu’être content pour eux.
J’étais même fière qu’ils réalisent leur rêve. Mais, je n’aurai jamais imaginé qu’ils me manqueraient à ce point…
Mon fils évidemment, qui est en plus mon seul fils, ma belle-fille que j’ai toujours considérée comme ma fille et mes deux petits loups dont j’étais si proche.

Quelques mois ont passé et nous étions dans une impasse car nous n’avions pas les moyens de nous rendre sur place.

Alors, nous communiquions sur Skype. Je reconnais que c’est un merveilleux moyen pour garder contact et à chaque fois que je l’utilisais, je me disais combien cette invention avait dû sauver un bon nombre de familles. Le problème avec Skype c’est qu’au bout d’un moment, on a juste envie de serrer ses enfants et ses Petits-Enfants dans ses bras.

Mon fils m’avait tout organisé pour que je ne me sente pas trop seule et, malgré le décalage horaire, je leur parlais tous les soirs à 22h30 quoiqu’il arrive. Ni lui ni moi nous n’avons dérogé à ce rendez-vous quotidien ne serait-ce qu’une seule fois. C’était notre rituel. C’est mon passeport vers le bonheur.

Et puis un jour, j’ai reçu le plus beau des cadeaux.

Mon mari avait patiemment essayé d’économiser quelques centaines d’euros par-ci et par-là pour que nous puissions faire le voyage.
Ce n’était pas irréalisable puisque sur place nous serions logés. Il nous fallait uniquement trouver un moyen de payer ces maudits billets d’avion, maudits parce qu’hors de prix et c’était pourtant ces deux bouts de papiers qui nous séparaient de notre tribu.

Le plus beau des cadeaux vous l’avez compris, c’est lorsque mon mari m’a dit : « Chérie, ce week-end, il faut fermer la maison et faire tes valises ! ». J’étais en larmes évidemment. J’ai tellement espéré que ce moment se produise, que dans le fond j’ai tout de suite su ce que j’avais à faire avant de partir. Je me suis mise à faire la valise de mon mari, à regarder la météo sur place, à prévenir nos voisins que nous serions absents… !

Le temps du vol fut le moment le plus long de ma vie.
Je n’ai jamais réussi à fermer l’œil, j’étais dans un tel état d’excitation !

Et puis, nous sommes arrivés sur place… le reste nous appartient.
Mais ce que je peux vous dire c’est que nous étions tous en larmes.
Il faut dire qu’en apercevant nos Petits-Enfants à l’aéroport, munis d’une pancarte portant l’inscription « Mamie on t’aime »…

Alors oui, ça été dur de ne pas les voir pendant si longtemps, c’est certain, mais je n’ai pas de mots pour décrire ce que j’ai ressentis en les retrouvant. Je ne remercierai jamais assez mon mari pour ce cadeau et mon fils qui a contribué aussi à nous payer ce merveilleux voyage !

Presque deux ans. Une éternité que je ne les ai plus vus, moi la Grand-Mère de trois merveilleux Petits-Enfants. La dernière fois que j’ai pu les serrer dans mes bras c’était à Noël, et c’était en 2015. Ma belle-fille m’avait gentiment invité à passer le réveillon dans sa famille pour que je puisse profiter de mon fils Pierre, et de ses trois adorables enfants.

J’ignorais évidemment que c’était la dernière fois que je les voyais, la dernière fois que je les entendais m’appeler Mamou avant un long, un très long moment. Mamou, c’est mon petit nom de Grand-Mère, c’est Pierre qui l’avait choisi après des heures de réflexion.
Mais à quoi bon au final, nous qui allions être séparés pendant si longtemps.

Tout a commencé en Janvier 2016, quelques jours après le réveillon de Noël mon fils vient m’annoncer qu’ils déménagent.
Nous habitions depuis toujours dans le même quartier, à Lille. Puis là soudainement c’est le choc. Je comprends que la distance affectera obligatoirement nos relations.

Qu’aurais-je pu faire ou dire ? Tenter de les retenir ? Non. J’ai pris sur moi et j’ai réagi comme n’importe laquelle des mamans, j’ai félicité mon fils pour cette promotion en lui souhaitant bonne chance dans sa nouvelle vie.

Vous vous dites sûrement que j’exagère et que la distance qui nous sépara n’est pas si grande ?
1 000 km ! … Et pour moi qui ne conduit presque jamais et encore moins sur l’autoroute c’est immense.

Après son départ, j’ai commencé à réaliser combien mes Petits-Enfants me manquaient, combien je les aimais.
Les journées étaient longues, les mercredis après-midi où j’avais l’habitude de les garder à la maison étaient assurément la journée la plus triste de la semaine.

J’avais surtout développé une fâcheuse manie : je regardais sans cesse les photos de mes Petits-Enfants dans mon téléphone, je feuilletais les albums et restais prostrée des heures devant les adorables dessins qu’ils m’avaient fait pendant toutes ces années.

Là-encore je crois savoir ce que vous vous imaginez ? Est-ce que j’allais moi aussi déménager pour les retrouver ?
Et bien j’y ai pensé figurez-vous.  Mais j’ai surtout pensé à eux en priorité. Eux qui avaient l’air si heureux de découvrir une nouvelle vie, un cadre de vie entouré par la mer et la chaleur des Marseillais. Je me suis dit qu’il n’avait pas besoin de moi finalement et que c’était moi qui égoïstement avait plus besoin d’eux.

Cette année 2016 a été une année triste pour la Grand-Mère que je suis, où que je sois finalement.
D’autant qu’à Noël, mon fils a passé le réveillon chez sa belle-mère. Quelques 400 km de chez moi… Là encore, impossible pour moi de les retrouver et pourtant ils me manquaient terriblement, douze mois après leur départ.

La vie continue malgré tout et nous nous retrouverons au printemps 2017.  Je suis décidée à parler à Pierre. Je lui téléphone pour lui dire que je veux absolument les voir pendant les vacances d’été et que c’est une obligation. Je me souviendrai toute ma vie de ce coup de téléphone, c’est la première fois où j’ai osé lui dire ce que je ressentais au fond de moi et combien j’étais malheureuse sans eux, depuis que ma petite tribu avait explosée.

Mon fils tombe des nues. Il n’avait aucunement conscience que j’étais à ce point affectée, moi qui avais tenu à le préserver. Il s’effondre, comme s’il avait pris conscience qu’être une mère et une Grand-Mère était un état, et que lorsqu’on ne l’est plus, on n’est plus rien… tout s’écroule autour de soi.

Je reprends peu à peu des forces et cette conversation me met du baume au cœur, persuadée que je vais pouvoir les retrouver très vite. Je commence à me préparer à leur venue même trois mois avant, eux qui ne viendront pas avant le 15 août. Ce n’est pas grave, ça m’occupe. J’économise pour pouvoir les gâter. J’avais d’ailleurs calculé qu’il restait 90 jours avant leur venue et que si je mettais 1€
de côté par enfant et par jour jusqu’à leur venue j’aurai presque 300€. De quoi les couvrir de cadeaux.

Nous sommes le 16 Juillet, je m’en souviens puisque dans ma tête nous avions passé symboliquement la barre du « J-30 ».
Je me sentais de mieux en mieux. L’excitation était intense.
Un coup de téléphone, c’est Pierre au bout du fils. Une voix sombre. J’ai tout de suite compris ce qui se passait. Ils n’allaient pas pouvoir venir.  Je reste bouche bée. Je préfère m’assoir. Il me parle de son travail et m’explique qu’il a dû repousser ses vacances.
Je le sens peiné. Je le sens bizarre. Vous savez quand on sait que son fils ne va pas bien mais que vous savez aussi qu’il ne vous dira rien….

L’été se passe malgré tout. Je n’avais pas pour autant arrêté de remplir ma petite cagnotte, comme si inconsciemment je pensais que j’allais les voir, un matin, passer le portail.
Un indice me disait tout de même que je n’étais pas folle et que j’avais raison de continuer à y croire : ils ne m’envoyaient plus aucune carte postale. La dernière remontait à début Juillet. Étrange….
La Poste est parfois négligente sur mon courrier mais un mois de retard… Non.

Nous sommes le lundi 14 septembre 2017, c’est ma belle-fille au bout du fil. Premier fait étrange, bien que nos relations soient excellentes, nous nous téléphonons rarement.
Quelques instants plus tard, je trouve mes trois Petits-Enfants derrière le portail de mon pavillon. Un choc énorme. J’étais comme paralysée. Je vacillais littéralement et à ce moment précis, mes jambes ne me portaient plus. J’ai dû m’assoir.
Tellement choquée finalement, que je n’ai même pas pensé à leur ouvrir le portail. Je les entends encore hurler, « Mais Mamou ouvre-nous ! »

Deux heures plus tard. Nous sommes tous les 6 dans le salon, à ce moment-là je ne savais pas combien de temps ils allaient rester mais j’avais trouvé la voiture très chargée pour quelques jours de vacances. Mon fils m’annonce que sa mission est terminée et qu’ils reviennent s’installer dans la région.
La délivrance, s’en est suivie de larmes de joie. Pudiquement, je ne raconterai pas en détails ce moment si intense, qui nous appartient.

3 semaines plus tard.
En plus des mercredis après-midi, mes Petits-Enfants dorment à la maison tous les trois une fois par semaine. La tribu est recomposée et croyez-moi on fait des tas de bêtises ! Et vous devinerez jamais ? La cagnotte atteint désormais 1000€.
J’ai quelque peu intensifié mes économies c’est vrai, mais c’est pour les inviter tout un week-end dans un célèbre parc d’attraction !

Bon il est vrai que Pierre a depuis déménagé aux États-Unis. Non évidemment je plaisante, ils sont toujours là à côté de la maison et ils sont même encore plus proches qu’à l’époque.

Voilà c’est mon histoire. Celle d’une mère et d’une Grand-Mère comblée qui a failli tout perdre.
Celle j’imagine de nombreuses familles brisées par la distance. On a souvent coutume de penser que rien n’est jamais définitif, et mon dieu que c’est vrai !

A mon fils Pierre et mes trois Petits-Enfants que j’aime tant.

C’était il y a deux ans environ, ma petite Louise, 17 mois, prononça enfin son premier mot. Je n’étais pas là mais ma fille m’a téléphonée, en trombe : « Maman, ça y est, elle parle ! »

J’étais tellement heureuse, excitée à la fois, c’est ma petite-fille unique.

Mais j’étais loin de m’imaginer ce que j’allais ressentir, quelques temps plus tard, l’entendant m’appeler Mamie pour la première fois.

Nous sommes toutes les trois dans le salon, des jouets étalés sur le sol, Louise se réveille à peine de sa sieste. Et sans que personne ne s’y attende, sans le moindre signe avant-coureur, elle dit « Mamie ». Ce qui était drôle c’est qu’elle l’a dit sans me regarder.

Je ne suis pas du genre ultra-sensible, je ne suis pas un roc non plus, mais j’ai sangloté.
J’étais tellement heureuse que ma fille assiste à ce moment.

Je me suis immédiatement dit, « ça y est ma Petite-Fille sait qui je suis ». J’ai un prénom, je suis quelqu’un qui compte pour elle.

Moi qui avait mis tellement de temps à choisir mon nom de Grand-Mère, hésitant entre Mamou ou Granny j’avais finalement opté pour du classique. Et bien je ne m’étais pas trompée car dès qu’elle l’a prononcée je me suis dit : ‘J’adore mon nom de Grand-Mère !

Le soir venu, je l’ai évidemment raconté à mon mari qui m’a tout de suite dit : « Mais tu es bien sûre qu’elle a prononcé le mot magique ? » Je ne lui en voulais pas de faire preuve de scepticisme, moi qui le bassinais depuis des jours avec ce moment que j’attendais tant.
Mais dans le fond, j’avais comme témoin ma fille et puis finalement, elle a dit Mamie avant Papi, alors…

« Ma petite chérie ne cesse jamais de m’appeler Mamie car avec Maman, c’est le plus beau des mots que j’ai entendu ! »
Avec le jour de sa naissance, c’est assurément le plus grand moment de ma vie de Grand-Mère et depuis, à chaque fois qu’elle m’appelle Mamie, je me souviens de ce jour et j’aime encore davantage sa petite voix si envoûtante !

Pourtant, vous ne savez plus comment les divertir sur la route des vacances ou vous manquez de temps pour vous rendre en librairie et vous procurer les derniers best-sellers. Et si vous appreniez à lire avec vos oreilles ?

Grand-Mercredi vous présente un mode de lecture alternatif : le livre audio, une façon ludique d’accéder au monde des livres et à la littérature par l’écoute.

Pour le plaisir de l’écoute  : une expérience sensorielle

Tablette, smartphone, ordinateur… Les écrans nous sollicitent au quotidien et pourtant, cette exposition prolongée n’est pas sans danger. Il est peut-être temps pour vous de reposer vos yeux et privilégier l’écoute.. Ou encore, vous présentez des difficultés visuelles qui vous empêchent de lire et vous voulez retrouver le goût pour la lecture ? Le livre à écouter est fait pour vous ! Aucune illustration, seules vos oreilles seront sollicitées.

Une façon intelligente d’occuper les temps de transport, et laissez vos yeux parcourir le paysage ou encore d’occuper des moments de détente, sur la plage, une table de massage ou pendant votre sport quotidien !

 

Le livre au détour d’une voix : une expérience pédagogique                                                                                     

Des phrases imprimées dont on ne comprend pas toujours le sens ou qui renvoient à des émotions auxquelles vous n’avez pas toujours accès.. Et si vous laissiez une voix pénétrée ces lignes de caractère indéchiffrables et donner du sens aux écrits ?

L’écoute d’un livre audio éveille l’esprit créatif de vos Petits-Enfants. Un casque sur les oreilles et voilà vos Petits-Enfants plongés dans l’univers d’un livre au détour d’une voix. Laissez-les imaginer le décor et les personnages se dessiner derrière leurs oreilles puis, invitez-les à exprimer leur créativité à l’occasion d’un atelier créatif ou pourquoi pas même penser une pièce de théâtre ?

 

Une lecture à partager à plusieurs : une activité familiale               

Les bouchons, vos Petits-Enfants qui trépignent sur la banquette arrière… Vos trajets en voiture, en train ou en avion n’en finissent plus ? Le livre audio accompagne les Petits comme les Grands sur la route des vacances et présente l’avantage de pouvoir réunir toute la famille autour d’une histoire qui vous est contée. Une lecture en famille qui marquera à jamais votre road trip !

 

Le tip Grand-Mercredi : comment écouter mes livres audio ?
Vous voilà convaincu de l’intérêt du livre audio, mais vous ignorez quel support adopté pour écouter le dernier best-seller… Choisissez Audible ! Avec cette application, où que vous soyez, vous pourrez écouter toutes les histoires que vous avez toujours voulu lire.

Audible met à votre disposition une bibliothèque numérique qui rassemble des œuvres de qualité et vous offre ainsi la possibilité de filtrer les livres disponibles selon vos préférences. Polar, romance, fantastique… Il y en a pour tous les goûts pour satisfaire les Petits comme les Grands.

En deux mots, le livre audio vous fera découvrir une nouvelle expérience de lecture unique et intense. Bonne écoute !

Le printemps n’est pas la seule saison à avoir la part belle au jardinage. L’hiver a aussi son lot de plein air. Listing de ce dont votre jardin a besoin en février.

Surveiller de près

Au cours de l’automne, vous avez protégé vos plantes, mais cela ne suffit pas. Vous devez veiller au grain ! Le gèle et l’excès d’humidité sont les deux grands ennemis de votre jardin. Veillez également à ce qu’elles n’étouffent pas sous leur protection. Si vos plantes font grises mine, ajoutez du paillage à leur pied.

Planter malgré le froid

Les beaux jours ne sont pas la seule période pour s’adonner au jardinage. Le mois de février est parfait pour bouturer, à condition de ne pas le faire avec n’importe quelle espèce. Les primevères, les oeillets et les violettes sont le casting idéal. Ces fleurs s’enracineront doucement et solidement pendant l’hiver. Autres candidats potentiels : l’anémone, l’arum, le glaïeul et le géranium. Planter au coeur de l’hiver, ces fleurs écloront au printemps. Vos Petits-Enfants pourront les observer croître à chacune de leur visite. 

Les bulbes à écailles peuvent aussi être plantés. Ces écailles doivent être coupées et plantées séparément. Cette technique de jardinage est idéale pour les espèces onéreuses et rares.

Repenser votre jardin

Réfléchissez à l’agencement de votre coin de verdure et repensez-le si besoin. Tel Le Nôtre, vous pouvez dessiner des plans. Dressez la liste des nouvelles plantations et des déplacements de végétaux : tous les jardins ont besoin d’une structure.

Désherber !

En cas de pluie, pensez à désherber votre jardin. C’est le bon moment pour attaquer l’arrachage annuel des plus grosses touffes de mauvaises herbes. La tâche est plus fastidieuse qu’avec un désherbant, mais beaucoup plus écologique.  

 Créer votre propre potager 

Les mois d’hiver ne sont pas idéaux pour se donner corps et âme dans la création d’un potager. En revanche, vous pouvez réfléchir en famille à ce que vous souhaitez cultiver. Pour cette grande première, faites simple : tomates, carottes et pommes de terre feront l’affaire. Vous pourrez complexifier votre potager l’année suivante.

 

La Saint-Valentin pointe bientôt le bout de son nez, et si vos enfants et peut-être vos Petits-Enfants ont déjà minutieusement préparé leurs programmes, vous n’avez peut-être rien de prévu ! Alors, suivez ces 4 conseils, ils vous prouveront que vous aussi vous méritez un 14 février inoubliable !

A la Saint-Valentin, de l’originalité vous ferez preuve !
Que ce soit pour un cadeau ou dans le choix de vos habits de lumière, vous tâcherez de marquer le coup !
Le mot d’ordre est de laisser libre cours à votre imagination !

Justement, vient maintenant le temps de trouver un cadeau.

Et cette année, la star c’est lui ! Offrez-vous une séance photo avec un professionnel, pour de jolis clichés qui trouveront une place de rêve sur votre table de nuit, et dans les portefeuilles de vos enfants et Petits-Enfants !

Le 14 février, une date symbolique qu’il convient d’honorer !
Si certains d’entre vous opteront pour un dîner au coin du feu, d’autres choisiront un repas de gala sur un bateau de croisière.
Pour les plus mélancoliques, vous pourriez emmener votre conjoint dans un restaurant que vous aviez l’habitude de fréquenter jadis, un lieu rempli de souvenirs qui fera son effet !

Cette fête des amoureux, c’est une fête qui se doit d’être mémorable !
Un moment idéal pour prendre soin de soi et partager des moments précieux.
Alors, si vos enfants avaient l’habitude de faire appel à vous pour garder vos Petits-Enfants, cette année prévenez-les en amont… le 14 février, vous serez de sortie !

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