En tant que Grand-Mère, j’ai longtemps pensé – à tort –  que les jeux étaient réservés aux jeunes ou à mes Petits-Enfants.
Il faut dire que, derrière leur écran, avec une console entre les mains ou les yeux rivés sur leur smartphone, aucun jeu ne leur résiste !

Et puis, il y a quelque temps, je me suis offert une tablette ; et, très vite, tout s’est enchaîné.
C’est bien simple : je ne la quitte jamais. Pour m’informer, pour rester proche de mes enfants et Petits-Enfants et, désormais, pour jouer en ligne !

Un soir, alors que je naviguais tranquillement sur Internet, j’ai ouvert une page qui allait me faire découvrir un incroyable jeu !
Depuis, je crois pouvoir reconnaître que je joue presque autant que mes Petits-Enfants.

Si ce n’est qu’à la différence des leurs, mes jeux sont bons pour la santé !
Eh oui : bienvenue dans l’univers du jeu intelligent qui permet d’entretenir sa mémoire et sa concentration. Bref, avec ces jeux, vous décuplez vos capacités !

La simple idée d’oublier un rendez-vous chez le médecin ou l’anniversaire de l’un de mes Petits-Enfants, très peu pour moi ! Alors, je m’exerce en jouant.

J’anticipe ce que vous pensez sûrement : un jeu en ligne ? Oh non, je n’y arriverai pas ! Détrompez-vous, c’est simple et facile à utiliser ! Même mon époux en est devenu adepte, lui qui – en plus ! – a eu la chance de profiter d’une réduction avec le code promo ci-dessous.  J’ai gardé le meilleur pour la fin : tous les soirs, nous nous affrontons en disputant des parties endiablées !

Honnêtement, cette application me rassure et, grâce à elle, ma mémoire ne me joue plus jamais de mauvais tours.
J’ai réellement l’impression de travailler ma concentration et, surtout, je m’amuse !

Vérifiez : vous vous prendrez vite au jeu !
Il ne vous reste plus qu’à faire comme mon époux et à profiter de cette réduction en cliquant ici !

Jamais je n’oublierai ce vendredi 16 novembre 2018 ; cet instant où j’allais enfin revoir mes Petits-Enfants, Manon et Louis.

Une soirée très banale s’annonçait. Mon époux et moi dînions d’un repas tout aussi quelconque. Je reconnais a posteriori que je le trouvais un peu agité, lui qui est d’ordinaire si calme. Mais, sur le moment, je n’ai rien remarqué de plus inhabituel. Pourtant, ce qui va suivre a transformé ma vie de Grand-Mère à tout jamais.

Pour comprendre, revenons en arrière. Il y a deux ans, ma fille, mon gendre et mes deux adorables Petits-Enfants, Manon et Louis, se sont envolés pour le Canada.
Un déchirement pour nous, un changement de vie pour eux, accompagné d’une promotion « qui ne se refuse pas » pour mon gendre.

Moi, la Grand-Mère qui ne peut pas se passer de ses Petits-Enfants, je me suis retrouvée emplie d’une tristesse immense, au point d’être incapable de me réjouir pour eux. Le temps a passé, mon chagrin était de plus en plus profond. Nous n’avions pas les moyens de les retrouver et nos contacts se limitaient aux session Skype, seul moyen d’entendre ma fille et mes Petits-Enfants.

Revenons à ce fameux 16 novembre.
A la fin de notre dîner, l’air de rien, mon mari se lève de table et reviens les bras chargés d’un cadeau. Étrange venant de lui, qui n’est pas du genre dépensier. Je l’ouvre et… je vous laisse deviner ce qu’il m’avait offert : cliquez ici
J’ai tout de suite compris en l’ouvrant. Une vague de froid historique s’abattait alors sur le Canada, donc autant dire qu’il n’a pas eu besoin de m’expliquer grand-chose… Ce cadeau était le point de départ d’un grand voyage ! Dans quelques semaines, nous partirons tous les deux retrouver notre fille, notre gendre et nos Petits-Enfants !

Pouvoir embrasser Manon et Louis, les serrer fort… : j’en rêve depuis 2 ans maintenant !
Encore quelques semaines de patience, et je redeviendrai la Grand-Mère heureuse et comblée que j’ai toujours été !

Trop c’est trop ! Moi, la Grand-Mère de deux Petits-Enfants, Charles et Adrien, j’ai peur.
Chaque année, quand vient l’ouverture de la chasse, je m’inquiète. Il faut dire que mes deux Petits-Enfants ont une passion – que je vous laisse laisse découvrir ici – et vous comprendrez mon angoisse.

Bien que la chasse soit encadrée, trop nombreux sont les accidents. Je suis morte d’inquiétude quand, le samedi matin, je les vois quitter la maison pour s’adonner à leur loisir favori et se retrouver livrés à eux-mêmes en pleine nature.

Je reste des heures durant postée devant ma fenêtre, guettant leur retour. A chaque détonation, je me mets à trembler.

Je me demande si je ne devrais pas tout simplement interdire cette activité à Charles et Adrien. Mais je n’ose pas. C’est leur bonheur, après tout. Quand je les vois partir en tenue de sport, je me dis qu’ils sont insouciants tout en m’efforçant de me rassurer, de me convaincre qu’ils seront prudents, qu’ils resteront sur des pistes balisées… Et que, non, ils ne pratiquent par leur passion dans des sentiers reculés de la forêt.

C’est, du moins, ce que j’espère au plus profond de moi-même.

Chers chasseurs, prenez soin de mes Petits-Enfants : un accident est si vite arrivé.
D’ailleurs, il y en a chaque année près d’une centaine, dans la région et partout en France !
Si seulement ces accidents pouvaient être évités, si seulement chasseurs et promeneurs du dimanche pouvait cohabiter…, les drames seraient moins nombreux et les autres Grand-Mères comme moi seraient plus rassurées.

Je ne suis pas pour l’interdiction de la chasse. Je n’ai d’ailleurs pas vraiment d’avis sur ce sujet, mais je suis pour que mes Petits-Enfants puissent pratiquer eux aussi leur passion sans risque d’être touchés par une balle perdue.

Résultat, chaque année c’est le même rituel : j’attends avec impatience la fin du mois de février et la clôture officielle de la chasse. Alors, je peux enfin souffler !

Samedi 17 novembre. La France n’est pas bleu blanc rouge : elle est jaune.
Partout, des milliers de gilets à bandes réfléchissantes défilent dans les rues. Un ras le bol général, des centaines de blocages, des opérations escargots, des routes paralysées.
Les Français en ont assez et, moi qui suis Grand-Mère, je prends part pour la première fois de ma vie à une manifestation.

Chacun a ses propres revendications, les miennes sont simples.
Cette hausse de carburant va littéralement me priver de mes Petits-Enfants.

Comment pourrai-je parcourir les 35 kilomètres qui me séparent de mes deux petites merveilles chaque semaine avec une retraite si faible.
Le constat est sans appel : faire une croix sur ma voiture, unique moyen de me rapprocher de mes Petits-Enfants.

Il ne m’en fallait pas plus pour que, samedi dernier, j’affronte le froid et que je me batte pour mes Petits-Enfants ! J’ignore si ce blocus, si ces mouvements partout en France ou ces quelques lignes changeront quelque chose. Mais je ne pouvais pas rester les bras croisés, observant l’accumulation de ces taxes, qui me priveront inexorablement de mes Petits-Enfants.

Sur le rond-point, où des milliers de gilets jaunes s’étaient réunis, j’ai eu la surprise de croiser d’autres Grands-Parents, eux aussi en colère. Comme moi, ils ne recherchent pas un meilleur confort de vie (il y a bien longtemps qu’ils y ont renoncé) ; ils cherchent simplement à vivre, au lieu de survivre.

Mes Petits-Enfants sont encore trop jeunes pour comprendre…
Mais, croyez-moi, un jour je leur raconterai que la seule raison qui m’a poussée à porter ce gilet jaune, à manifester pour la première fois de ma vie, c’est eux.

Avec cette petite retraite, je ne roule pas sur l’or ; mais, là, je ne roulerai plus du tout.
Et comme me l’a ironiquement suggéré l’un des manifestants, il y a du positif dans cette hausse du carburant : je vais devoir me remettre à faire du sport pour être capable de parcourir les 35 kilomètres qui me séparent de mes Petits-Enfants. Alors, pour m’entraîner, je me suis offert un petit cadeau avant, sans doute, de devoir vendre ma voiture !

Je suis Grand-Mère et, comme des millions de Grands-Parents, le bonheur de mon Petit-Fils Sacha est ce qui m’importe le plus au quotidien.
Du haut de ses 10 ans, il a déjà accompli un miracle : celui d’avoir transformé ma vie.

Sacha, c’est un passionné de sport. Véritable touche-à-tout, il adore se dépenser, il aime le goût du challenge et, comme tous les garçons de son âge, déteste la défaite.

Et Sacha est encore un petit bonhomme. Il n’est pas très grand en taille et, même si je lui rabâche qu’il va grandir, je sais combien il aimerait être aussi grand que les camarades qui l’entourent.

Je vous laisse deviner pourquoi je suis inquiète, car dans ce sport qu’il aime plus que tout, la taille est prépondérante.
J’ai eu beau chercher, aucun grand champion n’a réussi des prouesses sans dépasser 1m85.

Alors quand, le samedi après-midi, je viens le chercher à la sortie de son activité favorite, je peux parfois lire sur son visage une forme de déception, de frustration. Il est talentueux, je le sais, et son entraîneur me l’a dit. Mais il a beau être adroit, c’est un peu comme s’il ne luttait pas à armes égales et qu’il ne pouvait pas rivaliser avec les autres garçons de son âge.

Et puis, malgré toutes ses qualités, Sacha n’écoute pas toujours sa Grand-Mère.
J’ai beau essayer de lui parler, tenter de le rassurer, je vois bien que j’ai du mal à le convaincre qu’un jour, prochainement, il grandira.

Ce n’est pas faute de lui raconter régulièrement la propre histoire de son père, mon fils, qui a lui aussi fait partie de ces nombreux petits garçons qui ont poussé d’un seul coup à l’adolescence, comme par magie !

En attendant, pour les fêtes de fin d’année, j’ai trouvé ce cadeau. Afin qu’il puisse s’entraîner…et devenir un vrai grand champion !

À partir de 3 ans :
L’histoire de Saint-Nicolas, aux éditions Mijade, relate les origines de la légende du Saint. Le livre idéal à lire au coin du feu et à enrichir d’anecdotes familiales avec vos Petits-Enfants. Le 6 décembre n’aura plus de secrets pour eux !

Contes à jouer, aux éditions Albin Michel Jeunesse, se compose de quatre doubles-pages entièrement en pop up ! Vos Petits-Enfants pourront s’amuser avec les différents décors et mettre en scène les personnages découpés réunis dans une pochette à la fin de l’ouvrage. De quoi rire tout un après-midi !

À partir de 7 ans :
Moi et ma super bande : voyage en terre très très lointaine, aux éditions Nathan, propose une histoire rocambolesque. Des enfants se trompent d’avion et se retrouvent en Laponie où ils rencontrent le Père Noël et la Mère Noël. Un livre qui illustre l’esprit de camaraderie et de solidarité. Un premier roman, de grand facile à lire tout seul !

À partir de 9 ans :
Le chat qui ne voulait pas fêter Noël, aux éditions Père Castor, raconte les aventures d’un chat rebelle. Ce dernier veut bouleverser les traditions de fin d’année. C’est un récit plein d’humour, à lire et à relire avec vos Petits-Enfants. Les illustrations parlent d’elles-même !

Les températures froides de la fin de l’année sont propices à la lecture en famille. Blottissez-vous avec vos Petits-Enfants sous un plaid et lisez en y mettant le ton !

Il n’y a pas d’âge pour succomber à la douceur d’un bon macaron. Ce dernier fait l’unanimité chez les petits comme chez les grands ! Voici les meilleures adresses pour croquer ce mets sucré.

A cinq minutes à pied de la boutique Gap Rennes, la pâtisserie Mulot à l’esprit familial propose des macarons colorés pour toute votre tribu. Les parfums sont classiques mais sûrs : citron, caramel au beurre salé, framboise, café… Vos Petits-Enfants seront aimantés par les vitrines de l’adresse.
Pâtisserie Mulot : 76 rue de Seine, 75006 Paris

Dans le 9è arrondissement se trouve la star des macarons : Pierre Hermé. A deux pas de la boutique Gap passage du Havre, vous pourrez déguster ces merveilles. Certaines saveurs sont atypiques, comme la truffe blanche et le caviar. Vos Petits-Enfants se contenteront de la fraise, ou du citron vert pour les plus audacieux.
Pierre Hermé : 40 boulevard Haussmann, 75009 Paris

La pâtisserie Hugo et Victor propose des macarons sans additifs, ni colorants. Les papilles de vos Petits-Enfants sont donc entre de bonnes mains ! A quinze minutes à pied de la boutique Gap Saint-Michel, devinez quelle est la spécialité de la maison ? Des macarons ganache au chocolat noir bio du Pérou. Si l’amertume n’est pas le fort de vos Petits-Enfants, ils pourront toujours se régaler avec les macarons à la marmelade de framboise.
Hugo et Victor : 40 boulevard Raspail, 75007 Paris

A dix minutes à pied de la boutique Gap Forum des Halles, le pâtissier belge Pierre Marcolini propose quant à lui un large éventail de macarons. Petite originalité pour vous : les macarons à base de champagne. Vos Petits-Enfants jetteront plutôt leur dévolu sur ceux aux fruits !
Pierre Marcolini : 235 rue Saint Honoré, 75001 Paris