grand-mercredi, auteur sur Grand-Mercredi - Page 79 sur 141

grand-mercredi

Article

Ces villes où il fait bon vivre lorsqu’on est Grand-Parent

[drimify app_url= »quizz.html?quizid=1564011695b8e43e665acf548749564-5b8e43e665b25&lang=fr » app_style= »border:1px solid #d1d1d1; »]

Quitter Paris, ou au contraire s’y installer, se rapprocher de ses Petits-Enfants ou découvrir une nouvelle région :  en tant que Grands-Parents, vous êtes plus que jamais concernés par la mobilité.
Grand-Mercredi et Les Déménageurs Bretons vous proposent donc de découvrir ce quiz, afin de tester vos connaissances sur ces villes de France où il fait bon vivre lorsqu’on est Grand-Parent.

Ces villes ont été sélectionnées sur la base de critères précis, comme l’accès à la culture ou aux espaces verts, leur situation géographique ou encore leur climat. Elles ont la réputation d’être des villes agréables pour les Grands-Parents comme pour leurs Petits-Enfants; des villes, en somme, où la qualité de vie est supérieure aux autres.

Que vous préfériez vivre en ville ou à la campagne, que vous soyez « plage » ou plutôt « montagne », il y a forcément une ville qui vous ressemble le plus et dans laquelle vous pourriez profiter d’une douceur de vivre exceptionnelle !

Et à l’échelle du monde, alors ? Quelles sont les 10 villes où la vie est la plus agréable ? (Cliquez ici pour découvrir le classement complet) http://www.eiu.com/Handlers/WhitepaperHandler.ashx?fi=The_Global_Liveability_index_2018.pdf&mode=wp&campaignid=Liveability2018)

En première position, on retrouve la ville de Vienne (Autriche), notamment pour la culture et son accès à l’éducation !
En deuxième position du classement arrive Melbourne (Australie). Et, sur la troisième marche du podium, la ville d’Osaka (Japon).

Au risque de vous décevoir, aucune ville française n’est classée dans ce top 10 ! Si cela ne tenait qu’à nous, nous aurions sélectionné certaines de nos villes, tant pour leur architecture que pour leur culture ou leur situation géographique idyllique.

Maintenant, à vous de jouer pour tenter de reconnaître ces villes de France où il fait bon vivre lorsqu’on est Grand-Parent !

[drimify app_url= »quizz.html?quizid=29285905b8e41d234e1a652671783-5b8e41d234e7d&lang=fr » app_style= »border:1px solid #d1d1d1; »]

Non, il n’est jamais trop tard pour apprendre. Et encore moins pour apprendre …une langue étrangère.
Qui n’a jamais rêvé d’apprendre à parler une langue latine, ou de pouvoir lire du Shakespeare en version originale ?
Avant de faire ce test ci-dessus, prenez quelques minutes pour lire ces quelques lignes. Vous verrez alors que vous n’avez plus qu’une seule hâte : apprendre une langue étrangère.

Vous ne le savez peut-être pas, mais l’apprentissage d’une langue étrangère est bénéfique pour notre cerveau. Elle participe à améliorer les facultés cognitives ! Alors n’hésitez plus, et lancez-vous !

Pour celles et ceux qui hésiteraient encore, pour des raisons d’organisation ou par manque de temps, sachez que vous pouvez parfaitement apprendre une langue étrangère en restant derrière votre écran d’ordinateur, exactement comme si vous preniez place dans une salle de classe. Et n’est-ce pas ici, chers Grands-Parents, une occasion en or d’apprendre une langue étrangère avec vos Petits-Enfants ?

L’anglais, l’allemand ou l’espagnol : il ne vous reste plus qu’à choisir la langue que vous avez toujours voulu apprendre !

En outre, connaître une langue étrangère et savoir la parler vous donnera envie de voyager. Terminé les tracas lorsque vous vous trouvez en vacances dans un pays dont vous ne maîtrisez pas la langue ! Vous pourrez également déambuler dans les musées sans être obligé de tendre l’oreille pour écouter les explications de votre guide. Que dire, enfin, des inoubliables rencontres que vous ferez sur place…?

Souvenez-vous simplement qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre une langue étrangère et que vous en êtes parfaitement capables. Qu’il s’agisse de parler une langue étrangère, de savoir l’écrire ou simplement d’être capable de la comprendre : c’est une chance formidable et une ouverture sur le monde incroyable.

En cliquant ici, LIENS, vous retrouverez une offre dédiée aux Grands-Parents et à leurs Petits-Enfants. Une offre qui vous propose de découvrir l’apprentissage en ligne d’une langue étrangère de votre choix,  avec vos Petits-Enfants !  Génial, n’est-ce pas ?

Les bons ingrédients pour créer une légende qui perdurera pendant des siècles ne sont pas si compliqués que ça.

Nul besoin d’écrire en alexandrins ou d’être un prix Nobel de littérature pour construire une légende. Le Grand-Mercredi donne les clés à vous et à vos petits-enfants pour bâtir une histoire impérissable.

  1. Prenez un héros auquel ils peuvent s’identifier, un petit garçon ou une petite fille de leur âge par exemple. Avec ses failles et ses forces.
  2. Ce héros doit avoir une tenue et des symboles particuliers qui l’entourent. Comme Thor et son marteau, Batman et sa tenue de chauve-souris, Ulysse et son cheval de Troie. Ou l’option plus colorée avec Wonder Woman.
  3. Parsemer le tout de quelques pouvoirs magiques. Au-delà de son sens du sacrifice et de son intelligence, le héros peut avoir des pouvoirs magiques : voler, force physique incroyable, immortalité… Tout est possible avec ces êtres.
  4. Ajoutez des péripéties rocambolesques avec des personnages plus malveillants. Combats, odyssées interminables, mauvaises rencontres. – Vous pouvez jeter une pincée de romance impossible. Comme les héros de la mythologie grecque en ont le secret.
  5. Le tout dans un lieu fabuleux : une île, une forêt magique, une autre planète… N’hésitez pas à laisser libre cours à leur imagination.
  6. Elément final : la chute. La fin heureuse n’est pas une fatalité. Certains héros ont mal fini et sont pourtant devenus des légendes, comme Achille. Mais un bon vieux happy end fonctionne toujours très bien. A vous de voir si votre héros a droit au bonheur le soir en rentrant chez lui.

À écouter avec ses Petits-Enfants juste ici :

 

Ou à lire à leur ici :

Quand ses grands-parents lui annoncèrent qu’ils partaient tous les trois en Ecosse au bord d’un lac des Highlands, Joseph n’avait qu’une chose en tête : le monstre du Loch Ness. Ou plutôt Nessie, comme il préférait l’appeler. Il allait enfin pouvoir voir de ses yeux ce dragon des eaux. Sa petite valise contenait sa paire de jumelles, son appareil photo et tous les articles qu’il avait découpés sur l’animal. Son exploration pouvait commencer.

Dès son premier jour, il avait installé son bivouac d’aventurier au bord du lac. Des dizaines d’autres curieux étaient en train de camper aussi pour apercevoir ce légendaire long cou sortir des eaux. Ses grands-parents avaient gentiment pris place avec lui, en prenant soin d’apporter le goûter. Les longues heures d’attente commençaient à se faire sentir… Et le confort rudimentaire de la chaise pliante aussi. Mais Joseph ne quittait pas la surface de l’eau des yeux. Il le savait : Nessie allait se montrer à lui. Et puis le miracle eut lieu. Une grande ombre menaçante gigota sous l’eau. Joseph dégaina son appareil photo et mitrailla la scène. Il était en ébullition et ses grands-parents aussi. Les cris de joie, les soupirs de soulagement mais aussi les regards inquiets s’entremêlaient.

Et puis, un museau, des moustaches et des yeux noirs globuleux fendirent les eaux du lac. C’était un phoque ! L’un de ceux qui adorent peupler les Highlands quand ils parviennent à se glisser par les écluses. Joseph ne cacha pas sa déception dans un premier temps. Ses grands-parents le consolèrent avec un cookie fait maison. Et bien malgré lui, Joseph tomba sous le charme de ce phoque et de son allure luisante. Et puis, ces animaux étaient moins difficiles à débusquer que Nessie. La décision était prise : dorénavant il traquerait les phoques.

personnages de légende

[drimify app_url= »quizz.html?quizid=9159743145b9a32b41266a930793619-5b9a32b4126c4&lang=fr » app_style= »border:1px solid #d1d1d1; »]

 

Il n’y a pas à dire : en temps normal, les dessins animés voient plutôt l’existence d’êtres
ordinaires bouleversée par l’irruption dans leurs monde d’êtres extra-ordinaires.
Dans « Yéti & Compagnie », c’est tout le contraire : la légende, au pays de ces grands monstres aussi
velus que la neige est blanche, c’est l’Homme.
Ridiculement petit, étrangement vêtu… et qui parle au lieu de rugir !

Jeune yéti vivant à l’abri de son village de montagne, Migo se retrouve un jour « nez-à-
truffe » avec Percy, dont l’avion vient de s’écraser. Ses congénères n’osent y croire : il n’y a
d’humains que dans les contes ! En misant avec cette comédie familiale sur l’humour et la
fameuse « légende inversée » – qui veut que le plus bizarre de tous n’est pas forcément celui
que l’on imagine… -, les studios Warner tendent aux enfants un miroir surprenant, qui n’a
pas fini de les faire rire.

Et de les émouvoir.

 

Ils sont allés voir Yéti et Compagnie
Découvrez leur avis ! 

 

Et si vous ne l’avez pas encore vu,
la Bande Annonce du film ici !

 

 

licorne

A écouter avec ses Petits-Enfants juste ici :

Ou à lire à leur ici :

Présente dans Harry Potter, sur les pyjamas et les cartables, il se murmure qu’elle vit dans des forêts féeriques. La licorne avec sa robe blanche et sa corne nacrée sur le front fait rêver depuis longtemps. Elle aurait été aperçue pour la première fois en Grèce il y a très très longtemps. Il paraît qu’elle s’endormait aux pieds des petites filles.

A l’origine, elle avait l’apparence d’un gros rhinocéros disgracieux qui avait une barbichette. Elle a pris la forme d’un cheval au fil des siècles. Et il faut bien avouer que l’on apprécie ce relooking.

Sa couleur blanche est un signe de pureté et d’immortalité. Elle était même chassée par les hommes au Moyen-Age pour sa corne. Elle aurait le pouvoir de détecter les poisons. Le commerce douteux de sa corne était répandu à cette époque. Il s’agissait en fait de l’ivoire de rhinocéros ou de narval. L’animal fabuleux pourrait bien revenir sur Terre si les hommes se décident à vivre en paix et dans l’amour.

Il est possible d’observer sur grand écran un autre animal légendaire et moins frileux : le yeti. Ses immenses pas dans la neige vont croiser ceux des hommes dans le film Yeti & Compagnie à partir du 17 octobre.

A 10 minutes à pied du Magasin GAP Rivoli, où il est possible de customiser vos jeans,  vous pourrez montrer à vos Petits-Enfants les deux plus vieilles maisons de Paris !

Baladez-vous rue François Miron (4ème arrondissement) et demandez-leur de lever les yeux… aux numéros 11 et 13 ! Deux maisons très différentes des autres sont le prétexte à un voyage à travers les âges, et ce jusque dans le Paris médiéval… Avant les grands travaux du Baron Haussmann, on peut imaginer à quoi ressemblait le Paris d’autrefois.

A l’époque, les maisons n’avaient pas de numéro mais des enseignes pour illustrer l’activité des commerces du rez-de-chaussée. Ici vous pourrez lire deux plaques sur la façade qui indiquent les deux anciennes enseignes “du faucheur” et “du mouton”.

Les deux plus vieilles maisons de Paris peuvent être l’occasion d’une « balade – jeu de piste » dans le quartier, lequel regorge d’indices sur la capitale d’antan.

Informations pratiques :

L’essentiel le plus confortable pour les sorties en famille : le jean… Idéal pour ce jeu de piste urbain et historique.

Pour les moins de 3 ans : Mon premier jour à la crèche (Deux coqs d’or). Une première journée à la crèche, ça réserve forcément plein de surprises ! En soulevant une multitude de petits volets, chaque Petit-Enfant découvre cet univers… tout en recherchant un doudou qui a la fâcheuse manie de se cacher.

Pour les 3-5 ans : Maman à l’école (Actes Sud junior), ou comment une maman qui n’a rien demandé à personne se retrouve sur les bancs de l’école, sieste incluse.

Pour les 6-8 ans : Papa à grands pas (Nathan), c’est la preuve que – quoiqu’il arrive – un papa vient toujours chercher son enfant à l’école. Même si sa voiture est en panne !

Pour les 9 ans et + : Enfances (Ecole des loisirs) raconte des moments importants et déterminants de la vie de plus de 60 enfants. Connus ou anonymes, réels ou légendaires, ils ont tous, à leur façon, petite ou grande, marqué leur époque et changé le monde.
Mentir aux étoiles (Casterman) raconte la première année au collège d’un garçon pas tout à fait comme les autres et archi-couvé par une mère un poil trop anxieuse.

La rentrée, c’est sportif pour tous. En vue de l’affronter : une chemise à carreaux pour mes Petits-Enfants et pour moi !

Ce mois-ci, Gap et Grand-Mercredi vous confient leur top 3 des meilleurs “oursons au chocolat” de Paris : LA gourmandise régressive qui plaît à tous les Petits-Enfants !

  1. A quelques stations de métro du GAP Passage du Havre, dans la boutique historique À la Mère de Famille, le décor vous transporte à la Belle Époque : carreaux anciens, comptoir et guichet de bois patiné, bonbonnières… Comment ne pas craquer pour des guimauves au chocolat qui – s’ils n’en raffolent pas déjà – sont à faire découvrir absolument à vos Petits-Enfants !
    Adresse : 35, rue du Faubourg Montmartre, 75009 Paris
  1. A quelques pas de la boutique GAP rue de Rennes : Christophe Michalak, pâtissier star, propose dans sa boutique deux types d’oursons : le classique guimauve-chocolat et une version fraise-violette. L’occasion de surprendre les papilles de ses Petits-Enfants avec un classique revisité.
    Adresse : 8, rue du Vieux Colombier, 75006 Paris
  1. Après votre shopping à la boutique GAP Ternes, traversez le parc Monceau pour rejoindre les Douceurs d’Alys. Outre ses glaces artisanales à tomber, vous pourrez retrouver les fameux oursons en guimauve sous une fine couche de chocolat…Miam !
    Adresse : 18, rue de la Terrasse, 75017 Paris

Pour un goûter régressif tout en chocolat, le mieux c’est encore de porter sa tenue camouflage !

Chers tous,

Ce n’est pas sans une certaine émotion que nous vous annonçons la première Journée Nationale des Grands-Parents et des Petits-Enfants qui aura lieu le 26 septembre prochain : Le Grand Mercredi !

Une journée destinée à célébrer les Grands-Parents formidables que vous êtes et à rendre hommage au rôle fondamental que vous jouez dans les familles aujourd’hui !

Le Grand Mercredi, ce sera cette année plus de 1, 000 initiatives partout en France avec un même objectif : réunir des millions de Grands-Parents et leurs Petits-Enfants pour un moment de partage !

Pour vous et pour vos Petits-Enfants, 30 partenaires (musées, parc d’attractions, magasins, restaurants) organiseront des initiatives afin de favoriser l’échange intergénérationnel.

Vous pourrez ainsi retrouver :

  • des ateliers gratuits “terrarium” chez Jardiland,
  • des ateliers gratuits “créer le jouet du futur” chez Oxybul ou encore
  • un menu spécial dans les restaurants Courtepaille.
  • Le Louvre-Lens organisera une visite-atelier inédite intitulée : “Raconte-moi l’amour”
  • les magasins Truffaut des ateliers gratuits de loisirs créatifs et de rempotage
  • et bien d’autres initiatives encore…

Consultez la carte interactive des activités près de chez vous ICI

Cette journée, nous avons hâte que vous puissiez en profiter avec vos Petits-Enfants.
C’est un temps fort que nous célèbrerons chaque année le dernier mercredi du mois de septembre.
Un événement que nous voulons faire résonner avec les valeurs de Grand-Mercredi : la famille, le partage, le lien intergénérationnel et la transmission.
Le fruit d’une année de travail pour l’équipe Grand Mercredi et ses partenaires.

Mobilisez tous les Grands-Parents autour de vous.
Parlez leurs de cette journée,
Et construisez vite votre programme à partager avec vos Petits-Enfants ici.

Chers Grands-Parents,

Mi-septembre, la rentrée est passée et nous avons tous repris…le RYTHME. Un rythme effréné que vos chers Petits-Enfants se voient imposer ! Et tandis que les parents se lancent consciencieusement dans la course aux inscriptions pour les activités extra-scolaires, c’est à vous,  Grands-Parents, de dire « STOP » ! En effet, votre Petite-Fille comme votre Petit-Fils a besoin d’avoir du temps pour elle/lui, le temps de rêver, le temps de lire… et pourquoi pas le temps de s’ennuyer. Un privilège, en somme !

Si cette période génère peut-être déjà un stress palpable chez les parents, il revient aux Grands-Parents que vous êtes de calmer la cadence à laquelle sont soumis vos Petits-Enfants, en les invitant à prendre le temps, à relativiser, à s’extraire du quotidien ou encore à se tourner vers d’autres horizons.

Et, pour cela, rien de tel qu’un bon livre ! Voici donc quelques ouvrages géniaux à lire avec eux pour favoriser la prise de recul, l’ouverture et la sérénité :

De 2 à 4 ans

  • « Pas trop de bruit » (L’Ecole des loisirs) : Il y a beaucoup de bruit et cela attire Monsieur le loup, attention ! Que se passerait-il si on faisait moins de boucan ? Et vous, Monsieur le loup, qu’allez-vous faire ?

De 3 à 6 ans

  • « Vite, vite ! » (Père Castor) : A vouloir aller trop vite, on en oublie l’essentiel ! Une maman et son fils ne vivent pas au même rythme : elle est toujours pressée, mais lui voudrait prendre son temps ! Un jour, la jeune femme va se rendre compte qu’aller trop vite c’est aussi prendre des risques… Un livre salutaire pour échapper aux automatismes, se laisser aller à la rêverie et prendre son temps dans un monde où tout se précipite.

  • « Bonjour le calme » (Albin Michel Jeunesse) : Une histoire couplée à un manuel d’initiation au yoga, à travers laquelle les Grands-Parents peuvent expliquer à leurs Petits-Enfants des mouvements de relaxation, des postures de yoga, des exercices de respiration ou encore des auto-massages. Bref, un livre précieux à partager entre générations après des journées mouvementées à l’école, ou encore en vacances pour retrouver le calme, la sérénité et réconcilier le corps avec l’esprit.

Dès 11 ans

  • « Les déclinaisons de la marguerite » (Ricochet) : Maggie est l’aînée d’une famille de quatre enfants. Pas facile de trouver du temps pour soi au sein de cette tribu, surtout avec une mère un peu envahissante ! Alors, quand la prof de latin organise un voyage de classe en Italie, Maggie y voit l’occasion rêvée de partir à l’aventure, de s’ouvrir au monde et de créer des amitiés inoubliables. Un très beau texte où l’évasion est synonyme de dépaysement et d’épanouissement!

Et pour accompagner vos Petits-Enfants sur le chemin de la prise de recul, voici quelques idées d’activités à essayer avec eux :

  • Avec les tout-petits, on peut expérimenter la joie de la relaxation en passant de l’agitation au calme : la neige qui tombe dans une boule à neige après l’avoir secouée, une musique douce après un rythme plus rock’n’roll, un câlin après une danse d’Indiens.

  • Avec les plus grands, on peut essayer se lancer dans des exercices de respiration censés calmer le stress et aider à se re-centrer. Quoi de mieux, sinon, que le jardinage (même sur un balcon ou une terrasse !) pour apprendre la patience et s’émerveiller du temps qui passe ?

  • A partir de 8 ans, l’ouvrage « Prendre son temps et perdre son temps » (Les goûters philo – Milan Jeunesse) permet de se poser les bonnes questions avec ses Petits-Enfants : Qui décide de découper les jours en tranches horaires et de les remplir ? Pourquoi ne pas choisir de vivre lentement, de s’ennuyer même ? Profiter de la vie, n’est-ce pas prendre le temps ?

    Caroline

[drimify app_url= »quizz.html?quizid=15213024185b8e47a06ff86249499906-5b8e47a06ffe5&lang=fr » app_style= »border:1px solid #d1d1d1; »]

 

Les illusions d’optique : voilà un sujet qui passionne bon nombre d’entre nous.
Il faut dire que, face à une même image ou un même objet, deux personnes peuvent faire une interprétation totalement différente des couleurs ou des formes.
D’ailleurs, les illusions d’optique sont partout :
– dans des objets, dits « impossibles » (les cubes, losanges, et autres triangles).
– dans la taille des formes, leur largeur, leurs courbes…
Le résultat est souvent assez étonnant. Et il n’est pas rare d’avoir l’impression finale que que tout semble onduler. Comme si l’objet en question prenait vie sous nos yeux et que les lignes qui les composent n’étaient pas droites !
Les illusions d’optique sont partout et, surtout, dans la géométrie. Qui n’a jamais éprouvé des difficultés à évaluer les couleurs et les dimensions de cercles a priori basiques ?

Mais comment expliquer ce phénomène ?
C’est simple : le visuel qui se forme sur notre rétine n’est pas retranscrit directement ! C’est le rôle que tient ici le cortex cérébral, chargé de réceptionner les images et de les interpréter. Il doit donc composer avec les illusions de mouvements, de contrastes et de couleurs ! D’ailleurs, les illusions d’optique sont extrêmement révélatrices de la façon dont fonctionne notre cerveau. En somme : l’illusion d’optique est une perception erronée de ce que nous voyons ! Avant de faire ce test et de vérifier comment, justement, vous vous comportez face à ces illusions d’optique, pensez à comparer vos résultats avec ceux de vos proches, de vos amis, enfants ou Petits-Enfants. Vous constaterez que chacun à sa propre perception ! Ainsi, si vous avez l’impression que telle ou telle forme est de telle couleur, vos proches en auront peut-être une tout autre perception.Il faut donc faire preuve d’une certaine ouverture d’esprit et toujours garder en tête que, devant une illusion d’optique, personne ne réagira de la même manière ! C’est aussi pour cette raison que le sujet est aussi passionnant !Allez, à vous de jouer !

Je ne sais pas ce qui m’a pris. Le week-end dernier, j’ai eu envie de Nature. Avec un grand « N ». J’avais taillé mes rosiers, fait mes semis, empaqueté ma lavande séchée… Du coup, j’ai lancé à la cantonade : « Et si on allait écouter le brâme du cerf, ce soir ? » Ma fille Capucine m’a regardée avec des yeux ronds comme des soucoupes, Boris a marmonné dans sa barbe naissante d’ado mal luné, et les petits ont jeté leurs pantoufles pour chausser leurs bottes.

Je précise quand même que j’avais tout prévu : une bande-son piochée sur YouTube pour que chacun puisse reconnaître le cri bestial une fois sur place, un repérage sur ma carte IGN du chemin forestier au bord duquel se garer (évitez la bande d’arrêt d’urgence sur nationale), et un panier de pique-nique gonflé à bloc pour faire diversion en cas de flop. « C’est ce soir ou jamais ! », avais-je prévenu sur la route, vu que la saison ne dure que jusqu’à début octobre. Je passe sur les moult questions auxquelles j’ai eu droit au fil des kilomètres nous séparant de la forêt domaniale, de « C’est quoi le rut ? » à « Et la femelle, elle s’appelle comment ? », en passant par « Pourquoi ils se battent avec leurs bois ? »…) Mais qui ne craquerait pas pour des Petits-Enfants aussi curieux ?

En arrivant, ils ont été servis ! A la nuit tombante, chacun a fait silence et promis de ne pas bouger un orteil. Au bout de quelques minutes, ce râle si particulier a enfin résonné. Mes Petits-Enfants ont même réussi à deviner quelques silhouettes de cerfs, au fond, entre les arbres ! Magique, vous dis-je… Promis : assortie d’un ramassage de jolies feuilles d’automne, cette escapade vaut toutes les histoires du soir possibles et imaginables !

 

Je suis Granny, une Grand-Mère dynamique et passionnée par ses Petits-Enfants. Depuis 3 ans,
je travaille en tant que véritable co-équipière pour Grand-Mercredi, afin de partager toutes mes bonnes idées avec vous !
 

En France, on devient Grand-Mère à 54 ans en moyenne et Grand-Père à 56 ans. Cela surprend toujours mais pourtant ce sont les statistiques de l’INSEE, relativement récentes puisque datant de 2016.

En France toujours, l’âge moyen de départ à la retraite est de 62 ans.

En France enfin, l’espérance de vie est de 85 ans pour une femme et 80 ans pour un homme.

Autant dire qu’aujourd’hui une part plus que significative des Grands-Parents :

  1. Travaillent encore (plus de 50 %  des lecteurs de Grand-Mercredi par exemple)
  2. Ont encore leurs propres parents (près de 40% des lecteurs de Grand-Mercredi)

 

Alors comment arrive-t-on à mener de front son rôle de parents, de Grand-Parent, d’enfant, et aussi d’employé (comprendre ici travailleur, cela s’applique pour tout type de profession) ?

Sachant que, de surcroît, d’un point de vue de la législation du travail, aucune disposition n’est mise en place pour les « Grands-Parents » : pas de jour de congés offert, pas de facilité pour aider les Petits-Enfants, … Un Directeur des Ressources Humaines confiait récemment que « la majorité des demandes de départ à la retraite anticipée que je reçois proviennent de Grands-Parents qui souhaitent mais surtout doivent s’occuper de leurs Petits-Enfants » !

N’y a-t-il pas un problème ici ?

Notre conseil, si nous pouvons vous en donner un, ne reléguez pas votre carrière professionnelle au second plan ! Cela fait 20, 30 ou 40 ans que vous travaillez, que vous avez construit un parcours professionnel, n’y mettait un terme que quand vous l’aurez décidé !

Alors oui, cela demandera beaucoup d’organisation !

Oui, cela vous empêchera d’aller de temps en temps chercher vos Petits-Enfants à l’école.

Oui, cela vous rendra moins disponible envers vos parents !

Mais sacrifier sa carrière, c’est la double peine :

  • Créer chez vous une frustration qui ne s’effacera jamais.
  • Détruire tout le plaisir que vous pourriez avoir à « aider » vos proches !

Mieux vaut moins de sacrifices pour mieux faire !

 

C’est le propre du pivot, coincé entre ses « descendants » (enfants et petits-enfants) et ses « ascendants » (parents), quand il n’y a pas en plus à gauche son conjoint ou à droite son travail.

Mais détrompez-vous chers pivots, votre rôle est bien celui-là : favoriser les échanges intergénérationnels entre les différents membres de votre famille, donc entre votre descendants et vos ascendants, tout en essayant d’en profiter vous aussi !

Pivot, charnière, passeur de témoins, ou chef de tribu, voire « G.O. en chef ». Appelez cela comme vous voulez, le résultat est le même ! Que vous le vouliez ou non, vous êtes le garant de l’équilibre de toute la famille. Et c’est une chance !

Et concrètement, c’est quoi ?

Il est de votre devoir de maintenir le lien entre les générations, donc de :

  • Tenir au courant vos parents de la vie de vos enfants et petits-enfants : probablement moins bien connectés que vous, ils seront toujours ravis de regarder des photos, échanger trois SMS ou même faire un Skype avec les « jeunes de la famille » 
  • Faire en sorte qu’ils se voient le plus souvent possible ! Jamais facile de rameuter toute la tribu : entre les agendas surchargés des uns, les relations parfois difficiles entre les autres, et les « j’ai mieux à faire » de certains. Mais, fréquenter les plus jeunes fait du bien aux plus vieux ! Avez-vous déjà vu le sourire d’un arrière-grand-père rencontrant son arrière-petite-fille ? Ou comment perdre 10 ans en 30 secondes ! 
  • Même les jeunes vous remercieront… peut-être pas aujourd’hui mais demain certainement.

Ce rôle, il n’y a que vous qui puissiez l’endosser ! Car vous êtes suffisamment proche de tous pour pouvoir leur faire comprendre l’intérêt de tout cela. Vos enfants sont devenus grands et vous écoutent (au moins un peu), vos petits-enfants vous vénèrent, ou presque, et vos parents comptent tellement sur vous ! Profitez de cette position de force pour fédérer tout le monde autour de vous !

 

Vous aimerez aussi...