Le chanteur français Julien Doré traverse une période de deuil. Le dimanche 29 octobre, sa Grand-Mère Aimée Prat s’est éteinte à l’âge vénérable de 102 ans. Le musicien avait même dédié son dernier album à cette figure familiale chère à son cœur.

Les Racines de l’Artiste : Une Grand-Mère Aimée

Julien Doré, bien qu’il préserve jalousement sa vie privée, brille sur la scène musicale française depuis sa victoire à Nouvelle Star. Avec cinq albums studio à son actif, il continue de captiver son public, surtout lorsqu’il partage la scène avec Évelyne Dhéliat. Récemment, il s’est exprimé avec conviction sur Les Enfoirés, démontrant sa passion pour des causes qui lui tiennent à cœur. Cependant, il doit aujourd’hui faire face à une épreuve personnelle.

Le journal Midi Libre a annoncé le décès de la Grand-Mère de Julien Doré ce dimanche 29 octobre. Aimée Prat, âgée de 102 ans, résidait à Saint-Hilaire-de-Brethmas, près d’Alès dans le Gard. Elle s’est éteinte le samedi 28 octobre dans sa maison de retraite. « L’Alésienne laisse aussi derrière elle une vie active de militante syndicale. Veuve de mineur, elle s’est longtemps battue, sous la bannière de la CGT, pour les droits des femmes de mineurs décédés dans l’exercice de leur travail », rapporte Midi Libre. Ce décès survient quelques mois après l’annonce par Julien Doré de la disparition de sa mère, Raymonde Doré.

Julien Doré avait rendu hommage à sa Grand-Mère Aimée en intitulant son cinquième album studio du nom de cette personne qui avait compté dans sa vie. « On retrouve ce qu’elles [sa Grand-Mère et sa mère, ndlr] ont injecté en moi, dans mon éducation, dans mon enfance et mon adolescence. Elles m’ont aidé à m’accrocher à mon langage artistique et à mes idées », expliquait le chanteur dans une interview accordée aux Échos lors de la sortie de cet album en 2020.

Grand-Mercredi salue la mémoire de cette figure aimée de Julien Doré.

Le divorce peut être une expérience déchirante, non seulement pour le couple, mais aussi pour les membres de la famille élargie. Je me suis retrouvé plongé dans un conflit douloureux avec ma femme, qui a eu un impact tragique sur mes Petits-Enfants.

Les éclats de notre mariage brisé

Ma femme et moi avons partagé des décennies de notre vie, traversé des hauts et des bas, mais il est venu un moment où nous avons décidé de mettre fin à notre mariage. La décision a été difficile, et la séparation a été un processus complexe et émotionnel. Ce qui était autrefois un amour profond s’est transformé en querelles constantes, en accusations mutuelles et en incompréhension. Mes Enfants n’ont pas supporté la décision, et soutiennent naturellement leur mère dans ce parcours douloureux.

La lutte pour les liens familiaux dans la tourmente du divorce

Ce qui est le plus douloureux dans cette situation est l’impact sur nos Petits-Enfants. Mon ex-femme a décidé qu’elle ne voulait plus que je les voie, une décision que je n’arrive toujours pas à comprendre. Les Petits-Enfants, que j’adore, sont devenus les otages d’un conflit qui ne les concerne pas. Ils me manquent terriblement, et chaque jour est une douleur profonde de ne pas pouvoir les serrer dans mes bras, de ne pas les entendre rire et les voir grandir.

Un divorce peut avoir des répercussions bien au-delà du couple. Il peut déchirer des liens précieux, isoler des Grands-Parents aimants et priver des Enfants et Petits-Enfants de moments de bonheur partagé. Je garde l’espoir que le temps adoucira les blessures et que nous pourrons, un jour, retrouver le chemin vers une relation saine pour nos Petits-Enfants. Même lorsque la vie nous impose des défis difficiles. Cette histoire est un rappel de la nécessité de préserver les liens familiaux, même lorsque la vie nous impose des défis difficiles.

Les repas préférés de vos Petits-Enfants ? Le petit déj’ et le goûter. Ces grands gourmands n’aiment que le sucré ! Selon l’Anses, les petits Français consomment deux à trois fois trop de sucres par jour. Pour éviter de faire chou blanc la prochaine fois que vous leur proposerez une pomme comme collation, on vous souffle nos meilleures astuces.

Les effets du sucre sur vos Petits-Enfants

Ce n’est une surprise pour personne : le sucre est très addictif ! Non seulement il abîme les dents, mais il augmente aussi le risque de développer des maladies cardiovasculaires, du diabète et de l’obésité. Chez les enfants, la surconsommation de sucre pourrait entraîner des fluctuations de l’énergie et de l’humeur ou encore des difficultés d’endormissement. En sensibilisant vos Petits-Enfants à adopter la bonne attitude vis-à-vis des aliments sucrés, vous les préparez à mieux manger pour les années à venir.

Astuces pour aider vos Petits-Enfants à manger moins de sucre

Commencez par sensibiliser vos Petits-Enfants aux quantités de sucre présentes dans l’alimentation. Dès qu’ils savent lire, vous pouvez leur montrer les étiquettes des produits qu’ils consomment. Et oui, le ketchup contient du sucre pour masquer l’acidité de la tomate ! Mais entre les noms d’additifs toujours plus farfelus et les sucres cachés, on vous l’accorde chers Grands-Parents, il y a de quoi être un peu perdu ! Pour vous aider, le compte instagram @dealerdesucre vous dévoile combien de carrés de sucre se glissent dans les goûters préférés de vos Petits-Enfants.

Votre mission de Grands-Parents ? Vous assurer que vos Petits-Enfants ne se goinfreront pas de sucreries en rentrant de l’école. Et pour cela, rien de tel que le fait maison ! Dans vos recettes préférées, vous pouvez remplacer le sucre blanc par du sucre complet et compléter avec des épices (cannelle, vanille, cardamome…) ou des fruits (dattes, bananes…). Vos Petits-Enfants sont accros aux boissons sucrées ? Pour les aider à s’en passer et donner un coup de peps à leur verre d’eau, pourquoi pas y glisser quelques feuilles de menthe fraîche ou une rondelle de citron !

Enfin, pour accompagner vos Petits-Enfants à apprécier les aliments sains, allez-y progressivement. Sachez qu’il est nécessaire de goûter un nouvel aliment 10 à 15 fois avant de pouvoir dire si on l’aime ou pas. Bonne nouvelle : vos Petits-Enfants peuvent donc apprendre à manger de tout si vous les aidez à s’y entraîner ! Notre conseil : emmenez-les au marché pour les familiariser avec la grande variété de fruits et légumes de nos fabuleux maraîchers. Poussés par la curiosité et la nouveauté, vos Petits-Enfants pourraient bien être à même de goûter de nouvelles saveurs lors de cette sortie !

Les écarts sont permis

Tous les aliments sont permis et aucun n’est à diaboliser, tout est une question de quantité et de fréquence. Pas de panique, vos Petits-Enfants ne doivent donc pas éliminer tous les sucres de leur alimentation. L’essentiel est de leur faire prendre conscience que le sucre peut être nocif pour la santé et les aider à réaliser les quantités qu’ils consomment. Le livre Lou aime le dessert de Marie-Michèle Ricard, psychoéducatrice, aborde la relation des enfants avec la nourriture. Vos Petits-Enfants à partir de 4 ans pourront suivre Lou, une petite fille comme les autres, et découvrir l’importance de manger de tout.

Oubliez Zidane ou encore Mbappé, les nouvelles sensations du football ont plus de 60 ans. Mama Beka, une Sud-Africaine sexagénaire, a organisé en mars dernier la première Coupe du monde de football pour… les Grand-Mères !

Bouger pour combattre la maladie…

Il n’y a pas d’âge pour se passer la balle sur la pelouse. En mars dernier, l’Afrique du Sud a organisé le premier tournoi international des « Mamies du foot » ; une compétition internationale où des équipes de joueuses de foot sont toutes âgées entre 40 et 80 ans. Cette belle initiative, c’est à Rebecca Beka Ntsanwisi, dite “Mama Beka”, qu’on la doit. En 2010, cette présentatrice radio décide de se mettre à la marche sur ordre de son médecin, qui lui recommande de bouger quotidiennement pour l’aider à combattre un cancer du côlon.

Connue dans sa ville de Nkowankowa, au nord-est de l’Afrique du Sud, elle est rejointe par plusieurs femmes, souvent femmes au foyer, qui elles aussi souffrent d’un manque d’activité physique, comme le raconte Le Monde. “Les grands-mères ont presque toutes les mêmes problèmes : mal aux hanches, aux épaules et aux jambes, hypertension, diabète, stress. Et beaucoup d’entre elles font de la dépression à cause d’une vie difficile”, leur a confié Mama Beka.

Face à l’engouement, Mama Beka monte sa propre équipe de foot

Un jour, durant leur marche, ces femmes s’arrêtent pour jouer au foot avec des enfants qui jouaient là. “L’une des grands-mères se met à courir pour tirer dans le ballon mais elle le rate, court de nouveau et le rate encore, essaie une énième fois et manque encore la balle. Les enfants étaient hilares ! Ils ont couru dans notre direction pour récupérer la balle et ils ont fini par faire des passes avec les grands-mères”, raconte Mama Beka au journal français. Le lendemain, une Grand-Mère révèle à Mama Beka avoir dormi comme un loir et que jouer au foot lui a fait un bien fou. Quelques jours plus tard, elle décide alors de monter une équipe de footballeuses Grand-Mères : 80 femmes se présentent à elle. En 2007, elle monte son club, Les “Vakhegula Vakhegula”, ou “Les Mamies” en langue tsonga.

Un événement qui cherche à s’internationaliser !

De l’autre côté de l’Atlantique, aux Etats-Unis, Jean Duffy, une footballeuse amatrice de 64 ans, entend parler de l’action de Mama Beka et part à sa rencontre. Elle écrira un livre d’après cette histoire, intitulé Soccer Grannies.

En France, Marie-France Gosselet, une bretonne âgée de 60 ans, s’envole en mars dernier pour participer à la première édition de la Coupe du monde de football des Grands-Mères. “Ce n’est pas l’esprit de compétition que l’on recherche dans ce tournoi, mais le bien-être des femmes” dira-t-elle de cet événement, dont la première édition a été remportée par les Américaines. Désormais, Mama Beka cherche à pérenniser sa Coupe du monde et cherche actuellement des financements pour poursuivre son rêve et celui de nombreuses femmes seniors devenues accros au foot : organiser en 2025 la deuxième édition de la Coupe du monde de foot des Mamies. Tout en faisant changer le regard de nos sociétés sur le grand âge. Et vous, pourriez-vous chausser les crampons et participer à cette Coupe du monde de football des Grand-Mères ?

Nous le savons, vous faites partie de ces incroyables Grands-Parents prêts à tout pour partager des moments inoubliables avec leurs Petits-Enfants. Pour retrouver ses petits trésors, cette Grand-Mère âgée d’environ 60 ans a battu tous les records…

Un bel après-midi de mai, la Grand-Mère prend la route pour retrouver ses Petits-Enfants et passe par la commune de Saint-Julien-l’Ars, située dans la Vienne. Très pressée de les revoir (enfin), la conductrice sexagénère appuie un peu trop fort sur la pédale d’accélateur ! L’excès de vitesse est indiscutable : la Grand-Mère est capturée par les radars à 132 km/h… bien au-delà de la vitesse légale de 50 km/h imposée dans la commune. Interpellée, elle explique qu’elle n’a pas pris conscience de sa vitesse excessive, et raconte qu’elle « allait récupérer ses Petits-Enfants ». Le tribunal de police de Poitiers a examiné son cas au début du mois d’octobre. Elle est condamnée à une amende de 500€, à 6 mois de suspension de permis et à l’obligation de d’effectuer un stage de sensibilisation.

L’occasion pour nous de vous rappeler que sur les routes, la prudence est de mise. Pour être un Grand-Parent responsable au volant, il est essentiel de diminuer son allure. Le saviez vous : réduire de 10 km/h sa vitesse sur l’autoroute sur un parcours de 100 kilomètres permettrait une économie de carburant d’un litre en moyenne. Vivre pleinement et sereinement votre rôle de Grand-Parent passe aussi par le respect du code de la route !

Il est difficile de mettre des mots sur la relation tumultueuse que j’entretiens avec ma Belle-Mère. Une relation qui a toujours été tendue, mais qui a pris une tournure encore plus compliquée depuis l’arrivée de notre bébé. Ce n’est pas une simple querelle de famille, c’est une lutte constante pour la possession de notre enfant.

Lorsque mon mari et moi nous sommes rencontrés, je savais que sa relation avec sa mère était étroite. Mais je ne pouvais pas imaginer à quel point cela deviendrait problématique une fois que nous aurions un bébé. Ma Belle-Mère est tellement proche de mon mari qu’elle semble incapable d’accepter que notre vie de famille a évolué.

Dès les premiers jours de la vie de notre bébé, ma Belle-Mère a commencé à s’immiscer dans notre rôle parental. En lui donner un surnom qui n’était pas le nôtre, un prénom qu’elle seule utilisait. Ce qui m’a profondément dérangée, car cela semblait signifier qu’elle cherchait à avoir une relation exclusive avec notre enfant, en dehors de ma présence.

Les week-ends sont devenus des moments de tension insoutenable. Ma Belle-Mère insistait pour que notre bébé passe du temps avec elle seule, excluant souvent sa propre mère…  C’était une source de conflits constants. Elle était jalouse de notre relation avec notre enfant et cherchait par tous les moyens à s’approprier notre bébé.

La situation a atteint un point critique lorsqu’elle a commencé à m’interdire de participer aux rencontres entre elle et son Petit-Fils. Elle disait que cela « perturbait » leur relation. Mon mari était tiraillé entre sa mère et sa femme, une position impossible qui a rendu notre relation encore plus tendue.

Je me demande sans cesse si je devrais couper les ponts avec ma belle-mère, au risque que notre bébé ne voie plus sa grand-mère. C’est une décision déchirante, car je veux que notre enfant grandisse en connaissant ses grands-parents. Cependant, je ne peux pas accepter que ma belle-mère cherche à saper ma place en tant que mère.

D’une manière ou d’une autre, nous pourrons résoudre ce conflit familial et trouver un équilibre qui préserve l’harmonie de notre foyer. Mais pour l’instant, je suis en quête de réponses, cherchant des solutions pour protéger notre famille et préserver notre lien.