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Dossier : l’école de vos Petits-Enfants

L’école de vos Petits-Enfants : ce qui a changé

L’école est une des étapes les plus importantes dans la vie de vos Petits-Enfants et, bien souvent, dans celle de leurs parents. Personne n’a oublié ses premiers jours de classe ni le nom de sa toute première maîtresse. Mais l’école telle que vous l’avez connue jadis a beaucoup évolué. Face à tous ces changements, Grand-Mercredi vous propose de mettre à jour vos connaissances sur l’école de vos Petits-Enfants.

L’école, obligatoire dès l’âge de 3 ans

C’était l’un des projets-phares portés par le gouvernement d’Edouard Philippe et sous l’impulsion du ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer.
L’école obligatoire à 6 ans, c’est donc terminé. Dès la rentrée 2019, le gouvernement a modifié l’article L131-1 du code de l’éducation qui dispose : « L’instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six ans et seize ans. »

Il s’agit surtout d’une mesure symbolique qui consiste à reconnaître officiellement l’importance de la maternelle dans le système scolaire puisque, à l’âge de 3 ans, bon nombre d’enfants sont déjà inscrit dans une école maternelle. A l’Elysée, on résumait ce changement en ces termes : « La décision d’abaisser l’âge de l’instruction obligatoire à trois ans traduit la volonté du président de la République de faire de l’école le lieu de l’égalité réelle et une reconnaissance de l’école maternelle, qui ne doit plus être considérée comme un mode de garde universel ou comme la simple préparation à l’école élémentaire« .

Et près de nos frontières, justement, à quel âge l’école est-elle obligatoire ?

Dans la majorité de ces pays, il est fixé à 6 ans.
C’est par exemple le cas en Belgique, au Danemark, en Allemagne, en Irlande ou bien encore en Norvège. En Angleterre, l’école obligatoire commence dès l’âge de 5 ans.

Qu’en est-il de l’absentéisme ?

Beaucoup de Parents et Grands-Parents se sont posé la question un jour de faire manquer l’école à leurs enfants et Petits-Enfants. Quels sont les risques auxquels ils s’exposent alors ?

Dans les faits, « L’assiduité aux enseignements obligatoires prévus à leur emploi du temps est un des devoirs des élèves. Les vacances prises par les parents en dehors des congés scolaires fixés par le calendrier scolaire national ne constituent pas un motif légitime d’absence. En effet, il n’est pas possible d’envisager des vacances ‘à la carte’, qui perturberaient le fonctionnement de la classe et nuiraient à la scolarité », précise le ministère de l’Education sur le portail Eduscol.

Ainsi, toute absence doit être justifiée, comme l’indique l’article L.131-8 du code de l’éducation :
« Lorsqu’un enfant manque momentanément la classe, les personnes responsables doivent, sans délai, faire connaître au directeur ou à la directrice de l’établissement les motifs de cette absence. Les seuls motifs réputés légitimes sont les suivants : maladie de l’enfant, maladie transmissible ou contagieuse d’un membre de la famille, réunion solennelle de famille, empêchement résultant de la difficulté accidentelle des communications, absence temporaire des personnes responsables lorsque les enfants les suivent. Les autres motifs sont appréciés par l’autorité de l’Etat compétente en matière d’éducation. »

Ainsi, et si l’élève est véritablement ou très souvent absent sans motif valable, la loi prévoit des sanctions pénales pour les parents. Mais celles-ci ne sont envisageables qu’en « ultime recours […] à l’issue de toutes les tentatives de rémédiation et de dialogue avec la famille et l’élève« , peut-on lire sur le portail Eduscol. Le directeur académique peut alors saisir le procureur de la République qui jugera des suites à donner. L’article R. 624-7 prévoit alors une amende correspondant à une contravention de 4e classe.

En résumé, la loi prévoit des sanctions mais, encore faut-il que la justice soit saisie.
Rassurez-vous : les risques sont très limités en ce qui concerne une école buissonnière… tant qu’elle reste exceptionnelle.

Face à cet absentéisme, il convient de se poser la question du rythme scolaire…

Vers une réforme du rythme scolaire ? La semaine des 4 jours

Vous l’avez peut-être constaté dans votre propre commune, mais la semaine des 4 jours et demi tend à disparaître et, dans de nombreuses villes, c’est la semaine de 4 jours qui revient en force.
Ainsi, selon une estimation de l’association des maires de France, à la rentrée prochaine, près de 85% des villes de France auront adopté ce rythme scolaire.

Un rythme plus dense que chez nos voisins européens. Dans le système scolaire français, les heures de cours, réparties sur un petit nombre de jours dans l’année, sont nombreuses. Les écoliers français ayant entre 7 et 11 ans passent 847 heures par an dans leur classe. C’est plus que la moyenne des 9-11 ans, établie par l’OCDE à 821 heures par an. En Allemagne, les écoliers passent moins de 800 heures par an à l’école.

Pour beaucoup de parents, la semaine de 4 jours a autant d’avantages que d’inconvénients. Les journées sont certes plus denses, mais cela laisse davantage de temps libre aux enfants pour pratiquer des activités sportives, par exemple. Un temps libre le mercredi pour les enfants, soit ; mais aussi un temps libre pour lequel les parents devront s’organiser en conséquence afin d’occuper leur progéniture.

Oui : l’école telle que vous l’avez connue jadis a bien changé !
Avec une éducation obligatoire dès l’âge de 3 ans, et un rythme scolaire très différent, elle se renouvelle et se rapproche du modèle en vigueur dans bon nombre de pays Européens.

Grands-Parents, vous avez un rôle à jouer dans l’école de vos Petits-Enfants !

L’école n’est pas un territoire réservé aux parents. Vous avez, vous aussi, un rôle crucial à jouer pour accompagner vos Petits-Enfants dans ces années d’école.

Grand-Mercredi vous propose 5 astuces pour vous impliquer dans les années scolaires de vos Petits-Enfants.

Vous aussi, allez les chercher à l’école. Il n’y a pas que les parents qui peuvent aller chercher leurs enfants à l’école. Une belle occasion de rendre service à ses enfants et de faire plaisir à ses Petits-Enfants (et à vous, ne nous le cachons pas).

Rien ne vous interdit aussi de participer à la kermesse de fin d’année, bien au contraire. Imaginez la surprise pour vos Petits-Enfants et leur fierté de vous avoir à leurs côtés dans ces moments si particuliers ! Vous pourriez même tenir un stand et l’animer une partie de la journée ! Beaucoup de Grands-Parents le font.

Echangez avec leur maîtresse ! Présentez-vous à leur maîtresse, parlez avec elle … : c’est le meilleur moyen de vous impliquer dans la vie scolaire de vos Petits-Enfants. Elle vous apprendra forcément quelque chose que vous ignorez tant les enfants sont différents dans un cadre scolaire.

Non, les devoirs ne sont pas réservés aux parents… Vos Petits-Enfants vous rendent visite le week-end ? Profitez-en pour les aider à faire leurs devoirs. Vous leur rendez service en partageant avec eux votre expérience et, évidemment, vos enfants en seront ravis. Profitez du fait qu’ils soient encore dans des petites classes pour vous impliquer avant, peut-être, qu’ils ne rentrent en prépa ou en fac de médecine… !

À chaque âge un acquis scolaire… Dans la lignée des devoirs de vos Petits-Enfants, tachez de vérifier leurs connaissances. Lecture, écriture, ou tables de multiplication : peu importe l’âge de vos Petits-Enfants, il y a forcément un acquis à vérifier.
Le Conseil de Grand-Mercredi : Privilégiez les activités ludiques pour les aider à apprendre et confiez-leur que, vous aussi, vous ré-apprenez grâce à eux.

Etre présent dans la vie scolaire de ses Petits-Enfants c’est aussi le rôle des Grands-Parents. Savoir s’impliquer dans ces étapes-charnières, les épauler et les aider le cas échéant, c’est bien là aussi le devoir des Grands-Parents… Vos Petits-Enfants et vos enfants ne vous en seront que plus reconnaissants.

Grâce à ces conseils, vos Petits-Enfants vont enfin adorer l’école !

L’école est certes un lieu génial. Mais c’est aussi un lieu qui peut, parfois, s’avérer angoissant pour bon nombre d’enfants. De nouveaux camarades, de nombreuses contraintes … Et d’autres paramètres qui en font un endroit souvent délicat à appréhender pour les plus petits.

Mais rassurez-vous : si vos Petits-Enfants ont des difficultés à apprécier l’école, il existe heureusement des conseils et des astuces pour les convaincre qu’aller à l’école est une chance.

Des amis pour la vie. En effet, l’école est l’endroit idéal pour faire des rencontres. Vos Petits-Enfants se feront des amis avec qui ils partageront des souvenirs pour la vie. Nous nous souvenons tous de nos premiers amis et ce n’est pas pour rien.

La chance d’apprendre. L’école permet d’acquérir des connaissances dans tous les domaines : mathématiques, français, histoire-géographie, langues étrangères, arts plastiques, musique… Expliquez à vos Petits-Enfants que toutes ces connaissances représentent une réelle richesse !

Des souvenirs pour toujours. La cantine, la récréation, les sorties scolaires… Autant de moments marquants qui resteront à jamais de bons souvenirs. Si l’école rime avec apprentissage, c’est aussi un lieu où, bien souvent, les enfants s’amusent !

Indispensable pour pouvoir exercer, un jour, le métier de leurs rêves. Vos Petits-Enfants ont peut-être déjà en tête un métier qu’ils rêveraient d’exercer (pompier, danseuse ou vétérinaire, peu importe !). L’essentiel est de leur expliquer que l’école est un passage obligatoire pour atteindre leur objectif.

Aller à l’école est une chance. Apprendre est une chance et de nombreux enfants dans le monde n’en bénéficient malheureusement pas. Racontez-leur combien ces enfants rêveraient justement de pouvoir se rendre tous les matins, comme eux, à l’école !

N’oubliez pas qu’en tant que Grand-Mère, vous avez un rôle majeur à jouer dans la réussite et dans l’épanouissement de vos Petits-Enfants.

 

Certes, vous êtes une Grand-Mère formidable mais vous êtes aussi et avant tout une maman en or. Celle qui, depuis le premier jour oeuvre au bien-être de toute la tribu.
Alors cette année la fête des mères, vous allez non seulement l’organiser mais surtout en faire un moment inoubliable en famille.
Réunissez toutes les mamans de la famille, votre mère et belle-mère, vos filles et belles-filles. Invitez tous les maris et enfants et hop vous voilà à la tête d’une journée 3 générations.

Etape numéro 1 : Un déjeuner fixé bien à l’avance grâce au calendrier Family Planner. Tout le monde sera là, aucune excuse ! Chacun saura se rendre présent pour cette occasion si particulière…

Etape numéro 2 : Dans votre carnet « Recettes de famille » vous avez noté depuis toujours les plats préférés de vos enfants et Petits-Enfants et vous avez bien raison.
Pour que ce déjeuner soit inoubliable Grand-Mercredi et Quo Vadis vous proposent de faire pour chacun d’entre eux un extrait de leur plats préférés.
Votre fille ne jure que par vos pommes de terre sautées, accompagnez-les des petits pois dont votre belle fille raffole.
Vos Petits-Enfants réclament vos petites côtelettes d’agneau, c’est parfait ça ira très bien ensemble. Le Grand-Père ne jure que par votre gâteau aux poires MAIS tout le reste de la famille rêve de votre gâteau au chocolat ? Il y’aura deux desserts !

Etape numéro 3 : Le jour J offrez à chacun des petits-enfants un joli carnet et laissez-les faire des dessins pour leur maman, à offrir à la fin du déjeuner.

Etape numéro 4 : Immortalisez la journée d’une photo à avoir dans son agenda pour voir les gens qu’on aime chaque jour.

Quo Vadis et Grand-Mercredi vous conseillent de faire tirer la photo en plusieurs exemplaires pour tous les membres de la famille.
Définitivement une maman en or devient toujours une Grand-Mère extraordinaire.

Bonne fête à vous toutes !

Si nous nous entendons si bien vous et moi, c’est avant tout parce que nous avons un point commun : le goût de la lecture. En pensant à vous, j’ai donc envoyé deux de mes plus proches amies, Annie et Marina, tester un tout nouveau concept qui devrait vous plaire…ainsi qu’à vos Petits-Enfants.

A Paris, sur les hauteurs de la Butte Montmartre, une fille géniale prénommée Anne a ouvert un studio d’enregistrement où chacun – qu’il soit parent, grand-parent, parrain, marraine…- peut venir poser sa voix sur une histoire minutieusement choisie (parmi les Contes du Père Castor, rien de moins !) afin que celle-ci soit immortalisée sur CD. Bienvenue chez « Nos Chers Enfants » ! Derrière un micro, on lit comme si on y était les aventures de l’ours Michka ou de la Famille Rataton. Un enregistrement magique sur lequel viennent se superposer de délicats bruitages et qui, une semaine plus tard, se retrouve impeccablement mixé sur un CD à offrir à ceux qu’on aime. Présenté dans un ravissant coffret, il comprend le livre et le disque ; une version sonore vous est également adressée directement sur votre boîte mail en souvenir.

Inutile de vous dire qu’Annie et Marina sont revenues enchantées par cette expérience ! L’une vit loin de ses Petits-Enfants, qui la réclament sans cesse ; l’autre rêvait d’un cadeau original à offrir à son Petit-Fils de 5 ans. Dès lors, rien de tel que de pouvoir écouter à l’infini la voix aimante et irremplaçable de celui ou celle qui sait si bien raconter les histoires du soir…

Vous les enviez ? Pour avoir plus de renseignements sur cette expérience, envoyez-nous un email à courrier@grand-mercredi.com

A bientôt et bonne(s) lecture(s),

Caroline

 

Grand-Mercredi a sélectionné 5 films à voir ou à revoir en famille pour le bonheur des petits comme des grands. Des must have à avoir dans votre DVDthèque pour occuper vos Petits-Enfants pendant les vacances !

Coco

Pourquoi on aime ?  Un indispensable pour les jolies tribus qui sont les nôtres. Car derrière l’histoire du petit Miguel se rêvant musicien, se cache une vraie leçon de vie sur l’importance de l’héritage familial, les valeurs chères aux membres d’une même lignée et le rôle déterminant qu’ont pu jouer nos ancêtres.

Vice-Versa

Pourquoi on aime ?  Sacré meilleur film d’animation aux Oscars, « Vice-Versa » fait parler les émotions d’une petite fille de 10 ans, obligée de quitter la campagne pour la ville avec ses parents. Drôle et sensible, ce dessin-animé n’a pas fini d’émouvoir toute la famille.

Les Artistochats

Pourquoi on aime ? Comme tous les grands classiques de Disney, ce film ne vieillit pas. Superbe aventure et aussi histoire d’amour, avec une mère célibataire et ses trois chatons pour héros … Un dessin-animé indémodable à voir avec toute la famille !

Vaiana

Pourquoi on aime ?  Ce film sent bon le monoï et le sable chaud. Aussi à l’aise sous les palmiers du Pacifique sud que sur l’eau, une jeune fille se met en tête de partir à la recherche d’une île mystérieuse. Aventure oblige, on imagine que cette épopée ne sera pas de tout repos…

Mowgli

Pourquoi on aime ?  Le dessin-animé mythique de Disney se transforme ici en un film tout aussi palpitant et tendre retraçant les aventures de Mowgli, dans lequel Bagheera, Baloo, Kaa et Shere Khan sont incarnés par des animaux grandeur nature.

Vous avez envie de changer d’air, le temps d’un week-end, de quelques jours ou d’une semaine avec vos petits-enfants, mais pas forcément envie de partir à l’autre bout du monde ? Partir à la campagne, voilà une bonne idée si vous souhaitez vous ressourcer en famille, vous détendre et respirer le bon air ! Bonne nouvelle, l’endroit idéal se trouve à quelques heures de route de votre salon. Laissez tomber les autres destinations et venez profiter de vacances so frenchy ! Direction l’Yonne en Bourgogne !

Venez voir ! On vous donne la preuve par dix !

1- De la culture oui, mais en s’amusant

Qui a dit que le patrimoine et les visites culturelles étaient ennuyeuse et réservés uniquement aux adultes ? Dans l’Yonne en Bourgogne, vos petits-enfants ne traîneront pas des pieds en attendant la sortie ! Ils pourront visiter de nombreux châteaux et musées de façon ludique avec des livrets jeu et des parcours découverte spécialement créés pour eux : la visite se transformera alors en une aventure drôle et amusante.

Par ici les explorateurs

2- Des ateliers pour petits (et grands) curieux

Atelier Yonne

Pour les enfants dès 4 ans, il est possible de s’initier à différentes activités, comme la poterie, la création de jouets en bois, la gravure, la peinture à l’ocre, la taille de pierre ou même les arts du cirque. Il existe aussi des ateliers pour découvrir la biodiversité. Et pour les plus gourmands, un atelier chocolat et des ateliers cuisine font découvrir des recettes traditionnelles et de nouvelles saveurs à nos petits gastronomes !

Par ici les bricoleurs

3- Des activités de loisirs pour tous les âges

L’Yonne regorge d’activités adaptées à partir de 2 ans ! Grimper dans les arbres, s’initier au golf, pratiquer l’équitation, apprendre à piloter un kart comme un pilote professionnel, descendre des eaux vives en canoë ou faire de la planche à voile sur le lac du Bourdon, il y en a pour tous les goûts !

Par ici les sportifs

4- Des animaux et une nature préservée

Animaux Yonne

Vos petits-enfants adorent les animaux et la nature vous inspire ? Dans l’Yonne, on vous propose de devenir de vrais explorateurs. Vous êtes plutôt observateurs ? Alors partez en « safari-photo » à la rencontre des animaux sauvages de notre région. Plutôt apprentis fermiers ? Passez une journée à la ferme : cochons, canards, chèvres et lapins n’auront plus de secrets pour vous !  Ou bien encore aventuriers ? Tentez de déjouer l’énigme du labyrinthe géant en maïs en famille ou de chassez les dinosaures dans un parc à la Jurassic Park.

5- Des balades insolites

Il est bien connu que tous les chemins mènent dans l’Yonne ! Pour découvrir la nature autrement, pourquoi ne pas embarquer à bord d’un petit train touristique, enfourcher un vélo pour découvrir le canal du Nivernais, ou bien faire une balade originale en cyclorail sur une ancienne voie ferrée restaurée ?

 

6- Pour faire « plouf »en toute sécurité

L’Yonne n’a rien à envier à la Côte d’Azur ! Besoin d’un peu de fraicheur ? Enfilez votre maillot de bain, badigeonnez vos petits-enfants de crème solaire, chapeau sur la tête et direction l’une des 5 plages aménagées ET surveillées durant tout l’été pour faire trempette !

Le plein d’idée pour faire plouf en toute sécurité

7- Stop aux saucisses frites

Profitez de votre séjour dans l’Yonne pour leur faire déguster la gastronomie locale. Les restaurateurs se plient en 4 pour éveiller les papilles de nos chers bambins à une cuisine gastronomique et raffinée cuisinée avec des produits frais et de saison. Humm, ils vont être sous le charme.

 

8- S’accorder un repos bien mérité

Les hébergements insolites, c’est marrant et tendance et cela fait un joli souvenir à partager avec les enfants. Camper dans un cadre naturel loin des écrans et du confort moderne, ou encore séjourner dans un hébergement original : tipi, cabane dans les arbres, yourte, c’est à vous de choisir. Êtes-vous prêts à vivre une expérience inédite ?

Venez le découvrir ici

 

9-La  culture Geek

Geek Yonne

Malgré une jolie négociation, vous n’avez pas réussi à faire décrocher vos petits-enfants de leurs écrans et tablettes numériques. On a trouvé la solution : les « Enquêtes mystère » !  Portable à la main, il faut bien observer le lieu visité, collecter des indices, parfois en utilisant le « scanner magique » pour faire apparaître des personnages ou des objets virtuels cachés dans le décor, répondre aux questions et trouver l’énigme finale !  Alors, prêts à relever le défi ?

Venez ici relever le défi !

10- Besoin d’informations pratique ?

Alors consultez vite notre site  www.famille-yonne.com. Vous y trouverez les réponses à toutes les questions que vous vous posez !

Logo-YonneXGM

Êtes-vous connecté ou très connecté ? Dans cet épisode des Grands Mercredi Connectés avec Doro, des Grands-Parents nous racontent de quelle façon ils utilisent leurs téléphones portables.

 

Il va falloir que mes enfants m’expliquent : comment diable peut-on faire rentrer trois journées en une ?
Par quel miracle arrivent-ils à caser, en un demi week-end, le mariage « d’amis d’amis » en Sologne + les vaccins du chien + le contrôle technique de leur voiture + un crochet par IKEA ? Le tout avec mes Petits-Enfants sur les talons ou dans leur siège auto, stress du chrono inclus et paquets de chips en vrac sur la banquette arrière.

Imaginer ma jeune tribu suivre le mouvement sans broncher, s’activant au gré des « vite, vite, vite ! », des « allez, allez, on va être en retard !» ou des « hop, hop, hop, on se dépêche ! », moi, ça me dépasse.
Pire : ça m’inquiète.

A quoi bon leur offrir des cours de yoga et de sophrologie si ces petits êtres doivent à ce point être pressés comme des citrons ? Tout ça pour gagner quelques minutes, faire toujours plus de choses en toujours moins de temps.
Bref : grandir trop vite.

Aujourd’hui je dis « stop » ! A bas les agendas transgéniques, les péages engorgés et les timings serrés. Vive la lenteur, le repos, l’ennui même ! Dans ces villes/vies de fou, je prône un retour au calme…haut et fort ! Non mais.

 

Quand les Petits-Enfants deviennent de « grand Petits-Enfants », pas facile de trouver ses marques. Spécialiste de la famille et auteur de Le burn out parental, la psychanalyste Liliane Holstein nous donne les clés pour ne surtout pas couper le fil avec ces ados, ces adultes en devenir, des hypersensibles avant tout.

Comment préserver le lien avec son Petit-Fils/sa Petite-Fille devenu(e) adolescent(e) ?

On imagine à tort que les gens de générations différentes ou opposées – comme Grands-Parents/Petits-Enfants – n’ont rien à se dire, ni à partager. Or, les Grands-Parents sont, comme les ados, à une période de leur vie où ils ont eux aussi besoin d’être compris, écoutés, entendus. Ce qui, déjà, établit entre eux un lien de communication. La Grand-Mère peut elle aussi se confier légèrement, dire à son Petit-Fils par exemple : « Tu sais, moi aussi, en ce moment, je me remets en question… Je sais ce que tu ressens ».

Ensuite, même si pour pouvoir grandir et sortir de l’enfance les adolescents ont besoin de « casser » leurs idoles – c’est-à-dire leurs parents, ceux qu’ils ont le plus aimés  –, il n’en va pas de même avec les Grands-Parents, au contraire. Auprès d’eux, les adolescents viennent chercher l’expérience d’adulte, la sagesse, la patience, la tolérance… Tout ce qui viendra de leurs Grands-Parents, les ados ne le rejetteront pas. Par exemple, un adolescent aura beaucoup de plaisir à savourer la recette préférée que sa Grand-Mère lui aura préparée en souvenir de leurs vacances ensemble ; alors qu’il considèrera que sa mère est à côté de la plaque si elle revient d’un magasin avec un jeu qu’il adorait étant enfant en lui disant « Regarde ce que j’ai trouvé… ».

Quels conseils donneriez-vous aux Grand-Mères qui veulent continuer à jouer un rôle dans la vie de leur Petit-Enfant sans rien lui imposer ?

Tout d’abord, il faut se tenir au courant de tout ce qui l’intéresse : ce qu’il lit, les films qu’il regarde, les endroits qu’il fréquente avec ses amis, quels sont ses rêves du moment… Pour cela, il faut échanger directement avec lui, rechercher une forme de connivence. «Qu’as-tu vu récemment comme série ? Laquelle me conseilles-tu ?… ». Par ailleurs, mieux vaut voir l’adolescent le plus possible en dehors du cadre parental – ou lui téléphoner – afin d’établir une complicité. En présence des parents, il risque d’y avoir trop d’interactions inconscientes entre générations, des frustrations qui ressortent et qui, même silencieuses, créent un malaise. De même, si elles sont exprimées, le Grand-Parent peut se retrouver en porte-à-faux et, de par sa réaction, casser le lien. Troisième et dernier conseil : rester dans la vie et se sentir vivant. Rester à la page, ne pas être perdu devant un ordinateur, aller au Salon du livre rencontrer les auteurs de BD… Lancés à fond dans leur énergie vitale, les adolescents détestent voir leurs Grands-Parents vieillir. Dotés d’une acuité fabuleuse à cet âge, beaucoup plus lucides qu’on ne l’imagine sur les failles de leurs aînés, les ados voient tout ! On ne peut plus les duper mais ils demeurent un « méga-moteur » extraordinaire pour leurs Grands-Parents.

L’adolescence est généralement associée à une phase de désintérêt pour la cellule familiale. Est-ce normal ?

Non seulement c’est normal…mais c’est indispensable ! Entre 13 et 16 ans, les jeunes de détachent de la famille pour se tourner vers une vie extérieure et sociale. Ils forment alors des tribus qui ne doivent surtout pas ressembler à leur famille, jugée tantôt ringarde, tantôt stupide, au même titre que beaucoup d’autres choses d’ailleurs. Mais bizarrement, avec les Grands-Parents, les adolescents vont rechercher cette régression. Puisqu’ils sont en pleine réflexion sur leur ligne de vie et qu’ils ne veulent surtout pas se référer aux critères de leurs parents, ils se tournent vers leurs Grands-Parents, témoignages vivants de leurs origines. Il n’est alors pas superflu pour une Grand-Mère, par exemple, d’aller se balader dans les rues qu’elle fréquentait avec ses amis à l’adolescence ; ou, pour un Grand-Père, de montrer à son Petit-Fils combien la musique qu’il écoute aujourd’hui trouve une résonance dans celle qu’il écoutait lui-même à son âge… C’est comme cela que l’on établit des ponts entre l’avant et le maintenant.

Le « non » est omniprésent à cet âge-là. Vis-à-vis des parents, comment la Grand-Mère peut-elle se positionner ?

En empruntant un ton plus léger que celui des parents et en faisant comprendre à son Petit-Fils ou sa Petite-Fille que ce qu’il/elle traverse est commun à toutes les générations. Dès lors, ne pas hésiter à dire : « Moi aussi je suis passée par là et mes propres parents me tapaient sur le système ». Ca dédramatise tout de suite la situation et ça sort le jeune de sa condition de « pauvre ado incompris ». En revanche, ne jamais jouer l’arbitre entre l’adolescent et les parents. Et ne pas profiter de ces tensions, non plus, pour régler inconsciemment ses comptes avec ses propres enfants.

Et après…, ça va mieux ?

Oh oui ! Entre 16 et 20 ans, et si les Grands-Parents ont réussi à apporter de la légèreté au lien, les Petits-Enfants reviennent avec encore plus de plaisir qu’avant échanger, partager… Et quand ils entrent dans la vie adulte et que les incompréhensions ont disparu, alors là…c’est génial !

A lire

Grands-Parents, Petits-Enfants : le lien vital, un best-seller de 1988 qui ne se trouve plus que d’occasion mais qui creuse intelligemment les bases de ce qui forge cette relation si particulière.

Le 14e poisson rouge (de Jennifer L.Holm, éd. Flammarion Jeunesse). A offrir aux collégiens de la famille, qui se demandent encore si un Grand-Père peut-être un complice dans la vie. A commander chez votre libraire.

Il faut que je vous dise : le week-end dernier, il y en a deux qui m’ont coupé le sifflet. Croisés autour d’un déjeuner champêtre, Pierre et Elisabeth m’ont raconté leur vie. Ou plutôt ce qu’il en restait ! Ils travaillent tous les deux (elle dans les ressources humaines, lui dans l’ingénierie), ils ont 4 enfants et 9 Petits-Enfants, deux fois moins de RTT que moi, et un chat (ça compte !). Cerise sur le gâteau : elle veille sur son père (âgé) et son mari gère en plus le syndic de l’immeuble. Croyez-vous que tout cela les aurait privés d’un long week-end avec quatre de leurs Petits-Enfants sous le bras? Que nenni ! Ils sont à fond ! Et ils gèrent ça très bien. Face à une telle organisation, je n’avais plus qu’à lever mon verre de rosé à leur santé en m’exclamant « Chapeau ! ».

Rassurez-moi : êtes-vous tous pareils ? Et surtout : comment faîtes-vous pour tout mener de front ?  Personnellement, quand je pense que 7 années s’écoulent en moyenne entre le moment où l’on devient Grand-Parent (54 ans) et celui où l’on peut enfin partir à la retraite, j’envisage de militer activement pour l’instauration de jours de congés « spécial Grands-Parents ». Et le premier qui me dit que ce n’est pas un boulot à temps plein, je me teins en brune !

PS / Parmi les idées fixes de Grand-Mercredi, il y a cette volonté de simplifier la vie des Grands-Parents encore actifs. Laissez-nous recueillir votre avis en 1 minute en cliquant juste ICI.

Signature Granny

Les week-ends des ponts du mois de mai arrivent et si, pour vous aussi, ils sont synonymes de week-ends prolongés, sachez que pour moi qui suis Grand-Mère, ils équivalent à un grand débarquement… à la maison !

Entre le Grand-Père, mes 5 enfants et mes 9 Petits-Enfants, j’ai beau compter encore et encore, nous serons bien seize à déjeuner pour le 1er mai ! Une grande tablée… Dans ces cas-là, il n’y a pas 36 solutions.  Il n’y en a même qu’une seule : s’organiser. D’autant que mes enfants ont eu la riche idée de choisir des horaires de train différents.

Le point de départ pour rester bien organisée, c’est donc mon carnet. C’est grâce à lui que je peux anticiper et regarder mes antisèches si besoin au cours du week-end.  Mettez-vous à ma place : comment pourrais-je me souvenir que mon Petit-Fils Thomas n’aime pas la purée tandis que sa petite sœur se passerait volontiers de laitages ? Comment pourrais-je me souvenir de toutes ces petites choses qui font les détails de ma famille et qui feront de ce week-end une réussite ? Munie de mon carnet, je fais les cent pas pour m’assurer que tout est en ordre. Les coffres à jouets de mes petits-enfants sont-ils en place ? La liste des courses est-elle complète ? Et n’ai-je oublié personne sur le plan de table ? Quant à l’organisation des activités, mon carnet est tout aussi efficace. J’ai pris l’habitude d’y noter toutes les idées de sorties qui me viennent en tête. C’est la seule solution pour épater à coup sûr mes petits-enfants. D’ailleurs, j’ai mis au point une check-list qui me permet de penser à tout pour ces sorties en famille : goûter, trousse de secours ou anoraks… Un carnet qui me rendra aussi un immense service lorsqu’il s’agira d’établir les menus. Pas question de s’y prendre à la dernière minute : il faut être organisée pour s’assurer que les repas soient variés et plaisent à tout le monde.

Je note, je coche et je décoche. C’est mon triptyque de Grand-Mère organisée. C’est ma méthode pour que ce week-end se déroule sans embûche et que, surtout, je puisse en profiter !

Dans cet épisode des Grands-Parents Connectés avec Doro, retrouvez les tendances des nouveaux usages mobiles par les Grands-Parents.

On peut le dire : certains enfants sont littéralement allergiques à l’école, et plus particulièrement au fait d’apprendre ! Les symptômes sont flagrants : manque d’investissement personnel, accumulation de mauvaises notes, manque de volonté…

Grand-Mercredi vous propose des moyens ludiques et efficaces pour donner à vos Petits-Enfants l’envie d’apprendre !

Sous la forme de jeux de rôles

Prenez la place de l’élève et demandez à votre Petit-Enfant de jouer au professeur. Il aura l’impression d’avoir de grosses responsabilités et aura à coeur de vous enseigner toutes les connaissances qu’il a acquises ! C’est un bon moyen pour qu’il retienne tout ce qu’il a appris.

Jouer autour des devoirs

Transformez le moment redoutable des devoirs en un jeu ! Par exemple, si vous lui apprenez les soustractions, illustrez la chose avec des bonbons. Mettez sur la table 8 bonbons, enlevez-en 4, combien en reste-t-il ?

Pour l’écriture, demandez-lui d’écrire les prénoms de tous les membres de la famille et, s’ils sont plus grands, faites-leur faire des dictées avec leurs livres préférés afin de leur permettre d’y prendre goût et d’être pleinement investis dans cet exercice.

Pour apprendre les sciences

Quoi de mieux qu’un parc ou un jardin pour faire apprendre les sciences de manière concrète à vos Petits-Enfants ? Peu importe la saison, organisez des sorties « nature » avec vos Petits-Enfants pour qu’ils puissent découvrir toutes les richesses de la nature.

Les albums-photos

Montrez-leur vos albums photos pour qu’ils puissent voir le florilège de vos plus beaux voyages. Par exemple, si vous êtes allées à Amsterdam et que vous avez capturé les plus beaux endroits de la ville, montrez-les leur. Ça leur permettra d’apprendre de manière ludique les principales villes françaises, européennes voire mondiales !

Un super coup de pouce pour le cours de géographie.

Cathédrales ou musées près de chez vous

Il y en a forcément, et il ne faut pas hésiter à y aller avec vos Petits-Enfants : ils pourront matérialiser les notions qu’ils ont vues en classe et c’est une méthode infaillible pour qu’ils les intègrent. 

Bientôt les vacances et, comme j’ai la chance d’être une Grand-Mère comblée, c’est avec mes Petits-Enfants que je compte bien me prélasser au soleil. Mais cette année, fini les recherches de dernière minute : je sais déjà où nous allons partir… ! 

Tout a commencé par une conversation a priori banale avec Marie, mon amie de toujours, qui avait eu la chance d’y aller l’été dernier avec ses Petits-Enfants.

Ce qui m’a convaincue ? Le fait qu’elle m’ait parlé d’un hôtel assez unique en son genre, idéal pour contenter les grands et les petits ! Un hôtel où le jeu est mis à l’honneur. Et comme dans la famille nous adorons jouer (jeux de société ou même pétanque), rien ne nous résiste… J’y ai tout de suite vu l’endroit idéal pour nos prochaines vacances en famille.

A écouter Marie, il s’agit d’une impressionnante collection de jeux de société, du jeu d’échecs au boulodrome. Mais le plus étonnant se trouve à la réception, où se trouve un gigantesque puzzle !

Et les jeux sont partout ! Promis : à l’heure du dîner, vos Petits-Enfants ne s’ennuieront plus en attendant leur dessert. Chaque soir, ils seront mis à contribution pour tenter de résoudre une énigme, passe-temps fabuleux pour ces petits Sherlock Holmes en herbe.

Justement, Marie me disait que son Petits-Fils avait passé des heures à défier son Grand-Père aux  échecs pendant qu’elle se prélassait au bord de la piscine.

Et depuis ce séjour, elle considère cet endroit comme son nouvel eldorado ! La citadelle Vauban, le phare et le port… Pour peu que vous la lanciez sur les balades à vélo, alors elle sera intarissable !

Quant à moi, je pourrai bientôt lui raconter les incroyables énigmes que nous nous apprêtons à élucider cette année avec nos Petits-Enfants, grâce aux escapes box que l’hôtel met gentiment à la disposition de ses clients !

Je dois bien le reconnaître : l’idée de pouvoir déconnecter m’a toujours attirée, moi qui suis une Grand-Mère dynamique et qui travaille encore. La déconnexion, oui, mais l’ennui certainement pas !

Un hôtel qui propose autant d’activités ludiques ne pouvait donc pas mieux tomber. Il s’appelle « La Désirade », avouez que cela donne envie… Et il est à Belle-île… ! Endroit paradisiaque et tellement attachant !

Mes valises sont déjà dans l’entrée et mes Petits-Enfants ne me parlent que de ces vacances qu’ils attendent avec la plus grande impatience. Promis, je vous raconterai !

En attendant et si comme Marie et moi, vous recherchez le lieu idéal pour vous reposer et vous amuser avec vos Petits-Enfants – découvrez ICI cet endroit génial.

Le pédiatre Christian De Langhe répond à nos questions !

1/ De quoi le jeune enfant a-t-il besoin pour être stimulé ?

Avant 2 ans, c’est avant tout le contact physique qui est synonyme de stimulation. Le faire rouler sur un ballon, lui proposer de petits mouvements adaptés à son âge, voire des mini-parcours ordonnés – y compris avec de petits obstacles – à faire à vitesse réduite. Les sons ont aussi leur importance (chansons douces, mélodies courtes, ou tout simplement la voix des proches), et enfin les images mais fixes, pas animées. Après 2 ans et jusqu’à 4 ans, la palpation active d’objets contribue à l’éveil, ainsi que la musique et les images, éventuellement animées, mais plutôt au travers des livres à volets que des dessins animés … ! Autre chose très importante : entre 2 et 4 ans, lorsque l’enfant forme son audition, le moment est tout choisi pour le mettre en contact avec une langue étrangère. Il est alors en mesure de saisir tous les accents, qu’il perçoit comme des sons et qui vont immédiatement modeler son oreille, y compris sur le long terme. Les jeux et comptines en anglais, allemand, espagnol ou autre sont donc tout indiquées.

 

2/ Existe-t-il, dans la journée, des moments plus favorables que d’autres à ces temps d’éveil ? 

A l’évidence, le milieu et la fin de matinée. Au réveil, l’enfant a besoin d’un temps de latence qui n’est pas favorable à l’acquisition. A l’heure du déjeuner, il est concentré sur la sensation de faim et, après, l’envie de dormir l’emporte. Quant au soir, l’excitation l’empêche généralement de fixer son attention.

 

3/ En quoi les jouets d’aujourd’hui permettent-ils de favoriser l’éveil des petits ?

Les répliques des jouets d’hier sont, selon moi, les meilleurs. Même revisités, un hochet, un jeu de cubes ou de briques en bois demeurent particulièrement efficaces. Il en va de même pour les jeux qui permettent la coordination entre un geste et un son. Mieux vaut éviter, en revanche, les consoles trop bruyantes ou gênantes visuellement, et l’extrême mobilité des images qu’elles supposent.

Interview du Dr. Christian De Langhe

Le goûter est un repas précieux dans la journée de vos Petits-enfants et, bien souvent, un moment privilégié pour toutes les Grands-Mères ! Alors, pour les gâter tout en les surprenant, Good Goût et Grand-Mercredi vous proposent trois idées de menus vraiment originaux qui raviront les papilles des plus petits.
Pour vos Petits-Enfants dès l’âge de 10 mois… des Mini-Galettes de riz à la myrtille… Parfait pour un goûter craquant et coloré ! Une composition bio, évidemment, parce leur santé est une priorité. Du riz blanc bio, du riz complet bio et différent jus concentrés et bio !
Vos Petits-Enfants seront envoutés par ce goûter digne des meilleurs pâtissiers… La bonne nouvelle, c’est que vous pourrez vous aussi picorer !

Et si vous vous laissiez tenter par des biscuits à la vanille ? Idéaux pour vos Petits-Enfants dès l’âge de 10 mois. Amusants pour vos Petits-Enfants avec leur forme toute ronde, ces biscuits contiennent peu  de sucre (44% de moins comparé à des biscuits classiques…). Et le pari est largement réussi, puisqu’ils sont tout aussi savoureux.
Du jus de raisin bio concentré, des extraits de vanille bio… des ingrédients savoureux qui, dès la première bouchée, font oublier la majorité des biscuits traditionnels.

Dès l’âge de 6 mois, vous pouvez éveiller vos Petits-Enfants au goût grâce à cette purée de fruits assez étonnante : le duo pomme-coing !
Des pommes bio et des coings, bio bien évidemment, associés à une goutte de citron bio… Un mariage qui donne une purée fruitée tout en assurant l’apport en énergie nécessaire.

La Good Story avec Grand-Mercredi et Good Goût :
Le coing était déjà cultivé 4 000 ans avant notre ère et très réputé dans les banquets romains !
C’est plus tard, au 15° siècle, que le coing est introduit en France, notamment en Provence. Il était souvent planté dans les haies pour délimiter les parcelles. D’ailleurs, le coing était même synonyme de « Limites ».

Les vacances de Printemps touchent à leur fin et vous avez bien profité de vos Petits-Enfants… Alors, pour finir en beauté et puisque vos enfants viennent déjeuner, surprenez toute votre tribu avec un menu identique pour les grands et les tout-petits ! Eh oui, avec Good Goût, c’est possible !

Cuisinez des Penne aux aubergines et au parmesan pour toute la famille :

Pour vous et vos enfants, vous aurez besoin de :
– 500 grammes de penne rigate
– 2 généreuses aubergines
– huile d’olive extra vierge
– 4 gousses d’ail
– 500 grammes de tomates pelées
– parmesan râpé
– basilic frais

 

Préparation de la recette :
Laver les aubergines et les détailler en petits dés (0,5 cm de côté).
Dans une grande poêle, faire chauffer quelques cuillères d’huile.
Écraser les gousses d’ail et les faire dorer quelques instants.

Mettre les aubergines dans la poêle, avec encore un généreux filet d’huile (elles absorbent beaucoup), et les faire dorer en remuant bien pendant une dizaine de minutes (les dés doivent être bien dorés et mous au toucher).

Verser les tomates pelées sur les aubergines, saler et poivrer et cuire en remuant pendant encore 10 min. Laver les feuilles de basilic, les émincer et les ajouter à la sauce en fin de cuisson.

Égoutter les pâtes et les verser dans la poêle contenant la sauce, faire sauter à feu vif pendant 1 min.
Saupoudrer de parmesan une fois servi…

Et pour vos Petits-Enfants, dès l’âge de 10 mois, servez-leur un plat identique grâce à Good Goût.
Un plat composé à 60% d’aubergines bio, de penne également bio, de pulpe de tomate bio ou encore d’un zeste de crème fraîche bio !

Imaginez la surprise de vos Petits-Enfants et de leurs parents, qui dégusteront tous un plat identique ! Un plat comme en Italie, qui offre l’avantage d’une préparation simple.
En somme, réputée inratable, même pour les plus novices !

La Good Story avec Grand-Mercredi et Good Goût :
Le mot « penne » désigne en Italien une plume. Un nom qui fait référence à l’ancêtre de notre stylo.

Le printemps est enfin arrivé et c’est le moment idéal pour s’adonner aux joies du jardinage en compagnie de vos Petits-Enfants.
Pour les initier aux différents goûts, rien de tel que de les aider à comprendre d’où provient ce qu’il y a dans leur assiette.
Grand-Mercredi et Good Goût vous proposent 3 ateliers de jardinage, faciles à réaliser et qui épateront à coup sûr vos Petits-Enfants !

Alors, à vos tabliers… !

1) Des lentilles dans des coquilles d’œufs, effet garanti !
A Pâques, les œufs sont au cœur de toutes les discussions.
Pour réaliser cet atelier, il vous suffit de vous munir de lentilles, de coquilles d’œufs et de coton. Placer du coton légèrement humidifié dans le fond de la coquille (vide évidemment), puis placer les lentilles par-dessus.
Résultat : en quelques jours seulement, les pousses atteindront 10 cm.
Un atelier idéal pour vos Petits-Enfants dès l’âge de 2 ans.

2) Faites pousser votre propre gazon, c’est ludique et décoratif !

Pour épater vos Petits-Enfants, faites pousser votre propre gazon.
Il vous suffit de placer de la terre et des graines de gazon à semer dans un récipient (comme une bouteille d’eau en plastique découpée, par exemple).
En arrosant régulièrement votre plantation, vous aurez des pousses après 5 jours seulement !
Une activité idéale toute indiquée pour s’amuser en famille et sensibiliser chacun à l’importance de la nature.

3) Des plantes aromatiques pour parfumer votre cuisine
Grâce à cet atelier signé Good Goût, nous vous proposons de faire pousser facilement des herbes aromatiques. Pour ce faire, il vous suffira d’un sachet Good Goût, de quelques graines de plantes aromatiques selon votre choix, d’un peu de terreau et d’un ramequin. Et enfin de l’eau, évidemment !

Suivez le guide !
Munie de votre sachet Good Goût, découpez à l’aide de ciseaux le haut du sachet (à environ 1 centimètre du bord). Après l’avoir rincé, faites des petits trous à l’aide d’une épingle au fond du sachet pour que l’eau puisse s’écouler.
Placez votre sachet au fond du ramequin et du terreau dans vos gourdes (au ¾ du sachet environ). Tassez délicatement avec la main, puis disposez 2 ou 3 graines de façon homogène sur le dessus.
Recouvrez les graines d’une fine couche de terreau.

Il vous suffira de l’arroser une fois par semaine, avec environ deux cuillères à soupe d’eau.

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