Le sport, cet ingrédient incontournable…

Ce n’est pas un hasard si le sport est une composante incontournable de nombreuses solutions santé.
Que ce soit pour entretenir votre forme physique, pour perdre du poids, ou pour vous défouler… le sport est et restera l’un de vos meilleurs alliés !

Tout autant que plus vous pratiquez du sport régulièrement, plus vous pourrez bénéficier d’une bonne mobilité au fil des années, le corps étant habitué à bouger, à faire un effort.

En plus de favoriser le bon fonctionnement de votre cœur, de vos articulations ou de vos muscles, le sport est aussi très bénéfique pour l’esprit, et agit indéniablement sur le moral et la fatigue. En effet, pratiquer un effort physique entraîne une libération des endorphines, l’hormone du plaisir, qui contribue également à atténuer le stress. Pas de doute, le sport est donc la clé du bien être !

… Pour tout le monde, pour toujours ?

Oh que oui ! Il n’y a pas d’âge pour faire du sport, ni même pour s’y mettre. Toutefois, il est évident qu’il faut rester à l’écoute de son corps, de ses besoins, et de ses capacités. On ne pratique pas une activité physique à 30 ans comme à 55. 

Si dans la jeunesse on privilégie les sports dits intensifs, plutôt collectifs, avec l’âge, les pratiques d’endurance sont plus indiquées. Mais le plus important reste évidemment de pratiquer le sport qui vous correspond, qui vous stimule et vous fait du bien, en ayant en tête vos limites et en les respectant ! Pour le faire de la meilleure façon et sans risques, n’hésitez pas à faire un bilan avec votre médecin.

Bien que je me sois toujours considérée comme étant quelqu’un d’actif, je n’étais pas une sportive. Juste un peu d’activité physique pendant les vacances, de manière très occasionnelle… Et maintenant, je ne pourrais plus me passer du yoga ! Ça n’aurait probablement pas été le cas sans le système du sport sur ordonnance…

J’ai une amie qui pratiquait le yoga depuis 4 ans. Je voyais qu’elle adorait ça, et elle a essayé de me convertir plus d’une fois ! Moi, à ce moment-là, ça me semblait un peu inaccessible, je pensais qu’il fallait être plutôt souple, qu’il fallait savoir méditer, qu’il fallait avoir un bon équilibre… Bref, j’avais pas mal d’aprioris. Et puis soyons honnête, je n’avais pas trop confiance en mon âge.

Mais quand j’ai développé un cancer du col de l’utérus devenu chronique, après quelques mois de traitement, mon médecin m’a parlé du sport sur ordonnance, préconisé dans mon cas pour renouer avec ma mobilité, retrouver une forme et tout simplement pour me remettre aussi. Je ne connaissais pas ce principe, qui consiste à prendre en charge les frais relatifs à la pratique sportive. J’ai trouvé très intéressant le fait de pouvoir utiliser le sport comme soin, après tout, cela donne quand même plus envie que le reste ! J’ai donc été séduite assez facilement par l’idée, et quand j’ai dû choisir avec mon médecin à quelle pratique j’allais faire appel pour accompagner ma guérison, j’ai tout naturellement choisi le yoga !

Je pratique trois fois par semaine dans un cours.
Je sens que je progresse, à mon rythme, je prends plaisir à travailler tout mon corps.

Et je me sens mieux, réellement ! Je comprends maintenant pourquoi tant de personnes disent que le sport fait du bien à l’intérieur, comme à l’extérieur. Je me sens plus apaisée, j’ai retrouvé confiance en mon corps (et ce n’était pas gagné !). Et puis il y a cette sensation si plaisante en sortant d’un cours, où je me sens détendue, fière aussi.

Je n’avais pas en tête que l’on pouvait sortir d’une maladie avec l’aide d’une activité physique, j’aurais plutôt eu tendance à penser que ce n’était pas recommandé… et maintenant que je connais le principe du sport sur ordonnance, cela me semble si naturel, je me demande comment on pourrait le faire sans. Les frais relatifs à ma pratique sont pris en charge par Allianz, dans le cadre de mon assurance complémentaire santé. C’est un poids en moins, forcément.

Et comme mon amie, me voilà à mon tour mordue ! Quand je peux, je me fais même une petite séance à la maison.
Je pense que je passe la moitié de mon temps en chien tête en bas ou en tailleur. Ma pratique sportive fait maintenant partie intégrante de mon quotidien, bien plus que ne le faisait ma maladie. Je ne pourrais plus m’en passer.