Mes bien chers tous,
Je tenais tout d’abord à vous remercier pour votre confiance. En découvrant hier matin que vous aviez été près de 1.000 à m’adresser votre candidature pour l’offre d’emploi postée la semaine dernière, j’ai bien failli tomber de ma chaise à roulettes ! La transition parfaite pour vous parler de…charge mentale.
L’incarnation type de ce phénomène n’est autre que ma belle-fille, Bénédicte, 4 enfants et zéro minute à elle. Hier soir, on aurait dit Shiva : tout en mitonnant le risotto aux asperges qu’elle m’avait promis, elle faisait faire une frise sur l’Empire romain à l’aîné, supervisait le brossage de dents des deux du milieu, mettait 82 chaussettes (en 24/27/38 et 40) par paires, prête à dégainer un Bic pour remplir les dossiers d’inscription de la rentrée 2020-2021 (date limite imminente, sous peine de radiation définitive à l’Académie).
J’avais envie de crier « Au secours ! » pour elle qui, une fois à table, m’a jeté un regard las et demandé : « Ça s’arrête quand, en fait ? ». J’ai répondu « Jamais »…et aussitôt repris une bouchée de risotto. A 63 ans, je n’allais pas lui mentir. Pour preuve, je suis présentement dans la salle d’attente du généraliste que Paul consulte pour la 6 ème fois en quinze jours et dois encore passer une tête chez ma mère qui, immanquablement, se plaindra de ne pas assez me voir… C’est aussi ça la famille !
Donc, je vais faire court :
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Merci pour elles,