Vos Petits-Enfants ont t-il déjà pensé à écrire leur journal intime ?
Le journal intime caché sous l’oreiller avec un cadenas doré et une minuscule clé pour le verrouiller…? Toute votre enfance...! Mais, si vous aimez encore coucher sur le papier vos aventures et confidences du quotidien, pourquoi ne pas transmettre ce rituel à vos Petits-Enfants ?
Pour les inspirer et leur démontrer toutes les vertus de cette démarche, vous pouvez faire lire à vos Petits-Enfants quelques petits extraits de votre propre journal intime. Une fois convaincus par votre prose, achetez-leur le journal intime Quo Vadis et guidez leur plume. Mésaventures à l’école, goûters d’anniversaire endiablés et premiers émois feront le sel de ce joli carnet. Une occasion toute trouvée pour ne rien oublier de leurs journées et laisser une trace de ces souvenirs.
Si l’angoisse de la page blanche guette vos jeunes auteurs, pas de panique ! Emmenez-les faire un tour de manège, à la piscine ou encore ramasser les champignons : dès leur retour, ils auront de nouveau matière à remplir leur journal intime.
Sans compter qu’ils peuvent coller dessus leurs trouvailles, ou dessiner ce qui les a émerveillés. L’écriture n’est pas la seule façon de relater leur existence
Vous l’avez vous-même remarqué : écrire est aussi une formidable échappatoire. Chagrin, déception, rancune ou encore tristesse sont bien mieux lotis sur quelques lignes que ressassés dans l’esprit de vos Petits-Enfants. Enseignez-leur l’art de tenir un journal intime cette pratique leur fera le plus grand bien.
Comment aborder le journal intime, sans évoquer Le Journal d’Anne Frank ? Si vos Petits-Enfants sont pré-ados, il n’y a pas de meilleure occasion pour leur faire découvrir ce célèbre ouvrage. Ils s’identifieront facilement à l’héroïne et découvriront un fragment d’Histoire. En version roman classique ou en version roman graphique : l’ouvrage a été adapté sous plusieurs formes. Le Journal d’Anne Frank incarne avec beaucoup de sensibilité toute l’utilité du journal intime. Vos Petits-Enfants peuvent d’ailleurs trouver un petit surnom à leur carnet personnel, comme Anne Frank appelait le sien « Kitty ».
Il ne vous reste plus qu’à sortir la boîte à crayons ou les plumes d’oie… et à laisser vos écrivains en herbe écrire leurs mémoires.