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Quel est le profil de votre Petit-Enfant au moment de la rentrée des classes ?

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Trouvez le profil de rentrée de vos Petits-Enfants

La rentrée des classes est toujours un moment important dans la vie de vos Petits-Enfants. Source de nouveauté, d’enthousiasme, mais aussi parfois d’appréhension, voire de peur panique. En tant que Grand-Parent, vous avez toute votre place dans ce moment charnière. Alors, comment aider au mieux vos Petits-Enfants à s’en sortir avec la rentrée ? Le plus simple est de comprendre comment chacun d’eux fonctionne et donc d’identifier leur profil à l’approche de la rentrée : quel écolier / collégien / lycéen (et au-delà !) est votre Petit-Enfant ?

Pour identifier le profil de votre Petit-Enfant, passez du temps avec lui en aval et en amont de la rentrée scolaire.

A priori, vous connaissez vos Petits-Fils et Petites-Filles depuis leur naissance ou presque. Vous avez donc déjà une petite idée de quel écolier ils sont déjà.

Toutefois, certaines étapes peuvent être plus importantes pour eux (et pour leurs parents qui, d’ailleurs peuvent leur transmettre leur propre stress !). Donc, dans les échanges que vous pourrez avoir avec vos Petits-Enfants, soyez-y peut-être attentif.

Voici les situations dans lesquelles votre cœur de Grand-Mère ou de Grand-Père a toute sa place :

  • les rentrées marquant une étape : petite section de maternelle, CP, 6e (entrée au collège), 2nde (entrée au lycée)
  • les rentrées avec un enjeu d’orientation (3e, 2nde, Terminale) car ces années vont aller trèèèèèès vite et vont être tout aussi denses
  • s’il y a un changement d’établissement scolaire consécutif à un déménagement pour vos Petits-Enfants
  • si votre Petit-Enfant ne retrouve pas ses amis car ce sont eux qui ont déménagé
  • si l’année scolaire ne s’est pas très bien passée – surtout avec les confinements successifs – en raison de (liste à compléter) mésententes multiples avec les autres, difficultés scolaires, difficultés de comportement, problèmes de santé à répétition…

Bref, tout changement important a sa valeur et peut émotionnellement être compliqué à vivre pour vos Petits-Enfants. Donc, vigilance, écoute, attention et tendresse.

Principaux profils d’enfants à l’aube de la rentrée scolaire

Il n’est jamais aisé de faire rentrer des gens dans des « cases ». Les typologies ont toutefois le mérite de rendre les choses un peu plus intelligibles malgré leurs limites évidentes. Alors, vous allez pouvoir piocher, en quelque sorte, parmi les différents profils et aussi surtout nos suggestions 💡 pour mieux comprendre vos Petits-Enfants. Et leur faciliter la rentrée !

#L’enfant anxieux : quand la perspective de la rentrée l’empêche de dormir

Il peut être angoissé, stressé à l’idée de reprendre le chemin de l’école pour des raisons multiples et parfois non verbalisées. Cela peut se manifester de différentes manières : pleurs, apathie, crises de colère, difficultés à manger ou à dormir…

💡 Soyez présent et à l’écoute. Votre Petit-Enfant a besoin de se sentir en sécurité, comme dans un cocon avant de pouvoir rationnellement affronter ses angoisses. Cela ne pourra venir que dans un second temps et pourra, si besoin, nécessiter l’aide d’un spécialiste (psychologue).

#Le blasé : « la rentrée ? tranquille ! »

Pour lui, la rentrée des classes n’est qu’une formalité. Une routine avec laquelle il se sent comme un poisson dans l’eau. Il est un poil trop zen du point de vue de ses parents.

💡 Ce détachement apparent peut cacher d’autres choses. Pourquoi ne pas être initiateur d’un moment spécial pour la rentrée de ce Petit-Enfant qui prend les choses avec simplicité ? Histoire de mettre un peu de piment dans son existence.

#L’opposant permanent : l’enfant prêt à tout pour louper l’école

Il ne veut pas y retourner et le fait bien sentir à ses parents en étant insupportable depuis quelques jours. Tout est nul, de base : l’école, ses enseignants, ses camarades. Bref, il en veut à la terre entière que les vacances soient bientôt terminées.

💡 Ecoutez-le et soyez attentif à lui. Son opposition est sûrement signe d’un mal-être et d’une angoisse inavouée. Ayez le tact nécessaire pour chercher à identifier ce qui ne va pas, réellement. Appuyez-vous sur ses forces et ses talents pour lui (re)donner confiance en lui.

#Celui dont la famille est (toujours) en retard : un profil de rentrée récurrent

Si le cartable n’est pas prêt, en vrai, c’est la faute des parents qui s’y prennent à la dernière minute et qui se sont laissés déborder.

💡 Si les courses de rentrée ont déjà été faites, vous pouvez proposer à votre Petit-Enfant de faire les choses avec lui : étiquetage des fournitures, vérification qu’il ne manque rien… Dans le cas où les courses n’auraient pas été réalisées, n’hésitez pas à proposer de vous en occuper (même si, franchement, c’est la galère, ce truc !).

#L’impatient : « j’ai trop hâte !!! »

Il trépigne, veut déjà savoir le nom de sa future maîtresse, savoir s’il sera avec ses meilleurs amis. Il a même fait des pronostics.

💡 Vous pouvez lui changer les idées en lui proposant un temps spécial rien que pour lui et qui lui fasse plaisir : sortie au cinéma, promenade en forêt, découverte d’une ferme pédagogique… en fonction de ses centres d’intérêt.

#Celui qui est prêt, ultra prêt : le profil de l’enfant sûr de soi pour la rentrée

Son cartable est déjà bouclé et il a choisi sa tenue pour la rentrée : une s’il fait beau, et une en cas de mauvais temps.

💡 Parfois, ceux qui se pensent fin prêts ont tendance à aller un peu trop vite. Revoyez avec votre Petit-Enfant le trajet pour aller dans son établissement scolaire, s’il a bien effectivement pensé à tout (la carte de transport, le paquet de mouchoirs de poche, les masques de rechange…).

#Le studieux : alias « miss Granger » pour les fans de Harry Potter

Il a complété un nombre incalculable de cahier de vacances et autres livres pédagogiques. Il a même déjà commencé le programme de l’année parce que, franchement, on n’est jamais assez prêt. Bref, c’est un enfant scolaire qui a le sens de l’anticipation (mais un peu trop).

💡 Il faut le détendre un peu ! Les vacances, c’est fait pour se reposer et apprendre autrement. Si la culture est son truc, accompagnez-le à la bibliothèque, lisez-lui des histoires, accompagnez-le dans un musée… Bref, vous pouvez lui montrer, en choisissant une activité adaptée à son âge, qu’il existe plein de façon d’apprendre en s’amusant.

#Le volubile : ce profil a 1000 scénarios de rentrée en tête

La rentrée, il y pense tout le temps et imagine plein de façons dont elle pourrait se passer. Et il ne cesse d’en parler encore et encore.

💡 Plutôt que de chercher à le stopper dans ses élucubrations (ses parents sont clairement saoulés !), vous pouvez en faire un jeu et avoir ainsi des moments d’échanges drôles et décalés avec ce Petit-Enfant bavard et imaginatif. Le jeu du cadavre exquis, à l’écrit, par exemple, peut être une idée (on vous explique ici en quoi consiste ce jeu).

Et après la rentrée ? Que faire ?

Gardez le lien – sans être trop envahissant non plus. Renseignez-vous auprès de vos enfants pour savoir comment les choses se sont passées et reprendre le flambeau si besoin auprès de vos Petits-Enfants. En fonction de leur âges, vous pourrez aussi vous esclaffer et applaudir au premier bonhomme-patate du petit de maternelle, des progrès en lecture de celui en CP, ou encore écouter (patiemment) les récriminations de vos Petits-Enfants ados à l’encontre de leurs professeurs. Et puis, en fonction du profil de rentrée que vous avez pu identifier pour vos Petits-Enfants, pourquoi ne pas continuer en suivants nos conseils éclairés ?

 

Crédits photos : Guy Breemat / Ina / AFP et Canva pro

J’interviens très souvent dans l’école de mes Petits-Enfants. Sous la forme d’un atelier autour du livre, je m’adonne à ma passion numéro 1 : leur transmettre le goût de la lecture. L’autre jour, j’ai créé pour les enfants qui suivent mon atelier une véritable Petite Librairie.

Il s’agit d’un petit exercice formidable, facile à réaliser, y compris chez soi.

La conception de ma Petite Librairie

Les enfants de l’atelier que j’anime ont entre 4 et 10 ans : pas simple d’intéresser tout le monde et de s’adapter à tous les âges en même temps ! Alors, je me suis rappelée combien une librairie avait ce don unique d’être un lieu intergénérationnel et capable d’être apprécié par tous les âges.

Aussi, avant d’élaborer mon atelier, j’ai pas mal réfléchi à ce que l’on trouve dans une librairie. J’ai même fait un petit tour dans deux établissements que l’on trouve dans mon quartier afin d’y trouver de l’inspiration.

Je ne vous cache pas que j’en suis à chaque fois sortie avec quelques nouveautés. Oui, il m’est très compliqué d’entrer dans une librairie sans y acheter quelques livres… Mon péché mignon, en somme !

La mise en place de mon atelier

Je suis arrivée un peu en avance à l’école afin de bien pouvoir tout disposer. J’avais apporté avec moi :

  • des ouvrages très diversifiés
  • quelques pupitres à livres pour faire comme un présentoir
  • 2 affiches de littérature jeunesse type L’Ecole des Loisirs

Sur une grande table à hauteur d’enfant, j’ai donc reconstitué une véritable librairie, dans la diversité des ouvrages qu’on peut y trouver.

Voici les livres que j’avais rapportés et que j’ai complétés avec ce que les maîtresses m’ont fourni de leurs propres fonds. Comme cela, j’avais plus d’ouvrages d’un même style à mettre à disposition des enfants :

  • Une encyclopédie (celle des chiens parce que tous les enfants s’y intéressent)
  • Un livre d’histoires (l’intégrale de La famille Cochon, mon livre d’histoires préféré)
  • Un livre audio (Le Petit Chaperon Rouge conté par Marlène Jobert)
  • Une bande dessinée (un bon Tintin, patrimoine familial chez nous !)
  • Un magazine (Pomme d’Api, qui oeuvre depuis 90 ans dans ma famille)
  • Un livre de poche pour adulte (Charlotte, de David Foenkinos, mon bijou du moment)
  • Un journal (avec des actualités en Une)
  • Un beau livre de collection (avec une couverture en tissu)

Le déroulé de mon atelier « La Petite Librairie »

Quand les enfants sont arrivés à mon atelier, je les ai placés en demi-cercle et leur ai donné à chacun une fausse pièce de monnaie. Je leur ai expliqué qu’aujourd’hui, ils se trouvaient dans une librairie. Je leur ai alors demandé s’ils savaient :

  • ce qu’est une librairie
  • ce qu’on trouve dans une librairie
  • quoi faire dans une librairie

A chaque fois, j’ai bien veillé à laisser tout le monde s’exprimer, y compris les plus jeunes. J’aime particulièrement laisser les plus âgés expliquer ce qu’il savent et/ou comprenne à leurs cadets.

Ensuite, je leur ai expliqué ce qu’ils devraient faire : comme dans un jeu (celui de la marchande !), ils allaient acheter un ouvrage. Sauf qu’à chaque fois, je leur demanderai quelque chose avant qu’ils ne puissent faire leur « achat ».

Chacun leur tour, les élèves sont ensuite venus, pièce en main, devant mon petit stand de libraire.

  • Les plus petits (4-7 ans) devaient faire la différence entre différents types d’ouvrages avant de pouvoir choisir le leur et me donner leur pièce.
  • Les plus grands (8-10 ans) ont dû répondre à une question portant sur la différence entre une bande dessinée, une encyclopédie et un journal. Ou à une autre sur comment différencier un journal d’un magazine. Ou encore sur ce qui permet de reconnaître un livre de collection.

Quant à ceux qui connaissaient déjà tout ça, je leur ai confié quelques détails plus techniques sur, par exemple, la périodicité, la maison d’édition ou encore l’art de choisir son nom d’auteur.

Ma petite librairie à moi, mes Petits-Enfants me la réclament constamment, et je me plie bien volontiers au jeu, y compris que c’est eux qui créent eux-mêmes le stand !

Je peux vous dire que « La Petite Librairie » n’est pas près de mettre la clé sous la porte !

Mes chères amies,

J’ai une bonne nouvelle pour vous. Afin de donner à nos Petits-Enfants un peu de coeur à l’ouvrage en cette veille de rentrée, j’ai développé une véritable « méthode de Grand-Mère ». Vous dire que je me suis creusé la capeline des heures durant serait exagérer. Mais ma méthode est toute simple et utilisable par toutes : je leur offre à chacun LE livre que j’ai lu, à leur âge, lors de chaque rentrée en classe (…ou tout comme, ma mémoire n’étant – comme moi ! – plus toute jeune !).

Bien évidemment, il faut m’imaginer en train de surfer sur le web en vue de remettre la souris sur le bon titre desdits ouvrages. Mais rien n’est impossible grâce à Internet ! Invention si géniale qu’elle me permet en quelques clics de « diffuser » à mes Petits-Enfants un peu de ce que fut mon époque, tout en leur offrant ce que leurs Parents appellent « un cadeau intelligent » (comme si j’étais la Reine des babioles !) et symbolique. Ce qui, vous en conviendrez, n’est pas rien quand on s’apprête à franchir une nouvelle étape dans sa vie scolaire ou étudiante.

Ainsi, à celles et ceux de ma tribu qui rentrent ENFIN en maternelle, et qui n’ont de cesse de me demander « C’est comment, l’école ? », j’offre Youpi à l’école. Ce petit chien qui nous accompagnait autant que Tchoupi le fait de nos jours.

Pour les « grands » de CP, impatients (ou pas!) d’apprendre à lire autre chose que les panneaux de signalisation et les pubs d’abribus, je glisse dans leur valise au retour des vacances un livre que nous avons toutes dévoré : les célèbres Rémi et Colette.

Pour mes Petits-Enfants qui étrennent leur cartable en classe de CE1 ou CE2, je mise sur une valeur sûre qui vous rappellera forcément autant de souvenirs qu’à Paul et moi : Lisons de belles histoires. A commander chez son libraire ou sur Internet.

Enfin, pour les CM1 et CM2, c’est avec les aventures de l’infaillible Club des 5 ou encore Les Quatre filles du Docteur March que je fais mon petit effet !

J’ai bien cru que les choses allaient se gâtaient pour mes Petits-Enfants ados qui – on le sait – ont une nette tendance à l’éternelle insatisfaction. J’ai pourtant déniché la perle rare, en leur commandant carrément le livre correspondant à mon année d’entrée au collège : 1960, le livre de ma jeunesse  (Une collection qui marche pour toutes les années, à vous de trouver l’année où vous rentriez au collège)).

Quant au lycée, je fourbis déjà mes armes pour mon Petit-fils Boris, qui y entrera l’an prochain : d’office, ce sera Madame Bovary. Rien de tel que Flaubert et l’histoire de la vie pour succomber aux charmes des années Lycée !

J’en suis encore loin mais, si parmi vous, certaines affichent leur fierté de voir leur Petite-fille ou Petit-fils entrer en fac de médecine, sachez que ma méthode fonctionne aussi très bien. Je suis sûre et certaine que les étudiants de l’époque ne passaient pas la porte d’un amphi sans avoir sur eux LE bouquin indispensable à ce grand saut dans l’inconnu. Procurez-le vous sur Internet : ils seront sidérés d’avoir dans leur bibliothèque, tel un talisman, le « manuel star » d’il y a 40 ans.

Naturellement, j’assortis ce petit geste symbolique d’un coup de fil à chacun d’eux. Juste pour leur dire que leur Grand-Mère est aussi passée par là (l’odeur des cahiers neufs, de la blouse repassée, du doudou dans le sac et de la boule au ventre à l’idée de ne pas être avec « la bonne maîtresse »). Et je raccroche en leur jurant qu’eux et moi sommes unis contre vents et marrées, pour franchir les portes de l’école comme de l’université.

Je peux le dire : cette petite invention est ma grande fierté du moment. Ma manière bien à moi de m’asseoir avec eux sur les bancs de l’école.

 

Vous le sentez monter, là ? Comment ça « qui » ? Le stress, voyons ! Celui de juin.
Le récital au conservatoire, le passage en CP, le final du spectacle de danse, le concours de chant, le tournoi de tennis, le brevet, le bac – mon dieu, le BAC ! – …

Ça vous parle ? Moi, oui. Presque autant que les premiers concernés : mes Petits-Enfants. Comment les encourager ? Me transformer en pom-pom girl ? Pas assez blonde ! Traquer les trèfles à 4 feuilles dans tous les parcs et jardins que compte la ville ? Pas le temps! En revanche, j’ai prévu mes munitions.

Pour les petits derniers de la tribu, j’ai refait mon stock de cartes « BRAVO » (à nouveau disponibles sur la boutique Grand-Mercredi, ici). Une enveloppe jaune soleil, un dessin qui redonne le sourire, un message d’encouragement…et le tour est joué !
Pour les moyens et leurs humeurs à géométrie variable, j’ai opté pour les SMS et plein de nouveaux émoticônes, petit mode d’emploi pour les épater, à imprimer juste là. Montrer qu’on est présente et qu’on pense à eux, mine rien, ça peut aider à l’approche d’un conseil de classe.
Quant aux ados, la recette du soutien n’a jamais aussi bien porté son nom: je leur lègue mon secret « anti-coup de pompe ». A consommer sans modération au moment des révisions : avant chaque épreuve, quelques gouttes de fleurs de Bach dans un grand verre d’eau!

A vos marques….Prêtes…Coachez !


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Bouton inscription lettre de Grand-Mercredi

 

Faire son contrôle de dictée sous les platanes, en apprendre une peu plus sur les fleurs sauvages en marchant sur les sentiers plutôt qu’à travers une leçon connue par coeur, découvrir que le soleil est une étoile en glissant un mot dans la « boîte à questions » : vos petits-enfants l’ont sans doute perdu de vue, mais c’est aussi ça l’école. Celle dans laquelle officie Jean-Michel Burel depuis 40 ans se trouve sur la place de la mairie d’un minuscule village du Gard. La boulangère y passe en camionnette pour vendre son pain et le maître y tient une classe unique mêlant CP et CE1, filles et garçons. Ils sont « ses petits »; il est leur guide, après avoir été celui – jadis – de leurs parents. Durant sa dernière année d’exercice avant la retraite, l’instituteur s’est laissé filmer par une ancienne élève devenue grande.
Il en ressort un film où la tolérance, le respect, la patience et l’apprentissage de la confiance en soi se mêlent habilement à celui de la conjugaison et des additions. Une leçon, oui, mais de vie. A voir d’urgence avec « vos petits » à vous.

« Mon maître d’école », d’Emilie Thérond. Sortie le 13 janvier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est le jour J. La semaine S. Adieu seaux, sable, batailles de polochons.
Pour eux, ça sent la blouse propre et la trousse immaculée, la nouvelle maîtresse et peut-être même la cantoche. Rien que de les imaginer livrés au triste sort de septembre et au chronomètre de leurs parents redevenus (hyper)actifs, vous débronzez à la vitesse du Riva !

Et si le parfum enveloppant des vacances venait, par la boîte aux lettres, se rappeler à leur bon souvenir ? De là où vous êtes, choisissez la carte postale qu’ils auraient adorée (oui, oui, même celle avec trois chatons déguisés en clowns), donnez leur des nouvelles des plantes que vous avez arrosées ensemble cet été, dîtes leur que vous avez tenté de refaire leur recette de pizza magique (sans en retrouver le goût, évidemment), et que leurs jouets préférés n’attendent plus qu’eux aux prochaines vacances.
Dans l’enveloppe – couleur azur, vert gazon ou rose coquillage – glissez des fleurs séchées, des paillettes, voire trois pincées du sable qu’ils ont tant foulé. Joli timbre obligatoire. Trois jours maxi après la rentrée, leur rayon de soleil, ce sera vous, promis !

Et si jamais le rayon « cartes postales » de la papeterie la plus proche a été dévalisé durant l’été, commandez vite la vôtre ici (env. 2€ la carte, paiement sécurisé).

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