Bon, du côté des urnes, c’est fait !
Mais moi, cette semaine, je ne vous ferai pas de discours. Juste une confession. Presque un aveu.
J’aime écrire. Des textos (3 lignes maxi mais quand même), des petits mots (collés sur le frigo), mais aussi des lettres. Des vraies. Vous savez, celles qui restent et pour lesquelles on s’empare de sa plus belle plume.
En septembre dernier, j’avais déjà partagé avec vous mon petit clin d’oeil postal de rentrée, qui consistait à envoyer à mes Petits-Enfants pour le jour « J » du retour en classe une jolie enveloppe au parfum d’été.
Comme une réminiscence de nos vacances ensemble. Le reste du temps, quand l’envie me prend ou que l’occasion s’y prête – et que j’ai le temps ! – j’écris à tous ceux que j’aime. Je m’applique, je choisis un timbre qui sort du lot et j’imagine leur mine (ébahie/ahurie/incrédule/joviale) devant la boîte aux lettres.
Dans le cas de mes Petits-Enfants, j’espère même qu’ils me répondent ! C’est mon côté rétro, je sais. Il n’empêche : ils y sont attachés, petits ou grands. Je sais surtout que la jolie boîte dans laquelle ils gardent mes missives, ils la garderont longtemps. Et qu’ils me reliront en se disant : « Fichtre ! Il fallait vraiment qu’elle nous aime très fort pour penser à nous comme ça ! ». CQFD.
