Aussi loin que je m’en souvienne – et bien que leur naissance m’ait comblée de joie – je n’ai pas attendu mes trois enfants avec la fébrilité d’un top model sur le point d’irradier un podium de la fashion week.
Certes, je m’inquiétais de savoir comment dompter ma crinière de lionne et me rappelle avoir remué ciel et terre pour trouver LE cache-cœur qui ne me saucissonnerait pas le buste. De même, mis à part un flacon – que dis-je ? un bidon ! – d’huile d’amande douce pour masser ma silhouette chaque mois plus généreuse, je doute avoir un jour mis les pieds dans un spa pour un soin « future maman ».
Personne, non plus, pour me filer en douce des recettes de cocktails sans alcool ou le nom du fournisseur officiel de coussins d’allaitement ergonomiques. Ma coach s’appelait Annie et c’était ma mère ; elle me disait « mange pour deux ! » et me trouvait « ravissante » en robe chasuble. C’était un genre.
Trente ans plus tard, rien n’est plus pareil. Un taux hormonal qui grimpe et, soudain, « primipare » rime avec « star ». Dès lors, les femmes – mes filles et mes belles-filles en tête ! – ne jurent plus que par un seul site : Maman Vogue , qui prend un malin plaisir à accompagner la jeune maman d’aujourd’hui avant/pendant/après sa grossesse. Les parents d’aujourd’hui, c’est comme ça que ça marche.
A elle les leggins pailletés et les conseils avisés du spécialiste des graines germées ! Pleins feux sur les bienfaits de l’haptonomie et les 9 mois de félicité absolue ! Ce n’est plus du coaching, c’est de l’accompagnement 5-étoiles, du choix du prénom à celui du biberon. En 2016, la jeune maman est connectée ou n’est pas. Que les futures grand-mères se le tiennent pour dit !
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