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Dîner en famille : un rituel précieux

Le rituel du dîner en famille peine parfois à trouver sa place dans nos emplois du temps bien chargés. Et pourtant, ses avantages sont nombreux. Entre bilan de la journée, discussions enflammées, joie de partager un repas commun autour d’une table, etc. : tous ces petits moments sont précieux. Nous vous disons pourquoi.

 

Dîner « à la française », c’est quoi déjà ?

On a tous en tête l’image d’Épinal du repas de famille : parents et enfants sagement assis, ensemble, autour d’une table bien dressée. Pendant longtemps, et nous sommes sûrs que certains Grands-Parents parmi nos lecteurs se reconnaîtront, les enfants ne mangeaient pas avec leurs parents. Si tel était le cas, ils n’avaient pas le droit de prendre la parole à table. Les temps ont bien changé même si chez certains, par commodité ou nécessité, il est ordinaire d’avoir 2 services : celui pour les jeunes enfants, et celui pour les membres plus âgés de la famille.

Il n’empêche que ce moment commun, favorisant le dialogue entre les membres d’une même famille, n’existe pas partout dans le monde. Ni même, de plus en plus, dans de nombreux foyers en France.

Eloignement entre lieu de travail et d’habitation, embouteillages, transports en commun, activités périscolaires, bénévolat,… les occasions ne manquent pas de rentrer tard et donc de rater la cloche appelant « à table ! ». Parfois aussi, on n’en a tout simplement pas envie.

# Colette nous explique pourquoi ce repas pris en commun est important pour elle :

« Chez moi, il est impossible d’y couper : tout le monde doit lâcher son écran ou son occupation du moment. Se rassembler autour de la table quand celui qui est chargé de la cuisine appelle, est essentiel à mes yeux. J’aime voir mes enfants, et parfois leurs amis, venir s’asseoir, et discuter. J’avoue que parfois je suis un peu perdue quand ils évoquent la dernière série qu’ils ont regardée, mais ce n’est pas grave. Je savoure. »

# Alexandre, son fils lycéen, est moins enthousiaste sur le dîner en famille :

« Si parfois c’est sympa de manger tous ensemble, j’aimerais bien avoir un peu plus de liberté et ne pas être obligé, tous les soirs, d’être à table. Pouvoir prendre ce que je veux dans le frigo, quand je veux. Quand je n’ai pas envie de parler pendant le dîner, ma mère a tendance à insister lourdement. En plus, je n’ai pas le droit d’avoir mon téléphone avec moi. J’aime bien être dans une autre salle que la cuisine pour manger. »

Un bon équilibre doit être trouvé pour que les soirs de semaine ne deviennent pas tous une corvée lors du repas.

 

Mais au fait, que manger en famille, le soir ?

# L’avant : la préparation du dîner

Pour manger correctement le soir, tout est question d’anticipation. Ou pas.

En fonction des familles, on rencontre :

  • Les organisées: le programme des menus est prêt, et posé sur le frigo depuis 15 jours. Les courses sont faites. Y a plus qu’à !
  • Les « dernière minute »: la journée a été longue, les enfants ont faim et l’expriment bruyamment avec humeur. On ouvre le réfri et on se demande, bien perplexe, ce qu’on va pouvoir préparer qui, dans l’idéal, ne prenne pas trop de temps.
  • Les créatives: on compose avec ce qui passe sous la main, en tâchant de réaliser des combinaisons qui se marient bien. Ça passe la plupart du temps : les estomacs familiaux sont habitués.
  • Les adeptes de la « meal preparation »: vous avez passé votre dimanche en cuisine, mais tout est prêt pour la semaine. Plus qu’à réchauffer ou décongeler vos plats cuisinés avec amour à l’avance.
  • Les « confiantes » : un des enfants veut absolument être le cuisto du soir. Ok… on va tenter le coup.
  • Les « y a plus rien dans l’frigo !!! »: la solution est simple. Soit vous avez une supérette pas trop loin, soit vous craquez votre budget pour un repas livré (et pas très diététique), soit, c’est diète (et révolution à la maison). Promis, juré, demain on fait les courses !

# Préparer le repas à plusieurs : moment de complicité entre (Grands-)Parents et (Petits-)Enfants

A Grand-Mercredi, on aime bien l’idée de préparer le repas à plusieurs mains. Pareil pour dresser et débarrasser le couvert. Quand l’un va s’occuper de découper les légumes, l’autre va surveiller la cuisson. Chez certaines familles, le tableau des services est bien rodé. Chez d’autre, on est plus spontané. A chacune de trouver son organisation, quitte à la changer en cours d’année. Et puis, les talents des différents membres de la maisonnée trouvent à s’exprime : on échange, on apprend, on transmet.

« Comment faire une tarte aux pommes ? » ; « Ah, les courgettes, pas besoin de les éplucher ! » ; « Tu as une façon très personnelle de couper les pommes de terre, mais, pourquoi pas ! » ; « Je vais t’apprendre la recette de mayonnaise inratable que m’a apprise ma Grand-Mère ! ».

Ces instants font pleinement partie du dîner en famille et construisent la cohésion entre les générations.

# Dominique, le pro des recettes simples, faciles et rapides à préparer

« Le week-end, j’aime bien prendre mon temps pour préparer les repas, déjeuner, comme dîner. En semaine, c’est plus compliqué avec toutes mes occupations. Je n’arrive pas toujours à faire du frais parce qu’il y a le temps de cuisson et qu’on aime bien avoir notre soirée tranquille, à la maison. Ben, tant pis, hein ! Ouvrir une boîte de petits-pois n’a jamais tué personne. Après, en hiver c’est souvent de la soupe avec du pain beurré, donc c’est facile de préparer pour plusieurs jours. En été, je fais pas mal de salades fraîches, donc pas de cuisson. C’est plus pour l’entre-deux. Pour l’instant, je suis dans ma période semoule (ça cuit en un rien de temps) avec courgettes rissolées, rizotto aux tomates séchées et quiche. Une valeur sûre, ça, la quiche ! »

# Quelques idées de plats simples à concocter pour le dîner des familles pressées

Dominique évoque dans son témoignage : la quiche et les soupes.

On peut aussi penser aux :

  • gratins (courges, pommes de terre, courgettes.. en fonction des légumes de saison)
  • pizzas maison (préparer la pâte et mettre dessus ce qui fait plaisir à tout le monde)
  • salades composées froides ou chaudes (elles permettent de recycler aisément certains petits restes)
  • pâtes – grande valeur sûre chez les Enfants – agrémentées de bolognaise / carbonara / pesto, etc.
  • « tifoutous » ou « fouzytous »: quiche très personnelle composant avec les restes de la semaine. En général, ce sont les meilleures !

Et puis, surtout, ne pas complexer si le repas du soir n’est pas digne d’un chef étoilé. Tant que la nourriture est équilibrée et que les estomacs y trouvent leur compte, tout va bien. Le principal, c’est de passer un bon moment ensemble, sans prise de tête.

Vous pourrez piocher si besoin quelques idées de mets qui sont toujours gagnants chez les Enfants.

 

Dîner en famille n’est pas nécessairement un dîner de famille

# Le dîner de famille a quelque chose de plus solennel, de festif

Les repas du dimanche midi si bien chantés par Bénabar rassemblent souvent toutes les générations. Et à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’une occasion particulière : un anniversaire, une fête traditionnelle ou religieuse comme Pâques ou Noël, des retrouvailles, des adieux… Ces événements familiaux, en France, on y tient : plus que des traditions, ce sont de véritables institutions !

Là, ceux qui reçoivent ont tendance à mettre les petits plats dans les grands, à sortir la belle vaisselle, et à passer plus de temps en cuisine en amont pour rendre l’événement inoubliable.

Tu te rappelles de la crème renversée de tata Micheline ? Et du poulet basquais de cousin Jules ? Et la petite prune de Grand-Père ? Hummmm !

Pour simplifier la logistique, il est de coutume que chacun apporte un petit quelque chose : apéro, vin, entrée, etc. Parfois, le maître ou la maîtresse de maison veut s’occuper de tout et sortir le bon vin conservé spécialement pour l’occasion.

Bref, le dîner de famille sort de l’ordinaire, du train-train quotidien et favorise les échanges intergénérationnels.

# Le dîner de famille permet, au quotidien de se retrouver : il participe pleinement à la construction de la cohésion familiale

Se retrouver autour d’une table, c’est prendre le temps de s’écouter, de se parler. Il s’agit souvent du seul moment de la journée où tout le cercle familial se retrouve. Ça a même un côté éducatif pour les enfants : mettre sa serviette correctement, la plier, demander poliment à être servi en eau, rendre service en apportant un plat ou en débarrassant. On apprend à mieux se connaître, à échanger sur ses émotions, des événements du quotidien.

Parfois, on regarde la télévision. Attention toutefois à ce que l’écran de télé ne soit pas une personne de plus dans la cuisine ou la salle à manger. Si c’est systématique, sa présence peut casser la dynamique de dialogue. Il vaut mieux éviter que la télévision ne prenne toute la place et soit toujours le centre des regards. Après, un plateau-télé devant un bon film de temps en temps, comme au spectacle, s’avère très sympathique.

# Chez Géraldine, le rituel du dîner en famille est bien rôdé.

« Chez moi, une fois que tout le monde est attablé, on fait un tour de table. Aucune obligation d’y participer. Si c’est un jour d’école, j’aime bien demander aux enfants ce qu’ils ont appris ou préféré. Quand j’étais petite, mon père nous demandait toujours si on avait eu de bonnes notes. Ça m’a marquée, mais je ne considère pas que cela soit le plus important. Chacun s’écoute et a pour consigne de ne pas directement répondre à l’autre – pas évident pour mon fils. Nous aussi, les parents, on participe. De temps en temps, on lance un jeu du style donner des noms d’animaux ou des prénoms, en prenant dans l’ordre les lettres de l’alphabet. Les enfants, même petits, adorent ! On fait aussi des concours de blagues ou des énigmes. »

 

Les prolongations du dîner de famille

Les vendredis et samedis soirs sont plus propices pour donner des suites à un dîner de famille sympathique. Tout le monde a plus de temps, est plus détendu, le rire vient plus facilement : c’est le week-end.

En fonction de l’âge des enfants et des envies de chacun on peut, par exemple :

  • Lire une histoire
  • Faire un jeu de société
  • Faire un petit spectacle : récitation de poésie, d’extraits de pièce de théâtre, chants, blagues, tours de magie, etc. Le public sera toujours enthousiaste ! Les situations plus ou moins drôles donnant souvent lieu à des fous rires.
  • Continuer les discussions autour d’un café, d’une tisane ou d’un petit verre

 

Un célèbre dîner en famille

Dîner en famille, caricature
Nous ne résistons pas à vous reproduire ici, cette célèbre caricature que l’on trouve dans tous les livres d’Histoire de France. Ce fameux dessin de l’illustrateur Caran d’Ache intitulé « Un dîner en famille », est paru dans Le Figaro du 14 février 1898. On est alors en plein dans l’affaire Dreyfus.

# Un dîner apaisé…

On peut lire sous la première illustration « Surtout ! ne parlons pas de l’affaire Dreyfus ! ». La scène est très sage : on est dans la bonne bourgeoisie parisienne. Les femmes et les hommes autour de la table regardent et écoutent tous cette recommandation du maître de maison. Les codes de la bienséance sont parfaitement respectés.

# … qui tourne au pugilat

L’image du dessous est éloquente, de même que son commentaire : « …ils en ont parlé… ». Le spectacle prête même à rire, tant la caricature est bien ficelée. On se croirait presque dans une pièce de théâtre !

Comme quoi, parfois, il vaut mieux éviter les sujets qui fâchent, ou alors savoir faire preuve du tact nécessaire pour que le repas ne tourne pas à la bagarre générale ! Au propre, comme au figuré !

 

Règles d’or du dîner en famille réussi

  • Que tout le monde participe à la préparation et/ou au rangement
  • Mettre à distance les écrans (y compris pour les adultes, oui, oui)
  • Ne pas se plaindre du menu
  • Être dans une écoute mutuelle respectueuse et bienveillante
  • Que chacun trouve son content et l’occasion de partager un moment de sa journée

LES MENUS PARFAITS
de vos Petits-Enfants

Les vacances de la Toussaint sont là ! Grand-Mercredi et Picard vous ont concocté une sélection de mets pour ravir les palais de vos Petits-Enfants. De l’apéritif, au dessert, en passant par le plat de résistance : tout est prévu pour vous faciliter la vie. Vous n’aurez plus qu’à choisir pour réaliser les menus parfaits de vos vacances. Et croyez-nous : votre tribu va en redemander ! Vous pouvez déjà lancer les invitations et faire chauffer votre four !  

LES APEROS GÉNIAUX,

amuse-bouche des menus parfaits

Entrees_batonnets-mozzarella

Bâtonnets panés de mozzarella :

    • Temps de préparation : 3 minutes, le temps de sortir les mets de leur boîte et de les mettre au four.
    • Temps de cuisson : 10 minutes
    • Niveau de difficulté : Simplissime, vous pourriez le faire d’une seule main !

« On adore la mozzarella coulante des bâtonnets, ça nous fait des moustaches de fromage. » 

Entrees_mini-cheeseburgers

Mini cheeseburgers :

    • Temps de préparation : 2 minutes, ouvrir la boîte et disposer sur votre plaque de cuisson.
    • Temps de cuisson : 8 minutes au four traditionnel ou 1 minute 30 pour les micro-ondes
    • Niveau de difficulté : il s’agit simplement d’ouvrir votre four, rien de plus !

« On sait pas le prononcer mais c’est trop bon ! Ce menu me convient, il est parfait ! »  

Entrees_mini-pizza

Petites pizzas jambon-fromage :

    • Temps de préparation : 2 minutes, ni une ni deux c’est enfourné.
    • Temps de cuisson : 9 minutes
    • Niveau de difficulté : élevé, car il faudra résister pour ne pas tout manger !

« Une pour moi et une pour ma poupée. Mais… je goûte avant quand même ! »  

POUR QU’ILS TERMINENT LEURS ASSIETTES,

des menus simples et un poil originaux

L'aligot : succès garantit

Aligot à la truffe blanche, un repas roboratif de vacances de la Toussaint :

    • Temps de préparation : s’assurer qu’il y en aura pour tout le monde. A servir avec une salade pour se donner bonne conscience.
    • Temps de cuisson : 8 minutes à la casserole
    • Niveau de difficulté : nul besoin de stresser, le succès est quasiment garanti.

« Comment, il n’y en a déjà plus ?! »

20181009_PICARD_COMBO3

Ceviche au quinoa, c’est pas si compliqué que ça :

    • Temps de préparation : 10 minutes (+ 20 minutes de marinade)
    • Temps de cuisson : 10 minutes pour le quinoa
    • Niveau de difficulté : rassembler les ingrédients et… adapter s’il en manque. Un jeu d’enfant ! 

« C’était trop bon ce poisson !

20181009_PICARD_COMBO2

Croquettes poulet et brocolis, on en a une énorme envie :

    • Temps de préparation : 25 minutes
    • Temps de cuisson : 7 minutes
    • Niveau de difficulté : très accessible, même si vous n’êtes pas le roi des fourneaux. Suivre la recette pas à pas. Et pourquoi pas déléguer à une Petit-Enfant cuisinier ?

« On en veut encore ! »

Pensez à la patate douce pour un repas parfait !

Filet de saumon avec sa purée de patate douce  :

    • Temps de préparation : 5 minutes
    • Temps de cuisson : 20 minutes
    • Niveau de difficulté : il suffit de savoir ajouter une pincée de sel et un filet d’huile d’olive sur le saumon, le temps qu’il dore au four.

« Est-ce qu’on pourra en ravoir demain ? »

POUR RAVIR LES PALAIS GOURMANDS,

au coin du feu pendant les vacances

Gourmand_tarte-myrtilles

Tarte aux myrtilles :

    • Temps de préparation : 30 secondes, si vous arrivez à ouvrir l’emballage du premier coup.
    • Temps de cuisson : 10 minutes
    • Niveau de difficulté : savoir simplement enfiler son gant de cuisine à l’endroit !

« C’est délicieux et rigolo : nos dents deviennent violettes. »

Gourmand_cones-chocolat

Mini cônes glacés vanille :

    • Temps de préparation : 1 minute, le temps que vos Petits-Enfants les arrachent de vos mains !
    • Niveau de difficulté : aucun, mis à part ne pas tâcher le canapé.

« C’est dommage qu’ils soient minis, ces cônes. »

Le macaron aux framboises, pas de saison, mais tellement bon !

Macaron aux framboises :

    • Temps de préparation : décongélation au réfrigérateur pendant 6 heures.
    • Niveau de difficulté : Elevé, car il faut résister au moins 6 heures. Privilégier la nuit, ainsi les tentations seront moins importantes.

« Miam miam, Mamie ! »

SOS DERNIÈRE MINUTE,

des plats tout prêts et parfaits !

Derniere-minute_lasagnes

Lasagnes à la bolognaise :

    • Temps de préparation : 3 minutes, mettre la barquette au micro-ondes ou les lasagnes dans un plat adapté au four.
    • Temps de cuisson : 18 minutes au micro-ondes et 50 minutes au four (il faut un peu d’anticipation)
    • Niveau de difficulté : bien régler son thermostat pour ne pas brûler le plat et prévoir des quantités suffisantes.

« On se croirait en Italie ! »

Derniere-minute_pates-au-poulet

Pâtes au poulet et aux champignons :

    • Temps de préparation : 2 minutes à peine.
    • Temps de cuisson : 7 minutes au micro-ondes ou 8 minutes à la poêle
    • Niveau de difficulté : avoir assez de portions pour tout le monde.

« Ça sent bon dans toute la maison. »

Derniere-minute_semoule-au-poulet

Semoule au poulet et aux petits légumes :

    • Temps de préparation : 1 minute, le temps d’ouvrir et de fermer son congélateur.
    • Temps de cuisson : 8 minutes à la poêle ou 8 minutes au micro-ondes
    • Niveau de difficulté : le mot difficulté ne fait plus partie de votre lexique !

« On va manger de la semoule plus souvent ! »

FÊTER HALLOWEEN AVEC VOS PETITS MONSTRES,

pour une table de fête

Du potimarron au menu des vacances de la Toussaint

Muffins au potimarron :

    • Temps de préparation : 10 minutes, le temps de faire votre mélange.
    • Temps de cuisson : 12 à 14 minutes
    • Niveau de difficulté : effroyablement simple. En customisant, avec des yeux de monstre, c’est encore plus terrible !

« On connaît le potimarron maintenant et c’est trop bon. »

Le potimarron à la Toussaint, c'est bon !

Gratin de potimarron au bleu et aux noix :

    • Temps de préparation : 15 minutes, le temps de faire votre popote avec les ingrédients.
    • Temps de cuisson : 30 minutes
    • Niveau de difficulté : disposer des cerneaux de noix sur la préparation en forme de visage monstrueux.

« C’est le meilleur déjeuner du monde ! »

Mini-toasts pour les vacances

Des mini toast au pain d’épice :

    • Temps de préparation : 30 minutes
    • Temps de cuisson : 20 minutes
    • Niveau de difficulté : très simple. Ne pas oublier de préparer des cure-dent à tête de monstre pour la déco !

« Les meilleurs apéros sont chez nos Grand-Parents ! »

Et si vous avez encore besoin d’inspiration, nos 24 idées de plats de Grand-Mère préférés des Petits-Enfants devraient vous aider. Où comment le « fait maison » peut aussi entrer dans les menus parfaits !

Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière. www.mangerbouger.fr

« DingDong ! Le déjeuner est prêt mes Petits-Enfants »

Le chauffe biberon BabyMilk est un must pour vos Petits-Enfants. Il chauffe le biberon en 2 minutes et un petit pot en 5 minutes !

Il est évidemment transportable d’une maison à une autre, et sa solution compacte vous évite l’éternel encombrement quand vous avez vos petits-enfants chez vous.

La minuterie est facile d’utilisation et s’adapte évidemment au format et à la matière du biberon.

A découvrir ici

 

C’est en hommage à son grand-père que Jean-Christophe a ouvert ce restaurant qui deviendra bientôt le QG de toute la famille.

Pour vos petits gourmands c’est le paradis : l’équipe est d’une grande patience et très gentille, et au menu des cuisses de poulet mémorables.

Pour vous et le grand-père, un saucisson Lyonnais ou une poignée de crevettes à se damner !

Le décor n’a rien d’un lieu pour enfants mais c’est justement pour ça qu’on l’a aimé ! Vos petits-enfants auront l’impression d’être comme des grands.

Notre conseil : le lieu se prête à écouter des histoires de famille farfelues ! Venez avec un petit stock d’anecdotes sur leur parents pour le dessert et votre tribu se souviendra toujours du Grand Guste !

Formule déjeuner à 17€
Ouvert du lundi au vendredi le midi et du mercredi au samedi le soir.

Le Grand Guste
31 Bd Notre Dame, 13006 Marseille
Tel : 04 91 53 17 82

 

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