Témoignage : il raconte comment la Complémentaire santé solidaire a changé la vie de ses Petits-Enfants - Grand-Mercredi

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Témoignage : il raconte comment la Complémentaire santé solidaire a changé la vie de ses Petits-Enfants

Temps de lecture : 3 min

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Je m’appelle Claude, j’ai 65 ans et je vis dans la Creuse. Je suis très proche de mes enfants, et jusqu’à récemment, j’étais très inquiet pour la santé de ma fille et de mes Petits-Enfants.

Cela fait quelques années maintenant que ma fille, Emilie, est célibataire.
À 24 ans, elle s’est retrouvée toute seule, avec deux enfants en bas âge. Quand son compagnon l’a quittée, sa petite dernière avait 8 mois seulement, et le plus grand, 3 ans ! Alors, imaginez la aller trouver du travail avec deux petits comme ça …
Elle est revenue vivre chez moi juste après sa rupture, et pour elle, c’est très difficile. Les fins de mois ne sont jamais sereines.
Aujourd’hui, les petits ont 3 et 5 ans et demi, et elle fait des petits boulots en intérim, mais ce n’est pas encore ça.
Et puis, moi, de mon côté, ce n’est pas avec ma petite pension que je peux vraiment l’aider.

Il se plaignait beaucoup de la douleur, mais malheureusement, Emilie et moi n’avions pas les moyens de l’emmener chez le dentiste. Les soins dentaires sont tellement chers ! C’était très difficile à vivre. Emilie le soignait comme elle pouvait, elle lui donnait des anti-douleurs et essayait des remèdes de grand-mère, mais rien n’y faisait. Le pauvre petit se réveillait la nuit et nous étions démunis.

C’est comme ça qu’Emilie est allée rencontrer les gens de sa Caisse d’assurance maladie, pour essayer de demander de l’aide pour Enzo. Elle est tombée sur une personne très gentille, qui lui a annoncé la bonne nouvelle : avec son niveau de revenu, Emilie avait le droit à la Complémentaire santé solidaire ! Grâce à cela, elle a pu emmener Enzo chez le dentiste, et ses soins ont été pris en charge. Nous ne pensions pas qu’avec ses petits revenus, Emilie pouvait avoir droit à une complémentaire santé, pour elle et pour ses enfants.
Ça a été un immense soulagement pour nous tous : non seulement Enzo a pu soigner cette carie, mais en plus, sa sœur, Louna, a pu changer ses lunettes qui n’étaient plus tout à fait adaptées à sa vue.
Aujourd’hui, je suis soulagé que la santé de ma fille et de ses enfants ne soient plus une préoccupation. Je suis un Grand-Père comblé !
Evaluez votre droit à la Complémentaire santé solidaire ici.